Hugues II de Chalon-Arlay
Naissance | 1334 |
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Décès | 1392 |
Famille | Maison d'Ivrée |
Père | Jean II de Chalon-Arlay |
Fratrie | Louis Ier de Chalon-Arlay |
Conjoint | Blanche de Genève |
Distinction | Chevalier de l'Ordre du Collier (d) |
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Hugues II de Chalon-Arlay (1334-1392) seigneur d'Arlay (Maison de Chalon-Arlay).
Sommaire
1 Biographie
2 Bibliographie
3 Voir aussi
4 Liens externes
5 Notes et références
Biographie |
Hugues naît en 1334, fils du seigneur Jean II de Chalon-Arlay et de Marguerite de Mello (Maison de Mello, fille du Seigneur de Château-Chinon et de Sainte-Hermine Dreux IV de Mello et d'Eléonore de Savoie, fille du duc d'Aoste et Comte Amédée V de Savoie)
Il épouse par dispense le 2 juillet 1363 Blanche, Dame de Frontenay, fille d'Amédée III de Genève et de Mathilde d'Auvergne, dite « Mahaut d'Auvergne » ou « de Boulogne »[1].
En 1364, il obtient de l'empereur Charles IV, les droits de l'empire sur Besançon. C'est ainsi qu'en 1366 qu'apparaît le terme de Franche-Comté pour désigner le comté de Bourgogne.
Il devient chevalier de l'ordre de l'Annonciade, créé par le Comte Vert Amédée VI de Savoie[2].
Il disparait en 1392, en se rendant en Hongrie, sans héritier. Son neveu Jean III de Chalon-Arlay (fils de son frère Louis Ier de Chalon-Arlay) lui succède au titre de seigneur de Chalon-Arlay.
Bibliographie |
- Thierry Le Hête, Les comtes palatins de Bourgogne - 1995
Voir aussi |
- Liste des seigneurs de Chalon-Arlay
Comté de Bourgogne - Liste des comtes palatins de Bourgogne - Histoire de la Franche-Comté - Maison d'Ivrée
Liens externes |
- Généalogie d'Hugues II de Chalon-Arlay
Notes et références |
Pierre Duparc, Le comté de Genève, (IXe-XVe siècles), t. XXXIX, Genève, Société d’histoire et d’archéologie de Genève, coll. « Mémoires et documents » (réimpr. 1978) (1re éd. 1955), 621 p. (lire en ligne), p. 302-303.
Amédée de Foras, Chevaliers de l'ordre du Collier de Savoie, dit de l'Annonciade, appartenant au duché de Savoie, de 1362 à 1860, Grenoble, Impr. de E. Allier, 1878, 42 p. (lire en ligne), p. 8.
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