Meisenthal
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Vue du village de Meisenthal, avec l'ancienne verrerie au centre. | |||||
Héraldique | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Moselle | ||||
Arrondissement | Sarreguemines | ||||
Canton | Bitche | ||||
Intercommunalité | C.C. du Pays de Bitche | ||||
Maire Mandat | Pascal Andres 2014-2020 | ||||
Code postal | 57960 | ||||
Code commune | 57456 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Meisenthaliens[1] Val-Mésangeois[1] | ||||
Population municipale | 702 hab. (2016 ) | ||||
Densité | 110 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 57′ 59″ nord, 7° 21′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 255 m Max. 431 m | ||||
Superficie | 6,36 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Moselle
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Meisenthal est une commune française du département de la Moselle en région Grand Est.
Village rural de Lorraine, du pays de Bitche et du bassin de vie de la Moselle-est, Meisenthal est situé à 52 km au nord-ouest de Strasbourg, dans le terroir du parc naturel régional des Vosges du Nord. Au niveau intercommunal, la municipalité est intégrée dans la communauté de communes du Pays de Bitche qui regroupe 46 localités autour de Bitche. En 2016, la population légale est de 702 habitants, appelés les Val-Mésangeois et Val-Mésangeoises.
Si l‘industrie du verre est attestée dès le XVe siècle à Meisenthal aux lieux-dits Glasthal et Hützelthal, ainsi qu'à l'emplacement même de l'actuelle verrerie, la Guerre de Trente Ans qui ravage la contrée vers 1633 y met très vite un terme. Le village actuel n'est fondé qu'en 1702 par les verriers qui abandonnent le site voisin de Soucht pour venir s'établir à Meisenthal. Meisenthal est aujourd'hui encore principalement connu pour cette verrerie, ainsi que pour son musée et sa halle verrière, qui peuvent être visités.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Localisation et communes avoisinantes
1.2 Présentation du ban communal
1.3 Climat
2 Toponymie
2.1 Meisenthal
2.2 Écarts
2.3 Lieux-dits
3 Histoire
3.1 Cultes
4 Politique et administration
4.1 Situation administrative
4.2 Instances judiciaires et administratives
4.3 Intercommunalité
4.4 Tendances politiques et résultats
4.4.1 Élections présidentielles
4.5 Héraldique
4.6 Liste des maires
5 Population et société
5.1 Démographie
5.2 Enseignement
6 Culture locale et patrimoine
6.1 Monuments historiques
6.2 Autres sites et monuments
6.3 Pratiques linguistiques
6.3.1 Dialecte
6.4 Personnalités liées à la commune
7 Annexes
7.1 Bibliographie
7.2 Articles connexes
7.3 Liens externes
8 Notes et références
8.1 Notes
8.2 Références
Géographie |
Localisation et communes avoisinantes |
Située à l’est du département de la Moselle, la commune de Meisenthal appartient au canton de Bitche et à l’arrondissement de Sarreguemines.
À vol d'oiseau, Meisenthal se situe à 51,7 km au nord-ouest de Strasbourg, chef-lieu de région, à 86,5 km à l'est de Metz, chef-lieu de département, à 26 km au sud-est de Sarreguemines, chef-lieu d'arrondissement et à 11,6 km au sud-ouest de Bitche, chef-lieu du canton et de la communauté de communes du Pays de Bitche[2].
Présentation du ban communal |
Situé aux confins de la Lorraine et de l'Alsace, au cœur des Vosges du Nord, le village de Meisenthal s'étend en pays couvert, dominé par l'écart de Schieresthal. Une série de bornes dressées en 1608 pour marquer la frontière entre le duché de Lorraine et le comté de Hanau-Lichtenberg, la Pierre des douze Apôtres et une colonne élevée sous l'Empire matérialisent encore aujourd'hui cette limite territoriale.
Le village, établi à l'intersection de plusieurs vallons, ne présente aucun parti cohérent. Des prairies ponctuent la forêt défrichée tardivement, les maisons non jointives semblent posées un peu au hasard, parfois à l'écart des axes de circulation. Une morphologie qu'on ne retrouve par ailleurs nulle part et qui s'explique par l'occupation récente du village et l'accroissement de la population verrerie à la fin du XVIIIe siècle. En contrebas de l'église de la Nativité de la Vierge, construite en 1811 et agrandie en 1871, les bâtiments de la verrerie sont regroupés autour des deux grandes cheminées.
Climat |
Les données météorologiques du tableau ci-dessous sont celles de la station météo de l'aéroport de Sarrebruck-Ensheim, située à 33 km au nord-ouest de Meisenthal.
Températures et précipitations moyennes à Sarrebruck[3]
Mois | Jan. | Fév. | Mars | Avr | Mai | Juin | Juil. | Août | Sept. | Oct. | Nov. | Déc. |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Températures moyennes (°C) | 1,0 | 2,0 | 5,5 | 8,4 | 12,9 | 15,7 | 18,0 | 18,0 | 14,3 | 9,7 | 4,5 | 2,1 |
Précipitation moyenne totale (mm) | 69,9 | 59,0 | 64,5 | 56,8 | 74,1 | 77,6 | 78,0 | 59,7 | 66,1 | 81,8 | 84,4 | 93,3 |
Sources des données : Deutscher Wetterdienst |
Le climat qui règne à Meisenthal est tempéré, froid et de type océanique. Situé au nord du massif montagneux des Vosges, dans le pays couvert, le village est peu exposé aux vents mais des précipitations importantes y sont enregistrées toute l'année. Ainsi, les hivers connaissent des précipitations neigeuses assez fréquentes.
Toponymie |
Meisenthal |
- Anciennes mentions : Maizendhall (1751) ; Meysenthal (1771) ; Meisendhal (1793 et carte de Cassini) ; Meysenthal (1801).
- En francique lorrain : Meisetal[4] et Meisedal.
Sobriquet des habitants : Meisedaler Mondfänger, « les attrapeurs de Lune de Meisenthal ». D’après la légende, les habitants de Meisenthal auraient essayé d’attraper (fangen) la Lune (Mond) qui se reflétait sur les eaux de l’étang[5].
Écarts |
Schieresthal, un hameau au nord-est du village.
Hützelhof, mentionné au XVIe siècle et détruit au XVIIe.
Lieux-dits |
Hutzelberg, colline au sud-est du village, arpentée par la rue d'Alsace.
Klausenberg, colline au sud-ouest du village, où se trouve notamment une auberge.
Mailaenderberg, colline au nord-est du village, en contre-bas du Schieresthal.
Meisenthaler Muehle ou Meisedaler Miel, le « moulin de Meisenthal », situé dans le village.
Neumuehle ou Neimiel, « nouveau moulin », moulin au nord-ouest du village, où se trouve aussi une piste et un club de karting.
Steinthal, « vallée des pierres », vallée au sud du village, en prolongement de la rue des Pierres.
Zoll, « douane », au sommet de la colline au sud-est du village, où se trouve la Colonne.
Histoire |
Pendant deux siècles, le village ne vit que par et pour le verre. Si l‘industrie du verre est attestée dès le XVe siècle à Meisenthal aux lieux-dits Glasthal et Hutzelthal, ainsi qu'à l'emplacement même de l'actuelle verrerie, la Guerre de Trente Ans ravagea tout sur son passage. Au lendemain de l’abandon de la verrerie de Soucht en 1700, faute de combustible, un groupe de verriers obtient en 1702 l’autorisation du duc de Lorraine Léopold Ier de venir s’installer sur le site voisin de Meisenthal. Le village est mentionné en 1704 avec sa verrerie, sous la forme Meisenbach, le ruisseau des mésanges, puis en 1711 sous sa forme actuelle, Meisenthal, la vallée des mésanges.
Reconstruits tout au long du XIXe siècle et du XXe siècle, les bâtiments de la verrerie occupent toujours le cœur du village.
Mais en 1858, une grande sécheresse priva les Vosges du Nord de fruits, de noisettes et de pommes de pin. Un souffleur de verre inspiré de Goetzenbruck tenta de compenser cette injustice en soufflant quelques boules en verre afin de décorer les sapins de Noël. Il déclencha à lui seul une tradition qui traversa les cultures, le monde et l’humanité. En 1964, la verrerie de Goetzenbruck mettait un terme à la fabrication industrielle des boules de Noël argentées. L'activité de la verrerie de Meisenthal cesse peu après, en 1969. Depuis 1998, le Centre International d’Art Verrier (CIAV) de Meisenthal, qui a ressuscité et revisité cette tradition, produit à nouveau, selon des rituels ancestraux, des boules de Noël en verre. La série « traditionnelle » s’inspire des modèles anciens et la série « contemporaine » a été conçue par des designers allemands, britanniques, français et italiens[5].
Cultes |
Du point de vue spirituel, le village est succursale de Soucht avant d'être érigé en paroisse de l'archiprêtré de Bitche en 1826.
L'église est construite en 1811, date portée par la clef de l'arc triomphal, à la suite de nombreuses requêtes des habitants depuis 1766, au vu de l'accroissement constant de la population lié au développement de la verrerie. L'église est agrandie en 1871 par la construction du transept et l'adjonction de la tour-clocher.
Politique et administration |
Situation administrative |
Depuis 1802, Meisenthal est rattachée à l'arrondissement de Sarreguemines. La commune dépend de la cinquième circonscription de Moselle.
De 1790 à 1802, Meisenthal a fait partie de l'éphémère canton de Lemberg du district de Bitche. Depuis cette date, la commune dépend du canton de Bitche (46 communes pour près de 35 000 habitants). Selon le principe de parité, deux conseillers départementaux - une femme, un homme - sont nécessairement issus des suffrages. À la suite des élections départementales des 22 et 29 mars 2015, les représentants auprès du conseil départemental de la Moselle sont Anne Mazuy-Harter (DVD) et David Suck (UDI), ancien vice-président du conseil général[6].
Instances judiciaires et administratives |
Dans le ressort de la Cour d'appel de Metz, Meisenthal relève du tribunal de grande instance, du tribunal d'instance, du tribunal pour enfants et du bureau foncier de Sarreguemines, de la Cour d'Assises de Moselle, du tribunal administratif de Strasbourg et de la cour administrative d'appel de Nancy[7].
La commune se trouve dans la circonscription de gendarmerie de la communauté de brigades (COB) de Bitche[8].
Intercommunalité |
Meisenthal fait partie de la communauté de communes du Pays de Bitche (CCPB) qui regroupe en son sein quarante-six communes situées autour de Bitche. Depuis 2009, cette institution est présidée par Francis Vogt, conseiller municipal de Bitche. Le délégué de Meisenthal pour cette structure intercommunale est le maire Pascal Andres[9].
Parmi ses nombreuses compétences, la CCPB gère le gymnase et le plateau sportif du collège de Lemberg, le gymnase et le plateau sportif du collège Kieffer de Bitche, La piscine et la médiathèque Rocca de Bitche, le site du Simserhof au Légeret, le site verrier de Meisenthal, le musée du Sabotier de Soucht, le site du moulin d'Eschviller, la collecte des ordures ménagères, l’entretien des cours d’eau et le développement touristique. Le siège administratif et les bureaux de la CCPB se situent à Bitche, au 4 rue du Général Stuhl[10].
Tendances politiques et résultats |
Élections présidentielles |
Lors du second tour de l'élection présidentielle de 2002, Jacques Chirac, RPR, élu, avait obtenu à Meisenthal 82,21 % des suffrages et Jean-Marie Le Pen, FN, 17,79 % des suffrages ; le taux de participation était de 79,71 %[11].
Cinq ans plus tard, lors du second tour de l'élection présidentielle de 2007, Nicolas Sarkozy, UMP, élu, avait obtenu à Meisenthal 56,82 % des suffrages et Ségolène Royal, PS, 43,18 % des suffrages ; le taux de participation était de 86,45 %[12].
Cinq ans plus tard, lors du second tour de l'élection présidentielle de 2012, François Hollande, PS, élu, avait recueilli 45,29 % des suffrages et Nicolas Sarkozy, UMP, 54,71 % des suffrages ; le taux de participation était de 84,41 %[13].
Héraldique |
Blason | De gueules au gobelet de verre au naturel, chaussé d'hermines | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Le nom de Meisenthal, considéré comme une déformation de Mäusenthal, est symbolisé par les hermines, et le mot thal (vallée) par la forme en V. Le gobelet et la couleur rouge rappellent l'industrie de la verrerie.
Liste des maires |
Population et société |
Démographie |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[15].
En 2016, la commune comptait 702 habitants[Note 1], en diminution de 0,14 % par rapport à 2011 (Moselle : +0,01 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Si la verrerie a cessé ses activités depuis 1969, il subsiste cependant deux fabriques de thermomètres et une miroiterie, ces petites industries expliquant pour une part l'importance de la population qui n'a pas cessé de croître depuis le début du XIXe siècle, passant de 405 habitants en 1817 à 735 en 1852 et comptant encore 828 habitants au recensement de 1982.
Enseignement |
La commune de Meisenthal est rattachée à l'académie de Nancy-Metz. Cette académie fait partie de la zone B pour son calendrier de vacances scolaires, et cela depuis le redécoupage des régions françaises de 2015. Avant, elle faisait partie de la zone A.
Les élèves de Meisenthal vont au collège La Paraison de Lemberg. Pour poursuivre leurs études en lycée, les jeunes Val-Mésangeois se rendent principalement à Bitche ou à Sarreguemines.
Culture locale et patrimoine |
Artisanat : bois, pierre, verre...
La Pierre des douze Apôtres.
La Colonne de Meisenthal.
La halle verrière.
Monuments historiques |
La commune compte deux monuments historiques :
- Le Breitenstein ou « pierre des douze Apôtres »[18], est un monolithe qui supporte un calvaire. Il a été classé au journal officiel du 16 février 1930[19].
- La maison du maître-verrier Martin Walter, construite en 1803 pour la famille du maître-verrier Martin Walter et son épouse Marie-Madeleine Franckhauser, à proximité de l'usine et élevée à flanc de coteau, se rattache à l'architecture du XVIIIe siècle par ses façades largement percées de fenêtres à linteau délardé en arc segmentaire, ses chaînes d'angle en pierre de taille et ses corniches fortement moulurées. On a mis à profit la déclivité du terrain pour ménager à l'arrière des caves, auxquelles on accède par des portes en plein cintre. Elle a été inscrite par arrêté du 27 février 1996[20].
Autres sites et monuments |
- La Colonne, élevée à l'époque napoléonienne, borne frontière entre l'Alsace et la Lorraine.
- Le Dreipeterstein ou « pierre des trois Pierre », une borne frontière.
- Le Neumühle, moulin à farine.
- L’ancienne verrerie de Meisenthal regroupe la maison du verre et du cristal, le Centre international d’art verrier et la Halle verrière.
- Ombragé par de grands arbres, le cimetière, qui descend en pente douce vers l'église de la Nativité-de-la-Vierge, construite en 1811,est le plus beau du Bitscherland et le seul qui ait conservé un nombre important de monuments du XIXe siècle, dont plusieurs sculptés par des maîtres verriers. Galbées en élévation, à l'imitation de la nature, romantiques, néoclassiques, néogothiques, toutes les formes sont ici représentées. Dominant cet ensemble exceptionnel, un grand calvaire est érigé en 1823, à l'époque de l'agrandissement du cimetière.
- Le château des Lanzy.
- La maison située 2 rue de l'Ancienne-Paroisse, un peu plus tardive que celle de la famille Walter puisqu'elle est érigée en 1819, diffère seulement de cette dernière par son plan allongé. La remise à gauche et la porte charretière témoignent d'une petite activité agricole, en complément d'une autre profession, celle de maître-verrier peut-être.
Pratiques linguistiques |
Dialecte |
Sur le plan culturel, la seconde moitié du XXe siècle se caractérise par la diffusion de la langue française dans le village et plus largement dans l'ensemble de la population alsacienne et mosellane. Depuis le traumatisme de l'occupation nazie de 1940-1945, la langue allemande et le dialecte francique sont en net recul même si le canton de Bitche comptait encore 80 à 90 % de locuteurs du francique lorrain en 1962[21].
Dans les conversations en français de Moselle germanophone, outre les spécificités de l'accent francique lorrain (non distinction entre le p et le b, le ch et le j, le d et le t), la syntaxe est fréquemment bousculée par celle de l'allemand. Parmi les autres tendances lourdes figurent l'inversion entre le prénom et le nom (Muller Michel), l'usage fréquent d'abréviations pour les noms de localités ('Bronn, Ench', Goetz', 'Bruck, Stras'), et l'emprunts de mots à la langue francique rhénane (Bix, Flammkuche, Schnaps, Scheslon, Kirb).
Personnalités liées à la commune |
Stephan Balkenhol, sculpteur, Académie des Beaux Arts de Karlsruhe-sur-Rhin (Allemagne).
Annexes |
Bibliographie |
- Joël Beck, Moulins : huileries, tailleries, scieries du pays de Bitche, Sarreguemines, Éditions Pierron, 1999, 503 p. (notice BnF no FRBNF37091175)
- Joël Beck, Le Pays de Bitche 1900-1939, Éditions Sutton, 2005, 128 p.
- Thibaut Gorius, Le second souffle de la friche industrielle de Meisenthal : une approche ethnologique du phénomène contemporain de patrimonialisation, 2013, 1900 p.
- Marie-France Jacops, Jacques Guillaume et Didier Hemmert, Le Pays de Bitche (Moselle), Metz, Éditions Serpenoise, 1990, 135 p. (notice BnF no FRBNF35493996), p. 74-80
- Francis Kochert, Laurette Michaux et Gérard Michaux, Moselle : Metz et le pays messin, pays de Bitche, Nied, Sarrebourg, Saulnois, trois frontières et bassin houiller, 2008, 345 p.
- Adolphe Marcus, Les verreries du comté de Bitche : essai historique, Nancy, imprimerie de Berger-Levrault, 1887, 359 p. (notice BnF no FRBNF34111715)
- François Le Tacon, Paul Franckhauser et Yvon Fleck, Meisenthal : berceau du verre, Meisenthal, Maison du Verre et du Cristal, 1999, 143 p.
Articles connexes |
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- Liste des communes de la Moselle
Ligne de Wingen-sur-Moder à Saint-Louis-lès-Bitche et frontière qui disposait d'une gare sur la commune.
Liens externes |
Notices d'autorité :- Fichier d’autorité international virtuel
Bibliothèque nationale de France (données)- Gemeinsame Normdatei
- « Meisenthal sur le site du Bitscherland »
- « Centre international d’art verrier (CIAV) »
- « Halle verrière de Meisenthal »
- « ARToPie - Centre de création artistique »
Notes et références |
Notes |
Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références |
habitants.fr
« Orthodromie », sur le site Lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le 10 août 2016).
Fiche climatologique du Deutscher Wetterdienst
« Kräse vun der Mosel - Saargeminn », sur Geoplatt (consulté le 6 juin 2017).
« Meisenthal et la vallée du cristal », sur blogerslorrainsengages.unblog.fr (consulté le 10 août 2016).
« Le Conseil Départemental », sur http://www.moselle.fr (consulté le 10 août 2016)
« Liste des juridictions compétentes pour une commune » (consulté le 10 août 2016).
« Brigade la plus proche / Meisenthal », sur le site de la Gendarmerie nationale (consulté le 10 août 2016).
« Les élus de la Communauté de Communes du Pays de Bitche », sur http://www.cc-paysdebitche.fr/ (consulté le 10 août 2016)
« La communauté de communes » (consulté le 9 août 2016).
Ministère de l'Intérieur - Moselle (Lorraine), « Résultats de l'élection présidentielle de 2002 à Meisenthal » (consulté le 10 août 2016)
Ministère de l'Intérieur - Moselle (Lorraine), « Résultats de l'élection présidentielle de 2007 à Meisenthal » (consulté le 10 août 2016)
Ministère de l'Intérieur - Moselle (Lorraine), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Meisenthal » (consulté le 9 août 2016)
L'organisation du recensement, sur insee.fr.
Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
La pierre des douze apôtres de Meisenthal ou le menhir du Breitenstein (D’après « Le Pays Lorrain » – 1904)
Notice no PA00106808, base Mérimée, ministère français de la Culture
Notice no PA57000004, base Mérimée, ministère français de la Culture
S. Legrand - d'après les chiffres de l'INSEE.
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