Jean-Claude Brialy
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Naissance | 30 mars 1933 Aumale (Algérie) |
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Nationalité | Français |
Décès | 30 mai 2007(à 74 ans) Monthyon (Seine-et-Marne, France) |
Profession | Acteur Réalisateur Scénariste |
Films notables | Le Beau Serge Les Cousins La mariée était en noir Une femme est une femme Le Genou de Claire L'Effrontée Les innocents |
Jean-Claude Brialy est un acteur, réalisateur, scénariste et écrivain français, né le 30 mars 1933 à Aumale, en Algérie, et mort le 30 mai 2007 à Monthyon (Seine-et-Marne).
Issu de la Nouvelle Vague du cinéma français, il a joué dans plus de deux cents films au cours d'une carrière commencée en 1956 et a côtoyé de grands réalisateurs tels que Louis Malle, Claude Chabrol, François Truffaut ou Éric Rohmer mais aussi Philippe de Broca. Vedette (Le Beau Serge) ou second rôle, il a été nommé pour le César du meilleur acteur dans un second rôle avec Le Juge et l’Assassin en 1977 et l'a remporté avec Les Innocents en 1988.
Sommaire
1 Une formation de comédien
2 Du cinéma à la télévision
3 Le théâtre et l’écriture
4 Fin de sa vie
5 Vie privée
6 Théâtre
6.1 En tant qu'acteur
6.2 En tant que metteur en scène
7 Filmographie
7.1 En tant qu'acteur
7.1.1 Cinéma
7.1.2 Télévision
7.2 En tant que réalisateur
7.2.1 Cinéma
7.2.2 Télévision
8 Distinctions
8.1 Décorations
8.2 Récompenses
9 Publications
10 Notes et références
11 Voir aussi
11.1 Articles connexes
11.2 Liens externes
Une formation de comédien |
Né à Aumale en Algérie, il est le fils de Roger Jean Brialy, un officier supérieur français (lieutenant au 65ème d'artillerie), qu’il suit dans ses multiples affectations pendant son enfance, et de Suzanne Abraham. Il passe ainsi par Blida en Algérie, puis Bône (actuellement Annaba) et, en 1943, Marseille[1]. La famille Brialy s’installe ensuite à Angers. Jean-Claude et son frère cadet de deux ans Jacques[2] vont à l’école au lycée David-d'Angers (où il connaît son « premier émoi de comédien » dit-il dans son autobiographie) et les vacances se déroulent chez leurs grands-parents à Chambellay ou bien à Issoire[3], dans le Puy-de-Dôme, chez ses grands-parents maternels. Il écrit en 2000 dans son autobiographie que c’est dans ce village qu'il vit les plus beaux moments de son enfance marquée par un manque d'amour, élevé à la cravache par des parents qui entretiennent une rivalité avec son frère.
En 1946, il fait son entrée au Prytanée national militaire de La Flèche, dans la Sarthe, avant de déménager de nouveau à Saint-Étienne, et finalement passer son baccalauréat au collège épiscopal Saint-Étienne de Strasbourg, où il suit en parallèle des cours d’art dramatique, sa passion, contre l'avis de son père colonel qui le destine à une carrière militaire[4].
Il obtient le premier prix de comédie au conservatoire de Strasbourg et entre alors au centre d’art dramatique de l’Est, où il interprète différents rôles de théâtre. Pendant son service militaire à Baden-Baden, il est affecté au service cinématographique de l’armée en Allemagne, l’occasion pour lui de tourner en 1954 son premier court-métrage, Chiffonard et Bon Aloi. À la fin de son service militaire, il monte en novembre 1954 à Paris seul car ses parents ne cautionnent pas ses velléités de saltimbanque[4].
Du cinéma à la télévision |
En 1954, il débarque à Paris, vit de petits boulots, ses parents refusant de l’aider. Il fréquente alors la bande des Cahiers du cinéma et joue dans un court-métrage Le Coup du berger de Jacques Rivette. Après avoir été stagiaire assistant-réalisateur sur French Cancan de Jean Renoir en 1954, il va alors multiplier apparitions et rôles, dont Elena et les Hommes de Jean Renoir en 1956 (source d'une grande déception car la scène est coupée au montage alors qu'il voulait impressionner sa famille), Ascenseur pour l’échafaud de Louis Malle en 1957 et surtout Le Beau Serge et Les Cousins de Claude Chabrol, qui lui apportent la célébrité[4].
En 1959, il achète grâce à l'aide financière de Claude Chabrol et de François Truffaut le château de Monthyon, près de Meaux, que lui a fait connaître Marie-José Nat[5]. Il y passe plusieurs mois de convalescence après une lourde opération chirurgicale à la suite d'une mauvaise chute dans Le Beau Serge. Reconnu à la fois par le public et par ses pairs, Brialy est vite devenu l'ami de nombreux artistes. C'est chez-lui à Monthyon que Romy Schneider se ressourcera après la mort accidentelle de son fils en 1981 et que Jacques Chazot, atteint d'un cancer de la gorge, passera les derniers mois de sa vie, avant d'être enterré en 1993 dans le cimetière de la commune[6]. Jean-Claude Brialy achète aussi, en 1966, un ancien bistrot de l'île Saint-Louis à Paris, qu'il fait transformer en restaurant sous l'enseigne L'Orangerie. Ce lieu de vie nocturne verra défiler en toute discrétion un grand nombre d'artistes français et étrangers[6].
Il devient un acteur prisé des réalisateurs de la Nouvelle Vague, jouant pour Jean-Luc Godard dans Une femme est une femme, pour Éric Rohmer dans Le Genou de Claire et pour François Truffaut dans La mariée était en noir. Il est très proche de François Truffaut ; en 1968 ce dernier demande à Marcel Berbert et à Jean-Claude Brialy d’être les témoins de son mariage avec Claude Jade. Grand travailleur, il tourne plusieurs films par an, jouant également au théâtre.
Il passe à la réalisation avec son premier film en 1971, Églantine, qu’il tourne à Chambellay, un village d’Anjou d'où sont natifs ses grands-parents, puis en 1973 Volets clos. En juillet 1979, il réalise pour la télévision, Les Malheurs de Sophie, tourné au château de Lorie à La Chapelle-sur-Oudon, près de Segré.
Le théâtre et l’écriture |
Directeur du théâtre Hébertot (1977) puis du théâtre des Bouffes-Parisiens (de 1986 à sa mort, la direction étant alors reprise par son compagnon Bruno Finck[4]), il est longtemps directeur artistique du festival d’Anjou (1985-2001) ainsi que le créateur et directeur artistique du festival de Ramatuelle à partir de 1985.
En 2000 et 2004, il écrit deux livres auto-biographiques qui rencontrent un réel succès de librairie: Le Ruisseau des singes (éd. Robert Laffont), où il évoque plus particulièrement les bons moments de son enfance passés à Chambellay près d’Angers (« Mon paradis, c’est l’Anjou ») et J’ai oublié de vous dire (XO éditions). En 2006, à la suite de son voyage dans son pays natal, il publie Mon Algérie (Timée éditions). Il écrit aussi des anthologies: Les Pensées les plus drôles des acteurs et Les Répliques les plus drôles du théâtre de boulevard (Le Cherche-Midi).
Personnalité du « tout-Paris », il intervient parallèlement dans de nombreuses émissions de radio et de télévision, comme Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard sur RTL. Il participe régulièrement à l’émission.
Sa proximité avec les artistes l'amène à assister à la plupart des enterrements de célébrités, à tel point que son ami Thierry Le Luron l'avait surnommé « la Mère Lachaise » (en référence au célèbre cimetière parisien et à son homosexualité)[4].
Il devient ainsi rapidement, à partir des années 1970 le confident des grandes stars, comme Arletty, ou Jean Gabin, et il acquiert un savoir encyclopédique sur le show business, qu'il n'aura pas vraiment le temps de complètement transcrire sous forme de livre. Toutefois, il publiera entre 2000 et 2007 une grande partie de ses connaissances et anecdotes, avec des récits largement autobiographiques (dont Le ruisseau des singes, en 2000).
Il racontera aussi, en parallèle, ses anecdotes et confidences sur le show business, en de nombreuses émissions de télévision, ou de radio, où il était un "bon client". Il était aussi consulté régulièrement pour des documentaires sur diverses personnalités.
Fin de sa vie |
Il tourne son dernier téléfilm en 2006, Monsieur Max de Gabriel Aghion. On le voit aux obsèques de Gérard Oury, en juillet 2006, avec lequel il avait tourné Lévy et Goliath, aux funérailles de Philippe Noiret le 27 novembre 2006 et à celles de Jean-Pierre Cassel en avril 2007. Quelques jours avant sa mort, Jean-Claude Brialy est présent à Cannes pour les soixante ans du festival et à l'émission de Philippe Bouvard, Les Grosses Têtes, dont il était « sociétaire ».
Entre 2006 et 2007, il soutient la candidature à la présidence de la République de Nicolas Sarkozy, dont il assiste à de nombreux meetings.
Celui-ci est élu président, quelques jours avant la mort de Brialy à Monthyon, le 30 mai 2007 (des suites d’un cancer de la mâchoire, n’ayant averti personne — pas même ses amis proches — de sa maladie) à qui il rend alors hommage par un communiqué, puis en assistant à ses obsèques. Celles-ci sont célébrées en l’église Saint-Louis-en-l'Île, le 4 juin 2007. La messe des funérailles est concélébrée par l’évêque Jean-Michel Di Falco et l’abbé Gérard Pelletier, en présence de nombreuses autres personnalités et célébrités.
Jean-Claude Brialy est enterré au cimetière de Montmartre, l'acteur cabot ayant choisi volontairement une tombe juste à côté de la célèbre « Dame aux Camélias » pour bénéficier de la visite de ses admirateurs. Un édicule abrite une muse couronnée de pavots[7].
Vie privée |
Son homosexualité, longtemps cachée à son père et au monde du cinéma, est revendiquée depuis la parution en 2000 de son autobiographie Le Ruisseau des singes[8]. Il déclare au magazine Têtu en mai 2005 qu'au début de sa carrière, « c’était tabou. […] D’ailleurs, je ne vois pas l’intérêt de dire : « Il est jaune », « Il est juif » ou « Bonjour, je suis homosexuel ». Moi, j’étais un « homosexuel naturel », je ne me suis jamais posé de questions, j’ai eu des aventures avec des femmes, des hommes… J'ai choisi les hommes par égoïsme, parce que je trouvais que les rapports étaient plus simples, mais aussi par goût ». En 1994, Jean-Claude Brialy participe au doublage du film Priscilla, folle du désert, qui traite du thème de l'homosexualité : il prête sa voix à l'acteur Terence Stamp.
Opposé au mariage gay, mais favorable à un PACS amélioré (« Les gens qui se pacsent devraient avoir les mêmes droits que les gens mariés »), Jean-Claude Brialy s'est aussi beaucoup engagé dans la lutte contre le sida, notamment aux côtés de Line Renaud : « Beaucoup croient que le sida se guérit, mais pas du tout, la mort est toujours au bout. Les homosexuels doivent montrer l'exemple et encourager les gens à se protéger, à se défendre. Je suis un porte-parole de Sidaction. Je vais aux réunions et il y a quelques années, j'ai fait avec Sophia Loren une vente aux enchères qui a rapporté dix millions de francs. On a pu acheter une maison à Genève pour les gens en fin de vie. »
En 2013, Bruno Finck, son dernier compagnon et son héritier, vend aux enchères le contenu de l'appartement de l'île Saint-Louis qu'il partageait avec le comédien[9]. La ville de Meaux reçoit en legs sa propriété de Monthyon et sa collection d'objets[10].
Théâtre |
En tant qu'acteur |
1958 : Les portes claquent de Michel Fermaud, mise en scène Christian-Gérard, théâtre Daunou
1962 : Un dimanche à New-York de Norman Krasna, mise en scène Jacques Sereys, théâtre du Palais-Royal
1965 : Madame Princesse de Félicien Marceau, mise en scène de l'auteur théâtre du Gymnase Marie-Bell
1966 : Madame Princesse de Félicien Marceau, mise en scène de l'auteur théâtre des Célestins
1968–1970 : La Puce à l'oreille de Georges Feydeau, mise en scène Jacques Charon, théâtre Marigny puis au théâtre du Palais-Royal et au théâtre des Célestins
1971 : Le Ciel de lit de Jan de Hartog, adaptation Colette, mise en scène Jacques Charon, théâtre du Palais-Royal
1974 : L'Hôtel du libre échange, de Georges Feydeau, théâtre Marigny
1977 : Si t'es beau, t'es con de Françoise Dorin, mise en scène Jacques Rosny, théâtre Hébertot
1980 : Madame est sortie de Pascal Jardin, mise en scène Pierre Boutron, Comédie des Champs-Élysées
1984 : Désiré de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Claude Brialy, théâtre Édouard VII
1986 : Le Nègre de Didier Van Cauwelaert, mise en scène Pierre Boutron, théâtre des Bouffes-Parisiens
1989 : L'Illusionniste de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Luc Moreau, théâtre des Bouffes-Parisiens
1992 : La Jalousie de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Claude Brialy, théâtre des Bouffes-Parisiens, théâtre du Gymnase à Marseille, théâtre des Célestins, Festival de Ramatuelle et tournée
1994 : Show bis de Neil Simon, mise en scène Georges Wilson, théâtre des Bouffes-Parisiens : voix
1996 : Monsieur de Saint-Futile de Françoise Dorin, mise en scène Jean-Luc Moreau, théâtre des Bouffes-Parisiens et tournée
1999 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Claude Brialy, tournée puis théâtre des Bouffes-Parisiens
2002 : Poste restante, de Noël Coward, mise en scène Daniel Roussel, théâtre du Palais-Royal
2005 : J'ai oublié de vous dire, spectacle de et avec Jean-Claude Brialy, théâtre des Bouffes-Parisiens, Festival d’Anjou et tournée avec le pianiste Pascal Amoyel
En tant que metteur en scène |
1979 : La Fugue de Francis Lacombrade et Bernard Broca, musique Alexis Weissenberg, théâtre de la Porte-Saint-Martin
1984 : Désiré de Sacha Guitry, théâtre Édouard VII
1992 : La Jalousie de Sacha Guitry, théâtre des Bouffes-Parisiens
- 1992 : La Puce à l'oreille de Georges Feydeau, théâtre de la Michodière
1994 : Le Bal des voleurs de Jean Anouilh, Festival d'Anjou
- 1994 : La Source bleue de Pierre Laville, théâtre Daunou
1996 : L'Invitation au château de Jean Anouilh
1999 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, théâtre des Bouffes-Parisiens
- 1999 : Le Sexe faible d'Édouard Bourdet
2000 : Les Parents terribles de Jean Cocteau
Filmographie |
En tant qu'acteur |
Cinéma |
1954 : Chiffonard et Bon Aloi, court-métrage documentaire de Pierre Lhomme pour le cinéma aux armées : Chiffonard- 1954 : Paris, mon copain, court-métrage documentaire de Pierre Lhomme : le narrateur
1956 : Les Mauvaises Rencontres de Alexandre Astruc[11]
- 1956 : Notre-Dame de Paris de Jean Delannoy : figuration
- 1956 : Elena et les Hommes de Jean Renoir (rôle coupé au montage)
- 1956 : Le Coup du berger, court-métrage de Jacques Rivette : Claude, l’amant de Claire
- 1956 : La Sonate à Kreutzer, court-métrage d’Éric Rohmer : Trukhacevskij
- 1956 : Tous les garçons s'appellent Patrick ou Charlotte et Véronique, court-métrage de Jean-Luc Godard : Patrick
- 1956 : Les Surmenés, court-métrage de Jacques Doniol-Valcroze : Jimmy Brincourt
1957 : Une histoire d’eau, court-métrage de Jean-Luc Godard et François Truffaut : le jeune homme en voiture- 1957 : L’Ami de la famille de Jack Pinoteau : Philippe Lemonnier
- 1957 : Tous peuvent me tuer d’Henri Decoin : un enquêteur
- 1957 : Méfiez-vous fillettes d’Yves Allégret : un client du « sexy-bar »
- 1957 : Amour de poche de Pierre Kast : Jean-Loup
- 1957 : Le Triporteur de Jack Pinoteau : Jean-Claude, un jeune vacancier
- 1957 : Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle : un joueur d’échecs
- 1957 : Cargaison blanche de Georges Lacombe : Jean
1958 : L’École des cocottes de Jacqueline Audry : Robert- 1958 : Et ta sœur de Maurice Delbez : Bruno Puymartin
- 1958 : Christine de Pierre Gaspard-Huit : Théo Kaiser
- 1958 : Paris nous appartient de Jacques Rivette : Jean-Marc
- 1958 : Les Amants de Louis Malle : un homme au manège
- 1958 : Le Beau Serge de Claude Chabrol : François
1959 : Les Garçons de Mauro Bolognini : Scintillone- 1959 : Les Cousins de Claude Chabrol : Paul
- 1959 : Les Quatre Cents Coups de François Truffaut : un passant
- 1959 : Le Chemin des écoliers de Michel Boisrond : Paul Tiercelin
- 1959 : Les Yeux de l'amour de Denys de La Patellière : Pierre Ségur
1960 : Le Bel Âge de Pierre Kast : Jean-Claude- 1960 : Le Gigolo de Jacques Deray : Jacky
1961 : Les Godelureaux, de Claude Chabrol : Ronald- 1961 : Adieu Philippine, de Jacques Rozier : le comédien de l’émission télévisée Monserrat
- 1961 : Les lions sont lâchés d’Henri Verneuil : Didier Marèze
- 1961 : Les Amours célèbres de Michel Boisrond, sketch Agnès Bernauer : Erich Torring
- 1961 : Une femme est une femme de Jean-Luc Godard : Émile Récamier
- 1961 : Le Puits aux trois vérités de François Villiers : Laurent Renaud
- 1961 : Les Petits Matins ou Mademoiselle stop de Jacqueline Audry : Jean-Claude, le représentant en brosses
- 1961 : Aimez-vous Brahms ? d’Anatole Litvak : voix française d'Anthony Perkins
- 1961 : Tire-au-flanc 62 de Claude de Givray et François Truffaut : le capitaine
1962 : L’Éducation sentimentale d’Alexandre Astruc : Frédéric Moreau- 1962 : Les Sept Péchés capitaux, sketch L'Avarice de Claude Chabrol : Arthur
- 1962 : Les Veinards, sketch Le Gros Lot de Jack Pinoteau : le jeune homme en voiture
- 1962 : Carambolages de Marcel Bluwal : Paul Martin
- 1962 : Arsène Lupin contre Arsène Lupin d’Édouard Molinaro : François de Vierne
- 1962 : Le Diable et les Dix Commandements, sketch Bien d'autrui ne prendras de Julien Duvivier : Didier Martin, l’employé de banque
- 1962 : La Chambre ardente de Julien Duvivier : Marc Desgrez
- 1962 : Cléo de 5 à 7 d’Agnès Varda : l’infirmier
- 1962 : La banda Casaroli de Florestano Vancini
- 1962 : Vie privée de Louis Malle : le narrateur
- 1962 : Vanina Vanini de Roberto Rossellini : non crédité
1963 : Le Glaive et la Balance d’André Cayatte : Jean-Philippe Prévost
1964 : La Bonne Soupe de Robert Thomas : Jacquot- 1964 : La Ronde de Roger Vadim : Alfred
- 1964 : Un monsieur de compagnie de Philippe de Broca : le prince
- 1964 : La Chasse à l’homme d’Édouard Molinaro : Antoine Monteil
- 1964 : Château en Suède de Roger Vadim : Sébastien
- 1964 : Tonio Kröger de Rolf Thiele : Tonio Kruger
- 1964 : Comment épouser un premier ministre de Michel Boisrond : Philippe Lambert
- 1964 : L'Amour à la chaîne de Claude de Givray
- 1964 : La Bonne Occase de Michel Drach
1965 : L'Amour à la mer de Guy Gilles : l’homme désenchanté- 1965 : Cent briques et des tuiles de Pierre Grimblat : Marcel
- 1965 : La Mandragore d’Alberto Lattuada : Ligurio
- 1965 : Je la connaissais bien de Antonio Pietrangeli : Dario
- 1965 : Les Siffleurs de Eino Ruutsabo
1966 : Le Roi de cœur de Philippe de Broca : le duc de trèfle- 1966 : I nostri mariti, sketch Il marito di Olga de Luigi Zampa : Ottavio
- 1966 : Un homme de trop de Costa-Gavras : Jean
1967 : Le Plus Vieux Métier du monde, sketch Mademoiselle Mimi de Philippe de Broca : Philibert- 1967 : Lamiel de Jean Aurel : le comte d'Aubigné
- 1967 : La mariée était en noir de François Truffaut : Corey
- 1967 : Au diable les anges de Lucio Fulci : Cajella
1968 : Caroline chérie de Denys de La Patellière : Boismussy- 1968 : Manon 70 de Jean Aurel : Jean-Paul
1969 : Le Bal du comte d’Orgel de Marc Allégret
- 1969 : Tout peut arriver de Philippe Labro
- 1969 : Le Genou de Claire d’Éric Rohmer : Jérôme
1970 : Côté cour, côté jardin, court-métrage de Guy Gilles
1971 : Une saison en enfer de Nelo Risi : Paul Verlaine
- 1971 : Cose di Cosa Nostra de Steno : Domenico Gargiulo
1972 : Un meurtre est un meurtre d’Étienne Périer : Paul Kastner- 1973 : Un amour de pluie de Jean-Claude Brialy : le dragueur - également coscénariste
- 1973 : L'Oiseau rare de Jean-Claude Brialy : Armand - également coscénariste
1974 : Comme un pot de fraises de Jean Aurel : Norbert- 1974 : Le Fantôme de la liberté de Luis Buñuel : Monsieur Foucault
1975 : Barry Lyndon de Stanley Kubrick : le narrateur (dans la version française)- 1975 : Un animal doué de déraison de Pierre Kast : Claude
- 1975 : Catherine et Compagnie de Michel Boisrond : Guillaume
- 1975 : Les Onze Mille Verges d'Éric Lipmann
- 1975 : Dreyfus ou l'Intolérable Vérité de Jean Chérasse : le narrateur
1976 : Le Juge et l'Assassin de Bertrand Tavernier : Villedieu- 1976 : Les Œufs brouillés de Joël Santoni : Brumaire
- 1976 : L’Année sainte de Jean Girault : Pierre Bizet
- 1976 : Barocco d’André Téchiné : Walt, le directeur du journal
1977 : Le Point de mire de Jean-Claude Tramont : Michel Gaur- 1977 : Julie pot de colle de Philippe de Broca : Jean-Luc
- 1977 : L’Imprécateur de Jean-Louis Bertucelli : Le Rantec
- 1977 : Enquête à l’italienne de Steno : Van Nijlen
- 1977 : Pour Clémence de Charles Brabant : le narrateur
1978 : Robert et Robert de Claude Lelouch : Jacques Millet, marchand d’esclaves- 1978 : La Chanson de Roland de Frank Cassenti : le seigneur
1979 : Le Maître-nageur de Jean-Louis Trintignant : Logan- 1979 : Les Plus Grands Moments d'Hollywood d’Edward Shaw : le narrateur (dans la version française)
- 1979 : Bobo Jacco d’Albert Bal : Guillaume
- 1979 : Cinématon, court-métrage de Gérard Courant, sketch « Paris »
1980 : L'Œil du maître de Stéphane Kurc : Cazeau- 1980 : Bobo la tête de Gilles Katz (caméo)
- 1980 : La Banquière de Francis Girod : Paul Cisterne
1981 : Les Uns et les Autres de Claude Lelouch : le directeur du Lido[12]
1982 : La Nuit de Varennes d’Ettore Scola : M. Jacob- 1982 : Notre-Dame de la Croisette, court-métrage de Daniel Schmid : lui-même
- 1982 : La Fille de Trieste de Pasquale Festa Campanile : le professeur Martin
- 1982 : Édith et Marcel de Claude Lelouch : Loulou Barrier
- 1982 : Mortelle Randonnée de Claude Miller : Voragine
1983 : La Crime de Philippe Labro : Jean-François Rambert- 1983 : Le Démon dans l’île de Francis Leroi : le docteur Paul-Henri Marshall
- 1983 : Cap Canaille de Juliet Berto et Jean-Henri Roger : Maître Samuel Kedabjan
- 1983 : Sarah de Maurice Dugowson : Gabriel Larcange
- 1983 : Stella de Laurent Heynemann : Roland Caron
- 1983 : Papy fait de la résistance de Jean-Marie Poiré : le joueur de tennis
1984 : Pinot simple flic de Gérard Jugnot : le principal Morcy- 1984 : Le téléphone sonne toujours deux fois de Jean-Pierre Vergne : le commissaire
1985 : Tueur de fous, court-métrage de Guillaume Perotte
- 1985 : Le Mariage du siècle de Philippe Galland : Kaffenberg
- 1985 : Le Quatrième Pouvoir de Serge Leroy : le P. D. G. de la télévision
- 1985 : L’Effrontée de Claude Miller : Sam
- 1985 : Inspecteur Lavardin de Claude Chabrol : Claude Alvarez
1986 : Le Débutant de Daniel Janneau : Willy- 1986 : Hypothèse d’un soir, court-métrage de Marie-Christine Fieni
- 1986 : Grand Guignol de Jean Marbœuf : M. Albert
- 1986 : Suivez mon regard de Jean Curtelin : Freddy Langlois
1987 : Le Moustachu de Dominique Chaussois : Leroy- 1987 : Lévy et Goliath de Gérard Oury : Bijou / Delaroche
- 1987 : Un homme et une femme : Vingt ans déjà de Claude Lelouch : un spectateur à la projection privée
- 1987 : Maladie d'amour de Jacques Deray : Frédéric
- 1987 : Les Innocents d’André Téchiné : Klotz
- 1987 : Maschenka de Jean de Goldschmidt : Kolin
1988 : Au bonheur des chiens de Duccio Tessari : le juge
1989 : Comédie d’été de Daniel Vigne : Gaston- 1989 : Ripoux contre ripoux de Claude Zidi : le banquier
1990 : S’en fout la mort de Claire Denis : Pierre Ardennes- 1990 : Faux et usage de faux de Laurent Heynemann : Charles Laumière
1991 : Août d’Henri Herré : Martin
1992 : Tous les garçons, court-métrage d’Étienne Faure
1993 : La Reine Margot de Patrice Chéreau : Coligny- 1993 : Monsieur Dior, court-métrage documentaire de Frank Maubert et Mathias Ledoux : le narrateur
1994 : Le Monstre de Roberto Benigni : Roccarotta- 1994 : Une femme française de Régis Wargnier : Arnoult
- 1994 : Sacha Guitry et ses femmes, court-métrage documentaire de Pierre Philippe : le narrateur
1995 : Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d’Agnès Varda : le guide des Japonais- 1995 : Beaumarchais, l'insolent d’Édouard Molinaro : Abbot
- 1995 : Les Caprices d’un fleuve de Bernard Giraudeau : M. de Saint-Chamont
1996 : Le Fils de Gascogne de Pascal Aubier[13] : lui-même- 1996 : Portraits chinois de Martine Dugowson : René Sandre
1998 : Kennedy et moi de Sam Karmann : Benny Grimaldi
1999 : L’Homme de ma vie de Stéphane Kurc : Lucien- 1999 : Les Acteurs de Bertrand Blier : lui-même
- 1999 : Lettre à mon frère Guy Gilles, cinéaste trop tôt disparu, documentaire de Luc Bernard : lui-même
2000 : Hommage à Alfred Lepetit, court-métrage de Jean Rousselot
- 2000 : In extremis d’Étienne Faure : l’avocat
2001 : Concurrence déloyale d’Ettore Scola : Nonno Mattia- 2001 : C’est le bouquet ! de Jeanne Labrune : Robert Fresnel
- 2001 : Les Filles, personne s'en méfie de Charlotte Silvera : le projectionniste
- 2001 : South Kensington de Carlo Vanzina : Fernandino
2002 : La Demi-Mondaine amoureuse de Didier Dessapt
2003 : Les Clefs de bagnole de Laurent Baffie : un comédien qui refuse de tourner avec Baffie (cameo)- 2003 : Aimez-moi les uns les autres de Tiburce
2004 : People ou Jet Set 2 de Fabien Onteniente : Minimo- 2004 : Quoi ? L'Éternité, documentaire d'Étienne Faure : lui-même
- 2004 : Quartier VIP de Laurent Firode : Ferdinand
2006 : Mon dernier rôle, court-métrage d'Olivier Ayache-Vidal : lui-même
2007 : Vous êtes de la police ? ou Dernière enquête ou Les Sapins bleus de Romuald Beugnon
Télévision |
1960 : Les Parents terribles de Jean-Paul Carrère : Michel
1962 : Chéri de François Chatel : Chéri, l’amant de Léa
1966 : Anna de Pierre Koralnik : Serge- 1966 : Carosello - All’ultimo sorso de Mario Fattori et Edo Cacciari
1972 : Dans les jardins de Franc-Nohain, documentaire d'Alain Frey : lui-même
1974 : La Peur des coups de Jeannette Hubert : lui-même
1977 : Dancing Star, émission de variété de Jacques Brialy : lui-même
1980 : Arsène Lupin joue et perd, série d’Alexandre Astruc : Arsène Lupin
1982 : Caméra une première - épisode : L'Accompagnateur de Pierre Boutron : le directeur de la compagnie d’assurances- 1982 : Mozart, série de Marcel Bluwal
1983 : Quelques hommes de bonne volonté, série de François Villiers : Quinette- 1983 : Père Noël et fils de André Flédérick : Thomas
1984 : Désiré de Dominique Giuliani, sur une mise en scène de Jean-Claude Brialy : Désiré- 1984 : Die Schöne Wilhelmine de Rolf Von Sydow : Casanova
- 1984 : Ces chers disparus : Françoise Dorléac, documentaire de Denis Derrien : lui-même
1985 : L'Herbe rouge de Pierre Kast : l’abbé Grille- 1985 : Vivement Truffaut / Hommage à Truffaut, documentaire de Claude de Givray : lui-même
1988 : François Truffaut : Correspondance à une voix, court-métrage documentaire de Michèle Reiser : lui-même
1989 : Les Deux Virus de Bruno Gantillon
- 1989 : Le Nègre de Yves-André Hubert : le nègre
- 1989 : Le Clochard « Loft story » de Stéphane Bertin et Boramy Tioulong
1990 : Ne m'oubliez pas : Hommage à Bernard Blier, documentaire de Mathias Ledoux : lui-même- 1990 : C'est quoi, ce petit boulot ?, série de Michel Berny et Gian Luigi Polidoro : Julien Panni
- 1990 : Ferbac
- 1990 : Mariage mortel de Marc Rivière
1991 : Les Bains de jouvence de Marc Rivière
- 1991 : Péché de jeunesse de Bruno Gantillon
- 1991 : L’Illusionniste de Michel Treguer : l’illusionniste
- 1991 : Échec et mat de José-Maria Sanchez Silva : Piantoni
- 1991 : Lucas de Nadine Trintignant : Werner
1993 : Le Mal des ardents de Roland Verhavert
- 1993 : Carnaval des ténèbres de Sylvain Madigan
- 1993 : Le Festin de miséricorde de Christian Faure : Éric Ferbac, officier de gendarmerie
- 1993 : Sandra, princesse rebelle, feuilleton de Didier Albert : Jean Duplessis
1994 : La Jalousie de Patrick Bureau
1996 : Belmondo le magnifique, documentaire de Patrick Chammings : lui-même
1997 : Les Héritiers de Josée Dayan : le commissaire Bonnard- 1997 : La Grande Béké d’Alain Maline : M. Dupont-Ménard
- 1997 : Cannes… les quatre cents coups, documentaire de Gilles Nadeau : lui-même
- 1997 : Le Comte de Monte-Cristo de Josée Dayan : le père Morel
- 1997 : Nos jolies colonies de vacances de Stéphane Kurc : Max
1998 : Ils sont tous nos enfants / Élisabeth de Pasquale Squitieri : le juge Defoi
1999 : Barbara, je chante ma vie, documentaire de Philippe Kohly : lui-même
2000 : La Bicyclette bleue de Thierry Binisti : Raphaël Mahl
2001 : Les Filles à papa de Marc Rivière : Robert- 2001 : Nadia Coupeau, dite Nana d'Édouard Molinaro : Vandoeuvres
2002 : Le hasard fait bien les choses de Lorenzo Gabriele : Jean-Pierre Muller- 2002 : On ne choisit pas sa famille de François Luciani : Michel
2004 : Président Ferrare : L’Affaire Valéra d'Alain Nahum : Guillaume Ferrare- 2004 : Président Ferrare : L’Affaire Denise Chabrier] d'Alain Nahum : Guillaume Ferrare
- 2004 : Le Plus Bel Homme du monde de Serge Khalfon : lui-même
2005 : Les Rois maudits, mini-série de Josée Dayan : Hugues de Bouville
2006 : Président Ferrare : L’Affaire Gilles d’Aubert d'Alain Nahum : Guillaume Ferrare- 2006 : Monsieur Max de Gabriel Aghion : Max Jacob
En tant que réalisateur |
Cinéma |
1955 : French Cancan de Jean Renoir - stagiaire assistant-réalisateur
1971 : Églantine - également scénariste
1973 : Les Volets clos
- 1973 : L'Oiseau rare - également scénariste
1974 : Un amour de pluie - également scénariste
1983 : Un bon petit diable - également coadaptateur avec Didier Decoin
Télévision |
1979 : La Nuit de l’été
- 1981 : Les Malheurs de Sophie d'après la comtesse de Ségur[14]
1981 : Cinq-Mars - également scénariste
1995 : Vacances bourgeoises
- 1995 : Il ne faut jurer de rien d’après Alfred de Musset
1997 : Georges Dandin d'après Molière
- 1998 : La Dame aux camélias d’après Alexandre Dumas fils - également scénariste
- 1998 : Le Comte de Monte Cristo (mini-série, 1998) : le père Morrel
2003 : Les Parents terribles d'après Jean Cocteau
- 2005 : Les Rois Maudits mini-série Hugues III de Bouville
Distinctions |
Décorations |
France :
- Commandeur de l'ordre national de la Légion d'honneur,
- Commandeur de l’ordre national du Mérite
- Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres
Monaco : Commandeur de l'ordre du Mérite culturel (novembre 2002)[15]
Récompenses |
Prix Jean-Le-Duc 1972 décerné par l’Académie française pour son film Églantine
Césars 1977 : nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle pour Le Juge et l'Assassin
Césars 1988 : César du meilleur acteur dans un second rôle pour Les Innocents
- prix Ballantine 1990 du « Maître du bon goût »
Publications |
Le Ruisseau des singes, Robert Laffont, Paris, 2000
J’ai oublié de vous dire, XO éditions, Paris, 2004
Mon Algérie, Timée éditions, 2006 avec un DVD documentaire réalisé lors de son retour en Algérie par Yannis Chebbi et Michael Kazan
Les Pensées les plus drôles des acteurs, Le Cherche midi, 2006
Les Répliques les plus drôles du théâtre de boulevard, Le Cherche midi, 2007
Notes et références |
Who's who, J. Lafitte, 2003, p. 357.
Jean Claude Brialy, Le ruisseau des singes. Autobiographie, Robert Laffont, 2011(ISBN 9782221118351), p. 17
Les fortes attaches familiales de Jean-Claude Brialy à Issoire
Laurent Delahousse, Un jour, un destin : « Jean-Claude Brialy, l'homme qui voulait tant être aimé », documentaire diffusé sur France 2, le 28 septembre 2014.
http://www.leparisien.fr/monthyon-77122/le-havre-de-paix-de-jean-claude-brialy-a-monthyon-sur-les-pas-de-jean-claude-brialy-a-monthyon-10-08-2015-5002107.php
Jean-Claude Brialy, Le Ruisseau des singes, éditions Robert Laffont, Paris, 2000
« Tombe de Jean-Claude Brialy. Cimetière Montmartre », sur montmartre-secret.com, 26 avril 2016.
Alain Brassart, L'homosexualité dans le cinéma français, Nouveau monde, 2007, p. 113
Pauline Simons, « Les souvenirs de Jean-Claude Brialy aux enchères », sur Le Figaro, 16 janvier 2013
« La collection de Jean-Claude Brialy estimée à 305 000 € », sur Le Parisien, 12 mars 2013
Dans son premier livre, il dit être sur le plateau sans préciser si c'est en tant que technicien ou que figurant.
Diffusé également en 5 épisodes de 52 min à la télévision
Film de télévision sorti également en salles
Sorti également en salles.
Ordonnance Souveraine no 15.565 du 18 novembre 2002 portant promotions ou nominations dans l'Ordre du Mérite Culturel
Voir aussi |
Articles connexes |
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- Homosexualité au cinéma
Liens externes |
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(en) Jean-Claude Brialy sur l’Internet Movie Database
Jean-Claude Brialy sur Allociné
Jean-Claude Brialy, l'enchanteur : une sélection de vidéos de l'Ina.
Entretien avec Jean-Claude Brialy (1970), une archive de la Télévision suisse romande.
Le Coin du cinéphage.
Liste des articles consacrés à Jean-Claude Brialy sur Calindex.eu
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