Avenue Parmentier
10e, 11e arrts Avenue Parmentier | ||
Situation | ||
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Arrondissements | 10e 11e | |
Quartiers | Roquette Saint-Ambroise Hôpital-Saint-Louis Folie-Méricourt | |
Début | 10, place Léon-Blum | |
Fin | 2, avenue Claude-Vellefaux 24, rue Alibert | |
Voies desservies | Rue Camille-Desmoulins rue Sedaine rue du Chemin-Vert rue Rochebrune rue du Général-Renault rue Lacharrière rue Saint-Ambroise rue Pasteur rue Léchevin passage Beslay rue Oberkampf avenue de la République rue Jean-Pierre-Timbaud rue des Trois-Bornes rue de la Fontaine-au-Roi rue Deguerry rue Darboy rue Auguste-Barbier rue Abel-Rabaud rue du Faubourg-du-Temple rue Tesson rue Jacques-Louvel-Tessier rue Arthur-Groussier | |
Morphologie | ||
Longueur | 1 670 m | |
Largeur | 30 m | |
Géocodification | ||
Ville de Paris | 6991 | |
DGI | 7067 | |
Géolocalisation sur la carte : Paris
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Images sur Wikimedia Commons | ||
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L’avenue Parmentier est une avenue des 10e et 11e arrondissements de Paris.
Sommaire
1 Situation et accès
2 Origine du nom
3 Histoire
4 Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
5 Bibliographie
6 Notes et références
Situation et accès |
Elle commence au 10, place Léon-Blum et finit au 2, avenue Claude-Vellefaux.
Ce site est desservi par les stations de métro Parmentier, Goncourt et Voltaire. Les autobus les plus proches sont les lignes 96, 46 et 20.
Origine du nom |
Cette avenue porte le nom de l'agronome Antoine Parmentier (1737-1813).
Histoire |
Cette voie s'étendait originellement de la rue du Chemin-Vert à la rue Saint-Ambroise. Une série de plusieurs extensions, de 1857 à 1887, ont permis de l'étendre de la place Voltaire (aujourd’hui place Léon-Blum) à l'avenue Claude-Vellefaux.
La partie située du côté des numéros pairs entre la rue Saint-Ambroise et la rue du Chemin-Vert marquait la limite des abattoirs de Ménilmontant.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire |
Au numéro 14, on trouve une ancienne sous-station électrique de l'architecte Paul Friesé[1], emblématique du patrimoine parisien des 36 sous-stations électriques construites entre 1900 et la Seconde Guerre mondiale. Abritant La Générale, la sous-station est l'objet d'un concours d'architecture de la ville de Paris afin de la transformer en cinéma[2].
Au numéro 87 se trouve une caserne de sapeurs-pompiers, construite par les architectes Paillot et Verdier.
La sortie de la station de métro Parmentier, devant le no 88 bis, dessinée en 1900 par Hector Guimard pour la Compagnie générale du métropolitain de Paris, fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 29 mai 1978[3].
Bibliographie |
Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de Minuit, 1972, 1985, 1991, 1997 , etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol. [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117, présentation en ligne).- Napoléon Chaix, Paris guide, 1807, Librairie internationale.
Notes et références |
« Sous-station électrique Voltaire », structurae.info (consulté le 13 juin 2015).
« Sous-station Voltaire », reinventer.paris (consulté le 13 juin 2015).
Notice no PA00086548, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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