Estrie







Ne doit pas être confondu avec la région touristique des Cantons-de-l'Est

































































































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Image illustrative de l’article Estrie
Administration

Pays

Drapeau du Canada Canada

Province

Drapeau : Québec Québec

Statut

Région administrative

MRC et TE

Coaticook
Le Granit
Le Haut-Saint-François
Les Sources
Le Val-Saint-François
Memphrémagog
Sherbrooke

Nombre de municipalités
89
Ministre responsable

François Bonnardel

Fuseau horaire

Heure de l'Est (UTC−05:00)

Indicatif téléphonique
+1 819 +1 450

Code géographique
05
Démographie

Gentilé
Estrien, ienne

Population
327 089 hab. (2017)
Densité 32 hab./km2
Variation 2007-2012
4,3 %
Géographie

Superficie
10 197,33 km2
– incluant eau
10 508 km2
Économie

PIB régional
35 458 M CAD (2016)

Taux d'activité
63,0 % (2018)

Taux de chômage
4,5 % (2018)
Liens

Site web

creestrie.qc.ca
Sources

Institut de la statistique du Québec 2013, p. 51


L'Estrie est une région administrative du Québec[N 1] située le long de la frontière avec les États-Unis, à l'est de la Montérégie et au sud de Centre-du-Québec. Ses villes principales sont Sherbrooke, Magog, Coaticook, Lac-Mégantic, Cookshire-Eaton et Windsor. Elle est composée de sept municipalités régionales de comté (MRC) et de 89 municipalités locales.


On distingue l'Estrie, région administrative, de la région touristique qui porte le nom de Cantons-de-l'Est : elles n'ont pas exactement les mêmes frontières, les MRC de La Haute-Yamaska et de Brome-Missisquoi étant exclues de la première[N 2],[N 3].




Sommaire






  • 1 Toponymie


  • 2 Géographie


    • 2.1 Municipalités Régionales de comté


    • 2.2 Régions voisines




  • 3 Histoire


    • 3.1 Frontière


    • 3.2 Développement


    • 3.3 Les chemins de pénétration


    • 3.4 Les chemins de fer


    • 3.5 Les premiers arrivants francophones




  • 4 Tourisme


  • 5 Démographie


  • 6 Politique et administration


    • 6.1 Municipalités régionales de comté


    • 6.2 Représentation provinciale


    • 6.3 Représentation fédérale




  • 7 Education et culture


    • 7.1 Commissions scolaires


    • 7.2 Bibliothèques




  • 8 Santé


  • 9 Notes et références


    • 9.1 Notes


    • 9.2 Références




  • 10 Voir aussi


    • 10.1 Bibliographie


    • 10.2 Articles connexes


    • 10.3 Liens externes







Toponymie |


L’Estrie était appelée initialement en anglais « Eastern Townships », nom que les premiers colons anglophones (fin XVIIIe siècle) utilisaient pour désigner la région, Au XIXe siècle, l'on avait d'abord traduit l’appellation anglaise Eastern Townships en français par Townships de l'Est, qui fut ensuite concurrencée par Bois-Francs et par Cantons de l'Est. La traduction française Cantons de l'Est était une référence aux cantons suisses, suggérée par l'écrivain Antoine Gérin-Lajoie en 1858.


Son nom vient de la création du système de tenure britannique, le canton, en 1791, permettant la concession de terres aux colons loyalistes venus s'établir dans cette région après l'indépendance des États-Unis d'Amérique. À l'époque, le Québec rural francophone utilisait la tenure française, c'est-à-dire le système des seigneuries. Comme la plupart des loyalistes s'étaient établis dans la partie de la colonie qui forme aujourd'hui une partie de l'Ontario (et par conséquent à l'ouest des Francophones), la dénomination « Eastern Townships » permettait de distinguer cet établissement.


En 1946, Monseigneur Maurice O'Bready proposera de changer cette désignation officieuse par le terme Estrie, plus facile à intégrer à la langue française par l'adjectif estrien (et d'autant plus distinct de l'anglais que le vocable « Cantons de l'Est » est une traduction littérale).


Située à un peu moins de deux heures de voiture au sud-est de Montréal et à quelques heures seulement de Québec, l'Estrie est à la frontière nord de trois États des États-Unis : le Maine, le New Hampshire et le Vermont.


Certains villages estriens (comme Beebe Plain, près de Rock Island, et Stanstead) sont divisés en deux par la frontière américano-canadienne.



Géographie |



Carte des MRC et TE de la région



Municipalités Régionales de comté |

























































Nom
Population
(2017)
Superficie
(km2)
Densité
(hab./km2)

Coaticook
18 993
1 339
14,2

Le Granit
21 988
2 731
8,1

Le Haut-Saint-François
22 479
2 272
9,9

Les Sources
14 474
786
18,4

Le Val-Saint-François
30 796
1 398
22,0

Memphrémagog
51 371
1 317,33
39,0

Sherbrooke
166 988
354
472,3

Total

327 089

10 197,33

583,9


Régions voisines |


Les régions administratives voisines sont:



  • la Montérégie à l'ouest,

  • le Centre-du-Québec au nord,


  • Chaudière-Appalaches à l'est.



Histoire |


L'Estrie forme un territoire d'une superficie d'environ 1,6 million d'hectares, s'étendant des seigneuries au sud du fleuve Saint-Laurent jusqu'aux frontières américaines et de la rivière Richelieu à la rivière Chaudière.


La richesse de son sol et de son sous-sol, la splendeur de ses collines et de ses montagnes, la beauté sauvage de plusieurs centaines de lacs en font l'une des plus magnifiques régions du Québec. Cette région, fortement appréciée de nos jours par les villégiateurs et les touristes, était, sous le régime français (1534-1760), un immense territoire réservé aux Abénaquis de la grande famille Algonquine qui ont été refoulés des États de la Nouvelle-Angleterre, à la fin du XVIIe siècle. L'Estrie est sillonnée par de nombreuses rivières; Saint-François, Haute Chaudière, Nicolet Sud-Ouest, Magog, Coaticook, Massawippi, au Saumon, Eaton et Missisquoi, ont toutes un bassin versant supérieur à 600 km2[1].




Carte de Gale et Duberger 1795


En 1792, le gouvernement impérial fait tailler en 93 « cantons » le territoire dénommé Comté de Buckinghamshire et désigne chacune de ces sections d'un nom emprunté à la carte d'Angleterre.
Il semble que l'on a pris au hasard et sans beaucoup d'efforts d'imagination, des vocables d'endroits affectionnés dans la Grande-Bretagne et rien dans cette nomenclature ne rappelle un fait glorieux ni même une particularité géographique. Remarquons qu'aucun nom francophone n'est attribué.


Désigné sous le nom de Haut Saint-François, ce paradis de chasse et de pêche fut longtemps parcouru seulement par les Amérindiens et les coureurs des bois. À cette époque, aucune colonisation n'avait été faite, on retrouvait seulement un poste de traite situé aux confluent de la rivière Saint-François et de la rivière Magog; Grandes-Fourches fut la première appellation de la ville de Sherbrooke.


Sous le régime anglais, à partir de 1760, cette situation s'est maintenue jusqu'à la déclaration d'Indépendance américaine. À cette date, les habitants de la Nouvelle-Angleterre, demeurés fidèles à la Couronne Britannique, durent s'exiler. Une bonne partie de ces gens, que l'on nommait « loyalistes », choisirent de s'installer au Canada ; les autorités décidèrent alors de leur concéder des terres situées dans cet immense territoire encore inhabité.




1792 Division du Buckinghamshire en Townships, naissance des Cantons de l'Est.



Mais il faut faire attention avec le terme « loyaliste ». Les terres étaient offertes gratuitement sur base d'un serment d'allégeance à la Couronne britannique. L'attrait de la gratuité des terres fit que de nombreux Américains de sentiments politiques divers n'ont pas hésité à prêter serment pour avoir accès à ces terres. Il serait donc plus juste de parler de peuplement américain pour cette région[2].


La concession de ces terrains s'effectua sous forme de canton (township) d'une superficie de 100 milles carrés (10 milles x 10 milles).


C'est à ce moment qu'apparaît la désignation de Eastern-Townships, par opposition aux Western Townships du Haut-Canada ; ce territoire est la province actuelle de l'Ontario, créée par l'Acte constitutionnel de 1791 parce que les loyalistes refusaient de vivre sous la même loi que les Canadiens, d'origine française.



Frontière |


La frontière sud fut fixée sur le 45e parallèle en 1793 après l'indépendance des États-Unis; mais fut mal définie à l'est, donna lieu à controverses pour la partie montagneuse et ne fut fixée définitivement que par le Traité Webster-Ashburton en 1842 . Extrait: Vers le sud, à partir des hautes terres du portage Metgermette (près de Saint-Zacharie) ndlr; de là, descendre le long de la ligne des hautes terres qui séparent les eaux qui se jettent dans le fleuve Saint-Laurent de ceux qui coulent vers l'océan Atlantique, jusqu'à la source du ruisseau Halls (près de Saint-Malo). Cette frontière enleva les cantons de Hartwell, Stanhope, Croydon et Drayton qui se retrouvèrent du côté américain de la frontière. La superficie de plusieurs autres cantons au sud-est du Bas-Canada fut également diminuées par la nouvelle frontière.



Développement |


La colonisation est lente à s'affirmer. Le gouvernement du Bas-Canada (Québec actuel) reste méfiant à l'endroit des colons, ces Américains arrivés 30 ou 40 ans après l'indépendance américaine et refusés en Ontario pour mauvaises mœurs. Plusieurs squatteront les terres avant même qu'elles soient concédées. De plus, vu que cette région n'est pas encore défrichée, plusieurs Américains ignoreront être en territoire du Bas-Canada lors de leur établissement illégal. De ce fait, après 1792, une forte majorité des colons des Cantons de l'Est proviennent des États-Unis[3].


Le gouvernement laissera se débattre avec peu de ressources ces colons. Il ne leur ouvre qu'en 1811 le Chemin Craig, reliant Québec à Richmond, en passant par les cantons de Leeds, Halifax, Chester, Tingwick et Shipton.


Sans l'aide des administrateurs, les Cantons de l'Est se développeront conjointement avec les États de la Nouvelle-Angleterre. Avant l'arrivée du chemin de fer dans la région, il est plus facile de faire du commerce avec Boston et Portland aux États-Unis qu'avec Montréal et Québec. Les colons américains avaient développé plusieurs routes passant au travers des montagnes pour communiquer avec les États-Unis et faire des échanges commerciaux[4]. La distribution des terres publiques par les autorités impériales est une véritable fraude; l'enquête du commissaire Buller, à la demande de Lord Durham en 1838, démontre que 115 propriétaires ou familles possèdent 1 404 500 acres (5684 km²) de terres, soit une moyenne de 13 376 acres chacun, qui mène au fléau des grands propriétaires et de l'absentisme. Certains propriétaires ne développent pas leur terres, les gardent par pure spéculation; ils refusent aussi d'ouvrir des chemins et des terres se retrouvent enclavées et inaccessibles[5].
Vers 1840, on assiste à l'arrivée massive d'immigrants irlandais et d'Écossais attirés via la compagnie de vente de terres British American Land Company. Ils occuperont la région à l'est de Sherbrooke et Compton. Pour leur part, les Irlandais catholiques seront surtout présents en ville, étant peu habitués au type d'agriculture pratiqué dans cette région. Ils seront nombreux à Richmond et Sherbrooke[6].


Même si les premiers Canadiens-français arrivent vers 1812 dans la région, il faut attendre vers 1840 pour y voir un début d'immigration francophone. Leur nombre deviendra appréciable à compter des années 1850-1860.


Aujourd'hui, la population de l'Estrie est majoritairement francophone (près de 90 %[7]).



Les chemins de pénétration |




Carte des premiers chemins - 1860




Diligence sur le Chemin Craig, en 1811


En 1810, le Chemin Craig relia Lévis à Shipton, jusqu'à Richmond, en passant dans le canton de Chester; aussi la route du Saint-François et le chemin Sherbrooke-Stanstead, ouvrent les premières voies de pénétration.



Les chemins de fer |


Le premier chemin de fer au Canada ouvrit en 1836, et s’ensuit une période frénétique de construction ferroviaire qui n’épargna pas l’Estrie qui fut desservie dès 1851 via Richmond. En 1853 cette même ligne, le St-Lawrence & Atlantic fut prolongée jusqu’à Portland, Maine, aux États-Unis. En 1854, Richmond fut relié à Charny (au sud de Québec) et en 1861, ce fut au tour de Waterloo d’être relié par le Stanstead, Shefford & Chambly Railroad. Ces deux compagnies furent ensuite absorbées par le Grand-Trunk, qui devint plus tard le « CNR », ou le Canadien National.
À la suite de tous ces développements, l’Estrie se retrouva avec le réseau ferroviaire le plus dense du Québec.



Les premiers arrivants francophones |


Le surpeuplement des seigneuries amène les habitants riverains du fleuve à rechercher de l'espace vital. On voit alors quelques hardis bûcherons s'enfoncer dans la forêt, se construire des cabanes et s'y installer à titre de « squatters ». Vers 1850, le travail du clergé catholique en faveur de la colonisation contribue à arrêter l'émigration massive de la jeunesse du Bas-Canada vers le voisin américain.


On voit alors des milliers de familles canadiennes-françaises pénétrer dans les derniers cantons encore vierges que l'on appelle, à cette époque, « Terrains des Prêtres » ; non pas parce que ces cantons, Ham, Wotton, Weedon, Garthby, Stratford et Winslow et autres appartiennent au clergé, mais plutôt parce que celui-ci en prêche intensément l'occupation par les Canadiens français.



Tourisme |


Aujourd'hui le nom « Estrie » est utilisé pour désigner la région administrative, alors que le nom « Cantons-de-l'Est » désigne la région touristique. Les territoires de ces deux régions ne coïncident pas parfaitement.


Situé au sud du fleuve Saint-Laurent, la région touristique des Cantons-de-l'Est fait partie du Québec du Sud[8] , regroupement destiné à la promotion touristique des régions du sud du Québec sur les différents marchés internationaux.


La région touristique contient trois parcs nationaux offrant de nombreuses activités de plein-air :



  • Le parc national du Mont-Mégantic,

  • le parc national du Mont-Orford,

  • une partie du parc national de Frontenac.


Le parc national de la Yamaska se retrouve dans la région touristique des Cantons de l'Est, mais dans son territoire fait partie de la Montérégie.


Le relief varié, l'architecture typiquement loyaliste de certains villages (quelques-uns font partie de l'Association des plus beaux villages du Québec) et la présence de plusieurs lacs font partie des attraits touristiques de la région.



Démographie |



  • Population : 309 975 (2010)

  • Superficie : 10 195 km2

  • Densité : 29,2 hab./km²

  • Taux de natalité : 10,3  (2006)

  • Taux de mortalité : 7,6  (2006)


Source: Institut de la statistique du Québec



Politique et administration |



Municipalités régionales de comté |




  • Sherbrooke, qui correspond au territoire de la ville du même nom.


  • Coaticook, dont le chef-lieu est la ville de Coaticook.


  • Le Granit, dont le chef-lieu est la ville de Lac-Mégantic.


  • Le Haut-Saint-François, dont le chef-lieu est la ville de Cookshire-Eaton.


  • Les Sources, dont le chef-lieu est la ville d'Asbestos.


  • Le Val-Saint-François, dont le chef-lieu est la ville de Richmond.


  • Memphrémagog, dont le chef-lieu est la ville de Magog.



Représentation provinciale |




  • Mégantic : François Jacques (CAQ)


  • Orford : Gilles Bélanger (CAQ)


  • Richmond : André Bachand (CAQ)


  • Saint-François : Geneviève Hébert (CAQ)


  • Sherbrooke : Christine Labrie (QS)



Représentation fédérale |




  • Beauce (5 et 7) : Maxime Bernier (PCC)


  • Brome—Missisquoi (7 et 13) : Denis Paradis (PLC)


  • Compton—Stanstead (7) : Marie-Claude Bibeau (PLC)


  • Mégantic—L'Érable (4, 5 et 7) : Luc Berthold (PCC)


  • Richmond—Arthabaska : Alain Rayes (PCC)


  • Shefford (7 et 13) : Pierre Breton (PLC)


  • Sherbrooke (7) : Pierre-Luc Dusseault (NPD)



Education et culture |


L'Université de Sherbrooke



Commissions scolaires |



  • Commission scolaire des Hauts-Cantons (Coaticook, Le Haut-Saint-François et Le Granit)


  • Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke (Sherbrooke)

Ascot, Ascot Corner, Bromptonville, Deauville, Eaton, Hatley, Hatley Canton, North Hatley, Rock Forest, Saint-Denis-de-Brompton, Saint-Élie-D'Orford, Sherbrooke, Stoke, Waterville



  • Commission scolaire des Sommets (Les Sources, Le Val-Saint-François et Memphrémagog)


  • Commission scolaire du Val-des-Cerfs ( La Haute-Yamaska et Brome-Missisquoi)


Bibliothèques |


  • L'Association des bibliothèques publiques de l'Estrie (ABIPE) regroupe des responsables des bibliothèques publiques de la région. Le Réseau BIBLIO de l'Estrie, ou Centre régional de services aux bibliothèques publiques de l'Estrie, est une corporation privée à but non lucratif.


Santé |


CIUSSS de l'Estrie– Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke



  • RLS de Sherbrooke

  • RLS de Coaticook

  • RLS de Le Granit.

  • RLS de Le Haut-Saint-François.

  • RLS de Les Sources.

  • RLS de Le Val-Saint-François.

  • RLS de Memphrémagog.


  • Montérégie

    • RLS de La Haute-Yamaska.

    • RLS de la Pommeraie (Brome-Missisquoi).





Notes et références |



Notes |





  1. Le numéro de la région administrative Estrie est le 05.


  2. Les MRC de La Haute-Yamaska et de Brome-Missisquoi font en effet partie de la région administrative de la Montérégie.


  3. Beaucoup de sources, probablement parce que celles-ci sont généralement à saveur plus touristique qu'administrative, semblent avoir tendance à inclure La Haute-Yamaska et Brome-Missisquoi dans les Cantons-de-l'Est. C'est notamment le cas, entre autres, des panneaux bleus posés par le Ministère des Transports le long des routes et souhaitant aux visiteurs la bienvenue dans les « Cantons-de-l'Est » à l'entrée de La Haute-Yamaska par le nord ou l'ouest et Brome-Missisquoi par l'ouest ou le sud. Un voyageur se fiant à ceux-ci pour déterminer dans quelle région il se trouve en conclura donc que les Cantons-de-l'Est comptent huit MRC et non six. D'où l'importance de faire la distinction de nos jours entre les Cantons-de-l'Est (une région touristique) et l'Estrie (une région administrative).




Références |




  1. Gouvernement du Québec, 2015. Développement durable. Portrait régional de l’eau. Estrie (Région administrative 05)


  2. Kesteman 2007, p. 18


  3. Kesteman 1998, p. 108


  4. Kesteman 2007, p. 23


  5. Liste des terrains concédés par la couronne dans la Province de Québec de 1763 au 31 décembre 1890. Charles-françois Langlois 1891. p-15


  6. Kesteman 1998, p. 110 à 116


  7. « Population n'ayant qu'une seule langue maternelle, région administrative de l'Estrie, 2006 », sur Institut de la statistique du Québec, 26 novembre 2009


  8. Site de Québec du Sud



Voir aussi |


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Bibliographie |



  • Jean-Pierre Kesteman, Histoire des Cantons de l'Est, Québec, IQRC, 1998

  • Jean-Pierre Kesteman, Aborder l'histoire des Cantons-de-l'Est, Sherbrooke, GGC, 2007(ISBN 978-2-89444-220-3)


  • (en) Ham-Nord Portrait de famille 1864-1989, Bibliothèque nationale du Québec 1988, Bibliothèque nationale du Canada 1988.


  • (en) C. Andræ, Lines of Country, Boston Mills Press, 1997

  • Québec, Le Québec chiffres en main : Édition 2013, Québec, Institut de la statistique du Québec, 2013, 71 p. (ISBN 978-2-550-67323-1, lire en ligne)



Articles connexes |



  • Liste des municipalités locales de l'Estrie

  • Liste des lieux patrimoniaux de l'Estrie

  • Francisation

  • Réseau des entreprises d'économie sociale de l'Estrie



Liens externes |



  • Région de l'Estrie

  • Site de la CRÉ de l'Estrie

  • Tourisme Estrie

  • Cantons-de-l'Est ou Estrie ?

  • Statistiques Québec

  • Cartes administratives

  • Ressources relatives à la géographie : archINFORM • Banque de noms de lieux du Québec • Base de données toponymiques du Canada • GeoNames • OpenStreetMapVoir et modifier les données sur Wikidata




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