Jane Fonda
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Nom de naissance | Jane Seymour Fonda[1] |
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Naissance | 21 décembre 1937 New York, États-Unis |
Nationalité | Américaine |
Profession | Actrice Productrice |
Films notables | voir filmographie |
Séries notables | The Newsroom Grace et Frankie |
Jane Fonda (née Jane Seymour Fonda à New York le 21 décembre 1937[2]) est une actrice et une productrice américaine, également auteur, féministe et militante pacifiste. Elle est, notamment, deux fois lauréate de l'Oscar de la meilleure actrice et deux fois lauréate d'un BAFTA.
Elle fait ses débuts à Broadway en 1960 dans la pièce There Was a Little Girl, pour lequel elle reçoit sa première des deux nominations au Tony Awards, avant de débuter la même année au cinéma avec la comédie La Tête à l'envers. Elle obtient une renommée dans les années 1960 au cinéma avec L'École des jeunes mariés (1962), Un dimanche à New York (1963), Cat Ballou (1965), Pieds nus dans le parc (1967) et Barbarella (1968), ce dernier film réalisé par son mari de l'époque, Roger Vadim. Jane Fonda est nommée sept fois aux Oscars, la première fois pour On achève bien les chevaux (1969), avant de remporter à deux reprises l'Oscar de la meilleure actrice pour Klute (1971) et Le Retour (1978). Elle obtient d'autres nominations aux Oscars pour Julia (1977), Le Syndrome chinois (1979), La Maison du lac (1981) et Le Lendemain du crime (1986). Elle obtient d'autres prix tels l'Emmy Award pour sa prestation dans le téléfilm Les Poupées de l'espoir (1984), deux BAFTA pour Julia et Le Syndrome chinois et quatre Golden Globes.
En 1982, elle sort sa première vidéo d'exercices, Jane Fonda's Workout, devenue la vidéo la plus vendue de l'époque. Ce sera la première des 22 vidéos d'entraînement publiées par elle au cours des 13 années suivantes, qui se vendront au total à plus de 17 millions d'exemplaires. Divorcée de son deuxième mari Tom Hayden, elle épouse le magnat des médias Ted Turner en 1991 et se retire du métier d'actrice. Divorcée de Turner en 2001, Jane Fonda fait son retour en tant qu'actrice avec son premier film en quinze ans, la comédie Sa mère ou moi (2005). Ses films suivants sont Georgia Rule (2007), Le Majordome (2013), C'est ici que l'on se quitte (2014) et Youth (2015). En 2009, elle retourne à Broadway après une absence de 45 ans, dans la pièce 33 Variations, qui lui vaut une nomination au Tony Awards, alors que son rôle récurrent dans la série dramatique d'HBO The Newsroom (2012-2014) lui vaut deux nominations aux Emmy Awards. Elle diffuse également cinq autres vidéos d'exercices entre 2010 et 2012. Elle partage l'affiche avec Lily Tomlin, Sam Waterston et Martin Sheen dans la série originale de Netflix, Grace et Frankie, créée en 2015.
Fonda est également une activiste politique, visible à l'ère de la contre-culture pendant la guerre du Vietnam, et s'implique ensuite dans le plaidoyer pour les femmes. Elle est photographiée assise sur un canon antiaérien lors d'une visite en 1972 à Hanoï. Elle proteste également contre la guerre d'Irak et la violence contre les femmes, et se décrit comme féministe. En 2005, avec Robin Morgan et Gloria Steinem, elle cofonde le Women's Media Center, une organisation qui travaille à amplifier les voix des femmes dans les médias grâce au plaidoyer, aux médias et au leadership, et à la création de contenu original. Fonda fait partie du conseil d'administration de l'organisation.
Sommaire
1 Biographie
1.1 Enfance
1.2 Carrière
1.2.1 Débuts remarqués et révélation
1.2.2 Consécration et star internationale
2 Vie privée
2.1 Activisme et philanthropie
3 Filmographie
3.1 Cinéma
3.1.1 Années 1960
3.1.2 Années 1970
3.1.3 Années 1980
3.1.4 Années 1990
3.1.5 Années 2000
3.1.6 Années 2010
3.2 Télévision
3.2.1 Téléfilms
3.2.2 Séries télévisées
4 Théâtre
5 Distinctions
5.1 Récompenses
5.2 Nominations
6 Écrits
7 Voix françaises
8 Notes et références
9 Liens externes
Biographie |
Enfance |
Née à New York[2], Jayne Seymour Fonda est la fille de l'acteur Henry Fonda et de la socialite canadienne
Frances Ford Seymour (en)[3], sa seconde épouse. Selon son père, leur nom de famille provient d'un ancêtre italien ayant immigré aux Pays-Bas dans les années 1500[4]. Là-bas, il se marie et la famille commence à utiliser des prénoms néerlandais, avec le premier ancêtre de Fonda arrivant à New York en 1650[5],[6],[7],[8]. Jane Fonda possède également des ascendances anglaises, écossaises et françaises. Son nom est inspiré par la troisième épouse du roi Henri VIII, Jeanne Seymour, à laquelle elle est lointainement apparentée du côté de sa mère[9]. Elle a aussi un frère, Peter, également acteur, et une demi-sœur maternelle, Frances de Villers Brokaw (surnommée « Pan »), dont la fille, Pilar Corrias, est propriétaire de la Pilar Corrias Gallery à Londres[10].
Après un placement volontaire en observation dans un asile psychiatrique, Frances Fonda se suicide en se tranchant la gorge avec une lame de rasoir, en avril 1950, alors que Jane a douze ans[11],[12]. En 2005, dans ses mémoires, l’actrice écrit que pour sa recherche documentaire, elle fut autorisée à accéder au dossier psychiatrique de sa mère et découvrit que cette dernière avait été violentée dans son enfance, un traumatisme qui a sans nul doute contribué à son instabilité émotionnelle et mentale ultérieure. Plus tard en 1950, son père Henry épouse la mondaine Susan Blanchard, qui a neuf ans de plus que sa fille. Le mariage se termine par un divorce en 1956. À quinze ans, elle reçoit un enseignement en danse classique à Fire Island Pines, à New York[13]. Elle est scolarisée à la Greenwich Academy (en) à Greenwich, dans le Connecticut. Elle fréquente également la Emma Willard School (en) à Troy, dans l'État de New York, et le Vassar College à Poughkeepsie, où elle est une étudiante quelconque[14].
Ses rapports avec son père, froid et distant avec elle, ne sont pas bons. Elle devient mannequin pour financer ses cours de théâtre[15], apparaissant deux fois sur la couverture du magazine Vogue[16]. Mais elle refuse d'être transformée selon les canons de beauté en cours à Hollywood à cette époque.
Carrière |
Débuts remarqués et révélation |
Jane Fonda est intéressée par le métier de comédienne dès 1954, alors qu'elle apparaît avec son père dans une représentation caritative de The Country Girl à l'Omaha Community Playhouse (en)[16]. Après avoir quitté Vassar, elle part à Paris pendant deux ans pour y étudier l'art[17]. À son retour aux États-Unis en 1958, elle rencontre Lee Strasberg, qui change le cours de sa vie. Elle dira plus tard que lorsqu'elle se rendit à l'Actor's Studio, Strasberg lui déclara qu'elle avait du talent, ce qui constitua pour elle « un tournant » dans sa vie : c'était la première fois, excepté son père, qu'on lui disait qu'elle était « bonne »[18].
Son travail sur scène dans les années 1950 jette les bases de sa carrière cinématographique dans les années 1960. Elle tourne en moyenne près de deux films par an tout au long de la décennie, à partir de son premier long-métrage sorti en 1960, la comédie La Tête à l'envers de Joshua Logan, dans lequel elle reprend le rôle qu'elle avait incarné au théâtre, celui d'une cheerleader (pom-pom girl) poursuivant une star du basket incarnée par Anthony Perkins. La performance de la jeune actrice de vingt-deux ans lui vaut des critiques mitigées[19], mais lui permet d'obtenir le Golden Globe de la révélation féminine de l'année[20]. Elle décrira sa première expérience avec un studio hollywoodien et les critiques sans fin sur son apparence comme « un cauchemar kafkaïen »[21], ne réussissant pas à redécouvrir l'excitation qu'elle éprouvait dans les classes de Strasberg et ne sachant pas comment utiliser ce qu'elle avait appris là-bas pour rendre son personnage de cheerleader plus que monodimensionnel[21].
Elle enchaîne avec La Rue chaude, drame adapté du roman de Nelson Algren se déroulant durant la Grande Dépression, où elle montre l'étendue de sa gamme de jeu, en incarnant une prostituée de la Nouvelle-Orléans, partageant l'affiche avec Laurence Harvey et Barbara Stanwyck[21]. Le film est notoire pour être le premier film hollywoodien à parler du lesbianisme[22]. Fonda tient le rôle principal féminin de la comédie dramatique L'École des jeunes mariés, adapté d'une pièce de Tennessee Williams, incarnant une jeune femme qui se précipite dans un mariage incertain avec un vétéran de la guerre de Corée[23]. La prestation de la jeune actrice lui vaut une nomination au Golden Globe de la meilleure actrice dans un film musical ou une comédie et le long-métrage remporte un succès commercial[24]. En 1963, elle tourne Un dimanche à New York, qui lui vaut d'être qualifiée de « la plus belle et la plus douée de toutes nos nouvelles actrices » par Newsday[25], mais a également des détracteurs, pour sa prestation de jeune femme frigide[23] dans Les Liaisons coupables, adaptation d'un roman d'Irving Wallace sorti fin 1962 : elle est qualifiée de « pire actrice de l'année » par le Harvard Lampoon[26]. Toujours en 1963[27], elle vient en France pour tourner le thriller Les Félins de René Clément avec Alain Delon. En 2017, elle décrit sur CNN son entretien avec Clément, où il tente de lui extorquer des faveurs sexuelles, qu'elle lui refuse. Sorti en plein été 1964, le film obtient un certain succès commercial[28].
Sa carrière fait une percée avec la parodie de western Cat Ballou, dans laquelle elle incarne une institutrice devenant hors-la-loi. Le film obtient cinq nominations aux Oscars et fait partie des dix plus grands succès au box-office de l'année 1965[29]. Il est également considéré comme le film ayant amené Jane Fonda à devenir une actrice bankable. À cette époque, elle rencontre Roger Vadim, son premier mari, qu'elle épouse en 1965, et qui fait d'elle un sex-symbol en lui confiant le rôle-titre du film d'heroic fantasy Barbarella, en 1968.
Consécration et star internationale |
L'année suivante, elle devient une star internationale grâce à l'adaptation du roman d'Horace McCoy par Sydney Pollack : On achève bien les chevaux. En novembre 1970, juste après le tournage de Klute, elle est arrêtée à l'aéroport de Cleveland pour trafic de drogues. Après analyse de la police, on constate qu'il s'agissait de pilules vitaminées. Une célèbre photo d'identité sera prise en prison la montrant le poing levé[30].
En 1972, elle tourne avec Yves Montand sous la direction de Jean-Luc Godard et de Jean-Pierre Gorin dans Tout va bien. Plus tard, les deux réalisateurs, en hommage à l'actrice, réaliseront un autre film : Letter to Jane, où ils commentent une heure durant la photographie de Jane prise lors de son voyage au Vietnam en pleine guerre, faisant à ce moment-là les gros titres de l'actualité.
En 1978, elle découvre l'aérobic et, au début des années 1980, elle publie Jane Fonda's Workout, première d'une série de 23 vidéos d’exercices sportifs. Les ventes atteignent au total 17 millions d'exemplaires, un succès planétaire surfant sur la tendance du culte du corps dans les années 1980[15]. L'argent récolté sert à financer la carrière politique de son époux Tom Hayden. Mais son mariage sombre en 1989, ce-dernier vivant mal la futilité de l'entreprise de sa femme, alors qu'elle considère que celle-ci était utile pour financer ses combats politiques et rembourser ses prêts[15].
Privilégiant un cinéma d'auteur engagé qu'elle finit même par produire (comme Le Retour), Jane Fonda réussit à se faire un prénom à Hollywood sans que plane sur elle l'ombre de son père. Elle obtient deux Oscars : l'un couronnant son rôle de prostituée dans le film policier Klute d'Alan J. Pakula en 1972, l'autre distinguant sa prestation en épouse de vétéran du Vietnam dans Le Retour de Hal Ashby en 1979. Elle donne la réplique à son père Henry dans son dernier film : La Maison du lac, qu'elle finance, d'ailleurs.
Elle met un terme à sa carrière d'actrice au début des années 1990, mais apparaît de temps en temps dans des feuilletons télévisés.
C'est en 2005 qu'elle réalise son grand retour pour le cinéma avec une comédie qui l'oppose à Jennifer Lopez : Sa mère ou moi ! (Monster-in-Law). En 2010, elle reçoit des mains de Bertrand Delanoë la médaille de la Ville de Paris[31].
Depuis 2015, elle est à l'affiche de la série Netflix, Grace et Frankie aux côtés de Lily Tomlin. Un retour télévisuel triomphal pour l'actrice qui renoue avec les hauteurs de la critique et est, de nouveau, citée lors de cérémonies de remises de prix prestigieuses (Emmy Awards, Screen Actors Guild Awards...).
En 2019, elle est honorée par le syndicat des producteurs américains lors de la cérémonie des Producers Guild of America Awards[32].
Vie privée |
Elle vit mai 1968 en France, et met au monde, peu de temps après, sa fille Vanessa. Roger Vadim ne fait cependant pas mystère de son infidélité, considérant la jalousie comme un sentiment « bourgeois »[15].
Divorcée, en 1972, de Vadim, elle épouse, en 1973, le sénateur démocrate Tom Hayden, dont elle partage les engagements politiques. Ensemble, ils ont un fils, l'acteur Troy Garity (qui porte le nom de sa grand-mère paternelle), et adoptent une fille.
En 1991, après deux ans de relation, elle épouse en troisièmes noces le magnat de la presse américain Ted Turner. Elle se fait poser des implants mammaires, et le quitte un mois plus tard après avoir découvert qu'il a une maîtresse ; elle revient finalement mais divorce en 2001[15].
Entre 2009 et 2017, elle a pour compagnon le producteur Richard Perry (en).
Elle a vécu en France et parle couramment le français.
Activisme et philanthropie |
En 1972, à Hanoï, elle est photographiée assise sur le siège d'un canon anti-aérien nord-vietnamien, coiffée d'un casque militaire[33]. L'action de Jane Fonda au Vietnam fut violemment dénoncée par la classe politique américaine qui voyait en elle le symbole de l'antipatriotisme. Vingt ans après, Jane exprime ses regrets quant à sa pose sur la photo, avant de se raviser : « notre gouvernement nous mentait et des hommes mouraient à cause de cela, et je sentais que je devais faire tout ce que je pouvais pour dénoncer les mensonges et aider à mettre fin à la guerre ». Cet engagement continue de lui valoir l’animosité d'une partie des Américains : en 2006, dans le Colorado, un ancien militaire lui crache dessus et la menace de mort[34].
Très engagée politiquement, elle fut une des figures les plus en vue de l'Amérique politisée et contestataire des années 1960. Elle soutint activement le mouvement afro-américain des droits civiques et défendit le leader des Black Panthers : Huey P. Newton. Elle avait également alerté l'opinion publique sur la situation désastreuse des Amérindiens aux États-Unis, et longtemps lutté pour les droits des femmes, s'affirmant féministe. Durant la guerre du Viêt Nam, ses prises de position contre le gouvernement américain de l'époque ainsi que son voyage au Vietnam en 1972, où elle alla rendre visite à des prisonniers de guerre et des villageois isolés, soutenant la thèse selon laquelle Richard Nixon aurait donné l'ordre de bombarder le système de digues des rivières du Nord communiste, ont longtemps alimenté la polémique.
Elle critiqua souvent l'administration Bush notamment à propos de l'intervention militaire en Irak et de la mauvaise gestion des dégâts causés par le cyclone Katrina à La Nouvelle-Orléans.
Elle continue aujourd'hui de militer pour la paix et la résolution du conflit israélo-palestinien. Elle milite également pour la protection de l'environnement ; elle se montre pour cette raison très critique du président américain Donald Trump et du premier ministre canadien Justin Trudeau[35].
Filmographie |
Cinéma |
Années 1960 |
1960 : La Tête à l'envers (Tall Story) de Joshua Logan : June Ryder
1962 : La Rue chaude (Walk on the Wild Side) d'Edward Dmytryk : Kitty Twist- 1962 : Les Liaisons coupables (The Chapman Report) de George Cukor : Kathleen Barclay
- 1962 : L'École des jeunes mariés (Period of Adjustment) de George Roy Hill : Isabel Haverstick
1963 : Dans la douceur du jour (In the Cool of the Day) de Robert Stevens : Christine Bonner- 1963 : Un dimanche à New York (Sunday in New York) de Peter Tewksbury : Eileen
1964 : Les Félins de René Clément : Melinda- 1964 : La Ronde de Roger Vadim : Sophie
1965 : Cat Ballou d'Elliot Silverstein : Catherine "Cat" Ballou
1966 : La Poursuite impitoyable (The Chase) d'Arthur Penn : Anna Reeves- 1966 : La Curée de Roger Vadim : Renée Saccard
- 1966 : Chaque mercredi (Any Wednesday) de Robert Ellis Miller : Ellen Gordon
1967 : Pieds nus dans le parc (Barefoot in the Park) de Gene Saks : Corie Bratter- 1967 : Que vienne la nuit (Hurry Sundown) d'Otto Preminger : Julie Ann Warner
1968 : Histoires extraordinaires, sketch Metzengerstein de Roger Vadim : la comtesse Frederica- 1968 : Barbarella de Roger Vadim : Barbarella
- 1969 : On achève bien les chevaux (They Shoot Horses, Don't They?) de Sydney Pollack : Gloria Beatty
Années 1970 |
1971 : Klute de Alan J. Pakula : Bree Daniels
1972 : Tout va bien de Jean-Luc Godard et Jean-Pierre Gorin : Suzanne- 1972 : FTA de Francine Parker (en) (documentaire) : elle-même
1973 : Steelyard Blues d'Alan Myerson : Jesse Veldini- 1973 : Maison de poupée (A Doll's House) de Joseph Losey : Nora Helmer
1976 : L'Oiseau bleu (The Blue Bird) de George Cukor : Nuit
1977 : Touche pas à mon gazon (Fun with Dick and Jane) de Ted Kotcheff : Jane Harper- 1977 : Julia de Fred Zinnemann : Lillian Hellman
1978 : Le Retour (Coming Home) d'Hal Ashby : Sally Hyde- 1978 : Le Souffle de la tempête (Comes a Horseman) d'Alan J. Pakula : Ella Harper
- 1978 : California Hôtel (California Suite) d'Herbert Ross : Hannah Warren
1979 : Le Syndrome chinois (The China Syndrome) de James Bridges : Kimberly Wells- 1979 : Le Cavalier électrique (The Electric Horseman) de Sydney Pollack : Hallie Martin
Années 1980 |
1980: Comment se débarrasser de son patron (Nine to Five) de Colin Higgins : Judy Bernly
1981 : La Maison du lac (On Golden Pond) de Mark Rydell : Chelsea Thayer Wayne- 1981 : Sois belle et tais-toi, documentaire de Delphine Seyrig : elle-même
1981 : Une femme d'affaires (Rollover) d'Alan J. Pakula : Lee Winters
1985 : Agnès de Dieu (Agnes of God) de Norman Jewison : Dr Martha Livingston
1986 : Le Lendemain du crime (The Morning After) de Sidney Lumet : Alex Sternbergen
1987 : Leonard Part 6 de Paul Weiland : Elle-même (non créditée)
1989 : Old Gringo de Luis Puenzo : Harriet Winslow
Années 1990 |
1990 : Stanley et Iris (Stanley and Iris) de Martin Ritt : Iris King
1994 : A Century of Cinema, documentaire de Caroline Thomas
Années 2000 |
2002 : Searching for Debra Winger, documentaire de Rosanna Arquette
2004 : Tell Them Who You Are, documentaire de Mark Wexler
2005 : Sa mère ou moi ! (Monster-in-Law) de Robert Luketic : Viola Fields
2007 : Mère-fille, mode d'emploi (Georgia Rule) de Garry Marshall : Georgia Randall
Années 2010 |
2011 : Peace, Love & Misunderstanding de Bruce Beresford : Grace
2012 : Et si on vivait tous ensemble ? de Stéphane Robelin : Jeanne
2013 : Le Majordome (The Butler) de Lee Daniels : Nancy Reagan
2014 : Blonde sur ordonnance (Better Living Through Chemistry) de Geoff Moore et David Posamentier : elle-même/la narratrice
2014 : C'est ici que l'on se quitte (This Is Where I Leave You) de Shawn Levy : Hilary Altman
2015 : Youth (La Giovinezza) de Paolo Sorrentino : Branda Morel
2015 : Père et Fille (Fathers and Daughters) de Gabriele Muccino : Teddy Stanton
2017 : Nos âmes la nuit (Our Souls at Night) de Ritesh Batra : Addie Moore
2018 : Le Book Club (Book Club) de Bill Holderman : Vivian
Télévision |
Téléfilms |
1961 : A String of Beads : Gloria Winters
1981 : Lily: Sold Out : Wanda
1984 : Les Poupées de l'espoir (The Dollmaker) de Daniel Petrie : Gertie Nevels
1990 : The Earth Day Special de Dwight Hemion, James Burrows, Gerry Cohen, Ted Haimes, Jim Henson, Terry Hughes, Terry Lennon, Jay Sandrich, Dick Schneider et Dave Wilson : Hellen
2016 : Elena and the Secret of Avalor (en) de Jamie Mitchell : Shuriki (voix)
Séries télévisées |
1982 : Comment se débarrasser de son patron (9 to 5) : O'Neil (saison 2, épisode 2) -également productrice-
2012-2014 : The Newsroom de Aaron Sorkin : Leona Lansing (10 épisodes)
2014 : Les Simpson (The Simpsons) : Maxine Lombard (voix, 1 épisode)
depuis 2015 : Grace et Frankie : Grace Hanson (44 épisodes - en cours) -également productrice exécutive de 39 épisodes-
2016-2017 : Elena d'Avalor (Elena of Avalor) : Shuriki (voix, 3 épisodes)
Théâtre |
- 1960 : There was a little girl de Daniel Taradash, Cort theatre
- 1960 : Invitation to a March d'Arthur Laurents, Music box theatre
- 1962 : The fun couple de John Haase et Neil Jansen, Lyceum theatre (26 et 27 octobre 1962)
- 1963 : Strange interlude d'Eugene O'Neill, Hudson theatre, Martin Beck theatre
- 2009 : 33 Variations de Moisés Kaufman
Distinctions |
Note : Cette section récapitule les principales récompenses et nominations obtenues par Jane Fonda, pour une liste plus complète, se référer au site IMDb[36].
Récompenses |
Laurel Awards 1960 : Révélation féminine
Hasty Pudding Theatricals 1961 : Femme de l'année
Golden Globes 1962 : Révélation féminine pour La Tête à l'envers
Laurel Awards 1966 : Meilleure actrice dans un film comique pour Cat Ballou
Golden Apple Awards 1970 : Sour Apple
NAACP Image Awards 1971 : Meilleure actrice pour Klute
Golden Globes 1972 : Meilleure actrice dans un film dramatique pour Klute
Oscars 1972 : Meilleure actrice pour Klute
Golden Globes 1973 : Henrietta Award
Golden Apple Awards 1977 : Star féminine de l'année
David di Donatello 1978 : Meilleure actrice étrangère pour Julia
Golden Globes 1978 : Meilleure actrice dans un film dramatique pour Julia
Los Angeles Film Critics Association Awards 1978 :
- Meilleure actrice pour Le retour
- Meilleure actrice pour Le souffle de la tempête
- Meilleure actrice pour California Hôtel
- Meilleure actrice pour Le retour
BAFTA Awards 1979 : Meilleure actrice pour Julia
Golden Globes 1979 :
- Henrietta Award
- Meilleure actrice dans un film dramatique pour Le Retour
Jupiter Awards 1979 : Meilleure actrice internationale
Oscars 1979 : Meilleure actrice pour Le Retour
ShoWest Convention 1979 : Star féminine de l'année
American Movie Awards 1980 : Actrice de film préférée
BAFTA Awards 1980 : Meilleure actrice pour Le syndrome chinois
37e cérémonie des Golden Globes 1980 : Henrietta Award
People's Choice Awards 1980 : Actrice de film préférée
People's Choice Awards 1981 : Actrice de film préférée, prix partagé avec Goldie Hawn
American Movie Awards 1982 : Meilleure actrice dans un second rôle pour La maison du lac
People's Choice Awards 1982 : Actrice de film préférée, prix partagé avec Sally Field
People's Choice Awards 1983 : Actrice de film préférée, prix partagé avec Katharine Hepburn
Primetime Emmy Awards 1984 : Meilleure actrice dans une mini-série ou un téléfilm pour Les Poupées de l'espoir
National Board of Review 2005 : Career Achievement Award
Festival de Cannes 2007 : Golden Palm
Critics' Choice Television Awards 2013 : meilleur invité dans une série télévisée dramatique pour The Newsroom
American Film Institute Awards 2014 : Life Achievement Award
Gracie Allen Awards 2014 : Meilleure actrice invitée dans une série télévisée pour The Newsroom
Festival du film de Hollywood 2015 : meilleure actrice dans un second rôle pour Youth
Festival international du film de Santa Barbara 2016 : Kirk Douglas Award for Excellence in Film
Goldene Kamera 2017 : Golden Camera for Lifetime Achievement
Lion d'or pour la carrière lors de la Mostra de Venise 2017
Prix Lumière 2018 : Festival Lumière de Lyon
Nominations |
20e cérémonie des Golden Globes 1963 : meilleure actrice dans un film musical ou une comédie pour L'école des jeunes mariés
23e cérémonie des Golden Globes 1966 : meilleure actrice dans un film musical ou une comédie pour Cat Ballou
24e cérémonie des Golden Globes 1967 : meilleure actrice dans un film musical ou une comédie pour Any Wednesday
BAFTA Awards 1968 : Meilleure actrice étrangère pour Pieds nus dans le parc
27e cérémonie des Golden Globes 1970 : meilleure actrice dans un film dramatique pour On achève bien les chevaux
Oscars 1970 : Meilleure actrice pour On achève bien les chevaux
BAFTA Awards 1971 : Meilleure actrice pour Klute
BAFTA Awards 1972 : Meilleure actrice pour On achève bien les chevaux
Oscars 1978 : Meilleure actrice pour Julia
People's Choice Awards 1978 : Actrice de film préférée
People's Choice Awards 1979 : Actrice de film préférée
37e cérémonie des Golden Globes 1980 : Meilleure actrice dans un film dramatique pour Le Syndrome chinois
Oscars 1980 : Meilleure actrice pour Le Syndrome chinois
39e cérémonie des Golden Globes 1982 : meilleure actrice dans un second rôle pour La maison du lac
Oscars 1982 : Meilleure actrice dans un second rôle pour La Maison du lac
BAFTA Awards 1983 : Meilleure actrice dans un second rôle pour La maison du lac
42e cérémonie des Golden Globes 1985 : meilleure actrice dans une mini-série ou un téléfilm pour Les poupées de l'espoir
Oscars 1987 : Meilleure actrice pour Le Lendemain du crime
People's Choice Awards 1987 : Actrice de film préférée
People's Choice Awards 1988 : Actrice de film préférée
People's Choice Awards 1989 : Actrice de film préférée
Razzie Awards 1990 : Pire actrice pour Old Gringo
Primetime Emmy Awards 1995 : Meilleure série d'informations pour A Century of Women
Teen Choice Awards 2005 :
- Meilleure alchimie à l'écran, nomination partagée avec Jennifer Lopez pour Sa mère ou moi !
- Meilleur pétage de plombs dans un film pour Sa mère ou moi!
- Meilleure scène embarrassante pour Sa mère ou moi!
- Meilleure alchimie à l'écran, nomination partagée avec Jennifer Lopez pour Sa mère ou moi !
65e cérémonie des Primetime Emmy Awards 2013 : meilleure actrice invitée dans une série télévisée dramatique pour The Newsroom
66e cérémonie des Primetime Emmy Awards 2014 : meilleure actrice invitée dans une série télévisée dramatique pour The Newsroom
20e cérémonie des Screen Actors Guild Awards 2014 : meilleure distribution pour Le majordome
19e cérémonie des Satellite Awards 2015 : meilleure actrice dans un second rôle pour Youth
73e cérémonie des Golden Globes 2016 : meilleure actrice dans un second rôle pour Youth
69e cérémonie des Primetime Emmy Awards 2017 : meilleure actrice dans une série télévisée comique pour Grace et Frankie
People's Choice Awards 2017 : Actrice de série télévisée préférée
Screen Actors Guild Awards 2017 : meilleure actrice dans une série télévisée comique pour Grace et Frankie
Écrits |
- Jane Fonda, Ma vie (My Life So Far), traduit de l'anglais par Marie-Hélène Dumas, éditions Plon, Paris, 2005 (ISBN 2-259-20281-0)
- Jane Fonda, Prime time : Profitez pleinement de toute votre vie (Prime Time: Making the Most of All of Your Life), traduit de l'anglais par Stéphane Roques, éditions Plon, Paris, 2012 (ISBN 978-2-259-21603-6)
Voix françaises |
Bien que parlant parfaitement français, Jane Fonda fut doublée à plusieurs reprises en France.
- En France
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- Au Québec
Diane Arcand dans [38]:
- Ma Belle-Mère est un Monstre
- Blonde sur ordonnance
Notes et références |
(en-US) Bill Davidson, Jane Fonda: An Intimate Biography, Dutton, 1990(ISBN 9780525248880), p. 39 :« Jane was christened Jane Seymour Fonda and, as a child, was known as Lady Jane by her mother and everyone else (traduction : Jane était baptisé Jane Seymour Fonda et, durant l'enfance, était connue sous le nom de Lady Jane par sa mère et tous les autres.). »
(en-US) « Jane Fonda Biography: Actress (1937–) », Biography.com (FYI / A&E Networks) (consulté le 2 mars 2017)
(en) Georges Tiffin, « Jane Fonda », dans A Star is Born : The Moment an Actress becomes an Icon, Head of Zeus, 30 septembre 2015, 400 p. (lire en ligne).
Henry Fonda, My Life, New York, Dutton, 1981 page=???
« Descendants of Jellis Douw Fonda (1614–1659) », fonda.org
« Ancestry of Peter Fonda » [archive du 15 mars 2012], genealogy.com
(en) Thomas Kiernan, 'Jane: An Intimate Biography of Jane Fonda, Putnam, 1973, p. 12
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(en) Jane Fonda sur l’Internet Movie Database
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