Fourrage
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Un fourrage est, dans le domaine de l'agriculture, une plante ou un mélange de plantes utilisé pour l'alimentation des animaux d'élevage.
Il s'agit en premier lieu des parties herbacées des plantes (feuilles, tiges), mais aussi de racines, de parties de plantes ou de plantes entières que l'on utilise soit à l'état frais, soit conservées fraîches ou plus ou moins séchées. Certaines parties de plantes sont utilisées comme fourrages après transformation comme la pulpe de la betterave à sucre ou les tourteaux des différentes espèces oléifères...
Les fourrages sont utilisés pour nourrir les bovins, caprins, ovins, équins, mais également pour les porcins, camélidés, canards, oies, lapins, etc.
Sommaire
1 Étymologie et vocabulaire dérivé
2 Liste des plantes fourragères
2.1 Plantes sarclées
2.2 Plantes de grande culture
2.3 Plantes de prairies
2.3.1 Poacées (anciennement : graminées)
2.3.2 Fabacées (anciennement : légumineuses)
2.4 Arbres fourragers
3 Utilisation des fourrages
4 Méthode de conservation
5 Mode de distribution
6 Références
7 Voir aussi
7.1 Articles connexes
7.2 Liens externes
7.3 Bibliographie
Étymologie et vocabulaire dérivé |
Le terme fourrage est dérivé du français feurre (aussi fouarre), « fourrage pour les animaux » en ancien français, puis « paille de céréales » et « paille longue utilisée pour empailler les sièges, couvrir les habitations rurales » de manière plus contemporaine, suivi du suffixe -age[1]. Ce mot est désuet. Il trouve son origine dans un terme vieux bas francique *fodar, même sens, apparenté au moyen néerlandais voder et néerlandais voeder/voer, au vieux haut allemand fôtar qui a donné l'allemand Futter et à l'anglais fodder.
On parle aussi de
surface fourragère, qui est en France pour l'administration agricole la somme des surfaces destinées à l’alimentation des animaux (en France : de janvier à fin juillet, à l'exclusion des parcours ; elle est maintenant déclarée au travers des seuls intitulés de cultures et tout manquement au système de déclaration de surfaces fourragère peut impliquer une pénalité (réduction des aides PAC de l’année). Il peut s'agir de prés et prairies (naturelles ou non, permanentes ou non), d'estives (tant qu'il s'agit d'une surface non-partagée), de cultures fourragères annuelles (betterave fourragère, luzerne…) ainsi parfois que de maïs et céréales autoconsommées dans le cadre d'un système de type polyculture-élevage (notamment dans le cas des indemnités compensatoires des handicaps naturels, dits « ICHN »)[2]. Sous d'autres latitudes ou dans le passé, la surface fourragère peut aussi être partagée et gérée de manière communautaire (ex : prés communaux en France)
système fourrager Cette notion est récente et évolutive[3] ; on lui a d'ailleurs donné plusieurs définitions ; elle désignait d'abord l'« ensemble organisé des moyens destinés à produire les fourrages d'une exploitation ou d'un ensemble d'exploitation », pour A. Pousset (1974, 1978)[4],[5], il s'agit d'« un descriptif des cultures fourragères pratiquées, permettant de classer les exploitations ou les régions agricoles » (notion proche de celle d'assolement fourrager ou pour d'autres, c'est - de manière plus précise - « un ensemble de techniques allant du choix des fourrages jusqu'au revenu de l'éleveur en passant par l'assolement fourrager, la conduite générale de l'élevage... les investissements et le travail à mettre en œuvre, sans négliger le niveau technique de l'éleveur, ses goûts et ses idées personnelles », puis la définition a encore évolué pour aussi désigner « un système d'information et de décision visant à équilibrer les ressources et les besoins en fourrages »[6], éventuellement (depuis les années 2000 à l'aide de logiciels de simulation[7] et/ou d'aide à la décision de choix de gestion et d’affectation/utilisation de parcelles en herbe[6],[8]. C'est en tous cas l'un des éléments caractérisant le « système d'exploitation » et sa mise en œuvre dans l'espace et dans le temps. Pour l'Institut technique des céréales et des fourrages (ITCF) et l'établissement départemental d’élevage (EDE) d'Ille-et-Vilaine en 1977, il se définit aussi par le choix des espèces, de leur agencement combiné, de leurs proportions et de leurs modes de culture (fertiliation[9], irrigation[10]...) et d'exploitation (fauche, ensilage...), de l'assolement à la récolte[11].
Il peut être simple, mixte ou complexe. Une diversification des espèces, et un choix d'espèces complémentaires en termes de période de germination et de croissance (pour avoir du fourrage toute l'année), et en termes de nutrition (en associant graminées et légumineuses par exemple) et une certaine biodiversité sont des facteurs permettant de sécuriser le système et de le rendre écologiquement plus résilient face à divers aléas (ex : forte pluviométrie, grêles, gel, sécheresses, inondations, sécheresse ou canicule, etc.)[12]. « Les systèmes mixtes associant prairies, fourrages annuels, et cultures dérobées sont les plus robustes ». Dans tous les cas, il faut que les plantes fourragères soient bien adaptées au contexte édaphique et écopaysager local.
Région fourragère, une région où les systèmes herbagers sont dominants.
poisson-fourrage, le poisson pêché par la pêche minotière pour être transformer en farine de poisson ensuite utilisé dans l'alimentation animale.
Liste des plantes fourragères |
Les fourrages sont principalement constitués de plantes prairiales herbacées, essentiellement des graminées et secondairement des légumineuses[13]
, mais de nombreuses autres espèces de plantes sont cultivées pour l'alimentation des animaux domestiques herbivores et entrent dans la catégorie des plantes fourragères.
Plantes sarclées |
Les racines et éventuellement les parties aériennes sont utilisées comme fourrage.
Betterave fourragère, Beta vulgaris L. subsp. vulgaris, Chénopodiacées
Navet fourrager, ou chou navet Brassica napus L. var napobrassica (L) Rchb., Brassicacées
Chou fourrager, Brassica oleracea L. convar, acephala (DC) Alef., Brassicacées
Radis fourrager ou oléifère, Raphanus sativus L. var. oleiformis Pers.,
Plantes de grande culture |
Les parties aériennes sont récoltées et utilisées comme fourrage.
Colza fourrager, Brassica napus
Navette fourragère, Brassica rapa L.var silvestris
Pois fourrager, Pisum sativum L. subsp., Fabacées
Maïs fourrage, Zea Mays L., Poacées
Sorgho fourrager, Sorghum sudanense Stapf, Sorghum bicolor (L.) Moench., Poacées
Plantes de prairies |
Les parties aériennes sont pâturées ou fauchées afin d'être utilisées par les animaux en fourrage frais ou conservé en foin ou en ensilage.
Poacées (anciennement : graminées) |
Agrostide de chiens, Agrostis canina L.
Agrostide blanche, Agrostis gigantea Roth
Agrostide stolonifère, Agrostis stolonifera L.
Agrostide tenue, Agrostis capillaris L.- Alpiste des Canaries
Avoine jaunâtre, Trisetum flavescens (L.) P. Beauv.- Avoine des prés
- Avoine pubescente
- Brome
- Brome des champs
- Brome dressé
- Brome inerme
Brome mou, Bromus hordeaceus L
Brome, Bromus catharticus Vahl
Brome, Bromus sitchensis Trin.
- Canche cespiteuse
- Calamagrostide commune
Chiendent pied de poule, Cynodon dactylon (L.) Pers.
Crételle des prés Cynosurus cristatus
Dactyle, Dactylis glomerata L.
Fétuque
Fétuque géante, Festuca gigantea
- Fétuque hétérophylle
Fétuque élevée, Festuca arundinacea Schreber
Fétuque ovine ou Fétuque des moutons, Festuca ovina L.
Fétuque des prés, Festuca pratensis Hudson
Fétuque rouge Festuca rubra L.
Fléole
Fléole bulbeuse, Phleum bertolonii DC.
Fléole des prés, Phleum pratense L.- Fléole des Alpes
- Flouve odorante
Fromental, Arrhenatherum elatius (L.) P. Beauv. ex J.S. et K.B. Presl.
Herbe de Harding, Phalaris aquatica L.
Houlque
- Houlque laineuse
- Houlque molle
- Mélique penchée
- Millet étalé
- Molinie bleue
Pâturin
Pâturin annuel, Poa annua L.
Pâturin des bois, Poa nemoralis L.
Pâturin des marais, Poa palustris L.
Pâturin des prés, Poa pratensis L.
Pâturin commun, Poa trivialis L.
Ray-grass
Ray-grass d'Italie, Lolium multiflorum Lam.
Ray-grass anglais, Lolium perenne L.
Ray-grass hybride, Lolium X boucheanum Kunth
Vulpin
Vulpin des prés, Alopecurus pratensis L.
Vulpin des champs, Alopecurus myosuroides Huds.
Fabacées (anciennement : légumineuses) |
- Anthyllide vulnéraire
Fenugrec, Trigonella foenum-graecum L.
Fèverole, Vicia faba L. (partim)- Lotier
Lotier corniculé, Lotus corniculatus L.
Lotier des marais, Lotus pedunculatus
Luzerne
Luzerne cultivée, Medicago sativa L.
Luzerne lupuline (ou Minette), Medicago lupulina L.
Mélilot blanc, Melilotus albus
Pois fourrager, Pisum sativum L.
Sainfoin cultivé, Onobrychis viciifolia Scop.
Sainfoin d'Espagne, Hedysarum coronarium L.
Trèfle
Trèfle blanc, Trifolium repens L.
Trèfle d'Alexandrie, Trifolium alexandrinum L.
Trèfle de Micheli, Trifolium michelianum Savi.
Trèfle de Perse, Trifolium resupinatum L.
Trèfle hybride, Trifolium hybridum L.
Trèfle incarnat, Trifolium incarnatum L.
Trèfle intermédiaire, Trifolium medium L.
Trèfle violet, Trifolium pratense L.
Vesce de Pannonie, Vicia pannonica Crantz
Vesce commune, Vicia sativa L.
Vesce velue, vesce de Cerdagne, Vicia villosa Roth.
Arbres fourragers |
Certaines espèces d'arbre peuvent être utilisées comme fourrage grâce à leur feuillage ou à leurs fruits[14]. En climat tempéré, on peut citer le feuillage et les jeunes rameaux du frêne, de l'orme, du mûrier, du robinier, du peuplier ou de l'érable sycomore. Stocké pour l'hiver, le feuillage sec de frêne, de mûrier ou d'orme est souvent l'égal de la luzerne ou du sainfoin[15],[16].
D'autres arbres sont utilisés à la fois comme arbre fourrager et en agroforesterie. On peut citer l'albizzia, le paulownia ou l'argousier[17] sous climat tempéré ou Faidherbia et Acacia en régions arides.
On peut également utiliser les fruits du chêne, du châtaignier, du prunier, du pommier, du févier d'Amérique, etc.
Dans les zones tropicales de nombreuses autres espèces d'arbres fourragers sont consommées par les animaux.
Utilisation des fourrages |
Les plantes prairiales consommées par les animaux le sont principalement sur pied, issues de parcours, alpages, steppes, estives, montagne , etc. Elles sont aussi cultivées sous formes de prairies, permanentes ou temporaires. La consommation du fourrage par pâturage s'effectue pendant la saison de pousse de l'herbe, pour les animaux de pacage. Les prairies et parcours peuvent aussi être fauchés et distribués en frais, sous forme d'ensilage, ou en sec, aux animaux élevés dans des enclos.
Les différents fourrages et plantes fourragères sont distribués aux bêtes seuls, associés ou mélangés, par exemple avec des aliments concentrés (grains, ...).
L'ingestibilité d'un fourrage est d'autant plus faible que celui-ci est fibreux, c'est-à-dire riche en cellulose.
La paille, co-produit des cultures de céréales, peut ainsi être utilisée comme fourrage, notamment pour l'alimentation des bovins en période de sécheresse qui réduit les disponibilités en fourrage. Cependant ce produit est peu nutritif et peu appétant. Il est plutôt utilsé comme solution de secours en cas de disette. Certains agriculteurs des pays industrialisés l'additionnent d'urée (matière azotée) et de mélasse (pour améliorer l'appétence et la digestibilité).
Méthode de conservation |
Pour faire face aux besoins des bêtes en toutes saisons, il est nécessaire de conserver le fourrage. Plusieurs méthodes sont utilisées :
- le séchage naturel qui permet de produire le foin ;
- le séchage en grange par ventilation artificielle du foin récolté, méthode permettant d'améliorer le séchage naturel ;
- la déshydratation artificiel qui conduit au fourrage déshydraté, conditionné en bouchons ou granulés ;
- l'ensilage, mode de conservation par voie humide, basé sur une fermentation acide plus ou moins contrôlée en stockant la matière humide densément serrée, dans des silos.
- le stockage en tas pour des plantes qui respirent, telles que les betteraves fourragères.
- l'enrubannage qui utilise le même principe de conservation que l'ensilage mais à l'échelle d'une balle de foin que l'on a préalablement mise en anaérobiose en l'entourant d'un film plastique spécifique.
Mode de distribution |
Des matériels de distribution des fourrages conviennent aux particularités des différentes exploitations d'élevage. Le choix du mode de distribution varie en fonction du type de production des exploitations ainsi que du milieu dans lequel elles sont, en plaine ou en montagne.
Ces différents modes de distribution des fourrages sont :
- Le godet désileur :
Le godet désileur est de petite capacité. Il est généralement porté par un tracteur à bras télescopique. Il peut être fixé sur l´attelage avant ou arrière du tracteur ou sur le chargeur frontal. La capacité du godet est limitée, en raison de son poids, à 1,5 - 2 m3. Ce matériel est mal adapté à la réalisation de rations complexes. Pour limiter le temps passé à faire ce type de ration la zone de stockage doit se trouver à proximité de l'auge des animaux.
- La désileuse pailleuse:
La désileuse pailleuse est surtout utilisée pour sa polyvalence. Celle-ci peut permettre en effet de créer une ration mais aussi d'épandre de la paille. Certains modèles conviennent également pour distribuer de l´enrubannage et rendent ainsi possible la réalisation de rations complètes. L´ajout d´une trémie à concentrés permet d'enrichir la ration et favorise la régularité de la distribution. La désileuse pailleuse est un équipement maniable et peu encombrant. Dans tous les cas, un seul tracteur d´une puissance moyenne est suffisant.
- La remorque distributrice :
Cette machine demande peu de puissance. Un tracteur de 60 chevaux est suffisant pour une remorque de 10 m3. Toutefois, son chargement nécessite un second tracteur ou le dételage de celui-ci à plusieurs reprises. Comme pour les mélangeuses, la remorque distributrice convient aux exploitations ayant résolu le problème du paillage.
- La mélangeuse :
Différents matériels permettent de réaliser des mélanges avec de nombreux fourrages.
On distingue trois principaux modèles :
- La mélangeuse à pales
Le mélange réalisé est apprécié car il est aéré, homogène, et sa fibrosité est correcte.
- La mélangeuse à une ou deux vis horizontales
Ce matériel procure un mélange moins comprimé par comparaison aux modèles à 3, voire 4 vis horizontales.
Le fourrage et plus particulièrement le maïs, nécessite un chargement et un mélange complet. Lors du chargement, les éléments fragiles de la ration tels que le maïs doivent être chargés en dernier. Les vis permettant l´incorporation de balles entières requièrent un tracteur peu puissant.
- La mélangeuse à une vis verticale
Ce matériel donne la possibilité d´incorporer des fibres en quantité et de réaliser des rations aérées. La vis verticale permet le chargement sur trois côtés de balles entières. La forme du bol est importante pour que le mélange se fasse correctement[18].
- Robot d'alimentation :
Le robot d'alimentation est tout d'abord une faciliter de travail au éleveur car cela leur permet de gagner du temps lors de la réalisation de la ration. Ensuite cela permet de limiter un maximum les refus car la ration est distribuer plusieurs fois par jours en fonction de la quantité de ration qu'il reste dans l'auge. De plus celui-ci permet un meilleur suivi de l'élevage par l'éleveur car il a accès à des informations faciles à comprendre, les éleveurs laitiers et de bovins viande peuvent mieux gérer l’alimentation de leur troupeau. Des informations en temps réel aident l'éleveur à prendre des décisions sur l'alimentation des animaux pour améliorer l'efficacité alimentaire. La réduction des refus a un effet positif sur la marge alimentaire et offrant à l'éleveur davantage de rentabilité[19].
Désileuse mélangeuse automotrice : Les désileuses mélangeuses automotrices se sont beaucoup développés ces dernières années dans le monde grâce aux Cuma de désilage. Aujourd’hui, le marché des automotrices est en plein développement et se partage beaucoup entre les grandes exploitations et les Cuma. Pour celle-ci, les automotrices permettent aux petites et moyennes exploitations d’accéder à des technologies et des modes d’alimentation comme les rations complète qu’il serait difficile de faire avec une mélangeuse traînée. La désileuse, mélangeuse automotrice est un confort de travail supplémentaire pour les éleveur car cela leur permet d'avoir un seul matériel pour faire la ration au lieu de deux matériels pour les autres méthodes de distribution. De plus cela permet d'être beaucoup plus précis dans les quantité de fourrager ingérer dans la ration tandis que dans les mélangeuse normale il faut charger aux tracteur et le mélange n'est pas toujours précis. D’un point de vue technique, la fraise et le convoyeur constituent un équipement important sur l’automotrice. Ils assurent l’autonomie de la machine et est combinés au système de pesée. Ils permettent de constituer une ration avec des quantités précises. Difficile en effet de charger 200 kg de foin avec exactitude en un minimum de temps avec un chargeur frontal ou télescopique, même équipé d’un capteur de pesée[20].
Références |
Site du cnrtl : étymologie de feurre
PAC : Surfaces fourragères - 2014, par la chambre d'Agriculture de Normandie (2014)
Planquaert P & Mathieu J (1977) « Évolution probable des systèmes fourragers en France », Fourrages n? 72,239-246.
Pousset A (1974) « Physionomie actuelle de la production fourragère et de sa fertilisation », Fourrages 57,3-42
Pousset A (1978) : « Évolution récente des productions fourragères en France et de leur intensification », Fourrages 73, 3-30.
Moreau JC, Delaby L, Duru M, Guérin G (2009) Démarches et outils de conseil autour du système fourrager : évolutions et concepts ; Fourrages 200, 565-586
CROS M.J., DURU M., GARCIA F., GRASSET M., LEGALLA., MARTIN-CLOUAIRE R., PEyRE D., DELABy L., FIORELLI J.L., PEyRAUD J.L. (2000) : “ Évaluation d’un simulateur de stratégies de pâturage de vaches laitières”, rencontres rech. ruminants, 333-336.
Delaby L, Peyraud JL., Faverdin P (2001) : “Pâtur’IN : le pâturage des vaches laitières assisté par ordinateur”, Fourrages, 167, 385-398
Salette J, Bonischot R, CapIllon A, Cossée B, Demarquilly C, Jourdan O, Pousset A & Saget J (1990) “remarques et réflexions sur les attitudes et comportements des éleveurs en matière de fertilisation”, Fourrages, 122, 113-118.
Jarrige R (1988) « Dépenses, besoins et capacité d'irrigation » ; Alimentation des bovins, ovins et caprins, INRA, 17-28.
ITCF EDE d'Ille-et-Vilaine (1977) Bilan de trois années d'observation d'un système fourrager destiné à l'alimentation des vaches laitières, Rennes, E.D.E. d'Ille-et- Vilaine.
Produire des fourrages toute l'année pour faire face aux aléas climatiques, Polyculture-élevage, Arvalis, 2012-11-08, consulté 2014-07-08
J.D. Arnaud, A. Le Gall, A. Pflimlin, « Evolution des surfaces en légumineuses fourragères en France », Fourrages, AFPF, no 134, 1993, p. 145 -154 (lire en ligne)
(en) « Feedipedia : Animal feed ressources information system » (consulté le 4 février 2018).
M. Lachaux, L. de Bonneval , P. Delabraze, « Pratiques anciennes et perspectives d'utilisation fourragère des arbres », Fourrages, AFPF, no Hors Série, 1987, p. 81-106 (lire en ligne)
"Les haies rurales: rôles, création, entretien" par Fabien Liagre - Édition France agricole 2006
Quelques idées sur les pratiques agroécologiques.
« Un vaste choix de concepts d´affouragement », sur Réussir Bovins Viande (consulté le 25 avril 2016)
« Alimentation | Lely », sur www.lely.com (consulté le 25 avril 2016)
« Autonomie et débit de chantier grâce aux automotrices », sur Réussir Lait (consulté le 25 avril 2016)
Voir aussi |
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Articles connexes |
- Foin
- Ensilage
- Alimentation animale
- Regain
- Unité fourragère
- système d’exploitation
- Légumineuse fourragère
Liens externes |
Les plantes fourragères pour les prairies — Site d'information sur les plantes fourragères et les prairies pour les éleveurs, techniciens, enseignants et étudiants
Association Française pour la Production Fourragère Site de référence sur les fourrages réalisé par l'AFPF- Revue Fourrages : revue scientifique francophone sur les prairies et les ressources fourragères
- Les cultures fourragères, graminées et légumineuses, maladies et ravageurs sur le site ephytia
- Feedipedia (animal feed ressouces information system) : Site de ressources multilangues sur l'alimentation animale réalisé par l'INRA, le Cirad, l'AFZ et la FAO
Bibliographie |
- Henri Lecoq, Traité des plantes fourragères, ou flore des prairies naturelles et artificielles de la France, Paris : chez H. Cousin, 1844 [1]
- DURU M., GIBON A & OSTy P.L. (1986) : pour une approche renouvelée du système fourrager, communication colloque DMDR, Paris, 13 p.
- DURU M., FIORELLI J.L & OSTy P.L. (1988) : “Propositions pour le choix et la maîtrise du système fourrager, Notion de trésorerie fourragère”, Fourrages, 113, 37-56.
- DURU M. (2000) : “Le volume d’herbe disponible par vache : un indicateur synthétique pour évaluer et conduire un pâturage tournant”, Inra prod. anim., 13, 5, 325-336
- GREENE R.A & OLIVER D.P. (1983) : adas grassland management calendar, ADAS.
- Guérin G& Rouquette JL (1990) : appui technique ovin, systèmes d’alimentation / 1. utilisation et gestion des surfaces fourragères et pastorales, PublITOVIC, 40 p.
- Guérin G., Léger F & Pflimlin A. (1994) : stratégie d’alimentation. méthodologie d’analyse et de diagnostic de l’utilisation et de la gestion des surfaces fourragères et pastorales, Institut de l’Elevage, collection Lignes, 36 p.
- Institut de l’Élevage (1999) : mallette référentiel pastoral parcellaire (document de présentation et d’utilisation, fiches d’itinéraires parcellaires), 405 p.
- Institut de l’Elevage (1999) : renouvellement des références fourragères régionalisées, bilan de l’action 1997, compte rendu no 9993301, Institut de l’Élevage, Unité de Programme “systèmes fourragers”, 80 p.
- Lebrun V (1982) Comment gérer le pâturage, ITEB, Paris, 46 p.
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