Georges Tron





































































































































Georges Tron

Illustration.
Georges Tron en 2010.
Fonctions

Maire de Draveil
En fonction depuis le 25 juin 1995
(23 ans, 7 mois et 18 jours)
Réélection

mars 2001
mars 2008
mars 2014
Prédécesseur
Jean Tournier-Lasserve

Conseiller départemental de l'Essonne
En fonction depuis le 29 mars 2015
(3 ans, 10 mois et 14 jours)
Élection

29 mars 2015
Circonscription

Canton de Draveil
Prédécesseur
Florence Fernandez de Ruidiaz

Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique
22 mars 2010 – 29 mai 2011
(1 an, 2 mois et 7 jours)
Président

Nicolas Sarkozy
Gouvernement

François Fillon II
François Fillon III
Député français
30 juin 2011 – 19 juin 2012
(7 mois et 20 jours)
Élection

17 juin 2007
Circonscription

9e de l’Essonne
Législature

XIIIe(Ve République)
Groupe politique

UMP
Prédécesseur

Françoise de Salvador
Successeur

Thierry Mandon
2 avril 1993 – 23 avril 2010
(17 ans et 21 jours)
Élection

28 mars 1993
Réélection

1er juin 1997
16 juin 2002
17 juin 2007
Circonscription

9e de l’Essonne
Législature

Xe, XIe, XIIe et XIIIe
(Ve République)
Groupe politique

RPR (1993-2002)
UMP (2002-2010)
Prédécesseur

Thierry Mandon
Successeur

Françoise de Salvador
Biographie
Date de naissance

1er août 1957(61 ans)
Lieu de naissance

Neuilly-sur-Seine (Seine)
Nationalité

Française
Parti politique

RPR (avant 2002)
UMP (2002-2015)
LR (depuis 2015)
Profession
Agent public des collectivités locales

Georges Tron, né le 1er août 1957 à Neuilly-sur-Seine, est un homme politique français. Membre du RPR, de l'UMP puis de LR, il est maire de Draveil (Essonne) depuis 1995, député à partir de 1993 et secrétaire d'État chargé de la Fonction publique de 2010 à 2011.




Sommaire






  • 1 Situation personnelle


    • 1.1 Origines


    • 1.2 Vie privée


    • 1.3 Carrière professionnelle




  • 2 Parcours politique


    • 2.1 Débuts


    • 2.2 Député et maire de Draveil


    • 2.3 Secrétaire d'État à la Fonction publique


    • 2.4 Après son départ du gouvernement


    • 2.5 Accusations de viols en réunion




  • 3 Détail des mandats et fonctions


  • 4 Littérature


  • 5 Notes et références


  • 6 Voir aussi


    • 6.1 Article connexe


    • 6.2 Liens externes







Situation personnelle |



Origines |


Né à Neuilly-sur-Seine, il est issu d'une famille aisée[1].



Vie privée |


Il est l'époux d'Albane Jourdain de Thieulloy, présidente de la Société des amis du patrimoine draveillois, avec qui il a trois filles[2].



Carrière professionnelle |


Il fait ses études secondaires au lycée Saint-Louis de Gonzague à Paris (promotion 1975)[3], puis des études en droit public sanctionnées par une maîtrise[4].


Embauché en 1982 comme chargé de mission au Conseil de Paris, il travaille auprès de Roger Romani, de Jacques Chirac, puis Édouard Balladur[1]. Il quitte la mairie de Paris quand ce dernier, nommé ministre de l'Économie, des Finances et des Privatisations, l'appelle à son cabinet, toujours en qualité de chargé de mission. En 1988, siégeant comme député de Paris, Édouard Balladur le choisit pour être son chef de cabinet durant la législature, puis comme conseiller lorsqu'il devient Premier ministre, en 1993[4].


Directeur de campagne d'Édouard Balladur pour l'élection présidentielle de 1995, il organise notamment pour celui-ci une opération de communication : après que son hélicoptère se fut posé près de Barbentane (Bouches-du-Rhône), le Premier ministre, perdu en rase campagne, rejoint le meeting où il est attendu grâce à une automobiliste qui le prend en stop. On apprendra plus tard que la conductrice censée l’avoir dépanné par hasard était une cousine de Georges Tron[5].


En 2009, il s'inscrit au barreau de Paris[6].



Parcours politique |



Débuts |


Georges Tron se présente aux municipales de 1989 sur la liste de Gilles de Robien, qui emporte la mairie d'Amiens. Élu conseiller municipal, il démissionne en cours de mandat[7].


En 1992, il s'implante politiquement en Essonne à la demande du président RPR du conseil général, Xavier Dugoin[1].



Député et maire de Draveil |


Le 28 mars 1993, il est élu député dans la 9e circonscription de l'Essonne face au socialiste sortant, Thierry Mandon[8].


Il préside l'Union des jeunes pour le progrès (UJP), mouvement des jeunes gaullistes, en 1993, puis est mis à l'écart des instances du RPR après la défaite d'Édouard Balladur. Il est ensuite membre fondateur de l'Union en mouvement (UEM), qui préfigure la création de l'UMP[9].


Lors des élections municipales de 1995 à Draveil, la liste qu'il conduit devance, dans une triangulaire, celle du maire divers droite sortant, Jean Tournier-Lasserve. Dans la ville voisine, Ris-Orangis, Thierry Mandon prend la mairie. L'opposition entre les deux hommes fait la une des médias nationaux quand Libération dévoile qu'une collaboratrice de Georges Tron a tenté d'encourager l'émeute des jeunes Rissois[8]. Georges Tron est réélu maire en 2001 et 2008[10],[11]. Il préside la Communauté d'agglomération Sénart Val de Seine depuis 2003[4].


Les deux adversaires se retrouvent lors de la législative de 1997, dont Georges Tron sort vainqueur, le 1er juin 1997, avec 717 voix d'écart. Il est réélu le 17 juin 2002 avec 55,8 % des voix au second tour. Il est membre du groupe UMP[12]. Lors des Émeutes de 2005 dans les banlieues, il prône et applique dans sa commune la suppression des allocations familiales pour les parents d'enfants délinquants[8].


Secrétaire général adjoint chargé des élections de 2002 à 2005 à l'UMP, il est considéré ensuite dans son parti comme « villepiniste » (proche de l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin), s'opposant régulièrement à la politique de Nicolas Sarkozy[4],[6].



Secrétaire d'État à la Fonction publique |


Secrétaire national chargé de la fonction publique à l'UMP depuis 2005[4], il est nommé, le 22 mars 2010, secrétaire d'État à la Fonction publique (poste laissé vacant depuis juin 2009)[13] dans le gouvernement François Fillon II, sous la tutelle d'Éric Woerth, ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique. Cette nomination est analysée comme un moyen d'affaiblir Dominique de Villepin[8], lui y voyant un « geste d'apaisement »[9].


Ses premiers jours au ministère sont marqués par la révélation, par Le Canard enchaîné, du fait qu'il occupe toujours en 2010, dans le 15e arrondissement de Paris, un logement social de 118 m2, obtenu en 1992 sur le contingent de la mairie de Paris[14].


Au sein du gouvernement, Georges Tron est chargé de préparer la réforme des retraites dans la fonction publique[15]. Aux côtés d'Éric Woerth, il applique le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux qu'il avait avancé en 2005, mais déclare en mars 2011 que ce mécanisme devra cesser en 2012. Son successeur François Sauvadet continuera de l'appliquer, tout en regrettant que le faible volume des départs en retraite ne permette plus de réduire, autant qu'il le juge nécessaire, les effectifs de la fonction publique[16]. Il mène la réforme des retraites et négocie avec les syndicats un accord sur la précarité des non-titulaires de la fonction publique[8].


Le 29 mai 2011, alors qu'il est accusé de viols, il est contraint de démissionner du gouvernement à la demande de François Fillon[17].



Après son départ du gouvernement |


Il retrouve automatiquement son siège de député le 30 juin 2011, un mois après sa démission du gouvernement. Le même jour, le bureau de l'Assemblée nationale lève son immunité parlementaire[18]. Affaibli par les accusations de viol à son encontre, il est battu aux élections législatives de 2012 par le socialiste Thierry Mandon, qui obtient 56,75 % des suffrages[19],[20]..


En 2014, sa liste rassemble 57,5 % des suffrages au premier tour de l'élection municipale de Draveil, ce qui lui permet de conserver son fauteuil de maire.


Il est candidat dans le canton de Draveil lors des élections départementales de 2015, qu'il gagne. Pressenti pour prendre la tête du conseil départemental, il est battu par François Durovray lors d'une primaire interne[21]. Georges Tron choisit néanmoins de se présenter à la présidence du conseil départemental, malgré un engagement antérieur à respecter les résultats de la primaire[22]. Dans la foulée, il démissionne de la présidence de la fédération UMP de l'Essonne[23]. Le jour de l'élection du président, il retire finalement sa candidature[24].


En juin 2016, il est investi par Les Républicains comme candidat aux élections législatives de 2017 dans la 9e circonscription de l’Essonne[25]. Le fait qu'il soit parallèlement mis en examen pour l'affaire de viol fait polémique au sein du parti[26]. Invoquant le non-cumul des mandats, il renonce finalement à se présenter[27].



Accusations de viols en réunion |



Adepte de réflexologie plantaire, Georges Tron est accusé en mai 2011, en pleine affaire Dominique Strauss-Kahn, de viols et d'agressions sexuelles : deux anciennes employées de Draveil (Virginie Ettel et Éva Loubrieu) déposent plainte en affirmant qu'il a profité — en compagnie de son adjointe à la culture, Brigitte Gruel — des séances de massage de pieds qu'il leur prodiguait pour leur imposer des rapports sexuels (attouchements et pénétrations digitales)[28],[19],[29]. Georges Tron se défend en arguant d'un complot organisé par des membres locaux du Front national (dont Philippe Olivier) sur fond de spéculation immobilière à Draveil[19],[6],[30],[31].


Le 22 juin 2011, il est mis en examen pour « viols et agressions sexuelles en réunion et par personne ayant autorité », et placé sous contrôle judiciaire[32],[33]. Les plaignantes sont menacées à plusieurs reprises[34]. Le 10 décembre 2013, les juges d'instruction prononcent un non-lieu en sa faveur, conformément aux requisitions du parquet d'Évry[19],[35]. Mais ce non-lieu est infirmé le 15 décembre 2014 par la cour d'appel de Paris, qui renvoie les accusés devant les assises[36]. En avril 2015, la Cour de cassation refuse d'invalider la décision de la cour d'appel de Paris[37].


À partir du 12 décembre 2017, Georges Tron comparaît pour « viols et agressions sexuelles en réunion » devant la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, aux côtés de Brigitte Gruel[38],[39]. Il est défendu par Éric Dupond-Moretti et son associé Antoine Vey. Renvoyé à la suite d’un incident, le procès reprend le 23 octobre 2018[40]. Pendant le procès, alors qu'il continue à clamer son innocence, il est dépeint comme autoritaire et séducteur, quatre de ses collaboratrices — outre les deux plaignantes — reconnaissant avoir eu des relations sexuelles avec lui[41],[42],[43].


Alors que six ans de prison et cinq ans d'inéligibilité sont requis à son encontre, il est acquitté le 15 novembre 2018[44],[45],[46]. Si la cour d'assises reconnaît que Georges Tron et Brigitte Gruel ont bien « participé à des ébats sexuels en présence de tiers dans un climat général hypersexualisé », elle note qu'il « n’a jamais été rapporté la preuve d’une contrainte »[47]. Le parquet général de Paris fait appel de cette décision[48].



Détail des mandats et fonctions |




  • 2 avril 1993 – 23 avril 2010 : député pour la 9e circonscription de l'Essonne

  • depuis le 25 juin 1995 : maire de Draveil

  • depuis 2004 : président de la fédération UMP de l'Essonne


  • 22 mars 2010 – 13 novembre 2010 : secrétaire d'État auprès du ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique, chargé de la Fonction publique


  • 14 novembre 2010 – 29 mai 2011 : secrétaire d'État auprès du ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l'État, chargé de la Fonction publique


  • 30 juin 2011 - 19 juin 2012 : député pour la 9e circonscription de l'Essonne



Littérature |


Olivier Adam, dans son roman La Renverse, s'inspire librement de l'affaire Georges Tron, sans s'y référer explicitement, pour créer une fiction qui s'en éloigne.



Notes et références |




  1. a b et cOlivier Bertrand, « Un duel doublé de rivalité haineuse », Libération, 31 mai 1997.


  2. Who's Who in France, 2003


  3. [1], www.parisetudiant.com


  4. a b c d et e« Georges Tron », lepoint.fr, 22 mars 2010.


  5. Alain Auffray, « Georges Tron, l’orgueilleux aux multiples mentors », Libération, 30 mai 2011.


  6. a b et c« Georges Tron, un ancien villepiniste rallié à Sarkozy », Le Figaro, 29 mai 2011.


  7. « Georges Tron, un secrétaire d'État au bref passé picard », http://www.courrier-picard.fr, 23 mars 2010


  8. a b c d et e« Georges Tron, de fidèle balladurien à “prise de guerre” sarkozyste », LeMonde.fr, 30 mai 2011.


  9. a et b« Portraits : Les trois nouveaux du gouvernement », parismatch.com, 23 mars 2010


  10. Thomas Segissement, « A Draveil, Georges Tron face à un seul adversaire », Le Parisien, 19 février 2001.


  11. Élections municipales de 2008 - résultats à Draveil sur le site du Figaro.


  12. Groupe d'études sur le problème du Tibet


  13. Laure Equy, « Un remaniement pas si “technique” », Libération, 22 mars 2010.


  14. « D'après le “Canard enchaîné”, Georges Tron loue bien un appartement à loyer modéré », Le Monde, 30 mars 2010.


  15. Anne Rovan, « Les débuts de Baroin, Tron et Daubresse au gouvernement », Le Figaro, 26 avril 2010.


  16. « Selon Sauvadet, on arrive au bout de la règle du "un fonctionnaire sur deux" », sur lemonde.fr, 5 janvier 2012


  17. David Doucet, « Georges Tron démissionne », L'Express.fr, 29 mai 2011


  18. « L'Assemblée lève l'immunité parlementaire de Tron », Challenges, 30 juin 2011.


  19. a b c et d« L'affaire Georges Tron, des révélations au retournement de situation », Le Monde.fr, 15 mai 2013.


  20. Résultats de l'élection législative 2012 dans la neuvième circonscription de l'Essonne sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 18/06/2012.


  21. Daïc Audouit et William Van Qui, « Georges Tron ne sera pas président du conseil départemental de l'Essonne », france3-regions.francetvinfo.fr, 30 mars 2015.


  22. Fabrice Pouliquen, « Essonne : Georges Tron briguera tout de même la présidence de l'UMP », 20minutes.fr, 30 mars 2015.


  23. Florence Méréo, « Georges Tron : "Je démissionne de la présidence de l’UMP en Essonne" », leparisien.fr, 30 mars 2015.


  24. « Georges Tron retire sa candidature à la présidence de l’Essonne », lesechos.fr, 2 avril 2015.


  25. http://www.leparisien.fr/draveil-91210/tron-investi-en-essonne-qu-on-me-foute-la-paix-en-attendant-le-proces-23-06-2016-5908543.php


  26. « Georges Tron, accusé de viol, investi pour les législatives de 2017 », lexpress.fr, 23 juin 2016.


  27. https://www.lemonde.fr/politique/article/2017/01/09/georges-tron-renonce-a-se-presenter-aux-elections-legislatives_5059970_823448.html


  28. http://www.europe1.fr/societe/proces-tron-six-ans-de-prison-requis-contre-lex-secretaire-detat-juge-pour-viols-3800303


  29. « Les deux plaintes qui visent Georges Tron », Rue89, 31 mai 2011.


  30. http://www.leparisien.fr/essonne-91/proces-georges-tron-les-manigances-politiques-en-axe-de-defense-13-11-2018-7941840.php


  31. http://www.leparisien.fr/draveil-91210/au-proces-georges-tron-la-these-du-complot-fn-decortique-a-la-barre-06-11-2018-7936695.php


  32. Europe 1 : Georges Tron mis en examen pour viol


  33. Lefigaro.fr


  34. https://www.marianne.net/societe/harcelement-sexuel-une-plaignante-de-l-affaire-georges-tron-menacee


  35. « « Accusations de viols : non-lieu pour Georges Tron », Le monde.fr, 10 décembre 2013.


  36. Georges Tron renvoyé devant les assises pour viols et agressions sexuelles, lemonde.fr, 15 décembre 2014.


  37. « Le renvoi aux assises de Georges Tron pour viols validé en cassation », lemonde.fr, 3 avril 2015.


  38. https://www.lexpress.fr/actualites/1/politique/georges-tron-juge-pour-viols-les-grandes-dates-de-l-affaire_2043463.html


  39. Georges Tron et ses « manies » sexuelles en procès,, 11 décembre 2017.


  40. « Lors de son procès, Georges Tron dénonce des accusations "aussi abjectes qu’injustes" »], lemonde.fr, 23 octobre 2018.


  41. « Lors de son procès, Georges Tron dénonce des accusations « aussi abjectes qu’injustes » », Le Monde.fr,‎ 23 octobre 2018(lire en ligne, consulté le 24 octobre 2018).


  42. https://www.20minutes.fr/justice/2371151-20181114-proces-georges-tron-reflexologie-piege-autoriser-toucher-pieds-femmes-estime-avocat-general


  43. https://www.ledauphine.com/france-monde/2018/11/14/le-proces-tron-entre-dans-sa-derniere-ligne-droite


  44. « Six ans de prison requis contre Georges Tron, ex-secrétaire d’Etat jugé pour « viols en réunion » », Le Monde,‎ 14 novembre 2018(lire en ligne)


  45. « Georges Tron acquitté à l’issue de son procès pour « viols en réunion » », Le Monde,‎ 15 novembre 2018(lire en ligne)


  46. « Accusations de viols : l'ex-secrétaire d'Etat Georges Tron acquitté », Libération.fr,‎ 15 novembre 2018(lire en ligne)


  47. Georges Tron acquitté à l’issue de son procès pour « viols en réunion » par Pascale Robert-Diard, sur lemonde.fr du 15 novembre 2018


  48. https://www.lci.fr/justice/acquittement-de-georges-tron-accuse-de-viols-le-parquet-fait-appel-2105075.html



Voir aussi |


.mw-parser-output .autres-projets ul{margin:0;padding:0}.mw-parser-output .autres-projets li{list-style-type:none;list-style-image:none;margin:0.2em 0;text-indent:0;padding-left:24px;min-height:20px;text-align:left}.mw-parser-output .autres-projets .titre{text-align:center;margin:0.2em 0}.mw-parser-output .autres-projets li a{font-style:italic}

Sur les autres projets Wikimedia :





Article connexe |


  • Empêchement (jurisprudence Bérégovoy-Balladur)


Liens externes |




  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :

    • Fichier d’autorité international virtuel

    • International Standard Name Identifier


    • Bibliothèque nationale de France (données)

    • Système universitaire de documentation



  • Ressources relatives à la vie publique : Assemblée nationale • Base SycomoreVoir et modifier les données sur Wikidata




  • Portail de la politique française Portail de la politique française
  • Portail de l’Essonne Portail de l’Essonne



Popular posts from this blog

Loup dans la culture

How to solve the problem of ntp “Unable to contact time server” from KDE?

Connection limited (no internet access)