François Baroin





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Ne doit pas être confondu avec François Barois.
































































































































































































































































































































François Baroin

Illustration.
François Baroin en 2012.
Fonctions
Maire de Troyes
En fonction depuis le 25 juin 1995
(23 ans, 7 mois et 18 jours)
Prédécesseur

Robert Galley
Sénateur français
1er octobre 2014 – 1er octobre 2017
(3 ans)
Élection

28 septembre 2014
Circonscription

Aube
Groupe politique

UMP puis LR
Prédécesseur

Yann Gaillard
Successeur

Évelyne Perrot
Ministre de l'Économie,
des Finances et de l'Industrie
29 juin 2011 – 10 mai 2012
(10 mois et 11 jours)
Président

Nicolas Sarkozy
Gouvernement

François Fillon III
Prédécesseur

Christine Lagarde
Successeur

Pierre Moscovici

Ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l'État[N 1]
22 mars 2010 – 29 juin 2011
(1 an, 3 mois et 7 jours)
Président

Nicolas Sarkozy
Gouvernement

François Fillon II et III
Prédécesseur

Éric Woerth
Successeur

Valérie Pécresse (Budget)
François Sauvadet
(Fonction publique)
Ministre de l'Intérieur
et de l'Aménagement du territoire
26 mars 2007 – 15 mai 2007
(1 mois et 19 jours)
Président

Jacques Chirac
Gouvernement

Dominique de Villepin
Prédécesseur

Nicolas Sarkozy
Successeur

Michèle Alliot-Marie
Ministre de l'Outre-mer
2 juin 2005 – 26 mars 2007
(1 an, 9 mois et 24 jours)
Président

Jacques Chirac
Gouvernement

Dominique de Villepin
Prédécesseur

Brigitte Girardin
Successeur

Hervé Mariton
Porte-parole du gouvernement
14 novembre 2010 – 29 juin 2011
(7 mois et 15 jours)
Président

Nicolas Sarkozy
Gouvernement

François Fillon III
Prédécesseur

Luc Chatel
Successeur

Valérie Pécresse
18 mai 1995 – 7 novembre 1995
(5 mois et 20 jours)
Président

Jacques Chirac
Gouvernement

Alain Juppé I
Prédécesseur

Philippe Douste-Blazy
Successeur

Alain Lamassoure
Député français
17 juin 2012 – 30 septembre 2014
(2 ans, 3 mois et 13 jours)
Réélection
17 juin 2012
Circonscription

3e de l'Aube
Législature

XIVe
Groupe politique

UMP
Prédécesseur

Gérard Menuel
Successeur

Gérard Menuel
20 juin 2007 – 23 avril 2010
(2 ans, 10 mois et 3 jours)
Réélection
17 juin 2007
Circonscription

3e de l'Aube
Législature

XIIIe
Groupe politique

UMP
Prédécesseur

Gérard Menuel
Successeur

Gérard Menuel
12 juin 1997 – 2 juillet 2005
(8 ans et 20 jours)
Réélection
1er juin 1997
Circonscription

3e de l'Aube
Législature

XIe et XIIe
Groupe politique

RPR puis UMP
Prédécesseur

Gérard Menuel
Successeur

Gérard Menuel
2 avril 1993 – 18 juin 1995
(2 ans, 2 mois et 16 jours)
Élection
28 mars 1993
Circonscription

3e de l'Aube
Législature

Xe
Groupe politique

RPR
Prédécesseur

Michel Cartelet
Successeur

Gérard Menuel
Biographie
Nom de naissance
François Claude Pierre
René Baroin
Date de naissance

21 juin 1965(53 ans)
Lieu de naissance

Paris (12e, France)
Nationalité

Française
Parti politique

RPR (avant 2002)
UMP (2002-2015)
LR (depuis 2015)
Père

Michel Baroin
Mère
Michèle Paulin
Conjoint

Michèle Laroque
Diplômé de

Université Panthéon-Assas
Université de Bourgogne
Institut supérieur de gestion
Profession

Journaliste
Avocat




François Baroin
Maires de Troyes

François Baroin, né le 21 juin 1965 à Paris (12e arrondissement), est un journaliste, avocat et homme politique français.


Employé à Europe 1 pendant cinq ans, dont deux ans comme journaliste politique, il est ensuite député de l'Aube à partir de 1993 pour le RPR. Élu sénateur de l'Aube en 2014, après quatre mandats consécutifs à l'Assemblée nationale, il démissionne en octobre 2017 afin de se consacrer à ses mandats locaux, en application de la loi de 2014 sur le non-cumul des mandats. Il est président de l'Association des maires de France depuis 2014 et maire de Troyes depuis 1995.


Protégé de Jacques Chirac, il est porte-parole du candidat à l'élection présidentielle de 1995 et occupe le même poste dans le premier gouvernement Juppé, dont il est le benjamin. Il adhère ensuite à la création de l'UMP, et occupe les fonctions de ministre de l'Outre-Mer puis de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire dans le gouvernement Villepin entre 2005 et 2007.


Nommé ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l'État dans le deuxième gouvernement Fillon en 2010, il prend le titre de porte-parole du gouvernement, tout en conservant ses fonctions ministérielles, au sein du troisième gouvernement Fillon. L'année suivante, en 2011, il est nommé ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, fonction qu'il conserve jusqu'à la défaite de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle de 2012.




Sommaire






  • 1 Biographie


    • 1.1 Enfance et études


    • 1.2 Carrière professionnelle


    • 1.3 Carrière politique


      • 1.3.1 Fonctions municipales


      • 1.3.2 Fonctions législatives


      • 1.3.3 Fonctions ministérielles


      • 1.3.4 Fonctions partisanes


      • 1.3.5 Retrait de la politique nationale, maire de Troyes






  • 2 Prises de position et controverses


  • 3 Détail des mandats et fonctions


    • 3.1 Fonctions parlementaires


    • 3.2 Fonctions ministérielles


    • 3.3 Mandats locaux


    • 3.4 Fonctions politiques




  • 4 Vie privée


  • 5 Ouvrages


  • 6 Notes et références


    • 6.1 Notes


    • 6.2 Références




  • 7 Voir aussi


    • 7.1 Bibliographie


    • 7.2 Liens externes







Biographie |



Enfance et études |


François Claude Pierre René Baroin est le fils de Michel Baroin (haut fonctionnaire, homme d'affaires, grand maître du Grand Orient de France en 1977-1978) et de Michèle Paulin, originaire de Dun-le-Palestel (Creuse).


Il effectue ses études au Collège Stanislas où il est un élève médiocre, il y redouble le CM2[1]. Il passe ensuite par le lycée Claude-Bernard où il prépare le concours d'entrée d'HEC auquel il échoue deux fois[2], il intègre donc l'Institut supérieur de gestion (ISG Paris) dont il est diplômé en 1989[3]. Il complète sa formation à l'Université Paris-II où il décroche un DESS de défense, un DESS de sciences de l'information et un DEA de géopolitique[4].


À la fin de ses études, il perd son grand-père Barthélémy Baroin, en 1984, est témoin de la mort de sa sœur Véronique, renversée par une voiture, le 26 avril 1986, puis perd son père, mort le 5 février 1987, à la suite d'un accident d'avion survenu au Cameroun[5]. Il raconte que ces drames l'ont réorienté et ont d'une certaine manière appuyé son engagement politique[6].


En 1987, il rédige, avec deux amis et anciens camarades du collège Stanislas, Jean-Michel Blanquer et Richard Senghor, une « Déclaration du troisième millénaire », qui se veut une version actualisée de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789[7],[8]. Il restera très proche de Blanquer, qui dira être son « presque frère »[9].



Carrière professionnelle |


Jean-Pierre Elkabbach le recrute au service politique d’Europe 1, où il commence une carrière de journaliste, qu'il poursuit de 1988 à 1992[10].


Depuis 2001, il est avocat inscrit au barreau de Paris. Depuis 2018, il est avocat of counsel au cabinet de Francis Szpiner[11].



Carrière politique |



Fonctions municipales |


En 1989, il est élu conseiller municipal (RPR) de Nogent-sur-Seine dans l'Aube. Il succède à Robert Galley comme maire de Troyes en 1995. La même année, il est élu président de l'Association des maires de l'Aube.


En 2001, François Baroin est élu président de la communauté d'agglomération de Troyes (CAT) et il est reconduit à la tête de la mairie de Troyes.


Le 9 mars 2008, il est réélu maire de Troyes, la liste qu'il conduisait ayant recueilli 50,42 % des suffrages dès le premier tour, face à quatre autres listes[12].


Aux élections municipales de 2014, il est réélu maire de Troyes dès le premier tour avec 62,57 % des voix. En novembre 2014, il est élu à la présidence de l'Association des maires de France (AMF)[13].


En 2015, dans le cadre de l'AMF, François Baroin s'engage avec André Laignel (PS) contre la présence de crèches et autres signes religieux dans les mairies suivant les préconisations de Daniel Keller, le maître du Grand Orient de France et de Jean-Louis Bianco, président de l'Observatoire de la laïcité[14],[15].


Lors de l'élection présidentielle française de 2017, il se met en retrait de son poste de président de l'AMF afin de préserver la neutralité de la fonction et de se concentrer sur la campagne présidentielle[16].



Fonctions législatives |


En 1993, il entre à l'Assemblée nationale, dont il est le plus jeune député, comme représentant de la 3e circonscription de l'Aube.


Il est réélu député le 16 juin 2002, dans la 3e circonscription de l'Aube, au second tour, avec 64,32 % des voix[17]. Membre du groupe parlementaire UMP de 2002 à 2012, il est vice-président de l'Assemblée nationale de 2002 à 2005.


En 2003, le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin le charge d'un rapport sur la laïcité. Il remet ce rapport en mai 2003, sous le titre : "Pour une nouvelle laïcité". Il y écrit que la laïcité "est devenue un élément de référence de l'identité française. Sa remise en cause par le multiculturalisme et le communautarisme peut donc être perçue comme une menace pour l'identité nationale. Dès lors un renouveau de la laïcité devient un élément de la réponse au choc du 21 avril 2002. On assiste ainsi à une "re-politisation" du thème de la laïcité qui pourrait devenir une valeur de la "droite de mai" face à une gauche qui s'est largement convertie au multiculturalisme et n'a pas su répondre au défi du communautarisme."


Le 10 juin 2007 il est réélu député, avec 55,21 % des voix, dans sa circonscription, dès le premier tour, avec un taux d'abstention de 48,32 %[18].


Le 28 novembre 2012, il rejoint le groupe parlementaire R-UMP à la suite de la fracture du groupe parlementaire UMP après le Congres UMP du 18 novembre 2012[19].


En octobre 2014, il est candidat aux élections sénatoriales et élu sénateur.


Le 1er octobre 2017, il fait partie des treize derniers sénateurs (sur un total de 41) à démissionner pour privilégier leur mandats locaux, en application de la loi du 14 février 2014 sur le non-cumul des mandats en France[20],[21]. Sa suppléante de 2014 Évelyne Perrot ne le remplace pas et son siège est déclaré vacant, ce qui déclenche une élection partielle[21].



Fonctions ministérielles |


Lors de la campagne présidentielle 1995, il est porte-parole de Jacques Chirac. Après la victoire de ce dernier, il est nommé secrétaire d'État auprès du Premier ministre et porte-parole du premier gouvernement Alain Juppé, devenant, à 29 ans, le plus jeune membre d'un gouvernement sous la Ve République[N 2]. Non reconduit quelques mois plus tard dans le nouveau gouvernement Juppé, il devient chargé de mission à l'Élysée, poste qu'il conserve jusqu'à ce qu'il retrouve son siège de député lors des élections législatives de 1997, perdues par la majorité.


Le 2 juin 2005, à la suite du référendum français sur le traité établissant une constitution pour l'Europe, François Baroin est nommé ministre de l'Outre-Mer dans le gouvernement Dominique de Villepin, puis assure, du 26 mars 2007 au 15 mai 2007, les fonctions de ministre de l'Intérieur en remplacement de Nicolas Sarkozy, démissionnaire pour se consacrer à sa campagne présidentielle. Il devient alors le benjamin des ministres.


Après les élections régionales de 2010 et le remaniement ministériel du 22 mars 2010, François Baroin est nommé ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l'État à la place d'Éric Woerth[22]. À ce poste, il est notamment chargé de ramener le déficit public à son niveau d'avant la crise économique. Alors que son prédécesseur lance début 2009 mon.service-public.fr dans le but de favoriser les démarches administratives en ligne, François Baroin reprend ce portail internet de l'administration publique française permettant des gains de productivité et de temps pour l'usager, avec l'ambition de le développer[23].


Le 14 novembre 2010, à la suite de la formation du gouvernement François Fillon III, il est reconduit dans ses fonctions, et récupère le portefeuille de la Fonction publique ; il devient également porte-parole du gouvernement.




Baroin derrière Sarkozy, accueillant à l'Élysée le secrétaire américain au Trésor Timothy Geithner.


Le 29 juin 2011, François Baroin est nommé ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, remplaçant ainsi Christine Lagarde, désignée, la veille, directrice générale du FMI. Valérie Pécresse le remplace au poste de ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l'État et au porte-parole du gouvernement, tandis que François Sauvadet se voit attribuer la Fonction publique.


Le 8 novembre 2011, lors d'une réponse à l'opposition à l'Assemblée nationale, il reproche au Parti socialiste d'être arrivé au pouvoir « par effraction » à la suite des élections législatives de 1997[24]. Ces propos provoquent une indignation et de vives réactions dans les rangs de la gauche ; s'ensuit une suspension puis une levée de la séance de questions au gouvernement, fait rare[réf. nécessaire] dans l'hémicycle[24],[25],[26].



Fonctions partisanes |


Lors de l'élection présidentielle française de 2002, il est chargé par Jacques Chirac d'apporter les signatures nécessaires à Bruno Mégret pour que celui-ci puisse se présenter[27] .


À l'UMP, il est le porte-parole sous la présidence d'Alain Juppé, puis secrétaire général délégué sous la présidence par intérim de Jean-Claude Gaudin.


Il est conseiller politique de Nicolas Sarkozy alors que celui-ci est président de l'UMP ; il est aussi président du comité départemental de l'UMP en Aube et vice-président du club Dialogue & Initiative, présidé par Jean-Pierre Raffarin. Il est membre du bureau politique de l'UMP puis des Républicains.


Le 29 septembre 2012, il annonce qu'il soutient François Fillon lors du congrès pour la présidence de l'UMP[28].


Il soutient Nicolas Sarkozy lors de la primaire française de la droite et du centre de 2016[29]. Il est pressenti pour devenir Premier ministre en cas de victoire du candidat mais Nicolas Sarkozy échoue[30].


En mars 2017, alors que l'affaire Fillon a conduit plusieurs personnalités à quitter l'équipe du candidat à l'élection présidentielle française de 2017, son équipe de campagne est remaniée. François Baroin est chargé du « rassemblement politique »[31]. In extremis, François Baroin soutient François Fillon lors de la manifestation du Trocadéro. Il est à nouveau pressenti pour devenir Premier ministre en cas de victoire de François Fillon, mais le candidat échoue également[32].


Après l'élimination de François Fillon au premier tour de la présidentielle, François Baroin annonce qu'il votera à titre personnel pour Emmanuel Macron[33]. Il se déclare prêt, en cas de victoire de la droite et du centre aux élections législatives, à être un Premier ministre de cohabitation avec Emmanuel Macron[34]. Ce dernier dit exclure toute « coalition » avec les Républicains et décrit la conduite passée et présente de François Baroin comme étant caractérisée par « une vraie constance : la recherche de son intérêt personnel »[35]. Le 2 mai 2017, il est désigné chef de file du comité de campagne de la droite et du centre pour les législatives des 11 et 18 juin par le bureau politique des Républicains[36]. Il annonce que les élus LR qui rejoindraient Emmanuel Macron seront exclus du parti[37].



Retrait de la politique nationale, maire de Troyes |


En 2016, il est nommé professeur adjoint à HEC Paris où il enseigne la macroéconomie, la géopolitique et la gestion de crise[38].


Le 16 novembre 2017, dans Les Grandes Gueules, sur RMC, il déclare qu'il se retire de la vie politique[39].


En mars 2018, il rejoint la banque d'affaires Barclays où il est nommé External Senior Advisor[40].



Prises de position et controverses |


Article détaillé : Statut des crèches de Noël dans l'espace public en France.

En novembre 2015, l’Association des maires de France, par la voix de son président François Baroin, se positionne contre l’installation des crèches de Noël dans les mairies des communes françaises[41]. Dans un « guide de bonne conduite laïque »[42], François Baroin préconise de retirer les crèches des mairies, dans l’optique de préserver la neutralité de ces espaces publics.



Détail des mandats et fonctions |



Fonctions parlementaires |




  • 2 avril 1993 - 18 juin 1995 : député RPR de la troisième circonscription de l'Aube


  • 12 juin 1997 - 2 juillet 2005 : député RPR puis UMP de la troisième circonscription de l'Aube


  • 26 juin 2002 - 2 juillet 2005 : vice-président de l'Assemblée nationale


  • 20 juin 2007 - 23 avril 2010 : député UMP de la troisième circonscription de l'Aube


  • 20 juin 2012 - 29 septembre 2014 : député UMP de la troisième circonscription de l'Aube


  • 29 septembre 2014 - 1er octobre 2017 : sénateur UMP puis Les Républicains de l'Aube.



Fonctions ministérielles |




François Baroin (au fond à gauche avec Alain Juppé) lors du sommet du G20 en 2011 ; au premier plan, Nicolas Sarkozy et Barack Obama.




  • 18 mai 1995 – 7 novembre 1995 : secrétaire d'État auprès du Premier ministre, porte-parole du gouvernement Alain Juppé I


  • 2 juin 2005 – 26 mars 2007 : ministre de l'Outre-Mer dans le gouvernement Dominique de Villepin


  • 26 mars 2007 – 15 mai 2007 : ministre de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire dans le gouvernement Dominique de Villepin


  • 22 mars 2010 – 13 novembre 2010 : ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l'État dans le gouvernement François Fillon II


  • 14 novembre 2010 – 29 juin 2011 : ministre du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l'État, porte-parole du Gouvernement dans le gouvernement François Fillon III


  • 29 juin 2011 – 15 mai 2012 : ministre de l'Économie des Finances et de l'Industrie dans le gouvernement François Fillon III



Mandats locaux |




  • 1989 - 1995 : conseiller municipal de Nogent-sur-Seine

  • depuis le 25 juin 1995 : maire de Troyes (Aube)



Fonctions politiques |



  • Secrétaire national du RPR aux PME-PMI (1999)

  • Secrétaire national du RPR, chargé de la culture et de la communication (jusqu'en 1999)

  • Secrétaire national du RPR, chargé de la réforme et de l'organisation des pouvoirs publics (1999-2001)

  • Secrétaire général délégué puis conseiller politique de l'UMP (depuis avril 2004)

  • Président du comité départemental de l'UMP dans l'Aube et vice-président du club Dialogue & Initiative

  • Président de l'Association départementale des maires de l'Aube

  • Président de l'Association des maires de France (depuis 2014)



Vie privée |


Divorcé de la journaliste et présentatrice Valérie Broquisse, qu'il avait épousée le 12 avril 1991, François Baroin est père de trois enfants.


Entre 2006 et 2008, il a eu une liaison avec la journaliste Marie Drucker[43].


Depuis l'été 2008, il vit avec la comédienne Michèle Laroque[44],[45],[46].



Ouvrages |



  • Chronique d'une différence : François Baroin, Julien Dray, Numéro 1, coll. « Société », 9 septembre 1998, 192 p. (ISBN 978-2863918821)

  • Journal de crise, JC Lattès, coll. « Essais et documents », 7 novembre 2012, 220 p. (ISBN 978-2709639644)


  • Un chemin français, Lattès, 2017.


  • Une histoire de France par les villes et les villages, Albin Michel, 2017.



Notes et références |



Notes |





  1. Portefeuille de la Fonction publique ajouté le 14 novembre 2010.


  2. Record battu de quelques mois par Gabriel Attal en 2018. Voir « Gabriel Attal, plus jeune ministre de la République », L'Express,‎ 16 octobre 2018(lire en ligne).




Références |





  1. Le JDD, « François Baroin, d'un président l'autre », JDD,‎ 12 septembre 2010(lire en ligne, consulté le 6 mars 2018)


  2. « Les petits secrets du ministre du Budget, Francois Baroin », Capital.fr,‎ 7 février 2011(lire en ligne, consulté le 6 mars 2018)


  3. Le réseau des diplômés de l'ISG, « Le réseau des diplômés de l'ISG - Fiche profil », sur www.isg-alumni.com (consulté le 6 mars 2018)


  4. Le Point, magazine, « François Baroin », sur Le Point.fr (consulté le 6 mars 2018)


  5. Portrait de François Baroin sur le site de Libération, 22 mai 1995.


  6. Isabelle Dillmann, Les politiques ont-ils une âme?, Albin Michel, 2010, p. 53-55.


  7. https://www.lemonde.fr/archives/article/1987/02/04/la-declaration-de-1789-revue-et-corrigee-par-trois-jeunes-parisiens_4021681_1819218.html.


  8. https://www.lemonde.fr/archives/article/1989/07/25/droits-de-l-homme-des-jeunes-de-quatre-vingts-pays-tentent-de-rediger-la-declaration-universelle-du-troisieme-millenaire_4140411_1819218.html.


  9. https://www.lemonde.fr/societe/article/2009/10/22/jean-michel-blanquer-hyper-recteur_1257413_3224.html.


  10. Libération Premier de couvée 4 mai 2004.


  11. « Notre équipe: François Baroin », sur stasassocies.com, 23 juin 2018


  12. « Résultats des élections Municipales 2008 », Ministère français de l'Intérieur, 10 mars 2008.


  13. Jean-Baptiste Garat, « Baroin ne briguera pas la tête de l'UMP », Le Figaro, samedi 12 / dimanche 13 juillet 2014, page 6.


  14. L'AMF demande une loi sur les crèches dans les mairies, lefigaro.fr, 19/11/2015


  15. Ramadan, porc à la cantine, uniforme... Les maires de France en reconquête laïque, tempsreel.nouvelobs.com, 19/11/2015


  16. « Baroin se met en réserve de l'Association des maires de France », lefigaro.fr, 28 mars 2017.



  17. « Résultats des élections législatives 2002 », Ministère français de l'Intérieur, 17 juin 2002.




  18. « Résultats des élections législatives 2007 », Ministère français de l'Intérieur, 17 juin 2008.



  19. [PDF] Déclaration politique du groupe "rassemblement Union pour un mouvement populaire", sur lefigaro.fr


  20. Alexandre Poussart, « Non cumul des mandats : 41 sénateurs ont quitté le Sénat », sur Public Sénat, 2 octobre 2017.


  21. a et b« Avis de démission de sénateurs », sur Journal officiel de la République française, 1er octobre 2017.


  22. Communiqué sur le site de la Présidence de la République


  23. « Démarches administratives: Baroin veut plus de simplification et plus vite », dépêche AFP, 5 juillet 2010.


  24. a et bJérémy Maccaud, Sophie Huet, « François Baroin déclenche une bronca à l'Assemblée », lefigaro.fr, 2011(consulté le 13 novembre 2011)


  25. V.V. (avec AFP), « Assemblée : la colère du PS contre Baroin », lejdd.fr, 2011(consulté le 13 novembre 2011)


  26. Florian Courgenouil, « François Baroin : effraction, piège à cons ! », nouvelobs.com, 2011(consulté le 11 novembre 2011)


  27. Patrick Buisson, La Cause du peuple, Perrin, 2016, p. 68


  28. UMP : Baroin soutient Fillon, Le Figaro, 29 septembre 2012.


  29. « François Baroin : "Je m’engagerai pour Nicolas Sarkozy, mon choix est fait depuis longtemps" », sur europe1.fr, 5 juin 2016(consulté le 5 juin 2016).


  30. « François Baroin s'était préparé à devenir Premier ministre de Nicolas Sarkozy », francetvinfo.fr, 12 février 2017.


  31. « Fillon promeut Baroin, Jacob et Chatel dans son équipe », lemonde.fr, 9 mars 2017.


  32. « Fillon confirme que Baroin pourrait être son premier ministre », lefigaro.fr, 15 avril 2017.


  33. François Baroin : «Je voterai à titre personnel pour Macron», lest-eclair.fr, 23 avril 2017


  34. Baroin prêt à être premier ministre de Macron, lefigaro.fr, 26 avril 2017


  35. Macron exclut toute «coalition» avec LR ou le PS et tacle Baroin, rt.com, 9 avril 2017


  36. « Législatives : François Baroin conduira la campagne de la droite », sur francetvinfo.fr, France Info, 2 mai 2017(consulté le 2 mai 2017).


  37. Sébastien Tronche, « François Baroin prévient que les Républicains qui rejoindraient Macron seront exclus de LR », lelab.europe1.fr, 7 mai 2017.


  38. HEC, « BAROIN François », HEC Paris,‎ 2016(lire en ligne, consulté le 6 mars 2018)


  39. [1]


  40. « François Baroin rejoint la banque Barclays », FIGARO,‎ 6 mars 2018(lire en ligne, consulté le 6 mars 2018)


  41. « Les crèches dans les mairies de nouveau au cœur du débat politique », sur Le Figaro, 25 novembre 2015(consulté le 12 avril 2016)


  42. « Laïcité : Le vade-mecum de l’AMF », sur AMF, novembre 2015(consulté le 12 avril 2016)


  43. « Marie Drucker: avec François Baroin ce serait fini ! Leur mariage serait annulé, ils seraient déjà séparés », Gala, 20 mai 2008.


  44. Luc Le Vaillant, « Michèle Laroque, la fisc d’à côté », Libération, Next, 2 juin 2011(consulté le 4 juin 2011)


  45. ITW Patrick Poivre d'Arvor, Michèle Laroque a rencontré François Baroin à l'été 2008 lors de l'anniversaire de Line Renaud. La traversée du miroir, France 5, avril 2012


  46. François Baroin et Michèle Laroque dans l'œil de la presse people, sur lefigaro.fr




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Bibliographie |



  • Anne Fulda, François Baroin, le faux discret, JC Lattès, 2012.


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