Ayherre






















































































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Ayherre
Le château de Belzunce.
Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Nouvelle-Aquitaine

Département

Pyrénées-Atlantiques

Arrondissement

Bayonne

Canton

Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre

Intercommunalité

Communauté d'agglomération du Pays Basque

Maire
Mandat
Arnaud Gastambide
2014-2020

Code postal
64240

Code commune
64086
Démographie

Gentilé
Aihertar

Population
municipale
1 035 hab. (2016 en augmentation de 4,86 % par rapport à 2011)
Densité 37 hab./km2
Géographie

Coordonnées

43° 23′ 35″ nord, 1° 15′ 11″ ouest

Altitude
Min. 20 m
Max. 465 m

Superficie
27,65 km2
Localisation


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Ayherre





Liens

Site web

http://www.ayherre.fr/


Ayherre est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.


Le gentilé est Aihertar[1],[2].




L'Abarratia est un gaztelu zahar à trois gradins, situé sur la commune d'Ayherre, qui contrôle le passage entre Labourd et Basse-Navarre.




L'église Saint-Pierre.




La mairie.




L'école primaire.




Le fronton.




Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Situation


    • 1.2 Accès


    • 1.3 Hydrographie


    • 1.4 Lieux-dits et hameaux


    • 1.5 Communes limitrophes




  • 2 Toponymie


    • 2.1 Attestations anciennes


    • 2.2 Étymologie


    • 2.3 Autres toponymes


    • 2.4 Graphie basque




  • 3 Histoire


  • 4 Héraldique


  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Intercommunalité




  • 6 Population et société


    • 6.1 Démographie


    • 6.2 Enseignement




  • 7 Économie


  • 8 Culture et patrimoine


    • 8.1 Fêtes


    • 8.2 Patrimoine civil


    • 8.3 Patrimoine religieux


    • 8.4 Patrimoine environnemental




  • 9 Équipements


  • 10 Personnalités liées à la commune


  • 11 Notes et références


    • 11.1 Notes


    • 11.2 Références




  • 12 Pour approfondir


    • 12.1 Articles connexes


    • 12.2 Liens externes







Géographie |



Situation |


Ayherre, dans la vallée de l'Arberoue, fait partie de la province basque de la Basse-Navarre.



Accès |


La commune est desservie par les routes départementales 10, 14, 251, 314 et 510[3].



Hydrographie |


La commune, située dans le bassin versant de l’Adour, est traversée[4] par la Joyeuse et son affluent, le Garraldako erreka, ainsi que par le ruisseau Arbéroue.


Selon Paul Raymond, L'Ahounbiscardéguy est un ruisseau qui prend sa source sur la commune et qui rejoint la Joyeuse près de La Bastide-Clairence[5]. Il mentionne également le Luku (ou Lucu) et l’Uhartia, autres tributaires de la Joyeuse, ainsi que le Berho, un affluent de l’Arbéroue.



Lieux-dits et hameaux |


Sept quartiers composent la commune d'Ayherre[6] :



  • Menta de Hardoia, Zokoa et Apahiri, ;

  • Eglise de Zokoa et d'Ahunzbizkardegi ;

  • Erketa ;

  • Uras Haindea ;

  • Apahiri ;

  • Hergaitz ;

  • Bildarraitz.


Quelques lieudits d'après les cartes IGN :




  • Abarratia[7]

  • Ahounsbiscardeguy[3],[5]

  • Aguerréa[3] (3 lieux-dits)

  • Aguerréko Borda[3]

  • Ainguéroutéguia[3]

  • Andérétéguia[3]

  • Apairi[3],[5] ou Apahiri, de Apʰara-hiri

  • Apézénéa[3]

  • Apeztéguia[3]

  • Archidukénia[3]

  • Arduarria[3]

  • Arkhia[3]

  • Arramendy[3]

  • Arraydua[3]

  • Auchotéa[3]

  • Ayherregaraya[3]

  • Ballade Etcheberry[3]

  • Barné Uhartia[3],[5]

  • Béhibidia[3]


  • Belzunce[3],[5]

  • Berhéta[3]

  • Berhétako Borda[3]

  • Berhoa[3],[5]

  • Bicaldéguy[3]

  • Bichartéa[3]

  • Bidartéa[3]

  • Bidegain Etchetoa[3]

  • Bidegainia[3]

  • Bildaraitz ou Bildarraitz[8]

  • Bordalanda[3]

  • Buztingorria[3]

  • Celhaya[3]

  • Chapitalborda[3],[5]

  • Chapitalia (moulin)[3]

  • Chedarria[3]

  • Chelhaya[3]

  • Chocoa[3]

  • Courtaut[3]

  • Currioléko Borda[3]

  • Curutzaldéa[3]

  • Egyptoa[3]

  • Erketa[3]

  • Erregnétéa[3]

  • Errékahoua[3]

  • Errékartéa[3]

  • Espertatea[3]

  • Estekatea[3]

  • Etchartéa[3]

  • Etchébarnéko Borda[3]

  • Etchébazterréa[3]

  • Etchébéhéréa[3],[5]

  • Etchébéhéreko Borda[3]

  • Etchéberria[3] (2 lieux-dits)

  • Etcheberriko Borda[3]

  • Etchéberstia[3]

  • Etchéchouria[3]

  • Etchégaraya[3]

  • Etchégoïnéa[3]

  • Etchénika[3]

  • Etchenikako Borda[3]

  • Etchéparéa[3]

  • Etchétipia[3]

  • Etchetoa[3]

  • Eyhéra[3]

  • Ezpildéa[3]

  • Ferminéko Borda[3]

  • Fermirénéa[3]

  • Gandaramendia[3]

  • Gandéramendiko Borda[3]

  • Garralda[3]

  • Gauhetchia[3]

  • Granya[3]

  • Granyagaraya[3]

  • Haranbilléta[3]

  • Haranburua[3]

  • Haranéa[3]

  • Harréguia[3]

  • Harriéta[3]

  • Harriétako Borda[3]

  • Hastoya[3]

  • Hégoa[3]

  • Hergaitz[5],[3]

  • Hiriartéa[3]

  • Ichuria[3]

  • Idiartéa[3]

  • Idigoïnia[3]

  • Ilharindéguia[3]

  • Ipoutsaguerria[3]

  • Irachiloa[3]

  • Irazabalia[3]

  • Iriart Urrutia[3]

  • Iribarnéa[3]

  • Iriberria[3]

  • Issouribeherea[3]

  • Jauberria[3] (2 lieux-dits)

  • Jaungaztenia[3]

  • Jelossia[3]

  • Kintalénéa[3]

  • Kitendéa[3]

  • Larrégaïnia[3]

  • Larzabaléa[3]

  • Leichorrénéa[3]

  • Létouatéguia[3]

  • Lohichundéa[3]

  • Londaits[3],[5]

  • Londaitsbehere[3]

  • Londaïtzberria[3]

  • Londaitzekoborda[3]

  • Lukua[3],[5]

  • Lur Berry[3]

  • Manéchéka Borda[3]

  • Manéchénéa[3]

  • Mayartéguia[3]

  • Mendia[3]

  • Mendiberria[3]

  • Mendiburua[3]

  • Mendigorria[3],[5]

  • Mendilarréa[3]

  • Menta[3]

  • Mentaberria[3]

  • Mentachiloa[3]

  • Mignotéguia[3]

  • Négutéa[3]

  • Notariaénia[3]

  • Ourriola[3]

  • Oyhana[3]

  • Oyharartéa[3]

  • Oyharitzéa[3]

  • Oyharitséko Borda[3]

  • Patindeya[3]

  • Peña[3]

  • Petchitea[3]

  • Pipitea[3]

  • Pompochénéa[3]

  • Sallaberryborda[3]

  • Sarcabaleko Borda[3]

  • Sarhigaïnéa[3]

  • Tuturrutéguia[3]

  • Uhaldéa[3]

  • Urgorria[3]

  • Urquéta[3]

  • Zabaloa[3]

  • Zabalza[3]

  • Zaliotéguia[3]

  • Zokoa[3]




Communes limitrophes |






















Communes limitrophes d’Ayherre[3]

Hasparren

La Bastide-Clairence

Orègue

Bonloc
Ayherre
Isturits

Mendionde

Hélette

Saint-Esteben



Toponymie |



Attestations anciennes |


Le toponyme Ayherre apparaît sous les formes
sancti petri de ilarre (1236[8]),
San Per de Aiherre (1321[5], titres de la Camara de Comptos[9]),
ayherra (1344[8]),
ayheRe (1350[8]),
Ajarra (1513[5], titres de Pampelune[10]),
Ahyerie (1754[5], collations du diocèse de Bayonne[11]) et
Aiherre (1793 ou an II[12]).



Étymologie |


Selon Jean-Baptiste Orpustan[8], le toponyme provient du basque aiherr (« versant, penchant »), donnant donc « lieu en pente ».



Autres toponymes |


L'Ahounbiscardéguy est un hydronyme désignant un ruisseau prenant sa source sur la commune et qui rejoint la Joyeuse près de La Bastide-Clairence. Il est mentionné sous la graphie Ahunbiscardéguy en 1863[5], « lieu du dos de la chèvre ».


Apairi est un ancien hameau d’Ayherre mentionné en 1863[5] sous la graphie Apahiri.


Aphara est une ancienne ferme de la commune, citée par le dictionnaire topographique de 1863[5] et attestée sous la forme Apara en 1621[5] (Martin Biscay[13]).


Le toponyme Bildarraitz mentionné par Jean-Baptiste Orpustan[8] apparaît sous les graphies
beldarais (1249[8]),
bildarays (1350[8]),
bildarraiz (1413[8]),
Bildariz (1513[5], titres de Pampelune[10]) et
Bildarraïts (1863[5]). Il s’agissait au Moyen Âge d'un écart indépendant, sans église, ayant son propre conseil, ainsi qu’une demi-douzaine de maisons ayant été anoblies en 1435[8]. Le toponyme pourrait être la résultante de bil- « ensemble » ou « lieu de forme arrondie » et de araitz « prunellier, épineux », voire « églantier »[8].


Le château de Belzunce est un ancien fief relevant du royaume de Navarre appartenant à la famille de Belzunce. Il en est fait mention sous les graphies
Belçunze et Belzunce (1384[5] pour les deux formes, collection Duchesne volume CXV[14]),
Velçunce et Balzunze (1621[5] pour les deux formes, Martin Biscay[13]) et
Belsunce (1863[5], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).


Berhoa est un hydronyme qui désigne un ruisseau, signalé sous la graphie Berho en 1863[5], qui arrose Ayherre et se jette dans l’Arbéroue.


Chapitalborda désigne une ferme, déjà mentionnée en 1621[5] (Chapitel, Martin Biscay[13]) et 1863[5] (Chapital).


Etchebarnia est une ferme d’Ayherre, ancien fief vassal du royaume de Navarre, créé en 1435[5] (Echabarne dans les titres de Pampelune[10] à cette même date), tout comme la ferme Etchebéhère[5] (Echevehere dans les titres de Pampelune[10] en 1435, autre fief relevant du royaume de Navarre).


Le hameau Esquéta est mentionné par le dictionnaire de 1863[5].


Hergaitz désignait un lieu de pèlerinage (la croix d'Ergaïts) en 1863[5].


Le toponyme Londaïtz apparaît[5] sous la forme
Londayz (1621[5], Martin Biscay[13]).


Lukua est un hydronyme désignant le ruisseau Luku, également orthographié Lucu en 1863[5], affluent de la Joyeuse.


Mendigorria est une ferme mentionnée en 1621[5] (Mendigorria, Martin Biscay[13]) et 1863[5] (Mendigorry). Ce fief était vassal du royaume de Navarre.


La Place était un hameau d’Ayherre cité en 1863[5].


L'Uhartea (cité en 1863[5]) est un hydronyme désignant un tributaire de la Joyeuse.



Graphie basque |


Son nom basque actuel est Aiherra[2].



Histoire |


Le 18 mars 1450[15], le Labourd revint à la couronne française, après la signature du traité de paix au château de Belzunce à Ayherre, marquant la fin de l'influence anglaise dans la région. Ce jour-là, les représentants du Labourd firent leur soumission, et moyennant le paiement de 2 000 écus d'or, garanti par la rétention de dix otages, ils purent conserver leurs privilèges.



Héraldique |






Blason

Blasonnement :
Écartelé aux 1 et 4 de gueules à deux vaches passantes d'or rangées en pal, accornées, colletées et clarinées d'azur ;
au 2 d'argent à un chêne arraché au naturel ; au 3 d'azur à l'hydre d'argent à trois têtes[16].


Commentaires : Adopté en 2001 d'après les armes des seigneurs de Belzunce Ayerre[17].



Politique et administration |




























Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1995
2014
Jean-Paul Basterretche
 
 
2011
En cours
(au avril 2014)
Arnaud Gastambide
 
 

Les données manquantes sont à compléter.



Intercommunalité |


La commune participe à cinq structures intercommunales[18] :



  • la communauté de communes du pays d'Hasparren « Hazparneko lurraldea » ;

  • le syndicat AEP de l'Arberoue ;

  • le syndicat d’assainissement Adour-Ursuia ;

  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;

  • le syndicat intercommunal pour la réalisation d'une maison de retraite dans la vallée de l'Arberoue ;



Population et société |



Démographie |


La déclaration de biens de 1749[19] dénombre 162 feux à Ayherre (130 feux du tiers état, un curé, deux membres de la noblesse (Arcangues et Belsunce) et 29 non propriétaires).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].



En 2016, la commune comptait 1 035 habitants[Note 1], en augmentation de 4,86 % par rapport à 2011 (Pyrénées-Atlantiques : +2,65 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 410 1 502 1 500 1 454 1 513 1 522 1 607 1 731 1 671



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 619 1 507 1 505 1 508 1 490 1 392 1 244 1 157 1 153



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 193 1 161 1 127 1 028 951 952 1 027 969 854



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
842 810 765 812 791 841 955 987 1 034



























2016 - - - - - - - -
1 035 - - - - - - - -

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[22].)



Histogramme de l'évolution démographique





Enseignement |


La commune dispose de deux écoles : l'école élémentaire publique et l'école primaire privée Immaculée-Conception[23]. Ces deux écoles proposent un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[24].



Économie |




Le groupe Lauak.


L'activité de la commune est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.


La société Lauak (industries de l'aéronautique et de l'espace) est installée dans la zone artisanale d'Ayherre.


Le moulin d'Uhagun sur l'Aran, datant du XIXe siècle, a été transformé en centrale hydroélectrique.



Culture et patrimoine |



Fêtes |


A l'origine, les fêtes patronales Herriko pestak étaient célébrées en l'honneur de saint Pierre, patron du village (29 juin). En 2017 elles ont eu lieu du 16 au 19 juin.



Patrimoine civil |





Atalburu de la maison Londaïtz.


Trois fortifications protohistoriques[7] (l'Abarratea, 342 mètres, un gaztelu zahar à trois gradins), qui s’étendent également sur la commune d’Isturitz, témoignent de l’occupation ancienne de la zone. Elles sont inscrites aux monuments historiques depuis 1984.


Le château de Belzunce[25] date des XIIIe, XIVe et XVIe siècles. Il fait l’objet d’une inscription aux monuments historiques depuis 1992.



Patrimoine religieux |


L’église paroissiale Saint-Pierre[26] date de la fin du Moyen Âge.




Patrimoine environnemental |



Équipements |


La commune dispose de deux écoles primaires, l'école du bourg et l'école privée de l'Immaculée-Conception[27].



Personnalités liées à la commune |



  • Maison de Belzunce


  • Émile Larre, né en 1926 à Saint-Étienne-de-Baïgorry, est un prêtre, chroniqueur, bertsolari, écrivain et académicien basque français de langue basque. C'est un promoteur actif des traditions basques, et particulièrement attaché aux modes d'expression basque tels que le bertsolarisme et la pelote basque. Il fut curé d'Ayherre de 1969 à 1980.



Notes et références |



Notes |




  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.



Références |




  1. Gentilé sur habitants.fr


  2. a et b- Académie de la langue basque


  3. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq ar as at au av aw ax ay az ba bb bc bd be bf bg bh bi bj bk bl bm bn bo bp bq br bs bt bu bv bw bx by bz ca cb cc cd ce cf cg ch ci cj ck cl cm cn co cp cq cr cs ct cu cv cw cx cy cz da db dc dd de df dg dh di dj dk dl dm dn do dp dq dr ds dt du dv dw dx dy dz ea eb ec ed ee ef eg eh ei ej ek el em en et eoGéoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le 21 octobre 2012)


  4. Site du Sandre sur Ayherre


  5. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak et alPaul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque


  6. Généalogie et Histoire des Familles, « Cadastre napoléonien Basse-Navarre / Ayherre », 1835(consulté le 26 août 2018)


  7. a et b« Les fortifications protohistoriques au lieu-dit Abarratia », notice no PA00084328, base Mérimée, ministère français de la Culture


  8. a b c d e f g h i j et kJean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », 2006, 246 p. (ISBN 2867813964 et 9782867813962)


  9. Titres publiés par don José Yanguas y Miranda - Diccionario de Antiguedades del reino de Navarra ; 1840 ; Pampelune


  10. a b c et dTitres publiés par don José Yanguas y Miranda


  11. Manuscrits des XVIIe et XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques


  12. a et bDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  13. a b c d et eDerecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°


  14. Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papiers d'Oihénart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France


  15. Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 122


  16. .Guy Ascarat


  17. Armorial de France


  18. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le 27 mai 2014)


  19. Recensement cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, 2001, 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 282. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.


  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.


  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.


  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  23. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Ayherre%20%2864%29}}


  24. {{http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1[commune]=54&tx_ecoles_pi1[cdc]=0&tx_ecoles_pi1[province]=0&tx_ecoles_pi1[category]=16&tx_ecoles_pi1[type]=0&tx_ecoles_pi1[education_mode]=0&tx_ecoles_pi1[submit]=Rechercher&id=183&L=0}}


  25. « Le château de Belzunce », notice no PA00084558, base Mérimée, ministère français de la Culture


  26. « L'église Saint-Pierre », notice no IA64000728, base Mérimée, ministère français de la Culture


  27. Site de l'école de l'Immaculée-Conception



Pour approfondir |


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Articles connexes |


  • Liste des communes des Pyrénées-Atlantiques


Liens externes |




  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :

    • Bibliothèque nationale de France (données)


  • Ressources relatives à la géographie : GeoNames • Insee (communes) • OpenStreetMapVoir et modifier les données sur Wikidata

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  • Communauté de communes du Pays de Hasparren




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