Pères maristes






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Société de Marie

Image illustrative de l’article Pères maristes
Ordre de droit pontifical
Approbation pontificale

29 avril 1836
par Grégoire XVI
Type

congrégation cléricale
Structure et histoire
Fondation
1822

Fondateur

Jean-Claude Colin
Abréviation
s.m.
Liste des ordres religieux

La Société de Marie (nom abrégé en « s.m. ») dont les membres sont connus comme pères, frères et sœurs maristes, est une congrégation cléricale à vœux simples, de droit pontifical, fondée en 1822 par le vénérable Jean-Claude-Marie Colin et officiellement approuvée par Grégoire XVI en 1836.
A l'occasion du bicentenaire de la fondation de la congrégation, le pape François a exprimé sa « gratitude » pour cette « grande famille riche de témoins »[1].




Sommaire






  • 1 Fondation


  • 2 Personnalités


  • 3 Partie féminine


  • 4 Notes et références


  • 5 Voir aussi


    • 5.1 Bibliographie


    • 5.2 Articles connexes


    • 5.3 Lien externe







Fondation |





Jean-Claude Colin, fondateur de la Société de Marie.


D'après son fondateur, l'objectif de la congrégation, formée de prêtres et de frères auxiliaires, est d'« accroître la gloire de Dieu, et l'honneur de sa Très Sainte Mère », en évangélisant, par des formes multiples d'apostolat : retraites, éducation des enfants en ouvrant des collèges secondaires, en fondant des missions outremer, notamment en Océanie (où en 1854 ils étaient déjà au nombre de 117), et en travaillant dans des paroisses pauvres...


En 1824, il a fondé la congrégation des sœurs maristes, éducatrices, missionnaires, hospitalières, ainsi qu'un tiers ordre en 1850.


La Société de Marie commence en France au début du XIXe siècle.





Jean-Claude Courveille.


Un jeune homme, Jean-Claude Courveille, reçoit l'inspiration de fonder une congrégation religieuse dédiée et travaillant sous le nom de Marie.


Cette inspiration sera comprise comme venant de Marie elle-même.


Durant ses années de séminaire, Jean Claude Courveille partage ses idées avec d'autres jeunes gens qui endossent son désir de fonder une congrégation religieuse qui aurait un nom spécial, celui de la vierge Marie, et qui jouerait un rôle spécial dans l'Église selon cette inspiration.


Deux autres membres importants de ce groupe de douze jeunes séminaristes furent Jean-Claude Colin et Marcellin Champagnat.


Le 23 juillet 1816, les trois amis s'engagèrent dans la chapelle Notre-Dame de Fourvière à Lyon, avec neuf autres compagnons, dans un serment solennel à travailler à la fondation de la Société de Marie.


La branche de la famille mariste, connue sous le nom de pères et frères maristes, reçut son approbation officielle de Rome en 1836 pour accomplir son ministère en France, mais avec la responsabilité particulière des nouveaux territoires qui venaient de s'ouvrir en Océanie de l'Ouest, dans le Pacifique sud.


Il ne faut pas confondre l'ordre des Maristes, avec celui des Marianistes fondé par le père Chaminade et des Frères maristes des Écoles fondé par saint Marcellin Champagnat. On notera cependant, que Jean-Claude Courveille, le vénérable Jean-Claude-Marie Colin, saint Marcellin Champagnat, et Saint Jean-Marie Vianney (le curé d'Ars), furent tous les quatre au Grand Séminaire de Lyon, et ordonnés prêtres la même année, en 1816.



Personnalités |




  • Mgr Michel-Marie Calvet, évêque de Nouméa

  • Saint Pierre Chanel


  • Antoine Marie Garin (1810-1889), Nelson (Nouvelle-Zélande)

  • Jean-Baptiste Epalle



Partie féminine |


Les Sœurs tertiaires[2],[3] de la Société de Marie sont fondées plus tard. Elles interviennent dès 1858 en Nouvelle-Calédonie pour la catéchisation des femmes et filles kanak ou métisses.



Notes et références |





  1. Pour leur bicentenaire, le Pape invite les Frères maristes à porter au monde «la tendresse de Dieu»


  2. http://www.champagnat.org/500.php?a=6b&id=3622


  3. http://www.maristinter.org/files/Spiritualite-mariste-a-quatre-voix-FRA.pdf




Voir aussi |



Bibliographie |



  • Jean Guiart, Découverte de l’Océanie.I.Connaissance des îles, Le Rocher-à-la-Voile, Nouméa, 2000, en coédition avec les éditions Haere Po, dont une bonne synthèse sur L'intervention des missionnaires (en Océanie), 161-206,


Articles connexes |



  • Ordres religieux par ordre alphabétique


  • Abbaye de Fürstenzell (Bavière]

  • Antoine Marie Garin

  • Société de l'Océanie



Lien externe |


  • la famille Mariste

















































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