Tony Curtis





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Tony Curtis



Description de cette image, également commentée ci-après

Tony Curtis en 1958.










































Nom de naissance
Bernard Schwartz
Surnom
Anthony Curtis
Bernie Schwartz
Naissance
3 juin 1925
New York, États-Unis
Nationalité
Drapeau des États-Unis Américaine
Décès
29 septembre 2010(à 85 ans)
Henderson, États-Unis
Profession
Acteur
Producteur
Artiste-peintre
Films notables
Trapèze
Le Grand Chantage
Les Vikings
Certains l'aiment chaud
Spartacus
L'Étrangleur de Boston
Séries notables
Amicalement vôtre
Site internet
http://tonycurtis.com/



Tony Curtis, de son nom de naissance Bernard Schwartz, est un acteur et producteur américain, né le 3 juin 1925 à New York (États-Unis), et mort le 29 septembre 2010[1] à Henderson[2], dans le Nevada. Acteur incontournable des années 1950 et 1960, il est entré dans la légende du cinéma grâce à ses rôles dans Le Grand Chantage, Les Vikings, Spartacus et surtout Certains l'aiment chaud, qu'il a tourné aux côtés de Jack Lemmon. Habitué aux rôles de playboy dans des comédies légères, il a su toutefois montrer qu'il était capable d'assurer un registre dramatique, notamment dans L'Étrangleur de Boston. Il est également connu pour sa participation à la série télévisée Amicalement Vôtre avec Roger Moore. Retiré du cinéma, il s'adonnait principalement depuis les années 1980 à la peinture et à la photographie.




Sommaire






  • 1 Jeunesse et débuts au cinéma


  • 2 Star internationale


  • 3 Fin de carrière


  • 4 Vie privée


  • 5 Informations


  • 6 Filmographie


    • 6.1 Cinéma


      • 6.1.1 Années 1940


      • 6.1.2 Années 1950


      • 6.1.3 Années 1960


      • 6.1.4 Années 1970


      • 6.1.5 Années 1980


      • 6.1.6 Années 1990


      • 6.1.7 Années 2000




    • 6.2 Télévision


      • 6.2.1 Années 1970


      • 6.2.2 Années 1980


      • 6.2.3 Années 1990


      • 6.2.4 Années 2000






  • 7 Publication


  • 8 Voix françaises


  • 9 Notes et références


  • 10 Voir aussi


    • 10.1 Liens externes







Jeunesse et débuts au cinéma |


Bernard Schwartz est le fils aîné d'Emanuel et Helen Schwartz, émigrés juifs hongrois. Il vit dans la misère, dans la boutique de tailleur de son père en compagnie de ses deux frères cadets (Julius [1929-1938] et Robert [1940-1992]), auprès d'une mère schizophrène et dure : « Quand j'étais enfant, maman me battait et fut très agressive et hostile ». Le plus jeune de ses frères, Robert est placé en institution psychiatrique, en conséquence du comportement de sa mère. Julius est heurté et tué par un camion lorsque Tony a treize ans. Tony Curtis est d'ailleurs profondément marqué par cet accident, son frère étant son meilleur — et peut-être son seul — ami. Il passe beaucoup de temps dans les rues du Bronx, où il a de mauvaises fréquentations, et finit par se faire arrêter et placer en centre de redressement[3]. C'est là qu'il découvre le théâtre et le cinéma, et son envie de vouloir y briller.


Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a servi dans l'U.S. Navy entre 1942 et 1945, à bord du ravitailleur de sous-marin USS Proteus (AS-19) (en) à l'âge de 16 ans. Il assiste à la capitulation du Japon dans la baie de Tokyo, le 2 septembre 1945. Ancien combattant, on lui octroie une bourse qui lui permet de s'inscrire dans un cours d'art dramatique à New York. C'est au cours d'une pièce de théâtre, Golden Boy, qu'il est repéré par un agent d'Universal, Bob Goldstein, qui lui fait signer un contrat de sept ans[4]. Il arrive à Hollywood en 1948, âgé de 23 ans. De son propre aveu, à cette époque, il est surtout intéressé par les filles et l'argent. Universal souhaitant masquer les origines juives de son nom, Bernard propose d'adopter comme pseudonyme le patronyme d'un de ses ancêtres hongrois, Kertész, mais le dénicheur de talent Bob Goldstein l'incite à l'angliciser en Curtis. L'acteur choisit le prénom Anthony en référence au roman d'Hervey Allen Anthony Adverse qu'il aime beaucoup. Le pseudonyme Anthony Curtis se transforme rapidement en Tony Curtis qui apparaît pour la première fois dans le film Kansas en feu en 1950[5].



Star internationale |




Tony Curtis, Janet Leigh, leurs enfants Kelly et Jamie Lee Curtis en 1960


Il tourne d'abord un certain nombre de séries B sans intérêt. Il obtient son premier rôle important auprès de James Stewart dans Winchester '73 et la même année dans Le Voleur de Tanger de Rudolph Maté où son physique athlétique et son visage bronzé lui permettent de jouer les personnages « orientaux », comme dans Houdini le grand magicien ou Le Fils d'Ali Baba. Il rencontre et épouse l'actrice Janet Leigh le 4 juin 1951. Ils auront deux enfants : Kelly (1956) et Jamie (1958), toutes deux plus connues sous les noms de Kelly Curtis et de Jamie Lee Curtis.


Son premier grand film est Trapèze avec Burt Lancaster en 1956, qui reçoit plusieurs récompenses. Sa performance dramatique ne passe pas inaperçue. L'année suivante, il reforme avec Lancaster un duo pour un film charnière dans sa carrière, Le Grand Chantage (Sweet Smell of Success), qui le consacre véritablement à Hollywood.




Tony Curtis et Sidney Poitier dans La Chaîne (1958)


La superstar Kirk Douglas, producteur et acteur principal du film Les Vikings, l'engage avec Janet Leigh pour jouer Eric, l'esclave demi-frère et ennemi de Einar (interprété par Douglas). Cette fresque historique est un immense succès à travers le monde. Toujours avec sa femme, il tourne sous la direction de Blake Edwards Vacances à Paris, une comédie romantique légère, ainsi qu'Opération Jupons, dans lequel il interprète un officier de l'US Navy. Ces films le confortent dans les rôles de séducteur playboy. La Chaîne, de Stanley Kramer la même année est également un grand succès : il est nommé à l'Oscar du Meilleur Acteur sans toutefois le remporter.


Un autre maître de la comédie, Billy Wilder fait appel à lui et à Jack Lemmon pour donner la réplique à Marilyn Monroe dans un classique du cinéma Certains l'aiment chaud, film considéré par l'AFI comme la plus grande comédie de tous les temps. Associé avec sa femme dans une société de production, il produit et interprète Qui était donc cette dame ?. Insistant pour avoir un rôle dans la nouvelle superproduction de Kirk Douglas, ce dernier lui crée un rôle dans Spartacus, celui du poète Antoninus. Il apporte de la fraîcheur au film Deux têtes folles avec Audrey Hepburn et William Holden et, retrouvant Douglas et Lancaster, il participe au naufrage commercial du film Le Dernier de la liste de John Huston. Le 18 juillet 1962, il divorce de Janet Leigh.


Les films qui suivent ne marquent pas la mémoire des cinéphiles : Une Vierge sur canapé avec Natalie Wood ou La Grande Course autour du monde constituent toutefois des divertissements de qualité. Il donne la réplique à Jerry Lewis dans Boeing Boeing en 1965 et prête sa voix à Roman Polanski pour son Rosemary's baby. Voulant réellement prouver qu'il est un acteur dramatique capable, et pas seulement un comique bon aux films commerciaux, il insiste pour jouer le rôle principal de L'Etrangleur de Boston. Appuyé par le réalisateur Richard Fleischer, et pour un cachet ridicule, il obtient le rôle et une nomination aux Golden Globes.



Fin de carrière |




Tony Curtis au Festival de Cannes 1997


Dès lors, Tony Curtis se tourne vers la télévision. Son dernier grand rôle marquant au cinéma est celui de Chester Schofield dans Gonflés à bloc de Ken Annakin en 1969. Une seconde carrière s'ouvre alors à lui, grâce à la série Amicalement vôtre en 1971 avec Roger Moore qui ne dura qu'une seule saison, faute de ne pas avoir plu au public américain. En France, on se souvient autant de son personnage, que de sa voix française, doublée par Michel Roux. Il apparaît aussi dans les séries McCoy et Vega$ ainsi que dans le dernier épisode de la saison 5 (24-25) des Experts réalisé par Quentin Tarantino, où il fait une brève apparition.


Retiré du cinéma et de la télévision, Tony Curtis mène une carrière de peintre à partir des années 1980. Ses toiles valent à présent près de 25 000 dollars et sont exposées à la galerie Tony Vanderploeg à Carmel en Californie. Il possède son étoile sur le Walk of Fame à Hollywood et a été fait chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres en France, en 1995.


En 2002, Tony Curtis reprit en tournée le rôle du millionnaire Osgood Fielding III dans Certains l'aiment chaud, une version révisée de la comédie musicale Sugar donnée à Broadway en 1972 et inspirée du film de Billy Wilder dans lequel ce rôle avait été interprété par Joe E. Brown. Il faillit mourir d'une pneumonie lors du Noël 2006.


Acteur populaire et internationalement connu, il n'a cependant jamais reçu de Golden Globe, ni d'Oscar.


Tony Curtis meurt le 29 septembre 2010 à l'âge de 85 ans à son domicile[6] à Henderson[7], à la suite d'une insuffisance cardiaque.



Vie privée |




Tony Curtis en 2009


Tony Curtis a été marié six fois, et est père de six enfants[8] :



  • Sa première épouse, de loin la plus connue, était l'actrice Janet Leigh (1927-2004), avec qui il est resté marié onze ans, et qui lui donnera deux filles : Kelly Curtis (née en 1956) et Jamie Lee Curtis (née en 1958), toutes deux actrices ;


  • Christine Kaufmann (1945-2017), dont il aura deux filles : Alexandra (née en 1964) et Allegra (née en 1966) ;

  • Leslie Allen, qui lui donnera deux fils : Nicholas Curtis, (1971-1994), acteur, et Benjamin Curtis (1973) ;

  • Andrea Savio ;

  • Lisa Deutsch ;

  • Jill Vandenberg Curtis (née en 1971)[9], sa veuve.


Il souffrait de la peur de l'avion (aérodromophobie). Il a milité avec l'actrice Bo Derek contre l'abattage des chevaux. En hommage à ses origines, hongroise et juive, Tony Curtis a participé financièrement à la restauration de la Grande synagogue de Budapest (la plus grande d'Europe).



Informations |




  • Il apparaît en compagnie d'autres célébrités sur la pochette du célèbre album des Beatles Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band, sorti en 1967.

  • Il changea son nom en raison de la forte pression anti-allemande qui existait en Amérique.

  • Dans l'épisode de la série Amicalement vôtre (The Persuaders) Un Drôle D'Oiseau (The Old, the New and the Deadly), on demande un certain « M. Schwartz » au téléphone : le vrai nom de Tony Curtis.

  • Tony Curtis apparaît à deux reprises chez Quentin Tarantino : dans Jackie Brown, lors d'un entretien télévisé où l'acteur évoque sa passion pour les femmes ; puis dans la série Les Experts, (saison 5, épisode 24 : Jusqu'au dernier souffle), où il joue son propre rôle.



Filmographie |



Cinéma |



Années 1940 |




  • 1949 : Graine de faubourg (City Across the River) de Maxwell Shane : Mitch

  • 1949 : Une femme joue son bonheur (The Lady Gambles) de Michael Gordon : un groom

  • 1949 : Pour toi j'ai tué (Criss Cross ) de Robert Siodmak : un gigolo

  • 1949 : Johnny Stool Pigeon de William Castle : Joey Hyatt



Années 1950 |




  • 1950 : Winchester '73 de Anthony Mann : Doan

  • 1950 : Francis, le mulet qui parle (Francis) d'Arthur Lubin : capitaine Jones (le générique du film mentionne 1949)

  • 1950 : I Was a Shoplifter de Charles Lamont : Pepe

  • 1950 : Sierra d'Alfred E. Green : Brent Coulter

  • 1950 : Kansas en feu (Kansas Raiders) de Ray Enright : Kit Dalton


  • 1951 : Le Voleur de Tanger (The Prince Who Was a Thief) de Rudolph Maté : Julna


  • 1952 : Flesh and Fury de Joseph Pevney : Paul Callan

  • 1952 : No Room for the Groom de Douglas Sirk : Alvah Morrell

  • 1952 : Le Fils d'Ali Baba (Son of Ali Baba) de Kurt Neumann : Kashma Baba


  • 1953 : Houdini le grand magicien (Houdini) de George Marshall : Harry Houdini

  • 1953 : The All American de Jesse Hibbs : Nick Bonelli

  • 1953 : Double filature (Forbidden) de Rudolph Maté : Eddie Darrow

  • 1953 : La Patrouille infernale (Beachead) de Stuart Heisler : Burke


  • 1954 : Le Chevalier du roi (The Black Shield of Falworth) de Rudolph Maté : Myles

  • 1954 : Les Bolides de l'enfer (Johnny Dark) de George Sherman : Johnny Dark


  • 1955 : La Police était au rendez-vous (Six Bridges to Cross) de Joseph Pevney : Jerry Florea

  • 1955 : Ça c'est Paris (So This Is Paris) de Richard Quine : Joe Maxwell

  • 1955 : Le Cavalier au masque (The Purple Mask) de H. Bruce Humberstone : Rene de Traviere

  • 1955 : Les Années sauvages (The Rawhide Years) de Rudolph Maté : Ben Matthews

  • 1955 : The Square Jungle de Jerry Hopper : Eddie Quaid / Packy Glennon


  • 1956 : Trapèze (Trapeze) de Carol Reed : Tino Orsini


  • 1957 : L'Extravagant Monsieur Cory (Mister Cory) de Blake Edwards : Cory

  • 1957 : Rendez-vous avec une ombre (The Midnight Story) de Joseph Pevney : Joe Martini


  • 1957 : Le Grand Chantage (Sweet Smell of Success) de Alexander Mackendrick : Sidney Falco


  • 1958 : Les Vikings (The Vikings) de Richard Fleischer : Eric

  • 1958 : La Chaîne (The Defiant Ones) de Stanley Kramer : John Jackson

  • 1958 : Les Diables au soleil (Kings Go Forth) de Delmer Daves : caporal Britt Harris

  • 1958 : Vacances à Paris (The Perfect Furlough) de Blake Edwards : caporal Paul Hodges


  • 1959 : Certains l'aiment chaud (Some Like It Hot) de Billy Wilder : Joe

  • 1959 : Opération jupons (Operation Petticoat) de Blake Edwards : lieutenant J. G. Nicholas Holden



Années 1960 |




  • 1960 : Qui était donc cette dame ? (Who Was That Lady?) de George Sidney : David Wilson

  • 1960 : Spartacus de Stanley Kubrick : Antoninus

  • 1960 : Pepe de George Sidney : Tony Curtis

  • 1960 : Les Pièges de Broadway (The Rat Race) de Robert Mulligan : Pete Hammond Jr.


  • 1961 : Le Roi des imposteurs (The Great Impostor) de Robert Mulligan : Ferdinand Waldo Demara Jr./Martin Donner/Dr Gilbert/Ben W. Stone/Dr Joseph Morney/Robert Boyd Hammnd

  • 1961 : Le héros d'Iwo Jima (The Outsider) de Delbert Mann : Ira Hamilton Hayes


  • 1962 : Tarass Boulba de J. Lee Thompson : Andrei Bulba

  • 1962 : Des ennuis à la pelle (40 Pounds of Trouble) de Norman Jewison : Steve McCluskey


  • 1963 : Le Dernier de la liste (The List of Adrian Messenger) de John Huston : caméo

  • 1963 : Le Combat du Capitaine Newman (Captain Newman, M.D.) de David Miller : caporal Jackson Leibowitz


  • 1964 : Deux têtes folles (Paris, When It Sizzles) de Richard Quine : Maurice/Philippe

  • 1964 : Au revoir, Charlie (Goodbye Charlie) de Vincente Minnelli : George Tracy

  • 1964 : La mariée a du chien (Wild and Wonderful) de Michael Anderson : Terry Williams

  • 1964 : Une Vierge sur canapé (Sex and the Single Girl) de Richard Quine : Bob Weston


  • 1965 : La Grande Course autour du monde (The Great Race) de Blake Edwards : le grand Leslie

  • 1965 : Boeing Boeing (Boeing (707) Boeing (707)) de John Rich : Bernard Lawrence


  • 1966 : La Chambre des horreurs (Chamber of Horrors) de Hy Averback : M. Julian (caméo)

  • 1966 : Deux minets pour Juliette ! (Not with My Wife, You Don't!) de Norman Panama : Tom Ferris

  • 1966 : Drop Dead Darling (Arrivederci baby) de Ken Hughes : Nick Johnson


  • 1967 : Comment réussir en amour sans se fatiguer (Don't Make Waves) d'Alexander Mackendrick : Carlo Cofield

  • 1967 : La ceinture de chasteté (La Cintura di castita) de Pasquale Festa Campanile : Guerrando da Montone


  • 1968 : Rosemary's baby de Roman Polanski : Donald Baumgart (voix) (non crédité)

  • 1968 : L'Étrangleur de Boston (The Boston Strangler) de Richard Fleischer : Albert DeSalvo


  • 1969 : Gonflés à bloc (Monte Carlo or Bust) de Ken Annakin : Chester Schofield



Années 1970 |




  • 1970 : Les Baroudeurs (You Can't Win 'Em All) de Peter Collinson : Adam Dyer

  • 1970 : Trois réservistes en java (Suppose They Gave a War and Nobody Came?) d'Hy Averback : Shannon Gambroni


  • 1975 : Lepke, le caïd de Menahem Golan : Louis Buchalter

  • 1976 : Le Dernier Nabab (The Last Tycoon) de Elia Kazan : Rodriguez

  • 1976 : Treize femmes pour Casanova (Casanova and co) de Franz Antel : Giacomo/Casanova


  • 1978 : The Bad News Bears go to Japan de John Berry : Marvin Lazar

  • 1978 : Le Faiseur d'épouvantes (The Manitou) de William Girdler : Harry Erskine

  • 1978 : Sextette de Ken Hughes : Alexei Karansky


  • 1979 : Title shot de Les Rose : Frank Renzetti



Années 1980 |




  • 1980 : Deux affreux sur le sable (It Rained All Night the Day I Left) de Nicolas Gessner : Robert Talbot

  • 1980 : Le miroir se brisa (The Mirror Crack'd) de Guy Hamilton : Martin N. Fenn

  • 1980 : La Puce et le Grincheux (Little Miss Marker) de Walter Bernstein : Blackie


  • 1982 : Othello, el comando negro de Max H. Boulois : colonel Iago


  • 1983 : Brainwaves de Ulli Lommel : Dr Clavius

  • 1983 : Baloba de James Polakoff : Ernie Stoddard


  • 1984 : Where is Parsifal? d'Henri Helman : Parsifal Katznellenbogen


  • 1985 : Insignificance de Nicolas Roeg : un sénateur


  • 1986 : Club Life de Norman Thaddeus Vane : Hector

  • 1986 : Banter de Hervé Hachuel : Charles Foster


  • 1988 : Le passager : Welcome to Germany de Thomas Brasch : M. Cornfield


  • 1989 : L'Homme homard venu de Mars (Lobster Man from Mars) de Stanley Sheff : J.P. Shelldrake

  • 1989 : Midnight de Norman Thaddeus Vane : M. B

  • 1989 : Walter & Carlo i Amerika de Jarl Friis-Mikkelsen et Ole Stephensen : Willy La Rouge



Années 1990 |




  • 1991 : Prime Target de David Heavener et Phillip J. Roth : Marietta Copella


  • 1992 : Center of the Web de David A. Prior : Stephen Moore


  • 1993 : Momie : la Résurrection (The Mummy Lives) de Gerry O'Hara : Aziru/Dr Mohassid

  • 1993 : Naked in New York de Daniel Algrant: Carl Fisher


  • 1995 : The Immortals de Brian Grant : Dominic


  • 1997 : Hardball de George Erschbammer : Wald

  • 1997 : Brittle Glory de Stewart Schill : Jack Steele

  • 1997 : Jackie Brown de Quentin Tarantino: lui-même (images d'archives)[réf. souhaitée]


  • 1998 : Louis & Frank d'Alexandre Rockwell : Lenny Star Springer

  • 1998 : Stargames de Greydon Clark : King Fendel


  • 1999 : Les adversaires (Play It to the Bone) de Ron Shelton : un fan dans le coin du ring



Années 2000 |




  • 2002 : Reflections of Evil de Damon Packard : un invité


  • 2008 : David & Fatima d'Alain Zatoum : M. Schwartz



Télévision |



Années 1970 |




  • 1971-1972 : Amicalement vôtre… (The Persuaders!) : Danny (Daniel) Wilde


  • 1973 : The Third Girl from the Left (téléfilm) : Joey Jordan

  • 1973 : Shaft (série TV) : Clifford Grayson


  • 1975 : Le Comte de Monte-Cristo (The Count of Monte Cristo) (téléfilm) : Fernand Mondego

  • 1975 : Le Grand Jeu (téléfilm) : McCoy

  • 1975 : McCoy (série TV) : McCoy


  • 1978 : The Users (téléfilm) : Randy Brent


  • 1978-1981 : Vega$ (série TV) : Roth



Années 1980 |




  • 1980 : The Scarlett O'Hara War (en) (téléfilm) : David O'Selznick


  • 1981 : Inmates : A Love Story (téléfilm) : Flanagan

  • 1981 : The Million Dollar Face (téléfilm) : Chester Masterson


  • 1982 : Portrait of a Showgirl (téléfilm) : Joey DeLeon


  • 1983 : L'Homme qui tombe à pic (The Fall Guy) (série TV) : Joe O'Hara


  • 1986 : Mafia Princess (téléfilm) : Sam Giancana

  • 1986 : Meurtre en trois actes (Murder in Three Acts) (téléfilm) : Charles Cartwright


  • 1989 : Charlie (téléfilm) : Scott Parish

  • 1989 : Tarzan à New York (Tarzan in Manhattan) (téléfilm) : Archimedes Porter



Années 1990 |




  • 1990 : Thanksgiving Day (téléfilm) : Max Schloss


  • 1992 : Christmas in Connecticut (téléfilm) : Alexander Yardley


  • 1994 : Bandit: Beauty and the Bandit (téléfilm) : Lucky Bergstrom

  • 1994 : A Perry Mason Mystery: The Case of the Grimacing Governor (téléfilm) : Johnny Steele


  • 1996 : Loïs et Clark (Loïs & Clark : The New Adventures of Superman) (série TV) : Dr Mamba (saison 3 épisode 15)

  • 1996 : Roseanne (série TV) : Hal


  • 1998 : Susan! (série TV) : Peter DiCaprio



Années 2000 |




  • 2005 : La star de la famille (Hope & Faith) (série TV) : Morris

  • 2005 : Les Experts: Las Vegas (CSI: Las Vegas) (série TV) : lui-même



Publication |


  • Tony Curtis et Mark Vieira (trad. David Fauquemberg), Certains l'aiment chaud et Marilyn, Monaco-Paris, France, Le Serpent à Plumes, 2010, 316 p. (ISBN 978-2-268-06924-1)


Voix françaises |


Au début de sa carrière, Tony Curtis était principalement doublé par Hubert Noël puis occasionnellement par Jean-Claude Michel. Par la suite, Michel Roux devint sa voix française régulière.




Notes et références |




  1. Tony Curtis, Hollywood Leading Man, Dies at 85


  2. Mort Tony Curtis : Décès de l'acteur américain de légende sur LeMag-VIP


  3. (en) Aubrey Malone, The Defiant One. A Biography of Tony Curtis, McFarland, 2013, p. 11.


  4. (en) Aubrey Malone, The Defiant One. A Biography of Tony Curtis, McFarland, 2013, p. 15.


  5. (en) Aubrey Malone, The Defiant One. A Biography of Tony Curtis, McFarland, 2013, p. 25.


  6. Domicile de Tony Curtis


  7. (en) "Breaking News : Actor Tony Curtis Has Passed Away" sur etonline.com


  8. sur NNDB


  9. Jill Vandenberg Curtis : Biography sur l'Internet Movie Database



Voir aussi |


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  • (en) Tony Curtis sur l’Internet Movie Database


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