Bruno Cremer
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Naissance | 6 octobre 1929 Saint-Mandé, Seine, France |
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Nationalité | Français |
Décès | 7 août 2010(à 80 ans) Paris, France |
Profession | Acteur |
Films notables | La 317e Section Paris brûle-t-il ? Un homme de trop La Bande à Bonnot L'Alpagueur Le Convoi de la peur Noce blanche Sous le sable Mon père, il m'a sauvé la vie |
Séries notables | Maigret |
Bruno Cremer, né le 6 octobre 1929 à Saint-Mandé et mort le 7 août 2010 à Paris[1], est un acteur français d'origine belge. Il est le père de l'écrivain Stéphane Crémer.
Sommaire
1 Biographie et carrière
1.1 Jeunesse
1.2 Théâtre
1.3 Cinéma
1.4 Télévision
1.5 Vie privée
2 Théâtre
3 Filmographie
3.1 Cinéma
3.2 Télévision
3.2.1 Série télévisée Maigret
4 Ouvrages
5 Distinctions
5.1 Pour un film
5.2 Pour la carrière
6 Notes et références
7 Voir aussi
7.1 Liens externes
Biographie et carrière |
Jeunesse |
Bruno Cremer naît le 6 octobre 1929 à Saint-Mandé, près de Paris, de parents belges. Sa mère, flamande, est musicienne, tandis que son père homme d'affaires né à Lille, a pris la nationalité belge en 1914, lorsque l’armée française refusa de l'engager en raison de son jeune âge[2].
Cadet d'une famille bourgeoise de trois enfants, il passe son enfance dans un immeuble haussmannien de la place de la Nation à Paris[3]. Il nourrit le goût de la scène dès l'âge de douze ans[4] et reçoit la nationalité française à dix-huit ans selon la loi en vigueur.
Théâtre |
Dès la fin de ses études secondaires, Bruno Cremer est admis au Conservatoire national supérieur d'art dramatique, où il prend des cours pendant dix ans. Il fait partie de la promotion 1952, avec Annie Girardot, Jean-Paul Belmondo, Jean Rochefort, Claude Rich, Jean-Pierre Marielle, Michel Bouquet[3], etc. Leur groupe d'amis est connu sous le nom de « bande du Conservatoire ».
Il débute sur scène en 1953 au Théâtre de l'Œuvre dans Robinson de Jules Supervielle. Crémer passera la décennie sur les planches dans des pièces de Shakespeare (Richard II mis en scène par Jean Vilar, le rôle-titre de Péricles, prince de Tyr aux côtés de Nelly Borgeaud, Tsilla Chelton, Francine Bergé...), Oscar Wilde (Un mari idéal avec Françoise Brion et Delphine Seyrig), Alfred de Vigny (Chatterton avec Bouquet - metteur en scène et interprète -, Jean-Pierre Marielle, Jean-Louis Richard), Jean Anouilh (le rôle de Saint-Just dans Pauvre Bitos ou le Dîner de têtes avec Bouquet, Jean Martinelli, Pierre Mondy, et surtout le rôle-titre offert par l'auteur dans Becket ou l'Honneur de Dieu aux côtés de Daniel Ivernel et Martine Sarcey), George Bernard Shaw (La Maison des cœurs brisés avec Bouquet — metteur en scène et interprète — et Lucien Nat).
Absorbé par sa carrière à l'écran, Crémer ne revient au théâtre qu'en 1971 dans Alpha Beta, puis, dix ans plus tard, dans Bent, où, face à Jean-Pierre Sentier, il incarne un homosexuel dans un camp nazi, en 1990-1991 dans Love Letters aux côtés d'Anouk Aimée et en 1997 dans Après la répétition d'Ingmar Bergman en compagnie d'Anna Karina.
Cinéma |
Bruno Crémer débute au cinéma par de la figuration en 1952, avant un premier second rôle dans Quand la femme s'en mêle en 1957, sous la direction d'Yves Allégret, où il côtoie un autre débutant : Alain Delon. Plus tard, en 1965, son rôle dans la 317e Section de Pierre Schoendoerffer lui ouvre une grande carrière sur les écrans, qui commence par un cinéma d'auteurs souvent engagés (Schoendoerffer, Bertrand Blier et Costa-Gavras qui le dirigeront plusieurs fois, Luchino Visconti, Michel Deville, Jacques Doniol-Valcroze). Dans Les Gauloises bleues (1968), il a le plaisir de donner la réplique à sa copine Annie Girardot (il la retrouvera dès l'année suivante), comme plus tard à Jean-Paul Belmondo dans L'Alpagueur.
Le rôle-titre de La Bande à Bonnot est une manière de sacre en 1969. Il s'impose en vedette ou second rôle de films virils signés par Yves Boisset, William Friedkin, Daniel Duval, José Giovanni, Roger Hanin, Raoul Coutard, associé ou opposé à des comédiens tels que Bernard Blier, Michel Piccoli, Charles Vanel, Jacques Brel, Jean-Louis Trintignant, Maurice Ronet, Roy Scheider, Giuliano Gemma et Jacques Perrin. Marlène Jobert, Marie-Christine Barrault, Fanny Cottençon, Miou Miou, Claudia Cardinale, Catherine Alric tempèrent de leur présence cet univers d'hommes. D'un autre côté l'acteur diversifie ses collaborations : Patrice Chéreau, Claude Lelouch, Claude Sautet, Claude d'Anna, Anne-Marie Miéville jalonnent son parcours. Résistant (Rol-Tanguy) dans Paris brûle-t-il ? de René Clément, jésuite dans Anthracite d'Édouard Niermans, il interprète en 1984 Le Matelot 512 de René Allio aux côtés de Dominique Sanda.
Depuis, Falsch de Jean-Pierre Dardenne et Luc Dardenne, Noce blanche de Jean-Claude Brisseau où il est l'amant scandaleux de Vanessa Paradis, Tumultes, de Bertrand Van Effenterre, Sous le sable de François Ozon, où il est le mari disparu de Charlotte Rampling, Mon père, il m'a sauvé la vie de José Giovanni ont chaque fois témoigné de l'exigence et du talent de l'acteur de cinéma.
Télévision |
Crémer tourne pour la première fois pour le petit écran en 1979. Sa carrière de séducteur s'épanouit à partir de Une page d'amour d'Élie Chouraqui d'après Émile Zola, dont il partage l'affiche avec Anouk Aimée ; suivent deux téléfilms signés Jean Chapot et Nelly Kaplan où il est associé avec Françoise Fabian et Krystina Janda ou encore Le Regard dans le miroir avec Aurore Clément.
Crémer s'illustre dans des réalisations signées Peter Kassovitz (L'Énigme blanche avec Jean Rochefort, Bulle Ogier et Claude Rich, Opération Ypsilon), Laurent Heynemann (Le Pays du soleil levant avec Fanny Ardant, Ceux de la soif d'après Georges Simenon aux côtés de Mimsy Farmer) ou encore Christian de Chalonge (un épisode de Les dossiers secrets de l'inspecteur Lavardin avec Jean Poiret). Il a aussi pour partenaire Gérard Lanvin dans La Traque, de Philippe Lefebvre et travaille régulièrement en Italie (série La Pieuvre).
En 1983 il incarne Sade et Josephine Chaplin joue la femme du terrible marquis, puis en 1989, dans L'Été de la Révolution, il personnifie Louis XVI et Brigitte Fossey interprète Marie-Antoinette.
À partir de 1991 Bruno Cremer reprend à la télévision le rôle du commissaire Maigret (d'abord proposé à Julien Guiomar) dans un style proche de Raymond Souplex. En 2005, après cinquante-trois épisodes, sa voix doit être doublée par celle de Vincent Grass dans Maigret et l'Étoile du Nord, le dernier épisode de la série : atteint d'un grave cancer à la gorge, il décide alors d'arrêter son métier.
Vie privée |
Il a trois enfants, un fils, l'auteur Stéphane Crémer[3], d'un premier mariage avec une comédienne du Conservatoire devenue antiquaire et, à la suite de quinze ans de célibat, période pendant laquelle il vit à l'hôtel[5], deux filles (Constance et Marie-Clémentine) de Chantal, psychiatre[3], son épouse depuis décembre 1984[1]. Sa famille et celle de son frère, Georges-Alfred Cremer, médecin professeur et membre de l'Académie nationale de médecine, ont un lien fort avec le Morbihan, son lieu de détente habituel[6].
En 2000, Bruno Cremer écrit Un certain jeune homme, un livre autobiographique qui s'arrête à la mort de son père, quarante ans auparavant.
Le 9 août 2010, France Degand, son agent, annonce à l'AFP sa mort des suites d'un cancer de la langue et du pharynx, imputé au tabac[7],[8], le 7 août 2010, dans un hôpital parisien. Le 13 août 2010, il est inhumé au cimetière du Montparnasse après des obsèques au goût de sa famille (brefs éloges par les intimes, musiques à la guitare…), en l'église Saint-Thomas-d'Aquin à Paris, en présence notamment de ses amis du conservatoire, Jean-Paul Belmondo, Jean Rochefort, Pierre Vernier, Claude Rich, Jean-Pierre Marielle, et encore de Niels Arestrup, Jacques Perrin, Monique Chaumette, Pierre Schoendoerffer, Jean-Claude Brisseau, Jacques Spiesser[9],[10],[11], entre autres.
Théâtre |
1952 : Robinson de Jules Supervielle, mise en scène Jean Le Poulain, théâtre de l'Œuvre
1953 : Richard II de William Shakespeare, mise en scène Jean Vilar, TNP. Rôle de Willoughby.
1955 : Un mari idéal d'Oscar Wilde, mise en scène Jean-Marie Serreau, théâtre de l'Œuvre
1956 : Chatterton d'Alfred de Vigny, mise en scène Michel Bouquet, théâtre de l'Œuvre
1956 : Pauvre Bitos ou le Dîner de têtes de Jean Anouilh, mise en scène de l'auteur et Roland Piétri, théâtre Montparnasse
1957 : Pauvre Bitos ou le Dîner de têtes de Jean Anouilh, mise en scène de l'auteur et Roland Piétri, Comédie des Champs-Élysées
1957 : Péricles, prince de Tyr de William Shakespeare, mise en scène René Dupuy, théâtre de l'Ambigu
1958 : La Maison des cœurs brisés de George Bernard Shaw, mise en scène Ariane Borg & Michel Bouquet, théâtre de l'Œuvre
1958 : L'Étrangère dans l'île de Georges Soria, mise en scène Jean Négroni, Studio des Champs-Elysées
1959 : Becket ou l'Honneur de Dieu de Jean Anouilh, mise en scène de l'auteur et Roland Piétri, théâtre Montparnasse
1971 : Alpha beta de E. A. Whitehead, mise en scène Marcel Moussy, théâtre Antoine
1981 : Bent de Martin Sherman, mise en scène Peter Chatel, théâtre de Paris
1990-1991 : Love Letters d'Albert Ramsdell Gurney, mise en scène Lars Schmidt, avec Anouk Aimée
1997 : Après la répétition d'Ingmar Bergman, mise en scène Louis-Do de Lencquesaing, théâtre de la Renaissance
Filmographie |
Cinéma |
1952 : Les Dents longues, de Daniel Gélin : l'homme qui sort de la boîte
1957 : Quand la femme s'en mêle, de Yves Allégret : Bernard
1960 : Mourir d'amour, de José Bénazéraf et Dany Fog : l'inspecteur Terens
1963 : Le Tout pour le tout, de Patrice Dally : le médecin
1965 : La 317e Section, de Pierre Schoendoerffer : l'adjudant Willsdorf
1965 : La Fabuleuse Aventure de Marco Polo, de Denys de La Patellière et Noël Howard : Guillaume de Tripoli
1966 : Objectif 500 millions, de Pierre Schoendoerffer : capitaine Jean Reichau
1966 : Paris brûle-t-il ?, de René Clément : Colonel Rol-Tanguy
1967 : Si j'étais un espion, de Bertrand Blier : Matras
1967 : Un homme de trop, de Costa-Gavras : Cazal
1967 : L'Étranger (Lo Straniero), de Luchino Visconti : le prêtre
1967 : Le Viol, de Jacques Doniol-Valcroze : Walter
1968 : Les Gauloises bleues, de Michel Cournot : le père
1968 : Bye bye, Barbara, de Michel Deville : Hugo Michelli
1968 : Le tueur aime les bonbons (Un Killer per sua maestà), de Federico Chentrens et Maurice Cloche : Oscar Snell
1969 : La Bande à Bonnot, de Philippe Fourastié : Jules Bonnot
1970 : Cran d'arrêt, de Yves Boisset : Lucas Lamberti
1970 : Pour un sourire, de François Dupont-Midi : Michaël
1970 : Le Temps de mourir, d'André Farwagi : Max Topfer
1971 : Biribi, de Daniel Moosmann : Le capitaine
1972 : La Guerre d'Algérie, de Yves Courrière et Philippe Monnier : narrateur
1972 : L'Amante dell'orsa maggiore, de Valentino Orsini
1972 : L'Attentat, de Yves Boisset : Me Bourdier
1973 : Sans sommation, de Bruno Gantillon : Donetti
1974 : Le Protecteur, de Roger Hanin : Beaudrier
1974 : Les Suspects, de Michel Wyn : Commissaire Bonetti
1975 : La Chair de l'orchidée, de Patrice Chéreau : Louis Delage
1975 : Section spéciale, de Costa-Gavras : Lucien Sampaix
1976 : Le Bon et les Méchants, de Claude Lelouch : Bruno
1976 : L'Alpagueur, de Philippe Labro : l’Épervier
1977 : Le Convoi de la peur (Sorcerer), de William Friedkin : Victor Manzon/Serrano
1978 : L'Ordre et la sécurité du monde, de Claude d'Anna : Lucas Richter
1978 : Une histoire simple, de Claude Sautet : Georges
1979 : On efface tout, de Pascal Vidal : Claude Raisman
1980 : La Légion saute sur Kolwezi, de Raoul Coutard : Pierre Delbart
1980 : Même les mômes ont du vague à l'âme, de Jean-Louis Daniel : Morton
1980 : Anthracite, d'Édouard Niermans : le préfet des études
1981 : Une robe noire pour un tueur, de José Giovanni : Alain Rivière
1981 : La Puce et le Privé, de Roger Kay : Valentin « Val » Brosse
1981 : Aimée, de Joël Farges : Carl Freyer
1982 : Espion, lève-toi, de Yves Boisset : Richard
1982 : Josepha, de Christopher Frank : Régis Duchemin
1983 : Le Marquis de Sade, de Patrick Antoine (vidéo) : marquis de Sade
1983 : Le Prix du danger, de Yves Boisset : Antoine Chirex
1983 : Effraction de Daniel Duval : Pierre
1983 : Un jeu brutal, de Jean-Claude Brisseau : Christian Tessier
1984 : Le Livre de Marie, d'Anne-Marie Miéville (court-métrage) : le Père
1984 : À coups de crosse (Fanny Pelopaja), de Vicente Aranda : Andrés
1984 : Le Matelot 512, de René Allio : le commandant Roger
1985 : Derborence, de Francis Reusser : Séraphin
1985 : Le Transfuge, de Philippe Lefebvre : Bernard Corain
1986 : Tenue de soirée, de Bertrand Blier : l'amant
1987 : Falsch, de Jean-Pierre Dardenne et Luc Dardenne : Joe
1988 : Adieu je t'aime, de Claude Bernard-Aubert : Michel Dupré
1988 : De bruit et de fureur, de Jean-Claude Brisseau : Marcel
1989 : L'Union sacrée, d'Alexandre Arcady : Joulin
1989 : Noce blanche, de Jean-Claude Brisseau : François Hainaut
1990 : Tumultes, de Bertrand Van Effenterre : le père
1991 : Money, de Steven Hilliard Stern : Marc Lavater
1991 : Atto di dolore, de Pasquale Squitieri : Armando
1992 : Un vampire au paradis, d'Abdelkrim Bahloul : Antoine Belfond
1993 : Taxi de nuit, de Serge Leroy : Silver, le taxi
2000 : Sous le sable, de François Ozon : Jean Drillon
2001 : Mon père, il m'a sauvé la vie, de José Giovanni : Joe
2003 : Là-haut, un roi au-dessus des nuages, de Pierre Schoendoerffer : le colonel
Télévision |
1979 : Cet homme-là, de Gérard Poitou-Weber (téléfilm) : Joseph Pélieu
1980 : Orient-Express, de Marcel Moussy (série télévisée) : Mikhaïl
1980 : Une page d'amour, d'Élie Chouraqui (téléfilm) : Dr Henri Deberle
1980 : La Traque, de Philippe Lefebvre (mini-série) : le commissaire Chenu
1982 : Ce fut un bel été, de Jean Chapot (téléfilm) : O'Connor-Schellendorf
1982 : Un fait d'hiver, de Jean Chapot (téléfilm) : Le commissaire Miller
1985 : Le Regard dans le miroir, de Jean Chapot (série télévisée) : Éric Chevallier
1985 : L'Énigme blanche, de Peter Kassovitz (téléfilm) : Paul
1987 : Opération Ypsilon, de Peter Kassovitz (téléfilm) : Germain
1987 : L'île, de François Leterrier (série télévisée)- 1988 : Maigret (téléfilm)
1988 : Médecins des hommes (série télévisée) : Marc
1988 : Lettera dal Salvador, de Florestano Vancini (téléfilm) : Marc
1989 : Ceux de la soif, de Laurent Heynemann (téléfilm) : Frank Sarnave
1989 : L'Été de la révolution, de Lazare Iglesis (téléfilm) : Louis XVI
1989 : Raid contre la mafia (La Piovra 4), de Luigi Perelli (série télévisée) : Antonio Espinosa
1990 : Les dossiers de l'inspecteur Lavardin (série télévisée), épisode : Le Diable en ville : Jacques Pincemaille
1990 : Mort à Palerme (La Piovra 5 - Il cuore del problema) de Luigi Perelli (série télévisée) : Antonio Espinosa
1990 : Coma dépassé de Roger Pigaut (téléfilm) : Yves Toledano
1991 : Tango Bar (téléfilm) : Robert Ziani
1991 - 2005 : Maigret (série télévisée) : Commissaire Jules Maigret
1992 : La Piovra 6 - L'ultimo segreto, de Luigi Perelli (série télévisée) : Antonio Espinosa
Série télévisée Maigret |
Adaptation de l'œuvre de Georges Simenon. 54 épisodes, de nombreux réalisateurs successifs.
1991 : Maigret et la Grande Perche, réalisation de Claude Goretta
1992 : Maigret chez les Flamands, de Serge Leroy
1992 : Maigret et la Maison du juge, de Bertrand Van Effenterre
1992 : Maigret et les Plaisirs de la nuit, de José Pinheiro
1992 : Maigret et la Nuit du carrefour, d'Alain Tasma et Bertrand Van Effenterre
1993 : Maigret se défend, d'Andrzej Kostenko
1993 : Maigret et l'Homme du banc, d'Étienne Périer
1993 : Maigret et les Témoins récalcitrants, de Michel Sibra
1993 : Maigret et les Caves du Majestic, de Claude Goretta
1994 : La Patience de Maigret, d'Andrzej Kostenko
1994 : Maigret et le Corps sans tête, de Serge Leroy
1994 : Maigret et le Fantôme, de Hannu Kahakorpi
1994 : Maigret et l'Écluse n°1, d'Olivier Schatzky
1994 : Maigret : Cécile est morte, de Denys de La Patellière
1994 : Maigret se trompe, de Joyce Buñuel
1994 : Maigret et la Vieille Dame, de David Delrieux
1995 : Maigret et la Vente à la bougie, de Pierre Granier-Deferre
1995 : Les Vacances de Maigret, de Pierre Joassin
1995 : Maigret et l'Affaire Saint-Fiacre, de Denys de La Patellière
1996 : Maigret et le Port des brumes, de Charles Némès
1996 : Maigret et la Tête d'un homme, de Juraj Herz
1996 : Maigret en Finlande, de Pekka Parikka
1996 : Maigret tend un piège, de Juraj Herz
1996 : Maigret a peur, de Claude Goretta et Christian Karcher
1997 : Maigret et l'Enfant de chœur, de Pierre Granier-Deferre
1997 : Maigret et le Liberty Bar, de Michel Favart
1997 : Maigret et l'improbable Monsieur Owen, de Pierre Koralnik
1998 : L'Inspecteur Cadavre, de Pierre Joassin
1999 : Maigret : Madame Quatre et ses enfants, de Philippe Bérenger
1999 : Maigret : Meurtre dans un jardin potager, d'Edwin Baily
1999 : Maigret : Un meurtre de première classe, de Christian de Chalonge
2000 : Maigret chez les riches, de Denys Granier-Deferre et Pierre Joassin
2000 : Maigret voit double, de François Luciani
2001 : Maigret et la croqueuse de diamants, d'André Chandelle
2001 : Mon ami Maigret, de Bruno Gantillon
2001 : Maigret et la fenêtre ouverte, de Pierre Granier-Deferre
2002 : Maigret et le Marchand de vin, de Christian de Chalonge
2002 : Maigret chez le ministre, de Christian de Chalonge
2002 : Maigret et le fou de Sainte Clotilde, de Claudio Tonetti
2002 : Maigret et la maison de Félicie, de Christian de Chalonge
2002 : Maigret à l'école, de Yves de Chalonge
2003 : Maigret et la Princesse, de Laurent Heynemann
2003 : Un échec de Maigret, de Jacques Fansten
2003 : Signé Picpus, de Jacques Fansten
2003 : L'Ami d'enfance de Maigret, de Laurent Heynemann
2004 : Les Scrupules de Maigret, de Pierre Joassin
2004 : Maigret et l'Ombre chinoise, de Charles Némès
2004 : Maigret chez le docteur, de Claudio Tonetti
2004 : Maigret : Les Petits Cochons sans queue, de Charles Némès
2004 : Maigret et le Clochard, de Laurent Heynemann
2004 : Maigret en meublé, de Laurent Heynemann
2004 : Maigret et la Demoiselle de compagnie, de Franck Apprederis
2004 : Maigret et les 7 petites croix, de Jérôme Boivin
2005 : Maigret et l'Étoile du nord, de Charles Némès
Ouvrages |
Un certain jeune homme, Paris, Éd. de Fallois, 2000, 286 p. (ISBN 2877063917).
Distinctions |
Pour un film |
- 1990 : Bayard d’Or du meilleur comédien, dans Tumultes de Bertrand Van Effenterre, au festival du film francophone de Namur
- 2001 : Prix du meilleur comédien, dans Mon père, il m'a sauvé la vie de José Giovanni, au festival du film d´action et d´aventure de Valenciennes
Pour la carrière |
- 2008 : nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1988, promu officier de la Légion d'honneur par décret du 30 décembre 2003 (et décoré par son ami le réalisateur Pierre Schoendoerffer)[12]
Notes et références |
« L'acteur Bruno Cremer est mort », Le Figaro (AFP), 8 août 2010(consulté le 9 août 2010).
Paris Match, « Bruno Cremer l'homme tranquille », Paris Match, 13 août 2010(lire en ligne, consulté le 26 juillet 2018)
« Disparition de l’acteur Bruno Cremer », En 24 heures (LeFigaro.fr), 9 août 2010(consulté le 9 août 2010).
« Bruno Cremer. Maigret s'en est allé... », Le Télégramme, 9 août 2010(consulté le 9 août 2010).
François Pédron, « Bruno Cremer l'homme tranquille », Paris Match n° 3195, 13 août 2010(consulté le 13 août 2010), p. 39.
« Bruno Cremer. Un lien fort avec le Morbihan », Le Télégramme, 10 août 2010(consulté le 10 août 2010).
« Décès du comédien français Bruno Cremer », RFI, 9 août 2010(consulté le 9 août 2010).
Télématin, journal de 7h, 9 août 2010.
Marion Souzeau, « Vidéo. Le monde du spectacle rend hommage à Bruno Cremer, le commissaire Maigret », Le Parisien, 13 août 2010(consulté le 13 août 2010).
« Dernier adieu à Bruno Cremer en présence de ses « copains du Conservatoire » (Texte) », France 24 (AFP), 13 août 2010(consulté le 13 août 2010).
« Bruno Cremer, entouré jusqu"au bout (Photos) », Paris Match, 14 août 2010(consulté le 15 août 2010).
Barthélemy Gruot, « Décès de l’acteur Bruno Cremer », Ministère de la Défense (France), 9 août 2010(consulté le 9 août 2010).
Voir aussi |
Liens externes |
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Bruno Cremer sur Allociné
(en) Bruno Cremer sur l’Internet Movie Database
« Dossier Bruno Cremer (dont vidéos) », archives de l'Institut national de l'audiovisuel (Ina) (consulté le 13 août 2010).
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