Apple





Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Apple (homonymie).













































































Apple

logo de Apple
Logo d'Apple

illustration de Apple
Siège social Apple Park


Création

1er avril 1976Voir et modifier les données sur Wikidata
Dates clés


  • 1976 - janvier 1977 : Apple Computer Company


  • 1997 : spot publicitaire : Think different


  • 1998 : sortie de l'iMac

  • 1977 - 2007 : Apple Computer, Inc.


  • Janvier 2007 : sortie de l'iPhone


  • Mars 2007 : sortie de l'Apple TV


  • 2008 : sortie du Macbook


  • 2010 : sortie de l'iPad.


  • 2015 : sortie de l'Apple Watch


  • 2017 : sortie de l'iPhone X


  • 2018 : sortie de l'iPad 6


Fondateurs

Steve Wozniak, Steve Jobs et Ronald Wayne[1]Voir et modifier les données sur Wikidata

Forme juridique

Société par actions et société anonyme avec appel public à l'épargneVoir et modifier les données sur Wikidata

Action

NASDAQ (AAPL)Voir et modifier les données sur Wikidata

Siège social
1 Apple Park Way
CupertinoVoir et modifier les données sur Wikidata
Drapeau des États-Unis États-Unis

Direction

Tim Cook (depuis le 24 août 2011)[2]Voir et modifier les données sur Wikidata

Président

Arthur D. LevinsonVoir et modifier les données sur Wikidata
Actionnaires

The Vanguard Group (6,64 %)[3] et BlackRock (6,34 %)Voir et modifier les données sur Wikidata

Activité

Industrie du téléphone mobile (d)[4], industrie du logiciel[5], électronique grand public[6], distribution numérique, électronique et technologie de l'informationVoir et modifier les données sur Wikidata

Produits

IPhone (1re génération)[7]Voir et modifier les données sur Wikidata

Filiales
FileMaker, Inc. (en), Anobit (en), Beats by Dr. Dre, Braeburn Capital (en), AuthenTec (en), FingerWorks (en), Prismo Graphics (d), Raycer (en), SchemaSoft (d), Apple (Germany) (d), Apple (Israel) (d), Claris et Apple Store
Effectif

123 000 (2018)[8]Voir et modifier les données sur Wikidata

Site web

www.apple.comVoir et modifier les données sur Wikidata

Capitalisation

1 000 000 000 000 de dollar américain (2 août 2018)[9] et 1 044 000 000 000 de dollar américain (septembre 2018)[10]Voir et modifier les données sur Wikidata

Chiffre d'affaires

229 234 000 000 de dollar américain (2017)[11]Voir et modifier les données sur Wikidata

Résultat net

48 351 000 000 de dollar américain (2017)[12]Voir et modifier les données sur Wikidata

Apple est une entreprise multinationale américaine qui conçoit et commercialise des produits électroniques grand public, des ordinateurs personnels et des logiciels informatiques. Parmi les produits les plus connus de l'entreprise se trouvent les ordinateurs Macintosh, l'iPod, l'iPhone et l'iPad, la montre Apple Watch, le lecteur multimédia iTunes, la suite bureautique iWork, la suite multimédia iLife ou des logiciels à destination des professionnels tels que Final Cut Pro et Logic Pro. En 2017, l'entreprise emploie 116 000 employés et exploite 499 Apple Stores répartis dans 22 pays[13],[14] et une boutique en ligne où sont vendus les appareils et logiciels d'Apple mais aussi de tiers. Son bénéfice annuel pour l'année 2017 est de 45,2 milliards de dollars.


Apple est créée le 1er avril 1976 dans le garage de la maison d'enfance de Steve Jobs à Los Altos en Californie par Steve Jobs, Steve Wozniak et Ronald Wayne[15], puis constituée sous forme de société le 3 janvier 1977 à l'origine sous le nom d'Apple Computer, mais pour ses 30 ans et pour refléter la diversification de ses produits, le mot « computer » est retiré le 9 janvier 2007[16].


En raison de sa philosophie industrielle de l'intégration verticale, de son approche marketing fondée sur l'innovation, l'ergonomie et l'esthétique de ses produits appréciée des consommateurs, de ses campagnes publicitaires originales et des clients qui s'identifient à l'entreprise et à la marque[17], Apple s'est forgé une réputation singulière dans l'industrie électronique grand public.


Selon un classement du magazine Fortune, Apple est la société la plus admirée dans le monde en 2006, 2007, 2008, 2009, 2010[18], 2011, 2012 et 2013[19]. Elle est, à partir de 2011 et au gré des fluctuations du marché, la première capitalisation boursière de la planète[20] et devient également le 2 août 2018 la première entreprise privée de l'histoire à atteindre une valeur de 1 000 milliards de dollars en Bourse[21],[22]. Elle est aussi, d'après le Forbes Global 2000 de 2017, la neuvième entreprise mondiale[23].


Mais la firme reçoit aussi de nombreuses critiques concernant les conditions de travail de ses ouvriers, ses choix environnementaux et ses pratiques commerciales[24], une grande partie de ses produits étant fabriqués dans des pays asiatiques comme l'Inde ou la Chine[25],[26].


En 2014, selon le classement Best Global Brands d'Interbrand, Apple est la première entreprise mondiale en valeur avec une valorisation à près de 118,9 milliards de dollars[27]. En 2015, Apple est de nouveau à la tête du classement Interbrand pour la troisième année consécutive[28]. En 2017, la marque est valorisée à 170 milliards de dollars (+43 % par rapport à 2014) devant Google et Microsoft.


En août 2015, le site internet d'Apple a fusionné avec l'Apple Store en ligne[29]. L'internaute peut donc directement acheter en ligne sur la page de présentation de chaque produit.




Sommaire






  • 1 Histoire


    • 1.1 Apple et Steve Jobs


    • 1.2 Première capitalisation boursière au monde


    • 1.3 Acquisition de sociétés


    • 1.4 Profits et imposition


      • 1.4.1 Optimisation fiscale


      • 1.4.2 Enquête de la Commission européenne et redressement fiscal record


      • 1.4.3 Chiffre d'affaires




    • 1.5 Identité visuelle (logo)


    • 1.6 Slogan




  • 2 Les produits


    • 2.1 Apple II


    • 2.2 Macintosh


    • 2.3 iPod


    • 2.4 iPhone


    • 2.5 iPad


    • 2.6 iPad mini


    • 2.7 Apple Watch


    • 2.8 Apple TV


    • 2.9 AirPods


    • 2.10 Logiciels


    • 2.11 Jeu vidéo


    • 2.12 Chronologie des produits Apple


    • 2.13 Transport


    • 2.14 Énergie




  • 3 Les clients d'Apple


  • 4 Direction d'Apple


    • 4.1 Équipe de direction


    • 4.2 Équipe des vice-présidents


    • 4.3 Conseil d'administration


    • 4.4 Anciens collaborateurs




  • 5 Communication


    • 5.1 Publicité


    • 5.2 Activités de lobbying


      • 5.2.1 Aux États-Unis


      • 5.2.2 Auprès des institutions de l'Union européenne


      • 5.2.3 En France






  • 6 Localisation


    • 6.1 Siège social


    • 6.2 Autres sites dans le monde




  • 7 Controverse et faiblesses de la stratégie d’Apple


    • 7.1 Conditions de travail


    • 7.2 Modèle économique et réseau de distribution


    • 7.3 Politique de prix


    • 7.4 Environnement


    • 7.5 Batailles juridiques


    • 7.6 Violation de brevet


    • 7.7 Sécurité et vie privée


    • 7.8 Évasion fiscale


    • 7.9 Obsolescence programmée




  • 8 Notes et références


    • 8.1 Notes


    • 8.2 Références




  • 9 Annexe


    • 9.1 Filmographie


    • 9.2 Bibliographie


    • 9.3 Articles connexes


    • 9.4 Liens externes






Histoire




Maison d'enfance de Steve Jobs à Los Altos en Californie, où débute l'histoire d'Apple en 1976


Article détaillé : Histoire d'Apple.

Apple est créée le 1er avril 1976 dans la maison d'enfance de Steve Jobs à Los Altos, puis constituée sous forme de société le 3 janvier 1977. Elle prend diverses facettes coordonnées avec l'évolution du monde informatique qu'elle précède, partant d'un monde sans ordinateur personnel à une société du XXIe interconnectée par l'intermédiaire de terminaux fixes et mobiles. Elle est l'un des premiers constructeurs travaillant à la conception de machines moins coûteuses et moins encombrantes face au monopole IBM.


Parmi ses produits phares, on trouve l'Apple II, le Macintosh, l'iPod, l'iPhone et l'iPad.


Apple et Steve Jobs


Article détaillé : Steve Jobs.

L'image d'Apple est étroitement associée à celle de son co-créateur, Steve Jobs. Celui-ci doit quitter l'entreprise en 1985 à la suite d'un conflit avec John Sculley qu'il avait pourtant recruté au poste de directeur général[30]. Il crée alors NeXT[31]et rachète Pixar à George Lucas, ce qui lui vaudra de devenir, lors du rachat des studios d'animation en 2006, membre du conseil d'administration et premier actionnaire individuel de la Walt Disney Company.


Il revient prendre la direction de la marque à la pomme en 1997 et se trouve dès lors à l'origine de la réussite planétaire des différents produits lancés depuis cette époque, toujours présentés à un rythme quasi semestriel lors de ses célèbres « keynotes ». Affecté à partir de 2004 par un cancer du pancréas, Steve Jobs doit finalement renoncer à ses fonctions de PDG le 25 août 2011 (continuant cependant d'occuper la fonction de président du conseil d'administration et de directeur d'Apple), et c'est Tim Cook qui lui succède.


Steve Jobs décède le 5 octobre 2011, à l'âge de 56 ans. Un hommage lui est rendu sur le site web d'Apple via sa photo et un portrait en noir et blanc avec comme texte « Steve Jobs ; 1955-2011 »[32].



Première capitalisation boursière au monde


Le 9 août 2011, quelques mois après le lancement réussi de l'iPad 2, la capitalisation boursière du groupe atteint 341,5 milliards de dollars[33], dépassant celle du géant pétrolier Exxon. Ce chiffre va quasiment doubler en un an, à mesure que le succès populaire de l'iPad ne se dément pas : le 20 août 2012, Apple bat le record de la plus grande capitalisation boursière de l'histoire boursière, avec 622,10 milliards de dollars, dépassant le précédent sommet, touché par Microsoft, à 620,58 milliards de dollars le 30 décembre 1999[34]. Le 30 avril 2017, le journal The Wall Street rapporte qu'Apple a une réserve de 250 mille millions de $[35], c'est 256,8 mille millions de $ confirmé par la firme[36]. Le 3 novembre 2017, Apple touche de nouveaux sommets avec une capitalisation qui dépasse les 900 milliards de dollars[37],[38].


Enfin, le 2 août 2018, l'action Apple monte en bourse au delà de 207 dollars l'unité, pour devenir la première entreprise privée de l'histoire à atteindre une capitalisation boursière de 1 000 milliards de dollars[39].


Dans les derniers mois de 2018, la capitalisation boursière de la compagnie chute drastiquement à la hauteur de 1/3 de ses actifs. En date du 3 janvier 2019, Apple est coté à 678 milliards de dollars, un creux historique, derrière les sociétés Microsoft, Amazon, et Alphabet (Maison-mère du moteur de recherche Google)[40],[41],[42].



Acquisition de sociétés


Article détaillé : Liste des acquisitions d'Apple.

Apple, comme Amazon, Facebook et Google, a depuis sa fondation racheté de nombreuses entreprises pour alimenter sa croissance, élargir sa base d'utilisateurs et développer de nouvelles technologies. Parmi ses acquisitions on peut citer NeXT, P.A. Semi, Siri et Beats Electronics.


En août 2016, Apple se renforce dans le domaine de l'intelligence artificielle et rachète la société spécialisée Turi, basée à Seattle, pour un montant estimé à 200 millions de dollars. Turi est spécialisée d'après son site internet sur une branche de l'intelligence artificielle appelée machine learning (apprentissage automatique en français) : des outils et algorithmes permettant aux ordinateurs ou aux applications logicielles « d'apprendre » au fur et à mesure de leur utilisation. Cela peut entre autres servir à analyser les comportements des utilisateurs, à cibler en fonction de leur profil des publicités ou des recommandations de produits, ou encore à détecter des anomalies et donc des fraudes potentielles[43].


En février 2017, Apple rachète la startup israélienne Real Face, spécialisée dans la reconnaissance faciale[44].


Profits et imposition


Optimisation fiscale


Les profits de l'entreprise sont passés de 5 milliards de dollars en 2007 à 45,2 milliards en 2017. Elle paye un impôt sur les sociétés aux États-Unis qui est passé de 1 milliard de dollars en 2007 à 3,3 milliards en 2011. Cette relative faible hausse vient du fait qu'elle déclare une bonne partie de ses impôts à Reno (Nevada), où la compagnie dispose d'une présence symbolique. L'impôt sur les entreprises étant en 2001 de 8,84 % en Californie et de zéro au Nevada[45].


Apple optimise également son imposition au niveau international à l'aide des méthodes du « double irlandais » et du « Sandwich hollandais ». Elle utilise pour cela une filiale en Irlande (taux d'imposition de 12,5 %) dont l'objectif est de récolter le produit des brevets déposés par Apple. Une autre filiale au Luxembourg gère les revenus des ventes d'iTunes. Une filiale aux Pays-Bas permet de récupérer les bénéfices irlandais en franchise d'impôts. Les bénéfices sont ensuite orientés vers des paradis fiscaux[46]. Elle détient en 2014 150 milliards de dollars dans le paradis fiscale des îles Vierges britanniques[47].


Au niveau mondial hors États-Unis, sur des bénéfices à l'étranger de 36,8 milliards de dollars fin 2012, elle a versé 713 millions de dollars au 29 septembre, soit un taux de 1,9 %[48].


En janvier 2018, Apple annonce qu'elle va rapatrier aux États-Unis tout son argent à l'étranger et payer 38 milliards de dollars ce qui lui permettra d'économiser 50 milliards de dollars d'impôts[49].



Enquête de la Commission européenne et redressement fiscal record


Article détaillé : Redressement fiscal d'Apple.

Les autorités européennes de Bruxelles ont déclenché une enquête visant les régimes fiscaux très généreux dont bénéficient certaines multinationales via leurs filiales en Irlande, aux Pays-Bas ou au Luxembourg. Joaquín Almunia, commissaire européen chargé de la Concurrence, a donc décidé de lancer une enquête visant Apple et ses pratiques d'optimisation fiscale[50]. Si l'aide de l'État irlandais est reconnue, un remboursement conséquent pourrait être exigé[51]. Le 30 août 2016, la commissaire européenne à la concurrence Margrethe Vestager annonce qu'Apple devra verser 13 milliards d’euros, plus les intérêts, à l’Irlande, au titre des impôts qu’elle aurait dû y payer entre 2003 et 2014[52]. Le 24 avril 2018, le gouvernement irlandais annonce la signature avec Apple d’un accord permettant le versement, sur un compte bloqué, des 13 milliards d’euros d’avantages fiscaux jugés indus par l’Union européenne[53].



Chiffre d'affaires


Pour l'exercice 2015 - 2016, Apple accuse une baisse de son chiffre d'affaires d'environ 8 %. C'est la première baisse enregistrée depuis la création de l'entreprise[54]. Pour l'année fiscale 2017, l'entreprise a réalisé un chiffre d'affaires de 229,23 milliards de US$.



Identité visuelle (logo)


Voir aussi : U+F8FF ou , vu comme le logo d'Apple dans certaines polices

Le choix du logo fruitier s'inspire du nom de la société Apple (pomme) adopté notamment car cela le plaçait dans l'annuaire téléphonique avant Atari. Steve Jobs explique à son biographe Walter Isaacson : « J'étais dans ma phase 'pommes' de mon régime [végétalien]. Je revenais de la plantation de pommiers. Je trouvais ce nom sympathique et pas intimidant », à la différence des sigles comme IBM ou HP[55].


Le premier logo d'Apple, dessiné par Ronald Wayne, représente Isaac Newton appuyé contre un pommier. En bordure du dessin se trouve un segment du poème Prelude de William Wordsworth : « Newton… A mind forever voyaging through strange seas of thought… alone. » Il est très rapidement remplacé, au début de 1977, par la pomme arc-en-ciel dessinée par Rob Janoff, la célèbre pomme croquée. Janoff présenta à Steve Jobs des versions monochromatiques de la pomme croquée ; ce dernier s'est tout de suite pris d'affection pour elle. Il a cependant insisté sur le fait qu'elle devait être colorée pour humaniser la firme[56],[57]. Selon Rob Janoff, la pomme est croquée pour qu'elle ne soit pas confondue avec une cerise ; les couleurs permettaient, elles, de refléter la capacité des Apple II à pouvoir afficher des couleurs[58].


Ce logo est souvent considéré, à tort, comme un hommage à Alan Turing, mathématicien britannique homosexuel, qui se serait suicidé ― selon la thèse officielle, jamais prouvée[59],[60] ― en mangeant une pomme imprégnée de cyanure. De même, les couleurs proches de celles du drapeau arc-en-ciel de la communauté LGBT seraient une référence à son homosexualité, en raison de laquelle il fut inquiété par la loi alors en vigueur. Aussi bien le dessinateur du logo qu'Apple ont nié qu'il y avait un quelconque hommage à Turing dans le logo de la pomme arc-en-ciel[58],[61],[62].


Avec la sortie de l'iMac G3 en 1998, Apple a commencé à introduire la pomme monochrome sur ses machines, mais le modèle arc-en-ciel était toujours sur le système d'exploitation d'alors (Mac OS 8) et restera sur le suivant (Mac OS 9). Le 24 mars 2001 sortit Mac OS X, premier système Apple à arborer la pomme monochrome, marquant définitivement la fin de la pomme arc-en-ciel.


Galerie des logos Apple[63],[64]



Slogan


Le premier slogan d'Apple « Byte into an apple » est utilisé sur les brochures publicitaires de l'Apple I en 1976[65].


Entre 1997 et 2002, Apple a utilisé le, toujours célèbre, slogan Think different dans ses campagnes publicitaires. Bien qu'il ne soit plus utilisé, il est toujours associé à Apple[66]. Aux côtés de ces slogans génériques, Apple a aussi usité des slogans spécifiques à certains produits dont le célèbre « iThink, therefore iMac » utilisé en 1998 pour la promotion de l'iMac[67]. Après avoir présenté le premier Macintosh avec « Hello », puis l'iMac avec « Hello (again) », l'iPod puis l'iPhone ont été lancés avec un slogan très proche : « Say hello to iPod » et « Say hello to iPhone »[68].


Les produits


Apple II


Article détaillé : Apple II.

Sorti en 1977, L'Apple II est considéré comme le premier ordinateur personnel au monde produit en grande série[69]. Ses ventes firent la richesse d'Apple, et représentèrent la majeure partie de son revenu jusque dans la seconde moitié des années 1980.


Macintosh


Articles détaillés : Macintosh, Chronologie des Macintosh et Liste des modèles de Macintosh par processeur.

Le Macintosh, famille d'ordinateurs, a constitué pendant plus de 20 ans l'activité principale d'Apple. En 2014, ils sont constitués :


  • de l'iMac, ordinateur tout-en-un lancé pour la première fois en 1998. Sa popularité a permis de relancer la firme alors en crise ;

  • du MacBook Air, un ordinateur portable ultra-fin grand public lancé en 2008 qui a remplacé le MacBook en 2011 ;

  • du MacBook Pro Retina, un ordinateur portable proposé en 15 et 13", en complément (durant les années 2012-2013) puis en remplacement du MacBook Pro (ce dernier était proposé en 13, 15 et 17" et a remplacé les PowerBook lors de son lancement en 2006). Celui-ci est un MacBook Pro avec un écran de meilleure résolution, plus fin, n'ayant pas de lecteur CD/DVD interne et disposant d'un disque dur SSD de série lors de son lancement en 2012. Il est également équipé d'une connectique HDMI 1.4[70] ;


    Un MacBook Pro 15' (2017) avec la "Touch Bar"



  • du Mac Pro, un ordinateur type station de travail qui remplace les PowerMac lors de son lancement en 2006 ; en 2013, une toute nouvelle version dans un boitier compact de forme cylindrique est mise sur le marché, abandonnant ainsi le format tour ;

  • du Mac mini, un ordinateur de bureau compact lancé en janvier 2005.

Apple vend aussi de nombreux accessoires pour les Macintosh (aussi compatibles avec les autres ordinateurs) tels que la Time Capsule, la Magic Mouse, le Magic Trackpad ou les claviers Apple.


iPod




La famille des iPod : l'iPod shuffle, l'iPod nano, l'iPod classic et l'iPod touch.


Article détaillé : iPod.

Lancé pour la première fois en 2001, le baladeur numérique iPod signe pour Apple l'entrée dans le monde de la musique. D'un modèle unique, le modèle s'est décliné en plusieurs versions au fil des années. L'iPod est à ce jour le leader du marché des baladeurs numériques dans le monde et on compte, depuis son lancement en 2001, plus de 275 millions d'appareils vendus.
Il exista jusqu'à 4 familles d'iPod :



  • l'iPod nano, iPod de taille réduite par rapport à l'iPod classic. Il est équipé de mémoire flash. Les premiers modèles étaient équipés d'une molette cliquable mais les modèles de 6e et 7e générations sont entièrement tactiles et leur format a été revu ;

  • l'iPod shuffle, baladeur numérique, le plus petit et le plus abordable, qui a la particularité de ne pas posséder d'écran ;

  • l'iPod touch, baladeur à écran tactile qui ressemble en de nombreux points à l'iPhone, reprenant la même structure et interface, sans la fonction téléphonique et le réseau cellulaire.

  • l'iPod classic, descendant direct du modèle lancé en 2001 ; il était doté d'un disque dur de 160 Go pour la version de 2009, soit la plus grande capacité d'un iPod.


L'iPod Classic, en raison du modèle de disque dur dépassé, cessa d'être produit en 2014. Après avoir été révisés en 2012, l'iPod nano et shuffle furent retirés de la vente en 2017. On souligna que c'est une grande partie de l'histoire d'Apple qui se tourne[71]. Seul l'iPod touch, dont la dernière révision remonte à 2015, est toujours en vente.


iPhone


Article détaillé : iPhone.



L'iPhone 8 couleur argent et l'iPhone 8 Plus couleur or, de dos


L'iPhone, famille de smartphone d'Apple, est présenté par Steve Jobs en janvier 2007 lors de la Macworld Conference & Expo, il est la convergence d'un smartphone, d'un iPod et d'un client internet. L'iPhone est le premier appareil Apple équipé du nouveau système d'exploitation, alors nommé iPhone OS, maintenant iOS. Son succès grandit au fil des nouvelles fonctionnalités qui lui sont apportées. En 2008, Apple ouvre l'App Store, une boutique de logiciels payants et gratuits dédiés à l'iPhone OS qui, chaque année, voit l'apparition lors de conférences organisées par Apple de nouveaux modèles d'iPhone qui sont apparus au fil des versions de nouvelles fonctionnalités telles que la 3G, un GPS, un gyroscope ou encore l'appel visio FaceTime. Le 4 octobre 2011, Apple présente l'iPhone 4S, doté de Siri, une interface à reconnaissance vocale qui permet à l'utilisateur de donner des ordres vocaux à son iPhone. Le 21 septembre 2012, l'iPhone 5, qui présente un design revu, un écran plus long, un processeur plus puissant et plus rapide et qui supporte les réseaux LTE aux États-Unis et dans plus de 40 pays, est mis en vente. Le 10 septembre 2013, Apple annonce l'iPhone 5S, l'un des deux modèles de la 7e génération de l'iPhone ; il prend en charge la 4G LTE des opérateurs français et intègre un nouveau système de déverrouillage par empreinte digitale (Touch ID). L'autre modèle de la 7e génération de l'iPhone, est l'iPhone 5C qui a été annoncé au même moment que l'iPhone 5S ; il reprend la plupart des caractéristiques techniques de l'iPhone 5, avec toutefois la prise en charge des réseaux 4G LTE des opérateurs français, et adopte également un nouveau design en polycarbonate coloré. Le 9 septembre 2014, Apple lance la 8e génération de l’iPhone, avec l'iPhone 6 (écran de 4,7 pouces) et l'iPhone 6 Plus (écran de 5,5 pouces), qui intègrent le nouveau système de payement d'Apple (Apple Pay). En septembre 2015, à l'occasion du lancement des iPhone 6s et 6s Plus, Apple annonce avoir vendu plus de 13 millions d'appareils dès le premier weekend, ce qui constitue un score historique pour la marque[72]. Apple a présenté lors de la keynote du 21 mars 2016, un nouvel iPhone qui reprend le modèle de résolution de 4 pouces, le nom de ce modèle est l'iPhone SE, qui signifie "Special Edition", donc édition spécial[73]. La firme enregistre cependant le 26 avril 2016 une baisse de 16 % sur les ventes de ses iPhone et une chute de 22 % de son bénéfice net[74]. Le 7 septembre 2016, Apple présente lors d'une keynote les iPhone 7 et 7 Plus. Lors de sa keynote du 12 septembre 2017, alors que le public n'attendait qu'un seul modèle d'iPhone, Apple en dévoila trois, l'iPhone 8, 8 plus et l'iPhone X. Avec ces deux nouveaux smartphones, Apple apporte enfin la recharge sans fil. Alors que l'iPhone 8 et 8 plus reprenaient le design de l'iPhone 7, l'iPhone X, lui, adopte un tout nouveau design jamais vu chez Apple avec un écran de 5,8 pouces et embarque la nouvelle technologie développée par Apple de reconnaissance faciale en 3D (Face ID). Tous deux apportent la nouvelle version d'iOS, iOS 11. Le 12 septembre 2018, Apple annonce la version améliorée de l'iPhone X en deux tailles: l'iPhone XS et l'iPhone XS Max, même technologie que ce dernier avec un écran plus grand (le plus grand qu'Apple ait jamais créé). Lors de cette Keynote, Apple annonça également l'iPhone XR.


iPad


Article détaillé : iPad.



Un iPad Air 2 Or


La tablette tactile iPad est présentée pour la première fois par Steve Jobs en janvier 2010. Elle fonctionne sous une version modifiée d'iOS (il sera d'ailleurs à l'origine du changement de nom de l'iPhone OS en iOS puisque ce système d'exploitation n'est plus cantonné à l'iPhone). Elle est particulièrement orientée vers les médias tels que les livres, journaux, magazines, films, musiques, jeux, mais aussi vers l'Internet et l'accès à ses courriers électroniques (e-mails). Avec un poids compris entre 680 à 730 grammes, cette tablette est située entre les smartphones et les ordinateurs portables.


La deuxième génération d'iPad est disponible depuis mars 2011 et se distingue par quelques améliorations : un processeur plus puissant (puce Apple A5 bicoeur), son épaisseur est réduite de 33 % à 8,8 mm, son poids est réduit de 15 % (600 g pour la version Wi-Fi et 610 g pour la version Wi-Fi + 3G) et deux caméras intégrées (une frontale et une dorsale).


Au second trimestre 2012, 34 millions d'iPad, pour un chiffre d’affaires de 19 milliards de dollars (15,5 milliards d’euros) ont été vendus aux États-Unis[75].


iPad mini


Article détaillé : iPad mini.

L'iPad mini est une tablette tactile conçue et développée par Apple, manufacturée par Foxconn, présentée au public le 23 octobre 2012. Ce modèle issu de l'iPad en propose les mêmes fonctionnalités avec un écran plus petit : 7,9 pouces. L'iPad mini est disponible[76] à partir de 299  (16 Go) en version WiFi et à partir de 419  en version WiFi + Cellular (Wi-Fi + 4G LTE). De plus, en version Rétina, avec 16 Go il est proposé à 399  (Wifi) et 519  (Wifi + Cellular).


Apple Watch


Article détaillé : Apple Watch.



Une Apple Watch au poignet


Présentée le 9 septembre 2014 pour être disponible en avril 2015 à partir de 349 $, l'Apple Watch est une montre connectée qui se base sur son propre système d'exploitation, Watch OS. Fonctionnant avec un iPhone (iPhone 5 et supérieur), la montre permettra, en plus de donner l'heure, d'utiliser différentes fonctions technologiques, et peut également servir de coach sportif avec un cardiofréquencemètre intégré. Elle se décline principalement en trois versions : Apple Watch, Apple Watch Sport et Apple Watch Edition (en or de 18 carats).


En septembre 2016, Apple présente l'Apple Watch Series 2 accompagnée d'un nouvel OS watchOS 3. Si le design est quasi identique, l'intérieur a été revu. Nouveau processeur, étanchéité jusqu'à 50 m et GPS font leur apparition. Enfin, l’Apple Watch Edition abandonne l’or au profit de la céramique, pour un tarif divisé par dix. La nouvelle montre connectée est toujours disponible en 38 mm et 42 mm.


Le 12 septembre 2017, l'Apple Watch Series 3 est présenté. Le design restant le même que les précédents, l'Apple Watch 3 inclut tout de même quelques nouveautés telles que la simulation d'une carte SIM afin qu'elle soit autonome (utilisation sans iPhone) Watch OS 4 est aussi une nouvelle année de cette série. Les prix de cette série commence à 369 € (GPS) et vont jusqu’à 1 499 € (GPS + Cellular) incluant un boitier céramique[77].


En septembre 2018, Apple présente l'Apple Watch Series 4. Le design est amélioré et elle renforce son positionnement sur le créneau sport et santé. Elle est disponible en 40 et 44 mm, et le prix débute à 429 €[78].


Apple TV


Article détaillé : Apple TV.



Le boitier de l'Apple TV de 4ème Génération


Présentée fin mars 2007 dans sa première version par Steve Jobs, L'Apple TV (TV) est une box conçue par Apple permettant la communication sans fil entre un ordinateur et un téléviseur, à l'instar du Chromecast et d'Android TV de Google. L'appareil est conçu pour être utilisé avec un iPhone, un iPad, un iPod, une Apple Watch ou un Mac sous OS X.


La dernière version de l'appareil, présentée lors du keynote d'octobre 2015, est doté d'un nouveau processeur Apple A8 et d'une télécommande Siri Remote tactile. La box fonctionne dorénavant sous tvOS, basé sur iOS 9, et fut disponible courant novembre 2015.


Lors de sa keynote du 12 septembre 2017 Apple lance la TV 4K.


AirPods


Article détaillé : AirPods.



Les AirPods avec leur boitier de rangement qui fait aussi office de chargeur


Présentés le 7 septembre 2016 parallèlement à l'iPhone 7 et à l'Apple Watch Series 2. Apple avait initialement prévu de sortir les AirPod fin octobre 2016, mais la société a reporté la date de sortie le 13 décembre 2016, pour un prix de 179 euros.


Ils comportent de nouvelles interactions avec les utilisateurs. Par exemple, si vous retirez un AirPod de l'oreille, la lecture s'interrompt et reprend une fois les deux AirPods à nouveau portés, et si vous double-cliquez dessus, vous pouvez soit activer Siri, soit lire ou mettre en pause la lecture. Pour une fonctionnalité complète, AirPod nécessite des périphériques fonctionnant au minimum sur iOS 10.2, macOS Sierra ou watchOS 3. Ils se synchronisent automatiquement via iCloud afin que l'utilisateur puisse basculer vers d'autres périphériques pris en charge connectés au même identifiant Apple. Ils peuvent également lire de l'audio à partir de tout appareil prenant en charge Bluetooth 4.0 ou supérieur, y compris les appareils Android (qui peuvent utiliser le geste de double clic pour contrôler la lecture). [2]


Logiciels






2017-fr.wp-orange-source.svg


Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (décembre 2016)
Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.






Logo de macOS.


À côté de la conception de matériel informatique, Apple développe aussi de nombreux logiciels tant à destination du grand public que du monde professionnel. En premier lieu, Apple développe ses propres systèmes d'exploitation, OS X pour les Macintosh, watchOS pour l'Apple Watch, tvOS pour l'AppleTV et iOS pour les appareils mobiles (iPhone, iPad et iPod touch). Nombre de logiciels développés par Apple sont fournis avec les machines lors de leur achat. C'est le cas par exemple du célèbre logiciel multimédia iTunes, du navigateur Web Safari, du lecteur vidéo QuickTime, de la suite multimédia grand public iLife comprenant iPhoto, iDVD, iMovie GarageBand, iWeb, et iBooks. Apple développe aussi sa propre suite bureautique iWork (Pages, Number, Keynote), en concurrence directe avec Microsoft Office.


Depuis son passage en 2006 à des Macintosh utilisant des processeurs Intel, il était devenu facilement possible d'installer Windows sur un Mac. D'abord interdisant l'installation de Windows sur ses Mac, Apple revient sur ses pas et propose dès 2006, Boot Camp, un logiciel qui facilite l'installation de Windows en fournissant par exemple les pilotes nécessaires au bon fonctionnement de la machine. L'installation de Windows sur les Mac devient alors l'un des arguments de vente des Macintosh[réf. nécessaire].


Pour le marché des professionnels, Apple propose également des solutions logicielles. On trouve par exemple une version de Mac OS X dédiée aux serveurs, Mac OS X Server, WebObjects, XSan, un système de fichier pour réseau de stockage SAN, etc. Pour le monde artistique professionnel existent Aperture dédié au traitement de photo-RAW, Final Cut Pro, une suite de production vidéo et Logic Pro, un logiciel de MAO.


Au-delà des logiciels présents sur les machines localement, Apple propose aussi des services en ligne avec MobileMe (anciennement .Mac) qui comprend des page web perso, un webmail, le service iDisk. MobileMe n'existe plus depuis le 30 juin 2012, le service a été remplacé par iCloud.


Au début de mars 2014, Apple officialise l'arrivée de CarPlay, système d'exploitation (OS) relié à l'iPhone pour automobiles [79].



Jeu vidéo


Apple eu une part modeste dans l'industrie vidéoludique.


La société conçu la Pipp!n, présentée en 1995, une console de jeu développée avec Bandai. L'ambition était d'avoir une console-ordinateur. Même si ses concurrentes (Saturn, PlayStation, Nintendo 64) sont moins puissantes, le catalogue de jeu est famélique par rapport, sans compter le prix élevé, ce qui entraîne un échec commercial. La production cessa en 1997, seules 45 000 consoles ont trouvé preneur[80].


Apple promu fortement l'App Store, sur l'iPhone et l'iPod touch, surtout pour son catalogue de jeu, et n'hésite pas à inviter plusieurs développeurs lors des keynotes. L'entreprise développa en 2008, pour promouvoir l'iPod touch, une application de Poker Texas Hold'em, qui ne fut jamais mise à jour et fut retiré en 2011[81]. Le Game Center est également une création d'Apple pour centraliser les scores et les données.


Dans les Macs, est présent depuis NeXT, un jeu d'échec, dont la vitesse de réflexion de l'IA est volontairement bridée[82]


Chronologie des produits Apple




Windows 8
Windows 7
Windows Vista
Xbox 360
Windows XP
Debian
Pentium
Windows 3.1
Linux
NeXT
IBM Personal System/2
Microsoft Windows
HP LaserJet
IBM PC
Xerox Star
Atari 800
Commodore PET
TRS-80
Altair 8800
iWork
iLife
iTunes
Final Cut
FileMaker Pro
ClarisWorks
AppleShare
MacPaint
MacWrite
AppleWorks
Time Capsule
AirPort#AirPort Extreme
iSight
AirPort
QuickTime
GeoPort
LocalTalk
Modem
Apple Thunderbolt Display
Apple Cinema Display
Écrans Apple#LCD
Trinitron
Écrans Apple
Écrans Apples
Écrans Apple
Magic Mouse (Apple)
Mighty Mouse (Apple)
Apple Wireless Mouse
Apple Mouse#Apple USB Mouse
Apple Adjustable Keyboard
Apple Scanner
Apple Desktop Bus
Souris Apple
Claviers Apple
Color LaserWriter 12/600 PS
StyleWriter
LaserWriter
Template:Apple printers
Superdrive#Lecteur optique
SuperDrive#Lecteur de disquette
AppleCD
Hard Disk 20SC
Hard Disk 20
Macintosh External Disk Drive
Apple ProFile
Disk II
Apple TV
Apple Pippin
Apple Interactive Television Box
Apple QuickTake
PowerCD
iPod Touch
iPod
PowerCD
iPhone
iPad
Apple Newton
Mac Pro
Transition d'Apple vers Intel
Mac mini
Power Mac G5
OS X
Power Mac G4
Power Macintosh G3
Power Macintosh
Performa
PowerBook
Système 7
Macintosh LC
Système 6
Macintosh II
Macintosh Plus
Mac OS
Famille Macintosh Classic
iMac
Apple Network Server
Macintosh XL
Apple Lisa
Apple Lisa
XServe
Famille MacBook
Apple IIe Card
Apple IIe#The Platinum IIe
Apple IIc Plus
Apple IIc
GS/OS
ProDOS
Apple IIGS
Apple IIe
III Plus
Apple II Plus
Apple SOS
Apple DOS
Integer BASIC
Apple III
Apple II
Apple I


Les produits sur cette chronologie indiquent leurs dates de lancement uniquement.


Transport


Le 12 mai 2016, Apple a réalisé un investissement d'un milliard de dollars dans un service chinois de voiture de transport avec chauffeur, Didi Chuxing[83].



Énergie


En 2016, Apple crée la filiale Apple Energy, chargée de revendre aux particuliers l'électricité produite en excédent par les centrales d'énergie renouvelable dont le groupe est propriétaire[84].



Les clients d'Apple




Des aficionados Apple attendant devant l'entrée de l'Apple Store de la Cinquième Avenue à New York pour la sortie de l'iPhone 3G.


Apple privilégie depuis toujours une technique commerciale de proximité avec ses clients et potentiels clients. Cela s'inscrit dans une stratégie commerciale globale visant, entre autres choses, à donner le sentiment au client de faire partie d'une communauté d'utilisateurs proche de l'entreprise. Ainsi plusieurs rencontres annuelles entre Apple, ses clients, les développeurs et surtout la presse étaient organisées de par le monde. Les Mac users, surtout des professionnels mais aussi le grand public, se rendaient à l'Apple Expo à Paris ou au salon Macworld Conference & Expo (Boston, New York ou San Francisco). De manière générale, chaque manifestation était ouverte par une présentation de Steve Jobs où étaient annoncés des résultats financiers de la société et de nouveaux produits. Ces manifestations publiques ont pris fin en 2009-2010, lorsque la Société avait ouvert aux US et à travers le monde un nombre suffisant de points de vente - show rooms (les Apple Stores), où les professionnels et le public peuvent se rendre directement. Seules les rencontres avec la presse ont été maintenues et se tiennent généralement 3-4 fois par an, à l'occasion d'annonces de nouveaux produits ou services. Les développeurs quant à eux se rencontrent à l'annuelle Apple Worldwide Developers Conference.


Ces salons et conférences n'étaient pas les seuls à attirer les foules. Ainsi il n'est pas rare de trouver de longues files d'attente (atteignant parfois plusieurs milliers de personnes) à l'ouverture de nouveaux Apple Stores[85] ou pour le lancement de nouveaux produits phares tels l'iPhone. Ainsi à l'ouverture du « Cube » sur la Cinquième avenue, la file a atteint près d'un demi-mile (soit environ 800 mètres).


En 1997, John Sculley, PDG d'Apple durant 10 ans (et ex PDG de Pepsi-Cola), a dit (lors d'une interview pour le journal The Guardian) à propos de son succès à avoir fait croître l'entreprise (en ayant notamment augmenté le budget publicitaire de 15 à 100 millions de dollars) : People talk about technology, but Apple was also a marketing company. It was the marketing company of the decade[86]. Traduction : « Les gens parlent de technologie, mais Apple fut aussi une entreprise de marketing. Ce fut l'entreprise de marketing de la décennie. »






Direction d'Apple



Équipe de direction




  • Tim Cook, Chief Executive Officer (CEO)[87] ;


  • Katherine Adams, Senior Vice President and General Counsel[87] ;


  • Angela Ahrendts, Senior Vice President Retail[87] ;


  • Eddy Cue, Senior Vice President Internet Software and Services[87] ;


  • Craig Federighi, Senior Vice President Software Engineering[87] ;


  • Jonathan Ive, Chief Design Officer (CDO)[87] ;


  • Luca Maestri, Senior Vice President and Chief Financial Officer (CFO)[87] ;


  • Dan Riccio, Senior Vice President Hardware Engineering[87] ;


  • Philip W. Schiller, Senior Vice President Worldwide Marketing[87] ;


  • Johny Srouji, Senior Vice President Hardware Technologies[88] ;


  • Jeff Williams, Chief Operating Officer (COO)[87] ;



Équipe des vice-présidents



  • Steve Dowling, Vice President Communications[87] ;


  • Lisa Jackson, Vice President Environment, Policy and Social Initiatives[87] ;


  • Isabel Ge Mahe, Vice President and Managing Directer of Greater China[87] ;


  • Tor Myhren, Vice President Marketing Communications[87] ;


  • Deirdre O'Brien, Vice President People[87].



Conseil d'administration




  • Arthur Levinson, PDG de Genentech (Président du CA) ;


  • Tim Cook, PDG d'Apple et LID[89] de Nike ;


  • Robert A. Iger, PDG de The Walt Disney Company ;


  • Ronald D. Sugar, PDG Northrop Grumman ;


  • James A. Bell, Président de The Boeing Company ;


  • Albert Gore Jr., Ancien Vice-Président des États-Unis ;


  • Andrea Jung, PDF de Grameen America ;


  • Susan L. Wagner, Co-fondatrice et directrice de Blackrock.


Anciens collaborateurs


PDG




  • Michael Scott (1977–1981)


  • Mike Markkula (1981–1983)


  • John Sculley (1983–1993)


  • Michael Spindler (1993–1996)


  • Gil Amelio (1996–1997)


  • Steve Jobs (1997–2011)


  • Tim Cook (2011–présent)



Autres postes




  • Fred D. Anderson (en)

  • Bill Atkinson


  • Susan Barnes (en)


  • Chrisann Brennan (en)


  • Steve Capps (en)

  • Satjiv S. Chahil

  • George Crow

  • Tony Fadell

  • Bill Fernandez

  • Scott Forstall

  • Jean-Louis Gassée


  • Ellen Hancock (en)


  • Nancy R. Heinen (en)

  • Andy Hertzfeld

  • Joanna Hoffman


  • Rod Holt (en)

  • Bruce Horn


  • Ron Johnson (en)

  • Susan Kare

  • Guy Kawasaki

  • Alan Kay

  • Daniel Kottke

  • Guerrino De Luca

  • Mike Markkula


  • David Nagel (en)


  • Ike Nassi (en)

  • Donald Norman


  • Peter Oppenheimer (en)


  • Rich Page (en)


  • Mark Papermaster (en)

  • Jef Raskin

  • Jon Rubinstein

  • Bertrand Serlet


  • Bruce Sewell (en)

  • Burrell Smith


  • Sina Tamaddon (en)

  • Avadis Tevanian

  • Ronald Wayne


  • Del Yocam (en)



Communication



Publicité


Article détaillé : Campagnes publicitaires d'Apple.

Articles connexes : Think different, Get a Mac et Switch.

Depuis le lancement du Macintosh en janvier 1984 avec le spot 1984 diffusé lors du Super Bowl XVIII, Apple a été reconnu pour ses efforts pour réaliser des publicités efficaces pour ses produits, bien qu'elles aient été l'objet de critiques.


Une campagne publicitaire en particulier, dont la signature était Think Different, est restée célèbre pour avoir évoqué - post mortem - des personnages remarquables comme Gandhi, Picasso, Maria Callas ou Frank Lloyd Wright. De même, ses publicités ont contribué à lancer certains groupes ou musiciens dans la célébrité[90]. Ce fut le cas pour Yael Naim dont la chanson New Soul accompagne la publicité du MacBook Air ou encore Feist avec sa chanson 1234 que l'on retrouve sur les pubs pour l'iPod nano ainsi que pour The Tings Tings avec Shut Up and Let Me Go qui accompagne une publicité pour l'iPod touch.



Activités de lobbying



Aux États-Unis


Selon le Center for Responsive Politics, les dépenses de lobbying d'Apple aux États-Unis s'élèvent en 2017 à 7 150 000 dollars[91] Ces dépenses connaissent une augmentation nette depuis 2011[92].



Auprès des institutions de l'Union européenne


Apple est inscrit depuis 2013 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. Il déclare en 2017 pour cette activité des dépenses annuelles d'un montant compris entre 1 000 000 et 1 250 000 euros[93].


En France


Pour l'année 2017, Apple France déclare à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique exercer des activités de lobbying en France, mais n'a cependant pas déclaré, comme il était légalement tenu de le faire avant le 30 avril 2018, l'ensemble de ses activités et les montants engagés[94].


Localisation




l'ancien siège d'Apple sur Infinite Loop à Cupertino en Californie, abandonné en 2018 pour l'Apple Park



Siège social


Articles détaillés : Infinite Loop et Apple Park.



Extérieur du Steve Jobs Theater à Apple Park


Le siège social d'Apple est situé en plein centre de la Silicon Valley au 1 Infinite Loop (Boucle infinie en français) à Cupertino en Californie. Ce campus Apple est formé de 6 bâtiments d'une surface totale de 79 000 m2 et a été construit en 1993 par Sobrato Development Cos[95].


En 2006, Apple annonce son attention de construire un second campus, Apple Park, à Cupertino à 1.6 km à l'est du campus d'Infinite Loop. Celui-ci a été conçu par Norman Foster et c'est Steve Jobs qui en a présenté la maquette (un gigantesque bâtiment circulaire) devant le conseil de la ville de Cupertino, peu avant sa mort en 2011[96],[97]. En octobre 2016, la construction est en phase d'achèvement, ainsi que tous les bâtiments qui vont constituer le nouveau siège d'Apple (auditorium, bâtiments pour la recherche et le développement, parkings, etc.)[98].


Apple a un campus satellite en banlieue de Sunnyvale (Californie).




Amphithéâtre Steve Jobs Theater


Autres sites dans le monde


Le siège social pour Europe et l'Afrique (EMEA) se localise à Cork au sud de l'Irlande, ouvert en 1980.


En février 2015, Apple ouvre un site à Herzliya, Israel avec environ 800 employés.


Apple prévoit la mise en place en Chine de quatre centres de recherche et développement à Shanghai, Suzhou, Pékin et Shenzhen[99].


En 2017, Apple inaugure sa première Apple Academy, en partenariat avec l'Université Frédéric II à Naples en Italie[100].



Controverse et faiblesses de la stratégie d’Apple


Article détaillé : Traitement de litiges chez Apple.

Conditions de travail


Articles détaillés : Foxconn et Terry Gou.

Comme la plupart des entreprises informatiques actuelles, Apple sous-traite des entreprises asiatiques, notamment Foxconn du milliardaire taïwanais Terry Gou, pour la fabrication de ses produits. Depuis 2006, de nombreux organismes internationaux[Lesquels ?] y dénoncent des conditions de travail inhumaines.


2009 : Au moins 137 employés (jusqu'à 200) ont été intoxiqués au n-hexane dans l'usine du sous-traitant Wintek (en) en Chine entre 2008 et 2009[101].


2009 : Selon China Labor Watch[102], les méthodes de gestion du personnel de Foxconn sont très dures pour les salariés.
Par exemple en 2009, Sun Danyong[103] s'est suicidé après avoir été suspecté de vol d'un prototype d'iPhone 4. Selon sa dernière conversation électronique avec un ami, il aurait été battu par un chef de la sécurité de l'usine Foxconn dans laquelle il travaillait[104].


2010 : Dans 55 des 102 usines qui fabriquent des produits Apple, le temps de travail hebdomadaire dépasse 60 heures. Ce temps maximum défini par Apple dépasse lui-même la durée légale maximum en Chine qui est de 49 heures. 24 usines payent les salariés moins de 800 yuans par mois, le salaire minimum chinois. Seulement 61 % des usines sont conformes aux règles de sécurité[105].


2010 : Onze cas de travail d'enfants ont été révélés[106].


En 2012, après une explosion dans une usine d'iPad, le New York Times publie une enquête fouillée sur les conditions de travail. Celle-ci met en lumière des temps de travail très élevés, des conditions de vie difficiles (dortoirs bondés), et pour les sous-traitants, le mépris des risques sanitaires[107]. En 2015, Apple est de nouveau critiqué « pour des conditions de travail "misérables" chez un sous-traitants chinois »[108], notamment après un rapport de l'ONG China Labor Watch.



Modèle économique et réseau de distribution




Boutique Apple au centre commercial Les Quatre Temps à La Défense (Hauts-de-Seine)



On reproche à Apple son modèle de développement vertical, qui va à l’encontre de la plupart des prescriptions des économistes, spécialement pour l’informatique. Malgré cela, la compagnie dégage des profits.


Apple est également critiquée parce qu’elle dépend beaucoup de la personnalité qui la dirige, spécialement lors des deux « ères » Jobs. Certains considèrent que Steve Jobs fait l’objet d’un culte de la personnalité, ou du moins qu’il introduit certains éléments d’un tel culte, dans la relation qu’il entretient avec ses clients et de façon caricaturale, qu'il possèderait autour de lui un champ de distorsion de la réalité[109],[110].


Apple fut critiquée pour une architecture fermée, et pour son refus des standards : on employait alors le terme Not Invented Here. Cette critique n’est toutefois plus de mise, la plupart des composants électroniques de ses ordinateurs étant communs à l’ensemble de l’industrie informatique. De plus, le système d’exploitation utilise nombre de technologies répandues (MPEG 1 à 4, OpenGL, programmes libres). Enfin, du temps où cette politique de choix des technologies existait, elle n’était pas critiquable en soi, car la recherche et l’innovation sont un moteur du développement, et chaque société cherche à amortir ses coûts de recherche et développement en mettant sur le marché ses inventions. De plus, plusieurs technologies Apple ou utilisées d’abord par Apple se sont ensuite généralisées dans l’informatique personnelle (FireWire, ZeroConf (Bonjour, ex-RendezVous chez Apple)). De la même façon, Apple a permis ou accéléré l’adoption d’innovations en les généralisant d’un coup sur sa gamme (disquettes 3,5 pouces, SCSI, USB, Wi-Fi (AirPort)).


Quelques analystes critiquent la concurrence au sein d’Apple même, entre les programmeurs des différents environnements de programmation, ceux de Cocoa, héritiers de NeXTSTEP, et ceux de Carbon, dérivant de Mac OS 9. Cette rivalité est vue comme contre-productive, tout comme l’était en son temps la rivalité entre les équipes Apple II et Macintosh.


Une critique moins couramment entendue[réf. nécessaire], car concernant plus les entreprises que les particuliers, concerne l’absence d’une « roadmap produits » (planification annoncée) notable d’Apple concernant ses technologies logicielles. Les directions informatiques des grandes entreprises attendent d’un éditeur qu’il annonce clairement vers quoi vont tendre ses logiciels dans les cinq années à venir, afin de pouvoir faire des choix d’investissement à moyen terme. Or, le reproche fait à Apple est de ne pas annoncer réellement quelles seront les étapes de son évolution au-delà d’un an, contrairement à ses concurrents comme Microsoft. Un exemple, simple s’il en est, concerne l’annonce abrupte de l’abandon des processeurs PowerPC d’IBM/Motorola au profit de ceux d’Intel : cela implique que les éditeurs devront mettre à jour leurs applications, tandis que les propriétaires de parc micro auront à payer ces mises à jour, et devront gérer deux gammes de machines. L'impact pour les consommateurs est toutefois à relativiser puisque des solutions de compatibilité sont intégrées par Apple, telles que "Classic" pour le maintien de la compatibilité OS 9 au sein d'OS X, ou encore "Rosetta" pour maintenir la compatibilité avec le processeur PowerPC lors du passage aux processeurs Intel (compatibilité maintenue de 2005 jusqu'à la sortie de Mac OS X Lion en 2011). Une annonce plus précoce eût permis à ces derniers d’anticiper le phénomène, en planifiant les renouvellements de parc en fonction du couple matériel/logiciel, de manière à éviter les surcoûts de mise à jour.


Un livre paru en 2011 et intitulé Les 4 Vies de Steve Jobs, explique qu'en France « Apple et son réseau de partenaires [de réseau de distribution commercial] ont toujours entretenu des relations conflictuelles[111] ».


L’annulation régulière du développement de technologies pourtant prometteuses (ex : OpenDoc (en)) a aussi laissé sur le bord de la route nombre de développeurs, fatigués d’investir du temps et de l’argent dans des « voies sans issue ». De ce fait, le nombre de développeurs indépendants et d’éditeurs a chuté pendant les années 1990. Cette critique n’est plus d’actualité depuis l’apparition de Mac OS X, qui a ramené dans le giron d’Apple un grand nombre de développeurs issus du monde Unix/Linux et du logiciel libre[réf. nécessaire].


Par ailleurs, le système de gestion du service après-vente du matériel en Europe, confié à un prestataire unique[Qui ?] pour les portables et les G5, s’est révélé être une des faiblesses du système commercial Apple. Après des retards importants au début des années 2000, le prestataire de service a fait faillite au début de 2005, obligeant Apple à recourir aux techniciens de ses détaillants, et occasionnant de nouveaux retards de réparations.


Enfin, en 2012, sa stratégie de contournement fiscal lui permettant, comme à de nombreuses multinationales des nouvelles technologies, d'avoir un des taux effectifs les plus bas de taxation est de plus en plus contestée[112]. En 2012, « Apple a réussi à ne payer que 1,9 % d’impôts sur ses bénéfices colossaux réalisés hors États-Unis. »[113].


Politique de prix


Durant les années 1980 le prix d’un Macintosh pouvait souvent atteindre deux fois celui d’un PC/compatible IBM, voire trois fois dans les années 1990 après l’apparition du Pentium. Cette politique de prix élevés a probablement freiné le développement du Macintosh au profit des ordinateurs multimédia grand public de l’époque (1990) tels que l’Amiga et l’Atari ST, puis du PC durant les années 1990.


Aujourd’hui encore, les prix affichés par Apple sont très souvent plus élevés et représentent un obstacle pour beaucoup d’utilisateurs souhaitant faire le saut, c’est-à-dire passer de Windows à Mac OS X. En 2005, Apple lance un Mac à plus petit prix, qu'elle nomme Mac mini[114],[115].


Les marges pratiquées par Apple sont bien plus élevées que celles qui se pratiquent généralement dans ce domaine (entre 25 % et 30 % de marge brute au début des années 2000, alors que certains fabricants PC se contentent de 8 %, voire moins).


Cependant une étude du Gartner Group, commandée par Apple Australie et diffusée par elle dans la presse en 2002, affirmait que le TCO (Total Cost of Ownership) ou coût total de possession, c’est-à-dire le coût total de l’équipement informatique, c'est-à-dire l'addition des matériels optionnels, du support, des logiciels et de leurs licences, etc., est moins élevé avec un Mac qu'avec un PC équipé de Windows[citation nécessaire]. Cette étude a été nuancée plus tard par Gartner, qui a précisé que les informations contenues dans son rapport ne reflétaient pas sa position éditoriale et étaient destinées à un usage interne chez Apple, correspondant à un scénario précis.


Environnement


À la fin de 2006 et au début de 2007, Apple est classée deux fois par Greenpeace comme dernière sur un classement de quatorze entreprises fabriquant des produits électroniques, sur des critères environnementaux tels que la gestion des déchets, le recyclage des produits obsolètes, l'utilisation de composants polluants ou la communication auprès du grand public sur ces sujets[116],[117].


Apple conteste ce classement dans une lettre ouverte de Steve Jobs[118], commentée favorablement par Greenpeace[119]. La société déclare effectuer depuis plusieurs années des actions dans le domaine environnemental[120]. Des sites consacrés au Macintosh ont à plusieurs reprises étudié l'aspect écologique d'Apple et l'utilisation de l'image d'Apple par Greenpeace[121],[122]. Greenpeace France organise en mai 2007 une manifestation devant un revendeur Apple alors même que la section internationale de l'association a remonté au début de mai le classement d'Apple à une moyenne de 5/10 à la suite de la lettre de Steve Jobs[pas clair][123]. En mars 2008 Apple est située en milieu de classement, avec une note de 7/10[124].


La firme de Cupertino réagit assez rapidement concernant l'impact écologique de ses produits mais pas pour l'iPhone. Lors de l'annonce de nouveaux iMacs le 7 août 2007, Steve Jobs commence son Apple Event en ces termes : « Mesdames et messieurs, voici le nouvel iMac, il est beaucoup plus écologique et recyclable… ». En effet le polycarbonate blanc est remplacé par des composants en aluminium anodisé et des façades de verre. Toutefois en octobre 2007 Greenpeace dénonce les matériaux extrêmement toxiques qui se trouvent à l'intérieur du téléphone[125],[126],[127]. Depuis, Apple a supprimé le PVC du combiné, des écouteurs et du câble USB de l'iPhone, et son verre ne contient plus d'arsenic[128].


Cependant, en janvier 2011, Apple fait l'objet d'une nouvelle controverse concernant l'écologie et plus particulièrement les conditions de travail en Chine, notamment dans les usines du sous-traitant Foxconn, selon des ONG chinoises[129].


Il est également reproché à Apple de se livrer à l'obsolescence programmée[130]. Pour les trois premières générations de l'iPod, la firme est confrontée à de nombreux plaignants ayant rencontré des difficultés pour faire réparer le matériel acquis. L'avocate Elizabeth Pritzker chargée du dossier rapporte avoir « découvert que le type de batterie au lithium contenu dans l'iPod était conçu pour avoir une durée de vie limitée » (environ 18 mois), et que leur remplacement n'avait pas été prévu par la firme[131]. Par ailleurs l'entreprise admet ralentir d’anciens smartphones en invoquant des problèmes de batterie, mais de nombreux consommateurs voient dans cette manœuvre une incitation à acheter de nouveaux modèles[132],[133]. Cette stratégie commerciale a de nombreuses conséquences, en matière de gaspillage (pour le consommateur) et d'impact écologique (pour la planète)[134].


En juin 2017, Apple émet une obligation verte pour un montant d'un milliard de dollars afin d'augmenter le financement des énergies propres dans le groupe. Ceci s'est fait dans le cadre de la controverse qui a fait suite au retrait des Accord de Paris sur le climat par Donald Trump[135].


Batailles juridiques


En 2008, Apple a dû accorder la paternité de l'iPod à Kane Kramer qui avait conçu dès 1979 un baladeur numérique et dont il avait déposé le brevet[136].


Saisie d'une plainte déposée par Samsung en août 2011, la United States International Trade Commission (en) (USITC) a estimé que certains modèles d'iPhone, iPad et iPod violaient des brevets du groupe sud-coréen. L’USITC avait alors interdit leur importation vers les États-Unis depuis l'Asie, où ils sont fabriqués. Autrement dit, elle empêchait le groupe californien de vendre ses produits sur le marché américain.


Une victoire symbolique pour Samsung, qui se livre à des batailles juridiques contre Apple dans de nombreux pays, car elle ne concernait que des produits relativement anciens à savoir l’iPhone 3 et 4 vendus par l'opérateur AT&T, et les iPad et iPad 2.


Pourtant, le 3 août 2013, le représentant américain de l’USITC, Michael Froman, a annulé la décision prise en recourant à un droit de veto, qui n’avait plus été utilisé depuis 1987[137]. Michael Froman motive dans une lettre ne pas présumer de la violation ou non des brevets de Samsung mais estime qu’il ne faut pas donner de levier trop grand aux groupes détenteurs de dollars pour violation de brevets essentiels.


Le 8 août 2014, Samsung a marqué un grand coup, ses avocats ayant réussi à convaincre Lucy Koh (avocat de Apple) que le brevet Apple d'auto-remplissage d'une zone de texte était similaire à celui utilisé chez son concurrent. Finalement, le bureau des brevets américains (USPTO) a décidé de rejeter le brevet utilisé chez Apple, jugeant qu'il fonctionnait de la même manière[138].


Au même moment, Apple et Samsung ont déclaré, dans un communiqué transmis aux médias, avoir mis fin à toutes les poursuites judiciaires entre eux dans différents pays sauf aux États-Unis dont les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Corée du Sud, le Japon [...] et même la France, car ils étaient, dans tous les cas, perdants sauf aux États-Unis où Samsung devait payer 1 milliard de dollars pour violation de brevets[139].


Le procès iPod/ DRM est terminé après 2 semaines de délibération. Les plaignants accusaient Apple de ne pas pouvoir mettre de la musique en utilisant autres choses qu'iTunes. Ils demandaient 350 millions de dollars de dommages et intérêts mais finalement, Apple n'aura rien à payer. Du fait, que la firme à la pomme a bien souligné tout au long du procès que, avoir pris cette méthode pour la sécurité de ses clients pour que des logiciels malveillants ne viennent pas s'installer sur leur iPod[140].


Apple utilise de manière récurrente la justice face aux ONG, aux journalistes et aux associations qui dénoncent certaines de ses activités. D'après le journaliste Ivan du Roy, « dans ces procédures, il y a clairement une inégalité entre les grands groupes qui ont des moyens juridiques énormes et les personnes poursuivies »[141].


En décembre 2017, Apple poursuit ATTAC pour avoir occupé un de ses magasins parisiens. ATTAC dénonce une « procédure baillon ». Celle-ci se base sur le « risque imminent pour Apple, ses employés et ses clients » que feraient courir les actions d'ATTAC, qui se seraient intensifiées depuis mars 2017[142]. Le TGI de Paris déboute Apple le 23 février 2018, et souligne qu'il s'agit d'une « campagne d’intérêt général sur l’évasion fiscale. »[143].


Violation de brevet


Le 16 octobre 2015 un jury américain estime qu'Apple doit payer 234 millions de dollars pour avoir violé un brevet détenu par l'Université du Wisconsin. Le procès porte sur des technologies intégrées à l'iPhone et l'iPad[144].


En août 2018, un jury fédéral californien ordonne à Apple de payer 145 millions de dollars en dommages et intérêts à WiLan, une compagnie canadienne de gestion de droits de propriété intellectuelle, pour la violation de plusieurs brevets[145].



Sécurité et vie privée


Apple est impliqué dans les révélations faites en 2013 par Edward Snowden concernant le programme de surveillance PRISM mis en place par la NSA. Les données suivantes sont ciblées : les contacts, les SMS et discussions instantanées (texte, vidéo, voix), les courriels, les photos et vidéos, les données stockées, la voix sur IP, le transfert de fichiers, les visioconférences, les notifications concernant l'activité, les détails du réseautage social en ligne, les coordonnées GPS et les « requêtes spéciales »[146],[147].


Le 16 février 2016, le FBI demande à Apple de créer un outil afin de contourner la sécurité de son système et donc d'avoir accès à l'iPhone de Syed Rizwan Farook , auteur de la fusillade de San Bernardino qui a eu lieu le 2 décembre 2015[148]. Apple ayant donné au FBI toutes les données sauvegardées en leur possession concernant Farook, refuse cependant la création d'un tel outil car ce dernier mettrait en danger la sécurité de millions d'utilisateurs et serait une atteinte à la liberté civile[149]. Pour Alain Juillet, ancien directeur du renseignement à la DGSE, les déclarations des dirigeants d'Apple comme celles du FBI sont à prendre avec prudence[150].



Évasion fiscale


Grâce à l’installation du siège de sa filiale internationale en Irlande, Apple ne payait que très peu d’impôts sur ses bénéfices réalisés en Europe[151]. Après trois ans d'enquête, les pratiques d'Apple en Irlande ont été sanctionnées en août 2016 par la Commission européenne[152]. Une décision de l'Union européenne (EU) oblige Apple à rembourser à l’Irlande plus de 13 milliards d’euros. D’après la Commission européenne, Apple a bénéficié illégalement en Irlande d’un taux d’imposition sur ses bénéfices européens de seulement 1 % en 2003 et de 0,005 % en 2014. Le gouvernement irlandais a décidé de faire appel de cette décision[153].


L'enquête des Paradise Papers a révélé que le groupe américain a finalement déplacé, en 2015, le domicile fiscal de sa filiale internationale de l'Irlande à l'île de Jersey, un paradis fiscal qui dépend de la couronne britannique, afin de bénéficier d'un taux d'imposition des sociétés nul[154].



Obsolescence programmée


En janvier 2017, l'association française HOP (Halte à l'obsolescence programmée) dépose une plainte auprès du procureur de la République de Paris et vise également le chef de « tromperie ». HOP estime qu’Apple, à travers les mises à jour des iPhone, en réduit volontairement les performances et la durée de vie, afin d’en accélérer le remplacement [155].


En octobre 2018, l'antitrust, autorité chargée de faire respecter la concurrence en Italie, inflige une amende de 10 millions d'euros à Apple pour obsolescence programmée. Suite à son enquête, l'antitrust affirme que des mises à jour sur des Iphones "ont provoqué de graves dysfonctionnements et réduit de manière significative les prestations, accélérant de cette manière la substitution de ces derniers"[156].



Notes et références


Notes


  • Le 13 décembre 2011, le contrat de fondation de la société, daté du 1er avril 1976, a été adjugé à New York chez Sotheby's pour 1 590 000 $, soit dix fois plus que son estimation. C'est Eduardo Cisneros, le PDG de l'entreprise vénézuélienne Cisneros qui a remporté l'enchère. Ce contrat, rédigé par Wayne, précise la répartition des parts, 10 % pour lui-même et 45 % pour Jobs et Wozniak[157].




Références





  1. « http://www.bbc.com/news/technology-35940300 »


  2. « https://www.apple.com/leadership/tim-cook/ »


  3. « http://files.shareholder.com/downloads/AAPL/5654593168x0x966568/E199AFD4-4BD8-48D8-9CEB-47141C91899B/Apple_2018_Proxy_Statement.pdf »


  4. « https://www.apple.com/iphone/ »


  5. « https://apple.com »


  6. « https://www.apple.com »


  7. « https://www.apple.com/iphone » (consulté le 26 août 2018)


  8. Form 10-K


  9. « https://www.numerama.com/business/402641-apple-sera-t-elle-la-premiere-entreprise-a-avoir-une-valorisation-de-mille-milliards-de-dollars.html »


  10. « https://www.reuters.com/finance/stocks/overview?symbol=AAPL.O »


  11. « http://files.shareholder.com/downloads/AAPL/5705749862x0x962680/D18FAEFF-460A-4168-993D-A60CBA8ED209/_10-K_2017_As-Filed_.pdf »


  12. « http://files.shareholder.com/downloads/AAPL/5705749862x0x962680/D18FAEFF-460A-4168-993D-A60CBA8ED209/_10-K_2017_As-Filed_.pdf »


  13. « Apple Retail Store List », Apple (consulté en 13 mas 2012)


  14. (en) Daniel Eran Dingler, « Ron Johnson could return to run Apple Retail », sur Appleinsider.com, 8 avril 2013


  15. « The unluckiest man in the world: Meet the forgotten Apple founder who missed out on $35 BILLION after selling his shares for $800 in 1976 », Mail Online,‎ 10 août 2013(lire en ligne, consulté le 2 mars 2017)


  16. (en) John Markoff, « New Mobile Phone Signals Apple’s Ambition », sur nytimes.com, 9 janvier 2007(consulté le 9 janvier 2007)


  17. (en) « Apple, Google tops in loyalty survey », MacNN, 11 juillet 2006(consulté le 18 août 2008)


  18. Arnauld de La Grandière, « Fortune : Apple toujours plus admirée », 4 mars 2010


  19. CNN Money - Fotune "World's Most Admired Companies", consulté le 04/03/2013


  20. « Apple vaut plus que Microsoft et Google réunis », The Huffington Post


  21. La Tribune, « Apple passe la barre des 1.000.000.000.000 de dollars de capitalisation », sur La Tribune, 2 août 2018(consulté le 2 août 2018)


  22. Le Point, magazine avec AFP, « Apple, 1ère entreprise privée au monde à valoir 1.000 milliards de dollars en Bourse », sur Le Point, 2 août 2018(consulté le 2 août 2018)


  23. The World's Biggest Public Companies


  24. Greenpeace, « Plus verte mon Apple? Volontiers! », 5 octobre 2006


  25. Musgrove Mike, « Sweatshop Conditions at IPod Factory Reported », The Washington Post, 16 juin 2006


  26. « Environmental Group Hits Apple »


  27. Les surprises du classement Interbrand des marques les plus performantes « Copie archivée » (version du 22 juillet 2018 sur l'Internet Archive), Challenges, 9 octobre 2014


  28. Apple survole le classement Interbrand 2015


  29. Apple fusionne son site principal avec l’Apple Store en ligne


  30. « Le limogeage de Steve Jobs d'Apple en 1985 : la version enrichie », La Tribune,‎ 2013(lire en ligne, consulté le 16 janvier 2018)


  31. « Le parcours de Steve Jobs », Challenges,‎ 2006(lire en ligne, consulté le 16 janvier 2018)


  32. « Steve Jobs est mort », sur numerama.com


  33. Chronologie de l'histoire d'Apple sur le site ce CBC le 6 octobre 2011.


  34. Solveig Godeluck, « Apple, première capitalisation boursière de toute l'Histoire », Les Échos,‎ 21 août 2012.


  35. (en) Tripp Mickle, « Apple’s Cash Hoard Set to Top $250 Billion », sur The Wall Street Journal, mis en ligne le 30 avril 2017 (consulté le 26 février 2018).


  36. (en) Christine Wang, « Apple's cash hoard swells to record $256.8 billion », sur Cnbc.com, mis en ligne le 2 mai 2017 (consulté le 26 février 2018).


  37. « Porté par l'iPhone, Apple franchit momentanément les 900 milliards de dollars en Bourse », Les Échos,‎ 3 novembre 2017(lire en ligne, consulté le 7 novembre 2017).


  38. (en) Yoni Heisler, « Apple may soon become the world’s first trillion-dollar company », sur Bgr.com, mis en ligne le 8 mai 2017 (consulté le 26 février 2018).


  39. Patrick Fay, « Apple franchit la barre historique des 1.000 milliards de dollars en Bourse », sur lesechos.fr, 3 août 2018(consulté le 3 août 2018).


  40. (en-ca) « AAPL : Summary for Apple Inc. - Yahoo Finance », sur ca.finance.yahoo.com (consulté le 3 janvier 2019).


  41. GLENN CHAPMAN et VIRGINIE MONTET, « Apple prévient que ses résultats seront plombés par la Chine », La Presse,‎ 2 janvier 2019(lire en ligne, consulté le 3 janvier 2019).


  42. AFP, « Wall Street, affaiblie par Apple, chute à l’ouverture », sur Le Journal de Montréal (consulté le 3 janvier 2019).


  43. « Turi: quelle est la pépite qu'Apple vient de racheter? » [archive du 10 août 2016] (consulté le 9 août 2016)


  44. « Apple rachète la startup RealFace », Begeek.fr,‎ 21 février 2017(lire en ligne, consulté le 21 février 2017)


  45. Laure Mandeville l, « Les profits d'Apple et la Californie étranglée par la dette... », sur Le Figaro, 30 avril 2012(consulté le 7 novembre 2012)


  46. Sylvain Fontan, « Apple et l'optimisation fiscale », Les Échos, 24 septembre 2013(consulté le 13 septembre 2014)


  47. Pierric Marissal, « Apple : la meilleure machine à évasion fiscale au monde », sur Humanite.fr, 23 octobre 2014(consulté le 26 février 2018)


  48. Grégory Raymond, « Après Google, Apple accusé de ne payer que 2 % d'impôts à l'étranger », sur Huffington Post, 5 novembre 2012(consulté le 7 novembre 2012)


  49. « Apple va rapatrier tout son cash et payer 38 milliards d'impôts aux Etats Unis. », sur 20 minutes, janvier 2018


  50. Pascal Samama, « Fiscalité : la Commission européenne s'attaque à Apple », 01net, 11 juin 2014(consulté le 13 septembre 2014)


  51. « Optimisation fiscale : dans le viseur de Bruxelles, Apple craint de lourdes répercussions financières », sur lesechos.fr (consulté le 26 octobre 2015)


  52. Dan Israël, « Apple est condamné à payer des milliards d’euros d’impôts à l’Irlande », Mediapart, 30 août 2016.


  53. « Dublin et Apple signent un accord pour collecter 13 milliards d’euros d’« avantages fiscaux indus » », sur Le Monde.fr (consulté le 25 avril 2018)


  54. Jérôme Marin (San Francisco correspondance), « Apple fait face à sa première baisse de chiffre d’affaires depuis 2001 », Le Monde.fr,‎ 26 octobre 2016(ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le 26 octobre 2016)


  55. Walter Isaacson, Steve Jobs, Éditions Jean-Claude Lattès, 2011, p. 81


  56. (en) « Wired News: Apple Doin' the Logo-Motion »


  57. « ZLOK Logo Design Blog: I Invented ... the Apple Logo »


  58. a et b(en) Ivan Raszl, « Interview with Rob Janoff, designer of the Apple logo »


  59. Charline Zeitoun (dir. et Directeur de la publication), CNRS, Le Journal, CNRS (no Hors Série), mai 2012(ISSN 0994-7647), p. 4


  60. « Grâce posthume pour le mathématicien britannique Alan Turing », Liberation, 24 décembre 2013(consulté le 8 juin 2014)


  61. (en) « Logos that became legends: Icons from the world of advertising », www.independent.co.uk, 4 janvier 2008(consulté le 14 septembre 2009)


  62. (en) David Leavitt, The Man Who Knew Too Much; Alan Turing and the invention of the computer, Phoenix, 2007, 336 p. (ISBN 978-0-753-82200-5, OCLC 801783308), p. 280.


  63. The Apple Logo from 1976 to 2007, Mactrast.com


  64. History Behind Big Brands Logo Design Reformations: Article 1, Logopie.com


  65. (en) « Apple Company », Operating System Documentation Project, Operating System Documentation Project (consulté le 30 novembre 2010)


  66. (en) « Apple Think Different Campaign » (consulté le 12 août 2008)


  67. (en) « MacWorld New York: I think, therefore iMac » (consulté le 13 août 2008)


  68. (en) « IMac: What's in a Design, Anyway? », Wired Magazine (consulté le 30 novembre 2010)


  69. « l'aventure d'Apple: L'Apple II »


  70. http://support.apple.com/kb/HT4214?viewlocale=en_US


  71. « iPod : c'est fini ! », sur IGen, 27 juillet 2017


  72. Apple a vendu 13 millions d'iPhone en un week-end, un record


  73. « iPhone SE », sur Apple (consulté le 5 avril 2016)


  74. Apple enregistre un recul historique de ses ventes d'iPhone


  75. Les chiffres de vente, confidentiels, d’Apple et Samsung aux États-Unis révélés


  76. https://www.apple.com/fr/ipad/compare/


  77. Marie-Laure Calcar, « Tout sur la nouvelle montre connectée d’Apple : l’Apple Watch 3 ! », Tech Advisor,‎ 14 septembre 2017(lire en ligne, consulté le 6 mars 2018)


  78. « L'Apple Watch Series 4 veut devenir votre nouvel allié santé », LCI,‎ 14 septembre 2018(lire en ligne, consulté le 14 septembre 2018)


  79. Apple dévoile son OS pour automobiles : CarPlay, Journal du Net, 3 mars 2014


  80. « E3 2015 : il y a 20 ans, Apple présentait la Pippin », sur MacGénération, 15 juin 2015


  81. « Apple retire Texas Hold'em, son seul jeu pour l'App Store iOS », sur Mac4Ever, 17 novembre 2011


  82. « Le jeu d'échecs de macOS va moins vite pour soigner votre ego », sur MacGénération, 5 septembre 2017


  83. « Apple, bienvenue dans le monde du transport ! », sur usine-digitale, 6 juin 2016(consulté le 6 juin 2016)


  84. Christian D., « Apple Energy est désormais un fournisseur d'énergie électrique », sur generation-nt.com, 5 août 2016(consulté le 6 octobre 2016).


  85. Leïla-Mathilde Méchaouri, « L'Apple Store a ouvert ses portes à Bordeaux », sur sudouest.fr, 14 mai 2011(consulté le 8 février 2014)


  86. « Wired News: Apple: It's All About the Brand »


  87. a b c d e f g h i j k l m n et oDirection d'Apple consultée le 20 mai 2018.


  88. « Apple ajoute cinq nouveaux dirigeants, dont deux femmes, sur leur site », sur iphoneaddict.fr, 18 août 2014(consulté le 18 août 2014).


  89. « Tim Cook gagne un nouveau hochet chez Nike », MacGeneration,‎ 1er juillet 2016(lire en ligne, consulté le 20 mai 2018)


  90. Farber, Jim. Apple ad creates recognition for Yael Naim, New York Daily News, March 11, 2008.


  91. (en) « Opensecrets.org », sur le site du Center for Responsive Politics (consulté le 28 mai 18)


  92. Hélène Gully, « Les Gafa dépensent des sommes record en lobbying - Les Echos », sur www.lesechos.fr, 28 avril 2018(consulté le 7 juin 2018)


  93. « Registre de transparence », sur le site de la Commission européenne (consulté le 3 juin 2018)


  94. « Fiche Organisation «  Haute Autorité pour la transparence de la vie publique », sur www.hatvp.fr (consulté le 3 juin 2018)


  95. Apple gobbles up Cupertino office space – Silicon Valley / San Jose Business Journal:


  96. (en) Oliver Wainwright, « All hail the mothership: Norman Foster's $5bn Apple HQ revealed  », sur The Guardian, 15 novembre 2013(consulté le 5 octobre 2016)


  97. (en) Alexia Tsotsis, « Jobs To Cupertino: We Want A Spaceship-Shaped, 12K Capacity Building As Our New Apple Campus », sur TechCrunch, 7 juin 2011(consulté le 5 octobre 2016)


  98. Kif Leswing, « This is the giant auditorium that Apple is about to cover with dirt », sur Business Insider, 30 septembre 2016(consulté le 5 octobre 2016)


  99. « Apple va construire deux nouveaux centres de R&D en Chine », sur ZDNet France (consulté le 28 mars 2017)


  100. http://www.letudiant.fr/educpros/actualite/comment-apple-attire-les-futurs-developpeurs-dans-son-academy-a-naples-0001.html


  101. « Un nouveau scandale frappe Apple en Chine », Le Parisien,‎ 12 avril 2012(lire en ligne)


  102. http://www.chinalaborwatch.org/report/105


  103. http://www.huffingtonpost.com/2009/07/21/sun-danyong-chinese-engin_n_242429.html


  104. http://www.newyorker.com/online/blogs/evanosnos/2009/07/more-on-the-iphone-suicide.html


  105. http://www.mac4ever.com/news/57991/condition_de_travail_le_dossier_foxconn_s_alourdit/


  106. https://www.telegraph.co.uk/technology/apple/7330986/Apple-admits-using-child-labour.html


  107. Charles Duhigg et David Barboza, « In China, Human Costs Are Built Into an iPad », New York Times,‎ 25 janvier 2012(lire en ligne).


  108. « Apple critiqué pour des conditions de travail « misérables » chez un sous-traitants chinois », sur Le Monde


  109. Les 50 plus grands visionnaires de la technologie – 1 à 25. Direction informatique 25/06/2008


  110. Apple, Steve Jobs et le néocapitalisme américain. Le monde diplomatique 05/12/2011


  111. « Pourquoi Apple se méfie des revendeurs. », Distributique, 26 avril 2011


  112. Charles DUHIGG et David KOCIENIEWSKI, « How Apple Sidesteps Billions in Taxes », The New-York Times, 28 avril 2012


  113. (fr) « Nouveau record d’évasion fiscale détenu par Apple », L'Humanité, 5 novembre 2012(consulté le 6 novembre 2012)


  114. Petit prix, mini config pour le Mac mini. 01net 2005


  115. Mac mini, d'Apple… comme le prix : « Apple se place pour la première fois sur le marché des machines de bas de gamme. » 01net 2005


  116. Environnement - Apple, pomme toxique? - LCI.fr, Olivier LEVARD, 3 avril 2007


  117. Guide pour une high-tech responsable - Rapport Greenpeace, avril 2007 [PDF]


  118. (en) A Greener Apple - Lettre ouverte de Steve Jobs, Apple.com


  119. Nos commentaires sur la déclaration d'Apple - Greenpeace.org


  120. Apple environnement - Apple.com


  121. Apple et l'environnement - Macplus.net - 17 juillet 2006


  122. Apple au piège de la communication - Macplus.net - 11 mai 2007


  123. Greenpeace France : un coup d'avance - Macplus.net - 10 mai 2007


  124. Guide pour une high-tech responsable - Rapport Greenpeace, mars 2008 [PDF]


  125. https://www.dailymotion.com/video/k4zSVsxmD8hzQ4mFqY


  126. http://www.greenpeace.org/raw/content/france/presse/dossiers-documents/appel-en-absence.pdf


  127. http://www.greenpeace.org/international/en/press/releases/scientific-tests-reveal-iphone/


  128. Spécification de l'iPhone


  129. [Apple pointé du doigt par les écologistes chinois http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20110121-apple-pointe-doigt-ecologistes-chinois]


  130. IOS 4.2 : Apple force l'obsolescence matérielle par Nicolas Furno, sur igeneration.fr du 28 novembre 2010


  131. Legal Discord Disrupts iPod's Song Of Success sur law.com du 1er mai 2004


  132. Vincent Fagot, « Apple et le soupçon de l’obsolescence programmée », Le Monde, 22 décembre 2017(consulté le 28 décembre 2017)


  133. Alexis Orsini, « iPhone bridés : une association française poursuit Apple pour « obsolescence programmée » », Numerama, 28 décembre 2017(consulté le 28 décembre 2017)


  134. Avis de déchets par Émilie Gavoille, sur telerama.fr du 15 février 2011.


  135. https://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/030383899284-apple-emet-une-obligation-verte-dun-milliard-de-dollars-2094387.php#xtor=RSS-38 , consulté le 14 juin 2017


  136. « L'inventeur du iPod n'a pas touché un centime », sur tomsguide.fr, 8 septembre 2008(consulté le 5 décembre 2013)


  137. « La Maison Blanche annule une décision de justice pour Apple », sur lecho.be, L'Echo, 4 août 2013(consulté le 8 février 2014).


  138. « L'UPSTO rejette le brevet de Apple d'auto-sélection d'une zone de texte », sur www.iphoneaddict.fr


  139. « Apple et Samsung mettent un terme aux poursuites judiciaires », sur www.iphoneaddict.fr, 6 août 14(consulté le 6 août 14)


  140. « Procès iPod/ DRM: Apple l’emporte et ne doit rien payer », sur www.iphoneaddict.fr, 16 décembre 14(consulté le 16 décembre 14)


  141. « La tactique juridique bien rodée des multinationales face aux ONG et aux associations », sur www.20minutes.fr, 4 janvier 2018


  142. Le Point, magazine, « Attac fustige la « procédure bâillon » d'Apple », Le Point,‎ 12 février 2018(lire en ligne, consulté le 2 mars 2018)


  143. « Apple est débouté contre Attac », Libération.fr,‎ 23 février 2018(lire en ligne, consulté le 2 mars 2018)


  144. Apple va devoir payer une grosse amende pour avoir violé un brevet « Copie archivée » (version du 22 juillet 2018 sur l'Internet Archive), Challenges, 17 octobre 2015


  145. « Apple doit verser 124 millions d'euros à WiLan pour la violation de deux brevets », Tom's Guide,‎ 2 août 2018(lire en ligne, consulté le 3 août 2018)


  146. Julien Lausson, « PRISM : la NSA a accès aux données de tous les géants du web - Politique - Numerama », Numerama,‎ 7 juin 2013(lire en ligne, consulté le 8 janvier 2017)


  147. (en) SPIEGEL ONLINE, Hamburg Germany, « Privacy Scandal: NSA Can Spy on Smart Phone Data - SPIEGEL ONLINE - International », sur SPIEGEL ONLINE (consulté le 8 janvier 2017)


  148. « Economie - Données privées : Apple joue les durs face au FBI mais se montre accommodant avec Pékin », sur France 24 (consulté le 29 février 2016)


  149. « Apple-FBI, la guerre des monstres », sur Libération.fr (consulté le 29 février 2016)


  150. Alain Juillet : "Un service de renseignement doit être neutre", entretien, parismatch.com, 5 mai 2016


  151. (en) Jesse Drucker et Simon Bowers, « After a Tax Crackdown, Apple Found a New Shelter for Its Profits : The tech giant has found a tax haven in the island of Jersey, leaving billions of dollars untouched by the United States, leaked documents reveal. », New York Times,‎ 6 novembre 2017(lire en ligne).


  152. Elsa Trujillo, « «Paradise papers» : Apple accusé d'avoir dissimulé 128 milliards de dollars », Le Figaro,‎ 7 novembre 2017(lire en ligne).


  153. [1], Le Monde, 4 septembre 2016


  154. Anne Michel, « « Paradise Papers » : Jersey, l’échappatoire fiscale d’Apple pour continuer à minimiser son impôt : Les Paradise Papers démontrent que la société californienne, épinglée en Irlande pour ne pas payer suffisamment d’impôts, a discrètement choisi l’île anglo-normande de Jersey comme nouvelle résidence fiscale. », Le Monde,‎ 7 novembre 2017(lire en ligne).


  155. Une association française porte plainte contre Apple pour « obsolescence programmée », le Monde, 27 décembre 2017


  156. « Première amende pour obsolescence programmée contre Apple et Samsung », sur rts.ch, 24 octobre 2018(consulté le 16 janvier 2019)


  157. Vente du contrat fondateur d'Apple



Annexe


Filmographie


Un téléfilm et deux biopics aux cinéma sont concentrés sur Apple, plus particulièrement sur son fondateur Steve Jobs




  • 1999 : Les Pirates de la Silicon Valley, téléfilm de Martyn Burke avec Noah Wyle dans le rôle de Steve Jobs et Anthony Michael Hall dans le rôle de Bill Gates


  • 2013 : Jobs de Joshua Michael Stern avec Ashton Kutcher dans le rôle-titre.


  • 2015 : Steve Jobs de Danny Boyle avec Michael Fassbender dans le rôle-titre.


Bibliographie


  • Adam Lashinsky, Inside Apple: de Steve Jobs à Tim Cook, dans les coulisses de l’entreprise la plus secrète au monde, Paris, Dunod, 2013, 262 p. (ISBN 978-2-10-059419-1)

  • Jeffrey S. Young, Steve Jobs cofondateur d'Apple - Un destin fulgurant : les dessous de la révolution informatique, Micro Application, 1989

Articles connexes


.mw-parser-output .autres-projets ul{margin:0;padding:0}.mw-parser-output .autres-projets li{list-style-type:none;list-style-image:none;margin:0.2em 0;text-indent:0;padding-left:24px;min-height:20px;text-align:left}.mw-parser-output .autres-projets .titre{text-align:center;margin:0.2em 0}.mw-parser-output .autres-projets li a{font-style:italic}

Sur les autres projets Wikimedia :





  • Histoire d'Apple


  • Steve Jobs - Steve Wozniak

  • Pixar Animation Studios

  • Maison d'enfance de Steve Jobs


  • John Sculley - Jean-Louis Gassée


  • Histoire des ordinateurs - Chronologie de l'informatique


  • MFi Program (en) (Made for iPhone / iPod / iPad ) : programme de certifications attribuées par Apple à certains accessoires électroniques compatibles avec ses appareils portables.


Liens externes




  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :

    • Fichier d’autorité international virtuel

    • International Standard Name Identifier


    • Bibliothèque nationale de France (données)

    • Système universitaire de documentation

    • Bibliothèque du Congrès

    • Gemeinsame Normdatei

    • Bibliothèque nationale de la Diète

    • Bibliothèque nationale d’Israël

    • Bibliothèque nationale de Suède

    • Bibliothèque nationale d’Australie

    • Bibliothèque nationale tchèque

    • Bibliothèque nationale du Portugal

    • WorldCat



  • Ressources relatives aux beaux-arts : Cooper–Hewitt, Smithsonian Design Museum • Museum of Modern Art • Union List of Artist NamesVoir et modifier les données sur Wikidata


  • Sites officiels francophones : Belgique | Canada | France | Suisse




  • Portail d’Apple Portail d’Apple



Popular posts from this blog

Loup dans la culture

How to solve the problem of ntp “Unable to contact time server” from KDE?

ASUS Zenbook UX433/UX333 — Configure Touchpad-embedded numpad on Linux