Maison de Habsbourg
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Type | impériale |
---|---|
Pays | Saint-Empire |
Titres | Empereurs germaniques |
Fondation | 1045 Werner Ier |
Déposition | Charles VI |
Dissolution | 1740 |
Ethnicité | Bavarii |
Branche | Habsbourg-Laufenbourg |
La maison de Habsbourg /ˈabzbur/ ou maison d'Autriche est une importante Maison souveraine d'Europe connue entre autres pour avoir fourni tous les empereurs du Saint-Empire romain germanique entre 1452 et 1740, ainsi qu'une importante lignée de souverains d'Espagne et de l'empire d'Autriche, puis de la double monarchie austro-hongroise. La dynastie porte le nom de « Maison de Habsbourg-Lorraine » depuis 1780.
Sommaire
1 Historique de la maison d'Autriche
2 Les ancêtres des Habsbourg
3 Histoire des Habsbourg
3.1 Branche aînée
3.2 Branche cadette
3.3 Suite
4 Souverains issus de la maison de Habsbourg
4.1 Empereur du Saint-Empire, roi de Hongrie et de Bohême, archiduc souverain d'Autriche
4.2 Roi des Espagnes et des Indes
4.3 Roi de Portugal et des Algarves
4.4 Roi et Reine de Bohême
4.5 Roi de Naples
4.6 Roi et Reine de Hongrie
5 Notes et références
6 Voir aussi
6.1 Bibliographie
6.2 Source partielle
6.3 Articles connexes
6.4 Liens externes
Historique de la maison d'Autriche |
Sous le nom de maison d'Autriche, la dynastie régna sur plusieurs pays d'Europe :
- Le Saint-Empire Romain germanique (1452-1740)
- La Germanie (1438-1740)
- Le Duché d'Autriche (1282-1363), puis de l'Archiduché d'Autriche (1363-1780),
- La Croatie (1437-1439, 1445-1457, 1526-1780),
- La Hongrie (1437-1439, 1445-1457, 1526-1780),
- Les Espagnes (1516-1700),
- Le Portugal (1580-1640),
Naples (1516-1700, 1713-1734),- La Sicile (1516-1700),
- La Bohême (1306-1307, 1437-1439, 1453-1457, 1526-1780),
- La Transylvanie (1690-1780)
Jérusalem (1516-1598)- La Bourgogne (1482-1780)
- Le Duché de Parme et de Plaisance (1735-1748)
Milan (1546-1780)- Le Brabant (1482-1582,1592-1780)
- Le Luxembourg (1421-1459,1482-1795)
Marie-Thérèse d'Autriche fut la dernière représentante de cette Maison. Les enfants qu'elle eut de son mariage avec François-Étienne de Lorraine commencèrent la dynastie des Habsbourg-Lorraine.
Les chefs de la maison de Habsbourg-Lorraine régnèrent comme empereurs germaniques, rois de Hongrie et de Bohême jusqu'en 1806 puis comme empereurs d'Autriche 1804-1918, rois de Hongrie et de Bohême jusqu'en 1918.
Les membres actuels de la maison de Habsbourg-Lorraine, dite maison d'Autriche, tous descendants de Marie-Thérèse et de François-Étienne, portent tous les titres d'archiduc ou archiduchesse d'Autriche, prince ou princesse royale de Hongrie et de Bohême, avec le prédicat d'altesse impériale et royale. Les membres de la famille ayant contracté une union non égale au regard du statut de la maison de Habsbourg, ou non autorisée par le chef de famille, et issus de telles unions portent le titre de comte ou comtesse de Habsbourg à défaut d'un autre nom ou titre attribué, comme Hohenberg pour les descendants de l'archiduc François-Ferdinand, issus de son union morganatique avec la comtesse Sophie Chotek, titrée duchesse de Hohenberg.
La devise des Habsbourg d'Autriche est « Alles Erdreich ist Österreich untertan » en allemand et « Austriae est imperare orbi universo » en latin. On l'abrège « A.E.I.O.U. », dans chacune des deux langues. Elle signifie « Il appartient à l'Autriche de commander à tout l'Univers » et affiche l'ambition de cette famille.
Les ancêtres des Habsbourg |
Tirant son nom du château de Habsbourg en Suisse alémanique, l'histoire de cette illustre maison ne commence à offrir quelques certitudes qu'à partir de Gontran le Riche (Guntram)[1], comte d'Alsace de 917 à 954.
On a cherché à la faire descendre d'Ethico, premier duc d'Alsace, né vers 626 et mort vers 690[2]. En effet, la première mention du premier ancêtre des Habsbourg date du milieu du Xe siècle avec Gontran le Riche (Guntramnus dives). Or, dans le but de contrôler les routes commerciales reliant la Germanie et l'Italie, le roi Otton Ier confisqua, lors d'une diète d'Empire à Augsbourg en août 952, une grande partie des possessions situées en Alsace, en Brisgau et en Thurgovie d'un comte, dénommé Gontran (Guntramnus comes), un membre de la famille des comtes éberhardiens du Nordgau (Bas-Rhin). Un solide faisceau d'arguments tend à montrer que ce dernier et Gontran le Riche ne forment qu'un seul et même personnage. Si l'identité s'avérait, la maison de Habsbourg descendrait ainsi des Étichonides, l'illustre famille des ducs mérovingiens issue d'Etichon (ou Adalric), régnant aux VIIe et VIIIe siècles sur l'Alsace, dont le membre le plus éminent est sainte Odile.
Deux petits-enfants de Gontran le Riche, Radbot et Rodolphe d'Altenbourg, entrèrent dans l'histoire comme d'actifs bâtisseurs. Le premier, tige du lignage des Habsbourg, jeta les bases de l'abbaye de Muri (Muri (Argovie) en Suisse); le second, mort sans descendance, fonde l'abbaye Sainte-Marie d'Ottmarsheim en Alsace, un chef-d'œuvre architectural très inspiré de la chapelle palatine d'Aix-la-Chapelle (chapelle privée de Charlemagne) et de l'église du Saint-Sépulcre de Jérusalem (le tombeau du Christ).
L'évêque de Strasbourg Werner de Habsbourg (mort à Constantinople le 28 octobre 1028[3]), un frère de Radbot et de Rodolphe, fonda en Argovie, au début du XIe siècle, le château de Habsbourg de Habsburg (Argovie) en Suisse alémanique, qui donna son nom à la dynastie issue de Radbot. Selon d'autres auteurs, Werner ne serait que le beau-frère de Radbot, et ce dernier le véritable fondateur du château[4]. Jamais les Habsbourg ne devaient habiter leur château éponyme : à sa fondation le château se présentait comme un simple avant-poste militaire au service de la politique impériale, face à un royaume de Bourgogne mûr pour tomber dans l'escarcelle de l'Empire.
Une implication politique au plus haut niveau doublée d'une habile stratégie matrimoniale permit aux descendants de Radbot d'asseoir durablement leur domination sur un grand nombre de terres alsaciennes, suisses et badoises. Le centre de leur puissance, essentiellement politique, accessoirement territoriale, se situait en Alsace. Dès le début du XIIe siècle, les Habsbourg acquirent le landgraviat (le comté provincial) de Haute-Alsace (Haut-Rhin), l'avouerie sur des terres épiscopales strasbourgeoise (le Haut-Mundat) et surtout l'avouerie sur la puissante et prestigieuse abbaye de Murbach.
Le statut social des Habsbourg se modifia en 1273 lorsque le comte Rodolphe IV de Habsbourg, allié des bourgeois des villes de Strasbourg et de Zurich, accéda au trône impérial sous le nom de Rodolphe Ier. En effet, les princes-électeurs préférèrent, comme souvent, confier la couronne de l'empire à un seigneur qui ne leur semblait alors ni trop puissant, ni trop menaçant pour leurs propres intérêts[5].
Histoire des Habsbourg |
Werner II, un des fils de Radbot, fut le premier à prendre le titre de comte de Habsbourg. Dans la guerre entre l'empereur Henri IV du Saint-Empire et l'anti-empereur Rodolphe, Werner embrassa le parti de ce dernier (1077-1080).
Adalbert III, petit-fils de Werner II, succéda à son père Werner III en 1163, fit la guerre en Palestine (1187-1191 et 1196-1198), combattit ensuite Berthold V de Zähringen et fonda Waldshut ; il prit le premier le titre de Landgrave d'Alsace.
Après la mort de Rodolphe II l'Ancien, fils d'Adalbert III, en 1232, la maison des Habsbourg se partage en deux branches : Habsbourg-Habsbourg et Habsbourg-Laufenbourg, dont les chefs sont Albert IV le Sage et Rodolphe III, son frère. La maison de Habsbourg-Laufenbourg s'éteint en 1415[6].
Depuis l'Alsace historique, la famille étendit son influence vers l'est, contrôlant le Saint-Empire romain germanique dès 1273, l'étendant jusqu'à l'actuelle Autriche (1278-1382). En seulement deux ou trois générations, les Habsbourg ont réussi à s'assurer le contrôle quasi permanent du trône impérial pour plusieurs siècles (1273–1291, 1298–1308 et 1438–1740).
Branche aînée |
Albert IV le Sage (mort en croisade en 1239/1240), tige de la branche aînée ou impériale, eut pour sa part Habsbourg, le comté d'Argovie et les alleux d'Alsace ; il y joignit par mariage le comté de Kybourg. Son fils Rodolphe IV agrandit considérablement ses domaines du côté de la Suisse et acquit en 1278 les duchés d'Autriche et de Styrie par la défaite de son compétiteur Ottokar II de Bohême à la bataille du Marchfeld. Il fut le premier Habsbourg appelé au trône impérial en 1273 ; il régna 18 ans (1273-1291) sous le nom de Rodolphe Ier, et eut pour successeur dans ses États héréditaires, et plus tard à l'empire (1298), son fils Albert (Albert Ier comme duc d'Autriche et empereur). Sous celui-ci les Suisses se révoltèrent, et pendant toute la durée du XIVe siècle et la moitié du XVe siècle, la maison de Habsbourg s'épuisa vainement à les combattre ; elle se vit successivement enlever la plus grande partie de ses domaines. En 1438 un nouveau prince de la maison d'Autriche-Habsbourg fut appelé au trône impérial ; Albert V, roi de Hongrie et de Bohême, régna sous le nom d'Albert II ; depuis lors, la maison de Habsbourg régna sans interruption sur le Saint-Empire romain germanique jusqu'en 1740, date de la mort sans descendance mâle de Charles VI du Saint-Empire. Sa fille aînée, héritière de cette Maison, Marie-Thérèse "La Grande", porta ses possessions, par mariage, dans la maison de Lorraine.
Branche cadette |
Elle eut pour tige Rodolphe III, oncle de l'empereur Rodolphe de Habsbourg, et reçut en partage Laufenbourg, Waldshut, Neu-Habsbourg (sur le lac des Quatre-Cantons) et les domaines de Klekgau. Après la mort de Rodolphe III, cette branche se partagea en deux rameaux (les comtes de Habsbourg-Laufenbourg et les nouveaux comtes de Kybourg). Le premier de ces deux rameaux, commencé par Godefroy (mort en 1271), s'éteignit au commencement du XVe siècle. Eberhard, tige du second, avait acquis le comté de Kybourg en épousant Anne, héritière de cette maison ; il mourut en 1284 ; sa descendance s'éteignit en 1415. La branche aînée réunit alors tous les domaines de la Maison.
Suite |
Après le mariage de Maximilien Ier avec Marie de Bourgogne, princesse de Valois et héritière des possessions bourguignonnes (notamment les Pays-Bas) et le mariage de son fils Philippe « le Beau » avec Jeanne « la Folle », héritière des Espagnes et de leurs nombreuses dépendances, le fils de ces derniers, Charles Quint (ou Charles V), hérita d'un empire sur lequel « le soleil ne se couchait jamais ».
Après l'abdication de l'empereur Charles V - aussi roi Charles Ier des Espagnes et des Indes (1516-1556), la famille se sépara en deux branches, l'autrichienne et l'espagnole.
Les Habsbourg mirent le mariage de leurs enfants au service de leur politique diplomatique en favorisant les unions avec différents souverains européens, faisant de la maison d'Autriche une véritable usine à princes et princesses Habsbourg. Pour maintenir au sein de la famille les possessions acquises par la politique matrimoniale de leurs ancêtres, les Habsbourg, successeurs de Charles, malgré le Traité d'Oñate (1617), abusèrent des unions consanguines qui finirent par épuiser la lignée et on estime que les unions à l'intérieur de la maison de Habsbourg contribuèrent à son extinction : ainsi Philippe IV d'Espagne était simultanément plusieurs fois cousin de Ferdinand III d'Autriche, son beau-frère et son gendre. Son fils Charles II fut de santé délicate et ne put avoir de descendance[7].
La branche espagnole s'éteignit dans les mâles en 1700, déclenchant la guerre de Succession d'Espagne, comme fit l'autrichienne en 1740, provoquant la guerre de Succession d'Autriche. Cependant la dernière de tous les Habsbourg (Marie-Thérèse) avait épousé François-Étienne, duc de Lorraine et de Bar, et leurs descendants perpétuèrent le nom de Habsbourg dans la maison de Lorraine sous l'appellation Habsbourg-Lorraine. La Hongrie, nominalement sous la royauté Habsbourg depuis 1526, mais pour la plus grande partie sous occupation turque pendant un siècle et demi, fut reconquise en 1683-1699 par Charles V de Lorraine qui épousa une Habsbourg, sœur de Léopold Ier du Saint-Empire. Ils furent les grands-parents de l'époux de Marie-Thérèse. La Hongrie se révolta contre les Habsbourg-Lorraine en 1848 ; ceux-ci ne parvinrent à la maintenir sous leur joug qu'en faisant appel aux troupes russes du tsar Nicolas Ier.
Souverains issus de la maison de Habsbourg |
Empereur du Saint-Empire, roi de Hongrie et de Bohême, archiduc souverain d'Autriche |
Rodolphe Ier, empereur 1273-1291 et duc d'Autriche 1278-1282
Albert Ier, empereur 1298-1308 et duc d'Autriche 1282-1298
Rodolphe II, duc d'Autriche 1298-1307 roi de Bohême
Frédéric III, duc d'Autriche 1307-1330
Albert II d'Autriche, duc d'Autriche 1330-1358
Rodolphe IV d'Autriche, duc d'Autriche 1358-1365
Albert III, duc d'Autriche 1365-1395
Albert IV, duc d'Autriche 1395-1404
Albert II, empereur 1438-1439 et duc d'Autriche sous le nom d'Albert V 1404-1439 roi de Bohême et de Hongrie.
Ladislas le Posthume, duc d'Autriche 1440-1453 roi de Bohême et de Hongrie
Frédéric III, empereur 1440-1493 et duc d'Autriche sous le nom de Frédéric IV 1453-1493
Maximilien Ier, empereur et duc d'Autriche 1493-1519
Charles V, dit Charles Quint, empereur et archiduc d'Autriche 1519-1556
Ferdinand Ier, empereur et archiduc d'Autriche 1556-1564 roi de Bohême et de Hongrie
Maximilien II, empereur et archiduc d'Autriche 1564-1576
Rodolphe II, empereur et archiduc d'Autriche 1576-1612
Matthias, empereur et archiduc d'Autriche 1612-1619
Ferdinand II, empereur et archiduc d'Autriche 1619-1637
Ferdinand III, empereur et archiduc d'Autriche 1637-1657
Léopold Ier, empereur et archiduc d'Autriche 1658-1705
Joseph Ier, empereur et archiduc d'Autriche 1705-1711
Charles VI, empereur et archiduc d'Autriche 1711-1740
N.B. : Marie-Thérèse Ire, ultime Habsbourg et épouse de l'empereur des Romains François Ier Étienne, régna comme roi de Hongrie, reine de Bohême et archiduchesse souveraine d'Autriche, 1740-1780
Roi des Espagnes et des Indes |
Philippe Ier 1504-1506 (nommé roi par les Cortes à cause de la folie de sa femme Jeanne).
Charles Ier 1516-1556, dit Charles Quint
Philippe II 1556-1598
Philippe III 1598-1621
Philippe IV 1621-1665
Charles II 1665-1700
Roi de Portugal et des Algarves |
Philippe Ier 1580-1598
Philippe II 1598-1621
Philippe III 1621-1640
Roi et Reine de Bohême |
1526-1564 : Ferdinand Ier
1564-1576 : Maximilien Ier
1576-1611 : Rodolphe II
1611-1617 : Matthias Ier
1617-1619 et 1620-1637 : Ferdinand II
1619-1620 : Frédéric II
1637-1646 et 1654-1657 : Ferdinand III
1646-1654 : Ferdinand IV
1657-1705 : Léopold Ier
1705-1711 : Joseph Ier
1711-1740 : Charles II
1740-1780 : Marie-Thérèse Ire
Roi de Naples |
1516-1556 : Charles IV
1556-1598 : Philippe Ier
1598-1621 : Philippe II
1621-1665 : Philippe III
1665-1700 : Charles V
1714-1734 : Charles VI
Roi et Reine de Hongrie |
1526-1564 : Ferdinand Ier, beau-frère de Louis II Jagellon
1564-1576 : Maximilien Ier
1576-1608 : Rodolphe Ier
1608-1619 : Matthias II
1619-1637 : Ferdinand II
1637-1647 : Ferdinand III
1647-1654 : Ferdinand IV
1654-1657 : Ferdinand III (deuxième règne)
1657-1705 : Léopold Ier
1705-1711 : Joseph Ier
1711-1740 : Charles III
1740-1780 : Marie-Thérèse Ire et François Ier
Hofburg de Vienne.
Château de Schönbrunn, Vienne.
Château de Prague.
Palais de Budavár, Budapest.
Escurial (Espagne).
Notes et références |
Généalogie de Guntram le Riche sur le site Medieval Lands
Les Habsbourg et Ottmarsheim - Ottmarsheim, berceau des Habsbourg par Philippe Nuss
Généalogie de Werner de Strasbourg sur le site Medieval Lands
Jean Bérenger, Histoire de l'empire des Habsbourg Fayard 1990, rééd. Tallandier 2012 coll. Texto, tome I p. 34
Pour en savoir plus, consulter le verbatim de cette conférence.
Die Habsburger, Eine Europäische Familiengeschichte, Brigitte Vacha, Sonderausgabe 1996, p. 22
Catarina de Habsbourg, Ces Autrichiennes, nées pour régner, Michel de Maule, 2006, 302 p.
Voir aussi |
Bibliographie |
Jean Bérenger, Histoire de l'Empire des Habsbourg : 1273-1918, Fayard, [Paris], 1990.
Henry Bogdan, Histoire des Habsbourg : des origines à nos jours. Paris, Perrin, coll. « Tempus », no 107, 2005. 425 pp., 18 cm. (ISBN 2-262-02376-X).- Philippe Nuss, Les Habsbourg en Alsace, des origines à 1273. Recherches pour une histoire de l’Alsatia Habsburgica. Société d'Histoire du Sundgau, Altkirch, 2002, 542p.
- Habsbourg Biographies
- Philippe Nuss, Les Regestes des Comtes de Habsbourg : en Alsace avant 1273. Société d'histoire du Sundgau, Altkirch, 2005, 513 p.
Source partielle |
Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Maison de Habsbourg » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878(lire sur Wikisource)
Articles connexes |
- Armorial des Habsbourg
- Monarchie de Habsbourg
Succession d'Espagne (1680-1701) - Maison de Habsbourg en Espagne
Territoires héréditaires des Habsbourg - Évolution territoriale des possessions des Habsbourg
(85199) Habsburg, astéroïde nommé en honneur de la ville suisse, où se trouve les ruines du Château lieu d'origine de la famille.
Liens externes |
Notices d'autorité :- Fichier d’autorité international virtuel
- Bibliothèque du Congrès
- Gemeinsame Normdatei
- Bibliothèque nationale tchèque
- Habsbourg Resource Centre on SurnameWeb
Histoire de la dynastie des Habsbourg. Souverains issus de la maison des Habsbourg.
(en) The House of Hapsburg-Lorraine Généalogie.- Genealogical tree of the house of Habsburg (till Maria Theresia)
The Hapsburg Monarchy (Wickham Steed, 1913)) eLibrary Austria Project (livre électronique, anglais)
Les Habsbourg d'Espagne, Lexique de l'Espagne moderne, M. Boeglin - V. Parello, U.O.H.
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