Téléphone mobile
Pour le film réalisé en 2003 par Feng Xiaogang, voir Téléphone mobile (film).
Un téléphone mobile[note 1], ou téléphone portable[note 2], ou téléphone cellulaire[note 3] est un appareil électronique, normalement portatif, offrant une fonction de téléphonie mobile.
En Belgique, en Nouvelle-Calédonie et à La Réunion, le terme « GSM » (pour Global System for Mobile Communications, un standard de communication de téléphonie mobile) est couramment utilisé pour désigner un téléphone mobile. En Suisse, on parle couramment de Natel (National Telefon, marque de Swisscom, du nom de l'ancien réseau de téléphonie mobile Natel pour les véhicules). Au Canada francophone, le terme cellulaire est couramment utilisé.
Les études relatives à l’équipement en téléphonie mobile, qu’elles soient internationales[1] ou nationales[2],[3],[4], distinguent deux grandes catégories de téléphones mobiles : d’une part les téléphones mobiles basiques centrés essentiellement sur la fonction téléphonie, d’autre part les smartphones, ou téléphones multifonctions, plus élaborés, offrant de nombreuses autres possibilités. Ces études soulignent toutes la progression continue de la proportion de smartphones au détriment des téléphones mobiles basiques. Leur utilisation peut être addictive, notamment pour le smartphone, ce pourquoi il existe depuis 2001 une Journée mondiale sans téléphone portable.
Sommaire
1 Historique
1.1 Invention
1.2 Normes mondiales
1.3 Démocratisation
1.4 Taux de pénétration
2 Utilisation en France
2.1 Utilisation au sein des établissements scolaires
3 Fabricants mondiaux
4 Cartes SIM et USIM
5 Fonctions pouvant être intégrées
5.1 Appareils photos
5.2 NFC
5.3 Sonneries personnalisables
5.4 SMS et MMS
5.5 Courrier électronique
5.6 Applications
5.7 Géolocalisation
6 Marché de la contrefaçon
7 Écologie
7.1 Durée de vie
7.2 Émissions de gaz à effet de serre
7.3 Fin de vie, déficit de recyclage
8 Voir aussi
8.1 Bibliographie
8.2 Filmographie
8.3 Articles connexes
9 Notes et références
9.1 Notes
9.2 Références
Historique |
Invention |
Le téléphone mobile est le résultat de différentes technologies qui existaient déjà, pour la plupart, dans les années 1940. Son invention est attribuée au docteur Martin Cooper, directeur de la recherche et du développement chez Motorola qui en a fait la démonstration dans les rues de New York le 3 avril 1973[5]. Le premier téléphone mobile commercial, conçu par Motorola est lancé le 6 mars 1983 aux États-Unis : le Motorola DynaTac 8000[6].
Normes mondiales |
Les premiers appareils analogiques étaient aux normes AMPS (DynaTac 8000[7]) ou NMT. Ils ont ensuite été remplacés par des appareils utilisant soit les normes numériques américaines D-AMPS ou CDMA, soit celles d'origine européenne GSM et EDGE, ou encore plus récemment celles succédant au GSM (2G) et définies par le regroupement international 3GPP : l'UMTS (3G), puis le LTE (4G).
Démocratisation |
L'usage du téléphone mobile s'est progressivement démocratisé, notamment vers la fin des années 1990. France Télécom commercialise en 1991 le Bi-Bop, premier téléphone portable en France destiné à un public en mobilité urbaine. Le taux de pénétration du mobile dans le monde à cette époque est de 0,6 abonnements pour 100 habitants. Le nombre d'abonnements en mobile (18 abonnements pour 100 habitants) dépasse celui des lignes fixes en 2002. Lorsqu'Apple lance son iPhone en 2007, ce taux est passé à 51 abonnements pour 100 habitants[8].
Depuis les années 2010, la majorité des téléphones mobiles dispose de nombreuses fonctions supplémentaires, rendues possibles grâce à l'intégration d'un système d'exploitation évolué dans le téléphone : ce sont les smartphones. Le nombre d'utilisateurs de téléphones mobiles en République Populaire de Chine atteignait en 2011 929,85 millions dont 87,2 millions d'utilisateurs 3G fin juillet 2011, la 4G (LTE) y débute en 2013[9]. En 2013, les ventes annuelles mondiales de smartphones (940 millions) dépassent celle des téléphones basiques (860 millions)[10].
Taux de pénétration |
En 2014, il y avait dans le monde 7,175 milliards d'habitants et 6,915 milliards d'abonnements téléphoniques[note 4] au mobile selon l'Union internationale des télécommunications, ce qui correspond à un taux de pénétration global du mobile de 96 %[11],[12]. Ces chiffres révèlent d'importantes disparités selon les régions du monde et leur stade de développement (3,5 milliards d'abonnés dans la région Asie-Pacifique avec un taux de pénétration de 89 %, 1 milliard dans les Amériques avec un taux de 109 %, 750 millions en Europe avec un taux de 126 %, 550 millions en Afrique avec un taux de 63 % …). Alors que les pays occidentaux sont souvent suréquipés avec des consommateurs qui possèdent plusieurs abonnements, de nombreuses régions en Afrique et en Asie ne sont pas couvertes ou leurs habitants qui n'ont pas les moyens de s'offrir un abonnement, le partagent entre eux. Le taux de pénétration du mobile apparaît ainsi comme une conséquence du développement d'un pays mais aussi comme un accélérateur de ce même développement. Ainsi selon une étude en 2008 de la Banque mondiale dans plus de 100 pays, une hausse de 10 % du taux de pénétration du mobile dans un pays s'accompagne d'une hausse de son PIB de 0,8 %[13].
En 2018, l'évolution est notable dans les différentes régions du monde: 4,31 milliards d'abonnés dans la région Asie-Pacifique avec un taux de pénétration de 102 %, 1,07 milliard dans les Amériques avec un taux de 106 %, 1,106 millions en Europe avec un taux de 131 % et 1,04 milliard en Afrique avec un taux de 82 %[14].
Utilisation en France |
En 2016, 77 % des Français ont un smartphone, 58 % l'utilisent parfois au volant, 41 % le consultent au milieu de la nuit et 7 % répondent même alors à leurs messages, 84 % l'utilisent en regardant la télévision, 66 % l'utilisent tout en traversant la rue, et 81 % reconnaissent l'utiliser à table en famille ou avec des amis[15],[16]. En 2015, un Français moyen passait déjà plus de temps sur son smartphone que devant la télévision et Flurry Analytics a montré une nette augmentation de l'addiction au mobile (le nombre de personnes utilisant leur mobile plus de 60 fois par jour a augmenté de 59 % en un an (de 2014 à 2015)[17] et au niveau mondial le nombre des accros au mobile serait passé de 176 millions en 2014 à 280 millions en 2015[17].
Utilisation au sein des établissements scolaires |
L'utilisation d'un téléphone mobile -ou de tout autre équipement terminal de communications électroniques- par un élève est interdite[18] dans les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges et pendant toute activité liée à l'enseignement qui se déroule à l'extérieur de leur enceinte, Dans les lycées, le règlement intérieur peut également en interdire l'utilisation par un élève[19].
Fabricants mondiaux |
En 2016, les principaux fabricants et marques de téléphones mobiles[20] opérant dans le monde sont :
- Acer
- Apple
- Archos
- BlackBerry
- Doro
- Fairphone
- Huawei
- HTC
- LG
- Lumia
- Meizu
- Micromax
Motorola (Lenovo)- Nokia
- OnePlus
- Oppo
- Samsung
- Sony Mobile
- Tinno
- Vivo
- Wiko
- Xiaomi
- Yezz
- ZTE
Cartes SIM et USIM |
Il faut insérer une carte à puce, appelée carte SIM (de l'anglais Subscriber Identity Module), dans un téléphone mobile GSM, ou un USIM dans les terminaux UMTS et LTE, afin de pouvoir utiliser ses fonctions de téléphonie mobile (ne s'applique pas aux téléphones américains de type CDMA).
La carte SIM (ou l'USIM) contient l’identifiant de l’abonné (numéro IMSI) et de l’opérateur mobile qui a édité la carte (MCC + MNC)[21].
Fonctions pouvant être intégrées |
Appareils photos |
Beaucoup de modèles de téléphones intègrent un appareil photographique ou une caméra numérique, voire plusieurs caméras. Le terme de photophone est parfois employé pour désigner un téléphone mobile capable de prendre des photographies numériques. Certains utilisent le terme de phonéographie pour désigner la prise de photos à l'aide d'un téléphone mobile.
NFC |
Depuis 2010, certains téléphones mobiles permettent de réaliser des paiements sans contact, grâce à la norme Near Field Communication (NFC, également appelée « communication en champ proche »)[22]. Cette norme permet d'autres applications que le paiement sans contact, comme l'envoi au téléphone mobile d'informations sur le lieu où il se trouve par une borne fixe[23].
Sonneries personnalisables |
L'arrivée de téléphones mobiles permettant de personnaliser leurs sonneries a entrainé la création d'un marché de vente de sonneries. En 2007, le nombre de ventes de sonneries a commencé à baisser dans plusieurs pays d'Europe, mais reste en croissance au niveau mondial[24].
SMS et MMS |
Un téléphone peut permettre d'envoyer et recevoir des SMS et des MMS. Un SMS est un texte, autrement dit un texto, que l'on envoie au destinataire voulu. Un MMS est une image, une photo que l'on peut envoyer par message au destinataire voulu.
Courrier électronique |
Un téléphone connecté à l'Internet peut permettre d'envoyer et de recevoir des courriels (e-mails en anglais) à l'aide d'une application spécifique.
Applications |
Les premiers smartphones haut de gammes ayant un OS propriétaire utilisent le langage Java ME pour rajouter des jeux ou des applications car cette forme de programmation très stable demande peu de ressources. Les smartphones actuels prennent parfois ce langage en charge pour élargir leurs options. Contrairement aux téléphones classiques, les smartphones et leurs systèmes d'exploitation (ex: Android, iOS, Windows Phone, Firefox OS, Symbian OS, etc.) permettent d'installer des applications, apportant de nombreuses fonctionnalités non présentes lors de l'achat.
Géolocalisation |
Un téléphone mobile peut intégrer une puce GPS permettant un meilleur positionnement que celui permis par triangulation des antennes relais.
Marché de la contrefaçon |
En parallèle du marché officiel se développe une offre dans de nombreux pays, notamment en Chine. Il est possible d'y acquérir des contrefaçons de téléphones mobiles. Celles-ci, en plus d'être illégales, sont potentiellement dangereuses pour l'utilisateur à cause de batteries défectueuses qui peuvent exploser[25].
Écologie |
Durée de vie |
La durée d'usage est une question essentielle si l'on souhaite limiter les impacts environnementaux des téléphones mobiles. En 2012, aucun label ne prenait en compte la dimension de la durée d'usage. En pratique, la durée d'usage est conditionnée par les offres commerciales des constructeurs et des distributeurs. Le système de « subventionnement » de l'achat de l'appareil par l'opérateur consiste à facturer au consommateur un forfait (abonnement) qui intègre le coût de l'appareil. Cette méthode ne reflète donc pas le coût réel de l'appareil, ce qui favorise le renouvellement des téléphones[26].
Émissions de gaz à effet de serre |
Un rapport publié par Les Amis de la Terre en décembre 2012 révèle que les émissions de gaz à effet de serre des téléphones mobiles sur l'ensemble du cycle de vie sont globalement en hausse, à cause de l'augmentation de l'intensité d'usage, mais aussi à cause de la commercialisation de nouveaux modèles. Par exemple, les émissions passent de 55 kg pour l'iPhone 4S d'Apple à 75 kg pour l'iPhone 5 du même constructeur, soit une augmentation de 36 %. De même, les émissions augmentent entre le Galaxy S2 et le Galaxy S3 de Samsung[27].
Fin de vie, déficit de recyclage |
Selon une étude d'Intel, les cartes électroniques contenaient au début des années 2010 plus de 45 métaux, métalloïdes ou terres rares contre une dizaine dans les années 1980[28]. Parmi ces matières stratégiques figurent le lithium, l'or, l'argent, les terres rares, le coltan, le tantale, le platine, le niobium, le cadmium, le plomb, le mercure. La raréfaction générale des métaux montre la nécessité du recyclage et de l'allongement de la durée de vie des produits en général, des téléphones mobiles en particulier[29]. Une étude de 2008 réalisée par Nokia dans 13 pays a révélé que 97 % des téléphones mobiles n'étaient pas recyclés[30].
Dès 2008, Bouygues Telecom a proposé un avantage financier de 10 euros aux consommateurs qui rapportaient leurs anciens téléphones mobiles, mais le taux de récupération n’a pas dépassé les 5 %[31]. En France, à partir de 2010, des programmes de récupération et/ou de rachat des téléphones mobiles ont été lancés par les opérateurs[32], incités par la croissance du commerce de ces biens (après recyclage)[33],[34], qui étaient jusque-là principalement recommercialisés à plus petite échelle via des magasins spécialistes du matériel d'occasion. Dans le cadre d'une charte d'engagements volontaires sur le développement durable signée en juillet 2010 [35], les opérateurs français se sont d'ailleurs engagés à accroître la collecte des mobiles en proposant aux consommateurs des incitations de différentes formes (financières, sociales, écologiques). Selon le bilan réalisé par la Fédération Française des Télécoms, 835 202 terminaux mobiles ont été collectés en France par les trois opérateurs Bouygues Telecom, Orange et SFR en 2010, soit 50 % de plus qu'en 2009[36]. En 2012, ce chiffre s'élevait à 1 016 622 unités[37]. Pour sensibiliser les utilisateurs de mobiles sur l'enjeu de rapporter son mobile chez son opérateur, un site d'informations pratiques a été lancé par la Fédération Française des Télécoms en mai 2012[38].
Différents organismes associatifs pratiquent le recyclage de ces équipements depuis de nombreuses années. Emmaüs France propose même des points de collecte partout en France et depuis 2005, explique le fonctionnement du recyclage des téléphones mobiles jusqu'à leur traitement dans sa structure pilote les Ateliers du Bocage[39].
À partir de 2011, il aurait dû y avoir une amélioration de l'écoconception de ces matériels, la Commission européenne ayant imposé en 2009[40] aux fabricants qu'ils s'accordent sur un chargeur unique[41]. La compatibilité étant assurée via un connecteur micro-USB.
En 2016, en France, un rapport parlementaire intitulé « 100 millions de téléphones portables usagés : l’urgence d’une stratégie », produit par une « Mission d'information sur l'inventaire et le devenir des matériaux et composants des téléphones mobiles » (mise en place le 29 juin 2016, et adopté à l'unanimité) confirme que la filière de traitement des DEEE en France est dépassée par le développement du marché de l’occasion des téléphones portables et par la fuite du gisement hors des frontières du pays. 15 % du flux seulement serait valorisé (environ 100 millions d'appareils usagés seraient encore conservés par les particuliers)[42] confirme que « la conception des téléphones est délibérément défavorable au réemploi et au recyclage » en raison de leur obsolescence programmée et que le « bilan du dispositif de modulation environnementale des éco-contributions » est « extrêmement faible », invite les industriels à écoconcevoir leur matériel. Il contient cinq orientations déclinées en 27 propositions qui concernent le cycle de vie des portables (fabrication, utilisation, collecte des équipements usagés et valorisation)[42].
Au Japon le recyclage systématique des terminaux mobiles se pratique depuis plus de 15 ans, les revendeurs ont tous des cartons pouvant recevoir jusqu'à 400 appareils et se chargent de l'envoi aux centres de recyclage.
Voir aussi |
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Bibliographie |
Téléphonie mobile, sommes-nous tous des cobayes ?, 2005.
Les branchés du portable. Sociologie des usages, Francis Jauréguiberry, PUF, 2003.
Filmographie |
Blood in the mobile[43] (littéralement, [son] sang dans le mobile), documentaire de Frank Piasecki Poulsen, réalisé en 2010.
Articles connexes |
- Radiocommunication
- Téléphonie mobile
- Téléphone mobile basique
- Liste de fabricants de téléphones mobiles par pays
- Liste des opérateurs de réseau mobile en France
- Risques sanitaires des télécommunications
Nomophobie, peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile- Commercialisation de téléphones portables non conformes
Notes et références |
Notes |
Terme recommandé (ainsi que "téléphone cellulaire") au Canada par l'OQLF. Il n'y a pas encore de recommandation en France
Dans le vocabulaire courant, dans certains pays, notamment la France, on emploie souvent le terme « portable », qui peut désigner également un ordinateur portable. « Mobile » prête moins à confusion
Ce terme, couramment utilisé au Québec, relève du vocabulaire technique dans les autres régions francophones du globe. Un téléphone cellulaire est un type particulier de téléphone mobile. Cependant, la très grande majorité des téléphones mobiles utilisés étant des téléphones de type cellulaire, les deux mots ont pris la même signification dans le vocabulaire courant.
Contre 0,96 milliard d'abonnements en 2001, 2,2 en 2005.
Références |
Pew Research Center Global divide on smartphone ownership février 2016
Daniel Forgues et al., « Construction 2..0 - Guide des technologies mobiles Québec », 2015, p. 13.
baromètre du numérique 2015 France
Pew Research Center Smartphone Ownership Update: September 2012 USA
(en) Inventors and Inventions, Volume 2, Marshall Cavendish, 2007.
Nicolas Aguila, « Il était une fois, le téléphone portable », Tom's Guide, 7 mai 2008(consulté le 26 octobre 2017)
(en) Motorola DynaTAC 8000M, standard: AMPS 800 mobilecollectors.net, consulté en mars 2017
Histoire, économie et société, Volume 27, Editions C.D.U. et S.E.D.E.S., 2008, p. 92
La Chine compte 929,85 millions d'utilisateurs de téléphones mobiles, le quotidien du peuple en ligne, 29 août 2011(lire en ligne)
Jean-Christophe Victor, « Téléphone mobile : les faces sombres », émission Le Dessous des cartes sur Arte, 28 mars 2015, 2 min 50 s.
(en) Measuring the Information Society Report 2014, Statistiques 2014 de l'Union internationale des télécommunications.
[PDF]Banque mondiale (2012), Information et communications au service du développement, 2012, Exploiter au maximum la téléphonie mobile
Jean-Christophe Victor, « Téléphone mobile : outil de développement ? », émission Le Dessous des cartes sur Arte, 21 mars 2015, 3 min 20 s.
Hootsuite Media Inc, « Digital in 2018 - Social Media Marketing & Management Dashboard », sur Hootsuite (consulté le 21 janvier 2019)
Données pour la France (basées sur un échantillon de 2 003 Français de 18 à 75 ans) dans l’enquête internationale de Deloitte ("Global Mobile Consumer Survey 2016") menée sur 30 pays, auprès de 49 000 répondants
Journée mondiale sans téléphone portable : 5 chiffres qui montrent que ce n’est pas gagné, La Voix du Nord du 05 février 2017
Les Français passent plus de temps sur un smartphone que devant la télé, La Voix du Nord du 04 octobre 2016
Violaine Morin, « L’Assemblée vote l’interdiction du téléphone portable dans les écoles et les collèges », Le Monde, 7 juin 2018
« LOI n° 2018-698 du 3 août 2018 relative à l'encadrement de l'utilisation du téléphone portable dans les établissements d'enseignement scolaire », sur legifrance.gouv.fr
(en) Gartner Says Worldwide Sales of Smartphones Grew 7 Percent in the Fourth Quarter of 2016 gartner.com, le 5 février 2017
BT Wiki - le téléphone portatif
Nice, première ville à passer au paiement sans contact Sur le site 01net.com
Vie quotidienne simplifiée, sur le site cityzi.fr
Le marché des sonneries mobiles en déclin Sur le site generation-nt.com
La contrefaçon chinoise des téléphones mobiles connaît un réel succès, sur le site chineconquerante.com
Obsolescence des produits high-tech : comment les marques limitent la durée de vie de nos biens, Les Amis de la Terre, décembre 2012, p. 16
« Obsolescence des produits high-tech : comment les marques limitent la durée de vie de nos biens », Les Amis de la Terre, décembre 2012, p. 8
Fabrice Flipo, Marion Deltour, Michelle Dobré, Marion Michot, Peut-on croire aux TIC vertes ?, Presses des Mines, Paris, 2012, p. 44.
Philippe Bihouix et Benoit de Guillebon, Quel futur pour les métaux ? Raréfaction des métaux : un nouveau défi pour la société, EDP Sciences, octobre 2010, p. 34.
97 % des téléphones mobiles ne sont pas recyclés, sur le site lemondeinformatique.fr
« Obsolescence des produits high-tech : comment les marques limitent la durée de vie de nos biens », Les Amis de la Terre, décembre 2012, p. 11
Orange incite à recycler son vieux téléphone mobile
Recyclage de mobile : ça rapporte combien ?
Le rachat de mobiles et de téléphones portables
Signature d'une charte d'engagement volontaire du secteur des télécoms pour le développement durable
Premier bilan de la charte d'engagement du secteur des télécoms pour le développement durable
Lancement d’un site de sensibilisation et d’information sur la collecte des mobiles
RapporterSonMobile.fr
Les Ateliers du Bocage
Un chargeur unique pour le marché européen à l'horizon 2010
Un chargeur universel en 2011
Rapport n° 850 (2015-2016) sur l'inventaire et le devenir des matériaux et composants des téléphones mobiles et synthèse de 4 pages, et la version PDF, et infographie
Blood in the Mobile
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