Aurillac





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De haut en bas, de gauche à droite : L'hôtel de ville d'Aurillac ; vue aérienne du grand-centre de la ville.

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Terredexception-vol aurillac-GF 1.jpg


Blason de Aurillac
Blason


Aurillac
Logo

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Auvergne-Rhône-Alpes

Département

Cantal
(préfecture)

Arrondissement

Aurillac
(chef-lieu)

Canton

Aurillac-1
Aurillac-2
Aurillac-3

Intercommunalité

Communauté d'agglomération du bassin d'Aurillac
(siège)

Maire
Mandat
Pierre Mathonier
2014-2020

Code postal
15000

Code commune
15014
Démographie

Gentilé
Aurillacois

Population
municipale
25 954 hab. (2016 en diminution de 5,06 % par rapport à 2011)
Densité 902 hab./km2
Population
aire urbaine
64 775 hab. (2015)
Géographie

Coordonnées

44° 55′ 34″ nord, 2° 26′ 26″ est

Altitude
Min. 573 m
Max. 867 m

Superficie
28,76 km2
Localisation


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Aurillac





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Liens

Site web

aurillac.fr


Aurillac (/o.ʁi.jak/) est une ville française située au centre du Massif central, dans le département du Cantal dont elle est la préfecture, en région administrative Auvergne-Rhône-Alpes.


Elle est la capitale historique de la Haute-Auvergne, mais le siège épiscopal se trouve, quant à lui à Saint-Flour. Ses habitants sont appelés les Aurillacois et les Aurillacoises.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Situation


    • 1.2 Lieux-dits et écarts


    • 1.3 Communes limitrophes


    • 1.4 Géologie


    • 1.5 Climat




  • 2 Toponymie


  • 3 Histoire


  • 4 Politique et administration


    • 4.1 Municipalité


    • 4.2 Politique de développement durable


    • 4.3 Budget et fiscalité 2015


    • 4.4 Cantons


    • 4.5 Jumelages


    • 4.6 Préfecture et services départementaux


      • 4.6.1 Archives du Cantal






  • 5 Population et société


    • 5.1 Démographie


    • 5.2 Unité/aire urbaines


    • 5.3 Enseignement


    • 5.4 Manifestations culturelles et festivités


    • 5.5 Santé


    • 5.6 Sports


    • 5.7 Médias


      • 5.7.1 Presse locale


      • 5.7.2 Radios locales


      • 5.7.3 Télévision




    • 5.8 Lieux de culte




  • 6 Économie


    • 6.1 Commerces


    • 6.2 Industrie


    • 6.3 Informatique




  • 7 Culture locale et patrimoine


    • 7.1 Tournages


    • 7.2 Lieux et monuments


      • 7.2.1 Patrimoine religieux


      • 7.2.2 Patrimoine civil




    • 7.3 Équipements culturels


    • 7.4 Vie militaire


    • 7.5 Personnages liés à la commune


      • 7.5.1 Personnalités nées à Aurillac


      • 7.5.2 Personnalités liées à Aurillac




    • 7.6 Héraldique




  • 8 Voir aussi


    • 8.1 Bibliographie


    • 8.2 Articles connexes


    • 8.3 Liens externes




  • 9 Notes et références


    • 9.1 Notes


    • 9.2 Références







Géographie |




Situation d'Aurillac (en bleu clair) sur la carte de l'Auvergne.



Situation |


À une moyenne de 680 mètres d'altitude, Aurillac est située au pied des monts du Cantal dans un petit bassin sédimentaire. Le « bassin d'Aurillac » se situe à l'intersection de plusieurs unités paysagères : à l'Est, le massif cantallien composé d'une zone sommitale, en situation supra-forestière (hautes estives coiffées des crêtes qui constituent l’ossature et le centre géographique du massif), et d'un plateau entaillé par deux vallées qui débouchent toutes deux dans le bassin, la vallée de la Cère et de la Jordanne. Les vallées et gorges de la Cère traversent le bassin d'Est en Ouest. Au Sud-Ouest, la région est bordée par le plateau volcanique de Carladès et au sud par le plateau de la châtaigneraie cantalienne qui correspond à un socle cristallin[1].


La ville est construite sur les rives de la Jordanne, affluent de la Cère qui coule à proximité. Elle est desservie par la route nationale 122 et la voie ferrée Figeac - Arvant.


Aurillac est relié à Paris par deux vols quotidiens par la compagnie aérienne Hop!. Aucun TGV ou autoroute ne dessert Aurillac.



Lieux-dits et écarts |




  • Boudieu, sur la RN122, dite route de Sansac-de-Marmiesse ou de Toulouse, se trouve être une ferme : une maison de ferme, bourgeoise des années 1900 et trois bâtiments agricoles, aussi une maison des années 1980.


  • Boudieu-Bas, sur la RN122, est un ensemble de maisons construites dès les années 1960 et quelques bâtiments à usages commercial ou artisanal.


  • Guéret, sur la RN122, est une ferme avec deux maisons et deux bâtiments agricoles. Ce hameau est traversé par l'ancien chemin vicinal allant de l'ancien lieu-dit « Julien », dont persiste le nom pour le pont SNCF : « pont de Julien » ; et allant jusqu'au château de Tronquières. Le lieu-dit de Julien se trouve dans l'agglomération d'Aurillac, sur l'avenue Charles de Gaulle, face au Centre Médico-Chirurgical (CMC). Cette ferme, avec maison et grange, a été absorbée par la ville à la création du quartier dans les années 1970 et jusqu'au milieu des années 1980. Le bâtiment à usage agricole a été détruit pour laisser place à un magasin.


  • La Sablière, sur la RN122, est un ensemble d'habitations à grande majorité des années 1980. À l'origine, il n'y avait qu'une ferme. Ce lieu-dit est sur deux communes Aurillac et Arpajon-sur-Cère. D'ailleurs, la majorité des constructions se trouvent être sur le territoire de cette dernière commune.


  • Le Barra, près de l'avenue Aristide Briand, ou dite Ancienne route de Vic ou ancienne RN120. Il s'agit d'une ferme et habitations.


  • Les Quatre Chemins, sur les RD120 et RD922, limite des communes d'Aurillac, Naucelles et Ytrac. C'est un ensemble de constructions à usage commercial ou d'habitation sur un carrefour de deux anciennes routes nationales, la 120 et la 126.


  • Tronquières, sur une avenue, à l'origine, lieu d'une exploitation agricole avec son château, la maison de ferme et bâtiments agricoles (détruits en 2011). Aujourd'hui, les lieux sont un ensemble de logements spécialisés dans l'aide à l'insertion de handicapés (ADAPEI) et l'aéroport de la ville : Aurillac-Tronquières. De même, se trouve l'aire d'accueil des gens du voyage et l'ancien centre d'enfouissement d'ordures ménagères. Avant la construction de l'aéroport, les prairies étaient des terres de pacage estival pour les fermes des alentours, dont la ferme de Boudieu.


Le relief contraignant sur la partie nord et les réseaux d’infrastructures existants ont orienté l’urbanisation originelle. Un développement qui s’est d’abord fait selon un axe Nord-Est, Sud-Ouest dans les années 80/90, qui aujourd'hui forme un croissant Sud–Est, Nord-Ouest (suivant les voies de communication RN 120/RD 920)[1].



Communes limitrophes |






















Communes limitrophes de Aurillac


Naucelles

Saint-Simon

Ytrac
Aurillac
Giou-de-Mamou


Arpajon-sur-Cère




Géologie |





Butte-témoin calcaire boisée à la sortie de la ville à l'Est.


Comme la Limagne, le bassin d'Aurillac est un fossé tectonique de subsidence qui apparaît à l'oligocène lorsque le socle granitique se disloque en contrecoup du plissement alpin. Il est comblé de sédiments d'origine continentale : le remblaiement est successivement détritique (graviers, sables argileux, argiles issus principalement de l'altération de la chaîne hercynienne pénéplanée), saumâtre (marnes), puis lacustre (calcaires)[2]. Les formations sédimentaires de ce bassin sont principalement des argiles sableuses sur lesquelles peuvent affleurer des calcaires, témoins de l'avancée marine oligocène (butte témoin de Puy de Careizac[3]). Le Nord-Ouest du bassin est recouvert partiellement par un complexe de brèches volcaniques non stratifiées qui résulte des phases explosives (datées d'environ 8 Millions d'années) liées à la mise en place du volcan cantalien. D'autres phases, parfois plus spectaculaires peuvent se lire et s'interpréter à partir des points les plus hauts de cette partie Nord-Ouest[4].



Climat |


Article détaillé : Données climatiques d'Aurillac.

Le climat est de type océanique dégradé. Ce climat se situant à l’Est du climat océanique, l’influence océanique est encore perceptible (pluviométrie supérieure à 1 200 mm d'eau par an), mais dû à l’éloignement de la côte, il est dégradé et corrigé par un climat montagnard affirmé (températures hivernales basses, neige), d'où la palette des milieux présents et la transition de deux étages de végétations (océanique et montagnard) avec des plantes indicatrices pour chacun d'eux, répertoriées dans des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[4]. Réputée pour être une ville fraîche le matin, Aurillac se classe en 17e position des villes les plus ensoleillées de France. La cité d'Auvergne a connu 2 084 heures de soleil en moyenne par an entre 1970 et 2000. De par sa position géographique, Aurillac est bien souvent la seule ville de montagne présentée régulièrement sur les cartes météorologiques nationales. Située aux pieds des monts du Cantal, son altitude de 640 mètres lui coûte environ 2°C par rapport à une ville de plaine puisqu'en moyenne, on perd un degré tous les 150 mètres. Il n'en reste pas moins qu'en plein hiver, la température descend régulièrement en dessous de -10°C, avec une moyenne de 70 jours avec gel.



Toponymie |


Le toponyme Aurillac s'est longtemps écrit Orlhac et on lui prêtait comme étymologie la poussière d'or qui était récoltée dans les eaux de la Jordanne.


Il s'agit d'un nom de domaine gallo-romain composé du nom du propriétaire suivi du suffixe latin -acu, datant de l'époque de la réforme du cadastre par Dioclétien[5]. Aurillac désigne la « propriété d'Aurelius » ou le « domaine d'Aurelius »[6]. Cette origine est confirmée par le fanum polygonal d'Aron construit au Ier siècle et découvert en 1977 à Lescudillier.


La ville se nomme Orlhac en occitan aurillacois.



Histoire |


On peut penser qu'à l'époque gauloise, le site régional primitif de la cité était sur les hauteurs qui dominent la ville à Saint-Jean-de-Dône (« Dône » = dunum) et que, comme la plupart des oppida, il a été abandonné après la conquête romaine au profit d'une ville nouvelle établie dans la plaine. Avec le retour de l'insécurité du Bas-Empire, on assiste au mouvement d'enchâtellement : un nouveau site fortifié est établi à mi-pente entre l'ancien oppidum et l'ancienne ville gallo-romaine, là où se trouve aujourd'hui le château Saint-Étienne.


L'histoire de la ville n'est réellement connue qu'à partir de 856, année de naissance du comte Géraud d'Aurillac, au château dont son père, nommé aussi Géraud, était le seigneur. Vers 885, celui-ci fonde une abbaye bénédictine qui portera plus tard son nom.


C’est dans ce monastère, reconstruit au XIe siècle[7], qu’étudiera Gerbert[8], premier pape français sous le nom de Sylvestre II.


La ville s’est constituée sur un territoire de sauveté qui est situé entre quatre croix et qui a été fondée en 898 par Géraud, peu après l'abbaye. De forme circulaire, la première unité urbaine s'est formée à proximité immédiate de l’abbaye d'Aurillac. Géraud meurt vers 910 mais son rayonnement est tel qu’au fil des siècles, Géraud est toujours resté un prénom de baptême répandu dans la population d'Aurillac et des environs.




Aurillac. Maisons au bord de la Jordanne.


C’est au XIIIe siècle que l'on commence à bien connaître les coutumes municipales grâce à un conflit entre les consuls et les abbés. Après la prise du château Saint-Étienne en 1255 et deux sentences arbitrales appelées les Paix d'Aurillac, les relations se normaliseront.


Aux XIIIe et XIVe siècles, Aurillac soutient plusieurs sièges contre les Anglais et au XVIe siècle, continue à subir les guerres civiles et religieuses.


L'influence de l'abbaye décline avec sa sécularisation et sa mise en commende.


En 1569, la ville est livrée par trahison aux protestants, les habitants torturés, rançonnés et l'abbaye saccagée. Toute sa bibliothèque et toutes ses archives sont brûlées.


Avant la Révolution, Aurillac abrite un présidial et porte le titre de capitale de la Haute-Auvergne. En 1790 à la création des départements, après une période d'alternance avec Saint-Flour, Aurillac devient définitivement le chef-lieu du Cantal.


C’est l'arrivée de la voie ferrée, en 1866, qui accélère le développement de la cité.


Au premier recensement, en 1759, Aurillac comptait 6 268 habitants, elle en compte aujourd'hui environ 25 000.



Politique et administration |



Municipalité |


Aux dernières élections municipales dans le Cantal en mars 2014, Pierre Mathonier, PS, a été élu maire d'Aurillac jusqu'en mars 2020.


Article détaillé : Liste des maires d'Aurillac.


Politique de développement durable |


La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[9].



Budget et fiscalité 2015 |


En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[10] :



  • total des produits de fonctionnement : 40 215 000 , soit 1 394  par habitant ;

  • total des charges de fonctionnement : 35 495 000 , soit 1 230  par habitant ;

  • total des ressources d'investissement : 13 766 000 , soit 477  par habitant ;

  • total des emplois d'investissement : 12 286 000 , soit 426  par habitant ;

  • endettement : 25 276 000 , soit 876  par habitant.


Avec les taux de fiscalité suivants :



  • taxe d'habitation : 21,77 % ;

  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 27,94 % ;

  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 115,64 % ;

  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;

  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.



Cantons |


Aurillac est chef-lieu du département du Cantal (siège de la préfecture), de l'arrondissement d'Aurillac et bureau centralisateur de trois cantons depuis le redécoupage cantonal de 2014 :




  • Canton d'Aurillac-1 : 10 212 hab. dont 6 028 d'Aurillac (2015) ;


  • Canton d'Aurillac-2 : 9 527 hab. d'Aurillac (2015) ;


  • Canton d'Aurillac-3 : 10 320 hab. d'Aurillac (2015) .



Jumelages |


Depuis 1972, Aurillac et sa voisine Arpajon-sur-Cère ont un comité de jumelage commun et sont conjointement jumelées avec :




  • Drapeau de l'Allemagne Bocholt (Allemagne) depuis 1972, dans le land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie ;


  • Drapeau du Royaume-Uni Bassetlaw (Royaume-Uni) depuis le 10 avril 1980, dans le comté de Nottingham ;


  • Drapeau du Mali Bougouni (Mali) depuis 1985 ;


  • Drapeau de l'Espagne Altea (Espagne) depuis 1992, dans la Communauté valencienne ;


  • Drapeau de la Roumanie Vorona (en) (Roumanie) depuis 2000.



Préfecture et services départementaux |


Article détaillé : Cantal (département).


Archives du Cantal |


Article détaillé : Archives départementales du Cantal.


Population et société |



Démographie |


La communauté d'agglomération du bassin d'Aurillac compte 25 communes et 53 551 habitants en 2013.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par
sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un
recensement réel tous les cinq ans[11],[Note 1].



En 2016, la commune comptait 25 954 habitants[Note 2], en diminution de 5,06 % par rapport à 2011 (Cantal : -1,09 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
10 470 10 357 10 523 9 190 9 766 10 889 9 753 9 609 10 917



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9 846 9 831 10 998 11 098 11 211 13 727 14 613 15 824 16 886



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
17 459 17 772 18 036 16 389 17 153 17 643 19 041 22 174 22 224



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
24 563 28 226 30 863 30 963 30 773 30 551 29 477 27 338 25 954

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[13].)



Histogramme de l'évolution démographique





Unité/aire urbaines |


Aurillac constitue avec Arpajon-sur-Cère l'une des sept unités urbaines du Cantal, l'unité urbaine d'Aurillac. Celle-ci compte 32 217 habitants en 2016[14]. Cette unité urbaine est le centre de l'aire urbaine d'Aurillac, composée de 51 communes, qui compte 65 078 habitants[15] en 2016.



Enseignement |


La commune d'Aurillac possède trois grands lycées dont le lycée de la Communication Saint Géraud, et un lycée artistique qui compte en 2016, environ 700 élèves venant de toute la France. Elle possède également une faculté de biologie :


- Bac pro (30 élèves en moyenne)


- CAP (20 élèves en moyenne)


- STD2A (30 élèves en moyenne)


- BTS (Communication visuel, Textile et mode, Graphique...) (30-40 par classe)


- DNMADE (Options textile, graphisme, numérique) (18 élèves par classe)


- BTS génie biologique


- BMA... etc.




Manifestations culturelles et festivités |




Le festival de théâtre de rue d'Aurillac.



  • Le festival d'Aurillac (Festival international de théâtre de rue d'Aurillac), d'une durée de quatre jours, se tient chaque année depuis 1986 à la fin du mois d'août. Depuis 2004, ce festival est précédé par « Les préalables », d'une durée variable (souvent de début août au festival), pré-festival proposant des spectacles de rues dans tout le Cantal (et parfois même en Corrèze) avec le soutien de l'association éclat. 2008 inaugure la première « université des arts de rues ».


  • Les européennes du goût/Les goudots gourmands Les Européennes du goût Pendant trois jours en juin, a lieu un festival gastronomique et culturel durant lequel sont décernés divers prix (Les Goudots gourmands) et où il est mis en place des cours de cuisine (thèmes différents chaque année 2008 : Slow Food) assuré par des grands chefs et un partage de recettes entre festivaliers (Les blogs gourmands).

  • Le Théâtre d'Aurillac, 4 rue de La Coste.

  • 2007 marque le renouveau du Festival Danse d'Aurillac avec la première édition des 36 Heures d'Aurillac[16], solos et petites pièces dansées.



Santé |


La ville dispose d'un hôpital public qui est le principal employeur de la ville, le centre hospitalier Henri-Mondor, avec un institut de formation en soins infirmiers.



Sports |






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Tribune honneur du stade Jean-Alric, enceinte du Stade aurillacois.




  • Stade aurillacois Cantal Auvergne : équipe de rugby à XV qui a fêté en 2004 ses 100 ans et qui évolue en Pro D2 depuis 2001, hormis l’année 2006-2007 où le "purgatoire" en Fédérale 1 se solda par un titre de champion de France. Depuis la deuxième guerre mondiale, le club a toujours évolué soit dans l'élite (jusqu'en 1986 hormis 1949 et 1955), soit par la suite en groupe A, groupe B ou Pro D2. Aurillac est un pays de rugby puisque c'est une des rares villes où il y a plus de spectateurs aux matches de rugby qu'aux matches de football. Les matchs se déroulent au stade Jean-Alric ».

  • Athlétic Club Vélocipédique aurillacois : équipe cycliste fondée en 1977 par Pierre Labro, dirigée depuis 1983 par André Valadou. En 2011 et 2012 c'est le plus gros club cycliste auvergnat en nombre de licenciés. En 2016, trois coureurs issus de ses rangs sont au plus haut niveau avec Christophe Laborie ( Delko-Marseille Provence-KTM) et François Bidard (AG2R La Mondiale) chez les professionnels, enfin, Pierre Bonnet (Team Pro Immo Nicolas Roux) en première division amateurs. Axé sur la formation, le club voit chaque année, au moins un de ses représentants porter les couleurs de l'Auvergne lors d'un championnat de France.


  • Aurillac Football Cantal Auvergne : équipe de football qui évolue en CFA 2. À noter que la réserve d'Aurillac évolue en DH Auvergne et l'équipe C en Division d'Honneur Régionale. Son centre de formation performant lui permet d'avoir 3 équipes jeunes qui évoluent dans les championnats nationaux (14 ans, 16 ans et 18 ans - le plus haut niveau pour ces catégories).


  • Aurillac Handball Cantal Auvergne : équipe de handball professionnelle qui accède à la première division pour la saison 2008-2009 pour la première fois de son histoire. Le club est toutefois forcé au dépôt de bilan après une deuxième saison passée dans l'élite à l'issue de laquelle il est relégué. Son existence s'achève ainsi en 2010.


  • Basket-ball : Il s'agit du BAAG (Basket club Aurillac Arpajon Géraldienne). L'équipe 1 fille évolue au plus haut régional. C'est le plus gros club de la ville en termes de licenciés et de résultats. Deux brevetés d'états encadrent quotidiennement les enfants. Il y a aussi le club de la Cantalienne.


  • Stade Jean-Alric : stade municipal de la ville d'Aurillac et de son club de rugby, le Stade aurillacois Cantal Auvergne. Il doit son nom à Jean Alric, ancien joueur du club, fusillé à Aurillac par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale.

  • Aurillac possède un club de volley-ball (A.V.B.). Les seniors masculins ainsi que les féminins évoluent en Régional 1. Le club comporte des équipes UFOLEP et des équipes jeunes. Le club organise trois tournois ouverts à tout le monde : le tournoi de rentrée en septembre ; la nuit du volley en décembre (la plus grande d'Auvergne) ; le tournoi d'été en juin.

  • En 2011, Aurillac a accueilli le départ de la 10e étape du Tour de France 2011.



Médias |



Presse locale |


  • La Montagne est le représentant local de la Presse Quotidienne Régionale. Elle propose une édition sur le Cantal. La Voix du Cantal et L'Union du Cantal sont des titres de la presse écrite basés à Aurillac.


Radios locales |



  • Aurillac possède des radios locales :


  • RCF Corrèze (89.4 FM) émet sur Aurillac en raison de sa proximité avec la Corrèze. C'est la radio du Diocèse de Tulle[17].


  • Totem (92.8 FM) est présente sur Aurillac avec sa rédaction locale[18].

  • Jordanne FM (97.2 FM) est une radio locale commerciale basée à Aurillac. Elle émet dans une partie du Limousin et au nord du Midi-Pyrénées (dans le Lot notamment).


  • Sud Radio (101.0 FM)est aussi sur Aurillac.

  • Radio Pays d'Aurillac (107.4 FM) est la radio associative d'Aurillac. Elle y émet depuis 2007[19].



Télévision |


Le principal émetteur de télévision sur Aurillac est celui de Caussac[20]. Il émet toutes les chaînes de la TNT, dont France 3 Auvergne, qui possède un bureau local sur Aurillac au 1, rue Jean-Moulin, à deux pas des studios de Radio Pays d'Aurillac. L'autre chaîne locale de France 3 émis est France 3 Midi-Pyrénées en raison de sa proximité avec les régions du Quercy et du Rouergue.



Lieux de culte |




  • Église Saint-Joseph-Ouvrier[21] (catholique)

  • Église Notre-Dame-aux-Neiges[21] (catholique)


  • Abbatiale Saint-Géraud[21] (catholique)


  • Église réformée de France, 10 rue des Frères-Delmas[22]


  • Église évangélique de Pentecôte, 6 avenue des Pupilles-de-la-Nation[23]



Économie |


  • Aurillac est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie du Cantal qui gère des villages d'entreprise (dont celui de Tronquières à Aurillac. L'Aéroport d'Aurillac quant à lui est géré par la CABA (Communauté d'Agglomération du Bassin d'Aurillac).


Commerces |


  • Aurillac est une ville commerçante disposant de plusieurs centaines de boutiques de commerçants et d'artisans.


Industrie |



  • Activité de transformation de produits agricoles, particulièrement du lait et de la viande. Fabrication et conditionnement du fromage de Cantal.

  • Capitale française historique du parapluie, Aurillac est à l'origine de plus de la moitié de la production française, ce qui représentait 250 000 unités en 1999, et fournissait 100 emplois. Cette industrie a subi plusieurs décennies de déclin à la fin du XXe siècle. Pour se renforcer, les fabricants de parapluie aurillacois se sont regroupés en 1997 au sein d'un GIE et d'un label, L'Aurillac Parapluie.

  • Aurillac est aussi le siège de ce qu'était le leader européen des couettes et oreillers santé Abeil[24] et du plasturgiste Qualipac Aurillac spécialisé dans le vernissage des pieces plastiques, l'injection et la galvanoplastie.

  • On trouve également à Aurillac différents acteurs dans des domaines variés de l'agro-alimentaire (distillerie Couderc avec sa célèbre liqueur de gentiane et des maisons célèbres comme la fromageries Leroux et Bonal ainsi que Morin (affineur), les établissements de charcuterie MAS, Teil salaisons appartenant au groupe Altitude, les transports frigorifiques Olano-Ladoux.

  • Aurillac est surtout connu par son Pôle fromager basé sur les hauteurs d'Aurillac, proche du château Saint-Étienne :


Constitué en 1993, à l'initiative de la DDAF du Cantal, de l'ENILV d'Aurillac et des professionnels des filières AOC.
La structure est constituée d'une association rassemblant les opérateurs de la filière AOC et les partenaires institutionnels et politiques ainsi que d'un GIS regroupant les organismes de recherche-développement et d'enseignement chargés d'élaborer les programmes scientifiques (INRA unité d’Aurillac) et ENILV (École nationale de laiterie d'industrie du lait et de la viande). Il élabore les programmes scientifiques relatifs au pôle fromager.
On trouve autour de ce pôle les formations suivantes à l'IUT d'Aurillac : DUT génie biologique, option agronomie, DUT génie biologique, option génie de l'environnement, DUT génie biologique, option bio-informatique, licence pro. systèmes d'information et de modélisation appliqués à la bio-informatique, licence pro. produits alimentaires de terroir : innovation et valorisation, licence pro. expertise agro-environnementale et conduite de projets.



Informatique |



  • Aurillac est le siège de plusieurs sites internet : liés aux camions avec Net-truck[25] ou aux véhicules utilitaires ainsi qu'un site d'accessoires aéronautiques avec Aerodiscount[26].

  • Aurillac était également le siège du site Jeuxvideo.com, avant son rachat et son déménagement à Paris en 2015.

  • Aurillac est également le siège de l'éditeur d'ERP Qualiac[27] depuis 1979.



Culture locale et patrimoine |




Panorama d'Aurillac




Panorama d'Aurillac



Tournages |


C'est à Aurillac qu'ont été tournées des scènes du film Le Hobbit : Le Retour du roi du Cantal de Léo Pons entre les mois d'août 2015 et d'avril 2016.



Lieux et monuments |


Article connexe : Liste des monuments historiques d'Aurillac.

Située à proximité de la confluence de la Cère (rivière) et de la Jordanne, Aurillac est une bonne porte d'entrée pour la découverte des monts du Cantal via la route des crêtes et la vallée de la Jordanne. À l'ouest de la ville s'étend le bassin d'Aurillac : ce secteur abrite une vaste zone humide de grand intérêt : le marais du Cassan Prentegarde situé sur les communes de Saint-Étienne-Cantalès, Saint-Paul-des-Landes et Lacapelle-Viescamp.


La région d'Aurillac est également riche en châteaux que l'on peut visiter.



Patrimoine religieux |




  • Église Saint-Géraud d'Aurillac[28], XVe et XVIe siècle possède des peintures murales du XIIe siècle représentant des monstres marins avec en leur centre un personnage nu qui se cramponne à un dauphin[29].orgue de tribune de l’abbatiale, de Rabiny (1779)[30],[31],[32].

  • L'ancien hôpital roman XIe et XIIe siècle, place Saint-Géraud ,présente 3 arcades romanes à chapiteaux sculptés selon l'école dite d'Aurillac.




  • Église Notre-Dame-aux-Neiges[33],[34], ancienne chapelle du couvent des Cordeliers (XVe siècle)[35].


  • Église du Sacré-Cœur[36], construction du XXe siècle, avec un curieux chemin de croix taillé dans la pierre.


  • Église Saint-Joseph-Ouvrier XXe.


  • Chapelle d'Aurinques[37] (XVIe siècle) et sa cloche de 1544[38] .

  • Monuments commémoratifs[39],[40],[41].




Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.




Patrimoine civil |



  • le château Saint-Étienne[42], qui surplombe la ville.

  • le Haras national d'Aurillac.

  • le musée d'art et d'archéologie d'Aurillac, ancien haras, 37 rue des Carmes[43].

  • le muséum des Volcans[44], au château Saint-Étienne.

  • l'ancienne maison consulaire d'Aurillac[45],[46].

  • l'ancien présidial d'Aurillac (ISMH).

  • l'ancien collège des jésuites d'Aurillac[47] (MH)[48].

  • l'ancienne abbaye du Buis[49].

  • le palais de Justice, la maison d'arrêt et l'ancien groupement de gendarmerie du Cantal à Aurillac [50] (ISMH).

  • le théâtre d'Aurillac (ISMH).

  • la mairie d'Aurillac (ISMH)[51].

  • la préfecture du Cantal à Aurillac[52] (ISMH).

  • le kiosque à musique aurillacois[53].



Parcs et jardins[54] :




  • Square dit jardin des Carmes[55],

  • Jardin dit Cours Angoulême[56],

  • Jardin potager des chantiers de Peyrolles et d'Aynès[57].

  • Cour jardin de l'hôtel Lasmol[58],

  • Square de Vic[59],

  • Jardin de l'Esplanade dite Le Gravier[60],

  • Jardin de la Préfecture[61],

  • Jardin du Moulin Decrin[62],

  • Parc du château de Fabrègues[63],

  • Parc de Tronquière[64],

  • Jardin d'agrément du château de Noalhac[65],

  • Parc du château de Saint-Etienne[66],

  • Jardin potager du chantier de Me Jean Casse[67].



Fontaines et lavoirs



  • Fontaine des Droits de l'Homme[68],

  • Place des Carmes, sa fontainePlace des Carmes, sa fontaine,

  • Lavoir sur les bords de la JordanneLavoir sur les bords de la Jordanne,

  • Fontaine aux grenouilles[69].






Équipements culturels |


Aurillac bénéficie de la présence de plusieurs centres de danse :



  • Danse folklorique : danseurs et chanteurs de l'École auvergnate


  • Campus chorégraphique La Manufacture, lieu de création, formation et représentations créée par Vendetta Mathea en 1992.

  • Conservatoire : École nationale de musique et de danse d'Aurillac

  • Arabesque

  • École de danse Katy Bardy

  • École de danse modern jazz et classique Chorège


  • Musée des volcans, au château Saint-Étienne


  • Musée d'art et d'archéologie d'Aurillac, 37 rue des Carmes


  • Société de la Haute-Auvergne (Société des lettres, sciences et arts "La Haute-Auvergne")

  • Le Théâtre 4, rue de la Coste à côté de la Maison Consulaire

  • Le Prisme (salle de congrès et de spectacle)



Vie militaire |


Unités militaires ayant tenu garnison à Aurillac :




  • 139e Régiment d'infanterie, 1906

  • Escadron 2/16 de gendarmerie mobile devenu le 33/5 en 1991 à la suite de la création des légions de gendarmerie mobile et enfin le 18/5 en 2011 après la dissolution du groupement de GM de Clermont-Ferrand.


Aurillac a longtemps été une ville de garnison, avec le 139e régiment d'infanterie (France) qui se remarque par ses faits d'armes durant la bataille de la Somme, une chronologie remarquable et une armoire à trophées étaient encore présentes dans la salle d'honneur de la Délégation Militaire Départementale qui a depuis déménagé en oubliant de préserver et de sauvegarder ce pan d'histoire.


Sa place d'armes large et aérée et caractéristique de l'architecture militaire de cette époque, aujourd'hui dénommée zone de la Paix, est actuellement aménagée en parking, ce qui laisse la vue libre sur les 3 bâtiments qui l'entourent, l'entrée de la caserne a été détruit et remplacé par un bâtiment moderne mal intégré sans style en biais. Il héberge des services administratifs, Trésor public, CABA, Hypothèques, Cadastre... Les anciens bâtiments militaires dans les années 1950 deviennent "Cité Administrative", le nouveau bâtiment est implanté à cet endroit dans cette logique.


Le bâtiment de l'horloge est dénommé ainsi à cause de la grande horloge qui l'orne, ce bâtiment est aussi communément appelé maison des syndicats et des associations.
À remarquer l'aménagement et la transformation des bâtiments éloignés de cette place dont le manège à chevaux, les écuries et la sellerie.
Initialement ces bâtiments étaient l'ancien couvent des visitandines, construit en 1682. le couvent se transforme en 1792 en casernes pour l'infanterie qui occupe la moitié des bâtiments et ce jusqu'en 1922, d’où la transformation en bâtiments à l'usage équestre.
Aujourd'hui le centre culturel Pierre-Mendès-France occupe les lieux, il regroupe le musée d'Art et d'Archéologie, le Conservatoire départemental de musique et de danse, le service d'animations jeunesse de la ville d'Aurillac, et une halte-garderie pour enfants
Le manège à chevaux dans l'ancienne chapelle transformé de manière remarquable afin de lui laisser son caractère abrite aujourd'hui l'auditorium du Conservatoire (à voir les fresques murales).
Les écuries quant à elles sont alors utilisées par un des haras nationaux établi par Napoléon à partir de 1806 ; un dépôt d'étalons est alors créé à Aurillac. À la bataille d'Austerlitz, Napoléon monte Cantal, un cheval gris truité dont le tableau est visible au Musée d'art et d'archéologie. Lorsque les Haras nationaux déménagent, les écuries sont transformées en salle d’exposition - galerie et de présentation polyvalente, s'y tient notamment tous les ans le Salon des Métiers d'Art d'Aurillac.



Personnages liés à la commune |



Personnalités nées à Aurillac |





Pierre-Jean David d'Angers, Monument au pape Gerbert (1851), Aurillac, place Gerbert[70],[71].



  • Saint Géraud d'Aurillac (855-909), homme politique.


  • Gerbert d'Aurillac (938-1003), mathématicien, précepteur d'Hugues Capet, pape sous le nom de Sylvestre II.


  • Guillaume d'Auvergne (1190-1249), théologien, évêque de Paris, chapelain et ministre de Saint Louis.


  • Jean Cinquarbres (1514-1587, orientaliste, principal du collège Fortet puis professeur d'hébreu et de syriaque au Collège royal.

  • Guy de Veyre (-1629), premier consul d'Aurillac, anobli par Henri III en récompense de ses glorieux services durant l'attaque de la ville par les Calvinistes en 1581.


  • Jean-Aimar Piganiol de la Force (1673-1753), géographe.


  • François Leigonyer (1740-1807), général des armées de la République.


  • Antoine Delzons (1743-1816), député.


  • Louis Furcy Grognier (1774-1837), directeur de l'école vétérinaire de Lyon.


  • Jean-Baptiste Carrier (1756-1794), révolutionnaire républicain sanguinaire.


  • Édouard Jean-Baptiste Milhaud (1766-1833), cousin de Carrier, révolutionnaire, commissaire aux armées, général des armées de la République et de l'Empire, lui aussi connu pour ses actions sanguinaires.


  • Alexis Joseph Delzons (1775-1812), général de l'Empire.


  • Charles Antoine Manhès (1777-1854), général des armées de la République et de l'Empire.


  • Arsène Lacarrière-Latour (1778-1837), ingénieur, architecte, urbaniste en Louisiane.


  • Eloy Chapsal (1811-1882), peintre et directeur du musée d’Aurillac.


  • Félix Esquirou de Parieu (1815-1893), avocat, ministre de l'Instruction publique, député, sénateur.


  • Raymond Bastid (1826-1880), député, président du Conseil général.


  • Claude Sosthène Grasset d'Orcet (1828-1900), archéologue, historien.


  • Paul Devès (1837-1899), avocat, maire de Béziers, sénateur, député, ministre de l'Agriculture, ministre de la Justice.


  • Émile Duclaux (1840-1904), physicien, chimiste et biologiste français.


  • Jules Rengade (Aurillac 1841-1915), médecin, romancier pour enfants, journaliste scientifique.


  • Francis Charmes (1849-1916), journaliste, académicien.


  • Géraud Réveilhac (1851-1937), général.


  • Adrien Bastid (1853-1903), député.


  • Paul Doumer (1857-1932), président de la République.


  • Jean de Bonnefon (Aurillac 1866-1928), journaliste, polygraphe.


  • Pierre de Vaissière (1867-1942), archiviste paléographe, historien.


  • Marie Marvingt (1875-1963), pilote d'avion, pionnière des évacuations sanitaires, alpiniste chevronnée, décrite comme « la femme la plus extraordinaire du siècle ».


  • Robert Garric (1896-1967), homme de lettres, pédagogue.


  • Georges Monnet (1898-1980), agronome, homme politique.


  • Elie Calvet (1904-1929), comédien 1er Prix de comédie du Conservatoire, mort en scène en recevant son prix, neveu de la célèbre cantatrice Rosa Emma Calvé (1858-1942).


  • Denise Bastide (1916-1952), résistante déportée, députée communiste de la Loire de 1945 à 1952


  • Bernard Tricot (1920-2000), secrétaire général de l’Élysée de 1967 à 1969, un des négociateurs des accords d'Evian avec le FLN algérien pour l'abandon de l'Algérie française.


  • Jean-Benoît Puech (1947-), écrivain, auteur de La Bibliothèque d'un amateur (1980), Louis-René des Forêts, roman (2000), Une biographie autorisée (2010).


  • Roland Chassain, député des Bouches-du-Rhône.


  • Jean-Yves Hugon, ancien député de l'Indre.


  • Alain Delcamp, secrétaire général du Sénat.


  • Olivier Magne, rugbyman, international.


  • Pierre Trémouille, rugbyman.


  • Christophe Laborie, cycliste.


  • Jacques Maziol, ministre de la construction sous de Gaulle, PDG de Radio Monte Carlo.


  • Jean-Philippe Sol, joueur de volley-ball, international.


  • Sébastien Pissavy, fondateur du site Jeuxvideo.com.


  • Léo Pons, réalisateur.


  • Assaâd Bouab (1980 -), comédien


  • Marie-Hélène Lafon, professeur de lettres et romancière.



Personnalités liées à Aurillac |




  • Abel Beaufrère[72]


  • François Maynard (Toulouse 1582-Aurillac 1646, poète, un des premiers membres de l'Académie française.


  • Alfred Durand (-1947), professeur de géographie au lycée d'Aurillac, auteur de La vie rurale dans les massifs volcaniques des Dores, du Cézallier, du Cantal et de l'Aubrac, thèse, 1946, Clermont-Ferrand, 530 p. (réédition Créer), Aurillac, géographie urbaine, 1948, 254 pp.


  • Bernard Thomas-Roudeix (1942-), peintre et céramiste français (mouvement: figuratif et expressionnisme abstrait). Arrivé dès son plus jeune âge à Aurillac, Il y a passé son enfance avant de "monter" à Paris à l'âge de 19 ans.


  • Marcel Grosdidier de Matons (1885-1945), professeur de géographie au lycée d'Aurillac. Auteur de Études de géographie urbaine (RHA), La Chataigneraie cantalienne.


  • Maxime Real del Sarte[réf. nécessaire] (1848-1954) et Jean de Barrau[réf. nécessaire] ont fait leur service militaire à Aurillac.


  • Pierre Poujade (1920-2003), fils d'un architecte à Aurillac, à sa mort, il doit renoncer à 16 ans sa scolarité au Collège Saint-Eugène.


  • Pierre Wirth (écrivain) (1921-2003), professeur au lycée d'Aurillac, auteur de Aurillac, 1973, Voyage à travers la Haute-Auvergne, 1973, Le Guide du Cantal, 1994.


  • Joseph Malègue (1876-1940). La plus grande partie de son roman de plus de 900 pages, Augustin ou Le Maître est là, se déroule principalement à Aurillac : « Le fond de tableau d' Augustin est la vie dans une préfecture de province, qui est en fait Aurillac... »[73].



Héraldique |


Blason d'Aurillac

Blasonnement des armes traditionnelles de la ville d'Aurillac :



« De gueules, à trois coquilles d'argent, au chef d'azur, chargé de trois fleurs de lis d'or »



— Malte-Brun, la France illustrée (1882)


.


Les trois coquilles d'argent, qui étaient à l'origine sur une seule ligne, sont traditionnellement associées au fait qu'Aurillac étai un lieu d'étape du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle en venant de Clermont-Ferrand (actuellement la via Arvernha)[74]. En réalité, ces trois coquilles sont les armes des Astorg, une famille influente d'Aurillac dont certains sont allés en croisade. Le lien avec le ville de Compostelle ne remonte qu'au XIVe siècle avec la Grande Chanson qui met en scène des pèlerins partis d'Aurillac pour Compostelle[75].


Le chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or indique les bonnes villes et date de l'époque où Aurillac avait fourni un corps de deux cents hommes d'élite au roi Charles VII pour combattre les Anglais.


Armoiries (hypothétiques) de Saint :fr:Géraud d'Aurillac Géraud d'Aurillac : Parti d'or à l'engrêlure de sinople en chef, et de sinople à l'engrêlure d'or tout autour

Blasonnement des armes traditionnelles de l'abbaye et comté d'Aurillac :



« Parti d'or et de sinople, à la bordure engrêlée de l'un en l'autre. »



Ces armes étaient à l'origine la bannière de l'abbaye représentant un carré d'herbe, évocation d'un fait miraculeux relaté par Odon de Cluny dans la Vie de Saint Géraud d'Aurillac.


La couronne de comte rappelle que ce sont les armes de la région qui correspondait à l'ancien domaine du Comte Géraud, c'est-à-dire d'un territoire qui comprenait le Cantalès et le Carladès.



Voir aussi |



Bibliographie |



  • Le petit patrimoine d'Aurillac

  • Cavité souterraine naturelle et Habitat troglodytique

  • Alfred Durand, Aurillac, géographie urbaine, 1948, 254 pp.


  • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)
    Aurillac p. 78


  • Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet

  • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune



Articles connexes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • Liste des monuments historiques d'Aurillac

  • Liste des communes du Cantal

  • Abbaye Saint-Géraud d'Aurillac

  • Dialecte aurillacois

  • Piganiol Parapluies

  • Campus chorégraphique La Manufacture



Liens externes |



  • Site de la mairie


  • (fr)Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Auvergne-Rhône-Alpes


  • (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)



Notes et références |



Notes |





  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau
    des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999,
    que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les
    communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc.
    pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée
    par l’Insee pour l'ensemble des communes.



  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.




Références |




  1. a et b« Schéma de cohérence territoriale du Bassin d'Aurillac, du Carladès et de la Châtaigneraie », sur scotbacc.fr, juin 2015.


  2. Géologie de la France. Les Grands Articles d'Universalis, Encyclopaedia Universalis, 2016(lire en ligne), p. 17.


  3. Une ancienne carrière d'argile y est en voie de recolonisation végétale.


  4. a et bChristophe Viguier, ABC Biodiversité de la commune d'Ayrens, CPIE Auvergne, 2014, p. 23.


  5. Albert Dauzat, Toponymie française, Paris, Payot.


  6. Eugeen Roegiest, Vers les sources des langues romanes: un itinéraire linguistique à travers la Romania, ACCO, 2009, p. 82.


  7. Archéologie : une découverte extraordinaire en Auvergne


  8. Un pape à Aurillac


  9. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Aurillac, consultée le 27 octobre 2017


  10. Les comptes de la commune


  11. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee


  12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  14. Insee - Chiffres clés : Unité urbaine d'Aurillac (15401).


  15. Insee - Chiffres clés : Aire urbaine d'Aurillac (125).


  16. La Manufacture | Incubateur Chorégraphique Vendetta Mathea | Aurillac France | Danse


  17. Adresses et coordonnées de RCF Corrèze


  18. Coordonnées de Totem Auvergne


  19. Fiche de Radio Pays d'Aurillac sur SchooP


  20. Aurillac - Caussac (Photos)


  21. a b et c« Eglise Catholique d'Aurillac », sur eglise-catholique-aurillac.cef.fr (consulté le 28 juillet 2016)


  22. Église réformée - Aurillac.


  23. Église évangélique de Pentecôte


  24. Abeil


  25. Net-truck


  26. Aerodiscount


  27. Qualiac


  28. Base Mérimée : Abbatiale Saint-Géraud


  29. La peinture murale du XIIe au XVIIe siècle


  30. L’orgue Rabiny de l’abbatiale St Géraud d’Aurillac


  31. Notice no PM15000760, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune


  32. Notice no PM15000072, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue


  33. Anne Courtillé - Auvergne, Bourbonnais, Velay gothiques - p. 134-137 - Éditions A. et J. Picard - Paris - 2002 - (ISBN 2-7084-0683-3)


  34. Base Mérimée : Église Notre-Dame-aux-Bois


  35. Notre-Dame-aux-Neiges


  36. Base Mérimée : Église du Sacré Cœur


  37. Base Mérimée : Chapelle d'Aurinques


  38. Notice no PM15000080, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de la chapelle d'Auringues


  39. Monument aux morts de la ville


  40. Monument aux Morts, Plaque commémorative Église Saint-Géraud, Plaque commémorative 1939-1945, Monument commémoratif, Monument commémoratif 1870-1871 départemental, Plaque commémorative SNCF, Plaques commémoratives du Lycée Émile Duclaux, Mémorial, Sépulture collective


  41. Monument aux morts


  42. Base Mérimée : Ancien château fort Saint-Étienne


  43. Le musée d'Art et d'Archéologie d'Aurillac


  44. Le Muséum des Volcans


  45. Base Mérimée : Maison consulaire


  46. Maison des Consuls à Aurillac


  47. Clocheton de l'ancien collège des jésuites, actuel collége Jeanne-de-la-Treihe


  48. « Musée », notice no PA00093465, base Mérimée, ministère français de la Culture


  49. « Abbatiale Saint-Géraud », notice no PA00093448, base Mérimée, ministère français de la Culture


  50. Base Mérimée : Gendarmerie


  51. « Hôtel de Malras (nouvelle mairie) », notice no PA00093459, base Mérimée, ministère français de la Culture


  52. Base Mérimée : Hôtel de la Préfecture


  53. Kiosque à musique aurillacois


  54. pré-inventaire (jardins remarquables ; documentation préalable)


  55. « square dit jardin des Carmes », notice no IA15000289, base Mérimée, ministère français de la Culture


  56. « jardin dit Cours Angoulême », notice no IA15000290, base Mérimée, ministère français de la Culture


  57. « jardin potager des chantiers de Peyrolles et d'Aynès », notice no IA15000267, base Mérimée, ministère français de la Culture


  58. « cour jardin de l'hôtel Lasmol », notice no IA15000300, base Mérimée, ministère français de la Culture


  59. « square de Vic », notice no IA15000341, base Mérimée, ministère français de la Culture


  60. « jardin de l'Esplanade dite Le Gravier », notice no IA15000291, base Mérimée, ministère français de la Culture


  61. « jardin de la Préfecture », notice no IA15000327, base Mérimée, ministère français de la Culture


  62. « jardin du Moulin Decrin », notice no IA15000294, base Mérimée, ministère français de la Culture


  63. « parc du château de Fabrègues », notice no IA15000328, base Mérimée, ministère français de la Culture


  64. « parc de Tronquière », notice no IA15000288, base Mérimée, ministère français de la Culture


  65. « jardin d'agrément du château de Noalhac », notice no IA15000338, base Mérimée, ministère français de la Culture


  66. « parc du château de Saint-Etienne », notice no IA15000331, base Mérimée, ministère français de la Culture


  67. « jardin potager du chantier de Me Jean Casse », notice no IA15000268, base Mérimée, ministère français de la Culture


  68. Fontaine des Droits de l'Homme


  69. Fontaine aux grenouilles


  70. Notice sur e-monumen.net : Monument au pape Gerbert


  71. Base Mérimée : Statue du pape Gerbert


  72. Abel Beaufrère, sur le site de l'Académie française


  73. Claude Barthe, Joseph Malègue et le « roman d'idées » dans la crise moderniste in Les romanciers et le catholicisme, Éditions de Paris, 2004, p. 83-97, p. 92. (ISBN 2-85162-107-6)


  74. Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. De l'Auvergne au Quercy : Clermont-Ferrand - Aurillac - Cahors, Chamina, 2005, p. 7.


  75. Denise Péricard-Méa, Louis Mollaret, Dictionnaire de saint Jacques et Compostelle, Éditions Jean-Paul Gisserot, 2005, p. 18.




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