Laurent Ruquier













































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Image illustrative de l’article Laurent Ruquier
Laurent Ruquier en 2013.

Nom de naissance
Laurent Hugues Emmanuel Ruquier
Date de naissance

24 février 1963(55 ans)
Lieu de naissance

Le Havre (Seine-Maritime)
Nationalité

Drapeau : France Française
Émissions

Rien à cirer
On n'est pas couché
On va s'gêner
On n'demande qu'à en rire
Les Grosses Têtes
Les Enfants de la télé
Tout le monde en parle
On a tout essayé
Radio

RTL
Chaîne

France 2
Paris Première
Site internet http://www.ruquier.com

Laurent Ruquier, né le 24 février 1963 au Havre (Seine-Maritime)[1], est un animateur de télévision et de radio, producteur de télévision et de théâtre et humoriste français. Chroniqueur, il est également parolier, écrivain, auteur de théâtre et propriétaire de théâtre.


Il est notamment connu pour avoir présenté On a tout essayé diffusé tous les soirs entre 2000 et 2007, il a aussi présenté On n'demande qu'à en rire de 2010 à 2012 sur France 2. À la radio, il a animé Rien à cirer sur France Inter de 1991 à 1996 puis On va s'gêner sur Europe 1 de 1999 à 2014.


Depuis 2006, il présente On n'est pas couché, diffusé sur France 2 chaque samedi soir en seconde partie de soirée. Il anime aussi depuis septembre 2017Les Enfants de la télé, chaque dimanche après-midi, toujours sur France 2, et depuis août 2014, il présente quotidiennement Les Grosses Têtes sur RTL, émission diffusée de temps à autre sur Paris Première et France 2.




Sommaire






  • 1 Enfance et jeunesse


  • 2 Carrière


    • 2.1 Débuts à la radio et à la télévision (1983-1990)


    • 2.2 Animateur radiophonique


      • 2.2.1 France Inter (1991-1997)


      • 2.2.2 Europe 1 (1999-2014)


      • 2.2.3 RTL (depuis 2014)




    • 2.3 Animateur et producteur de télévision


      • 2.3.1 Émissions télévisées


      • 2.3.2 Coproducteur d'émissions télévisées


      • 2.3.3 Émissions sur France 2, TF1 et Canal+ (1994 à 2000)


      • 2.3.4 Émissions régulières sur France 2 (depuis 2000)


      • 2.3.5 Autres émissions




    • 2.4 One-man-shows et théâtre


    • 2.5 Documentaires


    • 2.6 Direction de théâtre


    • 2.7 Production de spectacles




  • 3 Positionnement politique


  • 4 Publications


  • 5 Autres activités


  • 6 Vie privée


  • 7 Notes et références


  • 8 Annexes


    • 8.1 Article connexe


    • 8.2 Liens externes







Enfance et jeunesse |


Issu d'une famille au niveau de vie modeste, Laurent Ruquier est le cadet d'une fratrie de cinq enfants (trois frères et une sœur)[1]. Son père, Roger Ruquier, aujourd'hui disparu, était chaudronnier aux chantiers du Havre et sa mère, Raymonde Ruquier (1924-septembre 2015[2]), est femme au foyer. Lui ayant donné naissance à 40 ans, elle déclare durant son enfance : « Ah celui-là ! S’il y avait eu la pilule, il ne serait pas là... » ; ce qui n'a pas bouleversé Laurent Ruquier, qui n'y prêtait pas attention, tout en ajoutant que dans « mon inconscient, cela m'a forcement marqué »[3]. À la suite de sa réussite professionnelle, ses parents se déclarent fiers du parcours de leur fils : « Laurent n'a bénéficié d'aucun piston. On n'avait personne dans le showbiz autour de nous. Il ne doit sa réussite qu'à lui-même et à son travail »[4].


Durant son adolescence, il se construit un « monde radiophonique » en étant son propre directeur d'antenne, où il fait les grilles de programmes, choisissant ses invités, ses animateurs et ses réalisateurs, imaginant des engueulades entre-eux[1],[3]. Au lycée, Laurent divertit ses camarades en publiant ses premières satires dans le journal de l'école. Son maître à penser est Pierre Doris, qu'il affectionne tout particulièrement pour son humour noir[5]. Il déclare avoir trouvé un jour son livre intitulé Histoires méchantes, qui l'a fait « hurler de rire ». Durant les interclasses, il montait sur l'estrade pour raconter ces blagues en se les appropriant. Se sentant « différent, physiquement moche, pas costaud et économiquement plus faible que les autres. Ma seule façon de m'intégrer, c’était de faire rire »[3]. En classe, il côtoie notamment le futur footballeur professionnel Mario Acard[b 1].


Après son baccalauréat (où il est le premier de sa famille à l'obtenir[3]), il se destine à des études de comptable, en décrochant un DEUG administration économique et sociale à l'université de Rouen, ainsi qu'un DUT, Gestion des Entreprises et des administrations en formation continue à l'université du Havre)[5]. Il suit également des cours de droit constitutionnel avec l'homme politique Patrice Gélard[6].



Carrière |



Débuts à la radio et à la télévision (1983-1990) |


En 1980, RTL souhaite tester de nouveaux animateurs pendant l'été et son animateur Jean-Bernard Hebey lance un concours dans ce but[7]. En cachette, le jeune Ruquier envoie à la radio une cassette de démonstration et est engagé comme stagiaire pour trois jours alors qu'il vient de commencer son premier job d'été comme manutentionnaire chez Auchan[8]. Le 14 août 1980, de 23 h 30 à minuit, il passe à l'antenne de RTL et touche, pour son émission unique intitulée On n'est des andouilles, son premier cachet de 150 francs (23 )[7].


Parallèlement pour payer ses études, il fait des petits boulots, dont celui qu'il juge ingrat de pointeau aux chantiers navals du Havre[7].


Entre 1983 et 1986, Ruquier fait ses débuts sur des radios locales du Havre : Radio Force 7[9], Radio Porte Océane, Radio Grand Large puis Radio FMR à Rouen. Participant bénévolement à cette aventure des radios libres, il travaille comme pion pendant deux ans au lycée François-Ier du Havre. Sur Radio Force 7, il présente notamment Les Bonnes Têtes et Les Petites Têtes, reprenant le concept de l'émission Les Grosses Têtes de RTL, avec des humoristes locaux et d'autres animateurs de la station[7].


En 1986, il effectue 21 mois de service national comme objecteur de conscience à la Direction régionale des Affaires culturelles[8].


En 1987, poussé par sa tante, il contacte l'animateur de radio et journaliste Jacques Mailhot, alors animateur de l'Oreille en coin sur France Inter, qui est séduit par ses textes[8]. Grâce à lui, Laurent Ruquier réalise le 25 avril 1987[10] sa toute première apparition à la télévision dans l'émission Paris Kiosque que Jacques Mailhot anime pendant trois mois sur France 3 Île-de-France, et il se voit offrir l'occasion de se produire à Paris sur la scène du Caveau de la République, une occasion en or pour l'humoriste de se faire connaître hors des limites de sa région natale[4].


En 1988, et pendant deux ans, il est nègre pour le compte de Jean Amadou et Maryse, leur rédigeant des chroniques impertinentes dans le cadre de l'émission matinale quotidienne sur Europe 1[11]. La deuxième année, il y fait une chronique de 2 minutes. Le directeur des programmes de la station Patrice Blanc-Francard, le convainc à cette époque de consulter un orthophoniste pour rééduquer sa mauvaise voix, doublée d'un cheveu sur la langue[8]. Il profite également des conseils de relooking de ses amis pour changer son image[12].


Le 7 mars 1989, il fait ses débuts d'apparition à la télévision nationale dans l'émission La Classe sur FR3[13], et il propose sa candidature à Jacques Martin qui a émis l'idée de remonter une émission dans le style du Petit Rapporteur. Jacques Martin accepte et le prend comme chroniqueur pendant un an dans Ainsi font, font, font… qui voit le jour en 1990 sur Antenne 2[14].


En 1990, Pierre Bouteiller, directeur de France Inter, lui confie une émission d'été sur sa station, puis l'engage pour collaborer au Vrai-Faux journal qu'anime Claude Villers[8].



Animateur radiophonique |



France Inter (1991-1997) |


En 1991, Laurent Ruquier devient animateur de l'émission radiophonique estivale Ferme la fenêtre pour les moustiques qui semble être un test concluant puisque l'émission sera reconduite à la rentrée en septembre, avec le même générique mais le nom de Rien à cirer avec succès sur France Inter où figurent de jeunes humoristes : Pascal Brunner, Anne Roumanoff, Chraz,Les Casse-pieds, Sophie Forte, Virginie Lemoine, Jean-Jacques Vanier, Patrick Font, Didier Porte, Laurence Boccolini, Christophe Alévêque, Frédéric Lebon, Patrick Adler et Laurent Gerra[15].


En 1996, il anime l'émission de France Inter Rien à cirer qui se termine, puis aborde Changement de direction. En 1997, il anime l'émission Dans tous les sens sur France Inter. En 1998, il est victime d'une agression dans la rue, se fait voler ses cartes de paiement, mais reprend le travail dès le lendemain[16].



Europe 1 (1999-2014) |




L'animateur en septembre 2000, à Europe 1.


En 1999, Laurent Ruquier passe sur Europe 1 pour deux interventions quotidiennes : une chronique le matin avec Julie Leclerc et On va s'gêner qu'il dirige depuis, quotidiennement de 16 h 30 à 18 h, dès 16 h à partir de 2006, de 16 h à 18 h 30 à partir de 2009 et de 15 h 30 à 18 h à partir de septembre 2010. On va s'gêner est enregistré du lundi au vendredi de 9 h 30 à 12 h et diffusé tous les après-midis avec quelques émissions en direct.


Il commente l'actualité avec une bande de chroniqueurs dont Gérard Miller, Isabelle Alonso, Pierre Bénichou, Claude Sarraute, Fabrice Éboué, Christophe Alévêque, Steevy Boulay, Jérémy Michalak, Jean-Luc Lemoine, François Renucci, Olivier de Kersauson, Christine Bravo, Patrice Leconte, Jean-Marie Bigard, Titoff, Isabelle Motrot, Monique Pantel pour la rubrique cinéma, Serge Llado pour la rubrique Musiques Éternelles, Paul Wermus pour la rubrique Enquête… Ont pu y faire leur apparition Arno Klarsfeld, Valérie Payet, Bernard Rapp, Jacques Martin, Jean Yanne, Philippe Bouvard lui-même, entre son licenciement et sa réintégration à RTL, Pierre Palmade…
Le 4 mai 2007, Jean-Marc Morandini annonce sur son blog que Laurent Ruquier arrêterait son émission quotidienne sur Europe 1 à la fin de la saison 2006/2007[17]. L'animateur souhaiterait « faire une pause » dans ses activités radios, afin de se concentrer sur la télévision (il anime alors une émission quotidienne et une hebdomadaire sur France 2). Laurent Ruquier souhaitait également consacrer davantage de temps au théâtre et à l'écriture. Jean-Pierre Elkabbach, président d'Europe 1, réagit en déclarant : « Je regrette la décision personnelle de Laurent Ruquier. Je comprends que ses multiples activités lui aient donné l'envie de prendre du champ. Je souhaite remercier Laurent pour ses huit années de collaboration fructueuse avec Europe 1. »[réf. nécessaire]


En 2007, Laurent Ruquier reste sur Europe 1 et conserve sa tranche 16 h - 18 h sur Europe 1, après des discussions avec Jean-Pierre Elkabbach, le président de la station[18]. Ce dernier exprime sa satisfaction en ces termes: « Je suis surtout heureux pour Europe 1 et pour le Groupe. Pour moi, Laurent ne peut être ailleurs. Il habite Rue François-Ier ! C'est un enfant d'Europe 1[19]. »


En septembre 2010, du fait qu'il soit de retour en quotidienne sur France 2, On va s'gêner débute désormais à 15 h 30 pour finir à 18 h.




À Rennes, en septembre 2011, pour un enregistrement de On va s'gêner.


À la rentrée 2011, Laurent Ruquier conserve son émission On va s'gêner. En plus de cette émission quotidienne, il intègre la matinale de la station, en remplacement de Guy Carlier, pour y tenir une chronique humoristique à 7 h 55 s'appelant « Presse Papier ». Cette nouveauté dans la grille des programmes s'explique du fait de la volonté de l'animateur d'être présent durant l'année présidentielle, et de la proposition du président de la station, Denis Olivennes[20]. Au début de décembre 2011 son emploi du temps est surchargé, l'animateur est fatigué et il décide de quitter Europe 1 Matin[21].


Le 25 avril 2012, Laurent Ruquier annonce dans une interview au Parisien qu'il a rempilé pour deux ans à Europe 1[22].



RTL (depuis 2014) |


Le 20 mars 2014, sur l'antenne de RTL, à la fin du journal de 8 h, Christopher Baldelli président du directoire de RTL, annonce l'arrivée de Laurent Ruquier aux commandes des Grosses Têtes. Il succède au créateur et animateur emblématique de l'émission depuis trente sept ans, Philippe Bouvard. L'annonce suscite une importante vague de mécontentement chez nombre d'auditeurs fidèles de l'émission, qui craignent de voir leurs habitudes très fortement bousculées.


Cette décision de Laurent Ruquier suscite également des interrogations, compte tenu du fait que On va s'gêner était en progression constante sur Europe 1, contrairement aux Grosses Têtes, en réelle perte de vitesse. Pour certains il était écrit que Laurent Ruquier finirait par passer devant Philippe Bouvard, ce qui aurait été une réelle performance compte tenu de l'écart abyssal qui séparait les deux émissions en 1999 aux débuts d'On va s'gêner. Laurent Ruquier justifie son choix en expliquant qu'il s'agit pour lui de "réaliser un rêve de gamin".


A la suite de son éviction, Philippe Bouvard multiplie les déclarations acides et hostiles à l'égard de son successeur.


La première des Grosses Têtes version Ruquier a lieu le 25 août 2014. Désormais la composition des sociétaires est établie en confrontant nombre de membres historiques de la Bande à Ruquier à quelques rescapés de l'époque Bouvard (Jean-Jacques Peroni, Bernard Mabille (humoriste), Chantal Ladesou, Jacques Mailhot et Laurent Baffie). De plus, de nouveaux sociétaires viennent compléter le casting parmi lesquels Thierry Ardisson, Franz-Olivier Giesbert, Marcela Iacub, Michel Drucker, ou encore quelques mois plus tard Karine Le Marchand. L'alchimie prend auprès des auditeurs puisque, à la suite de la mise en onde de la nouvelle version, la radio gagne un point d'audience (par rapport à l'année précédente) avec près de 12,2 % d'audience cumulée[23]. A contrario, les audiences d'Europe 1 vont peu à peu s'effondrer suite au remplacement de Laurent Ruquier par Cyril Hanouna.


À partir du mois d'octobre 2014, l'émission est captée les caméras de Paris Première, comme cela était déjà le cas par le passé. Elle est diffusée deux vendredis par mois à 20 h 45. Dès juin 2015, l'émission bénéficie d'une adaptation télévisuelle pour des prime-time sur France 2.



Animateur et producteur de télévision |



Émissions télévisées |





  • 1992 : Rien à cirer (FR3), en prime-time


  • 1994 : Rien à cirer (France 2), adaptation télévisuelle de son émission radiophonique


  • 1995 : Les Niouzes (TF1), pendant 5 jours


  • 1999 : Tout le monde en parle avec Thierry Ardisson (France 2)


  • 1999 – 2000 : Un an de plus (Canal +)


  • 2000 – 2007 : On a tout essayé (France 2)


  • 2001 : 7 d'or (France 2)


  • 2002 – 2005 :


    • Nuit des Molières (France 2)


    • Juste pour rire (France 2)




  • 2003 :


    • Concours Eurovision de la chanson 2003 (France 3) avec Isabelle Mergault


    • Drôles de dames (France 3)




  • 2004 :


    • Concours Eurovision de la chanson 2004 (France 3) avec Elsa Fayer


    • Ruquier allume la télé (France 2)




  • 2005 : présélection française du Concours Eurovision de la chanson 2005 (France 3), avec Elsa Fayer


  • 2005 – 2006 :


    • Ça balance à Paris (Paris Première)


    • Vos imitations préférées (France 2)



  • Depuis 2006 : On n'est pas couché (France 2), enregistré tous les jeudis au Studio Gabriel depuis septembre 2014 (Auparavant au Moulin Rouge 2006-2014)


  • 2006 : 36 en chansons (France 3)


  • 2007 – 2008 : On n'a pas tout dit (France 2)


  • 2008 :


    • Stars et Comédie (France 2)


    • Tous au théâtre (France 2)




  • 2009 :


    • Ruquier / Gregorio – Merci d'être venu ! (France 2)


    • Vos chanteurs préférés (France 2)


    • On va s'gêner, les 10 ans (France 4), adaptation télévisuelle de son émission radiophonique




  • 2009 – 2011 : On a tout révisé (quatre numéros sur France 2)


  • 2010 : Festival du rire de Montreux (France 3)


  • 2010 : On va s'gêner (France 4)


  • 2010 – 2012 : On n'demande qu'à en rire (présentateur) (France 2), enregistré les lundis et mardis au Moulin Rouge au même endroit que pour On n'est pas couché mais des éléments de décor sont changés.


  • 2013 :


    • Victoires de la musique avec Virginie Guilhaume (France 2)


    • On n'demande qu'à en rire, le prime (France 2)




  • 2014 : L'Émission pour tous (France 2)
    • Depuis 2014 : Les Grosses Têtes (Paris Première)



  • 2015 :

    • Depuis 2015 : Les Grosses Têtes (France 2), en prime-time


    • On a tous en nous quelque chose de Jacques Martin (France 2)




  • 2016 – 2018 : Mardi Cinéma (France 2)



  • 2017 :


    • On a tous en nous quelque chose de Jean Yanne (France 2)

    • Depuis 2017 : Les Enfants de la télé (France 2)





Coproducteur d'émissions télévisées |



  • Depuis 2006 : On n'est pas couché (France 2)


  • 2010-2014 : On n'demande qu'à en rire (France 2)



Émissions sur France 2, TF1 et Canal+ (1994 à 2000) |


Ses premières expériences comme animateur télé sont catastrophiques. L'adaptation télévisuelle de Rien à cirer en 1994 sur France 2 ne convainc pas les téléspectateurs et Les Niouzes en 1995 sur TF1 ne survivent que 5 jours. Y figurent notamment à ses côtés Isabelle Mergault, Isabelle Motrot, Frédéric Lebon, Jacques Ramade, Christophe Alévêque.


Il admet dans son émission On va s'gêner du 27 octobre 2012 que l'arrêt des Niouzes lui a rapporté le paiement de l'intégralité du contrat d'un an qu'il avait avec TF1.


En 1999, il tente un retour à la télévision avec l'émission Tout le monde en parle[24], produite et coanimé avec Thierry Ardisson. Cette fois, le public est séduit, mais Laurent Ruquier change de chaîne la saison suivante pour rejoindre les rangs de Canal+. Il coanime Un an de plus avec Marc-Olivier Fogiel où il apporte sa dose d'humour.



Émissions régulières sur France 2 (depuis 2000) |


En septembre 2000, Thierry Ardisson et Catherine Barma lui proposent d'animer On a tout essayé sur France 2 en deuxième partie de soirée, un mardi sur deux. Devant le succès de l'émission, France 2 lui propose, en septembre 2001, de passer en quotidienne entre 19 heures et 20 heures. Il est entouré de ses amis chroniqueurs d'Europe 1, on y retrouve notamment Philippe Geluck, Péri Cochin, Isabelle Alonso, Caroline Diament, Christophe Alévêque, Elsa Fayer, Annie Lemoine, Steevy Boulay, Pierre Bénichou, Florence Foresti. En 2001, l'émission reçoit un 7 d'or dans la catégorie « Meilleure émission d'humour ».


En 2006, On a tout essayé est doté d'un nouveau décor à la tonalité plus intimiste et aux couleurs moins criardes que le précédent. De nouveaux chroniqueurs font leur apparition : Jérémy Michalak, Mustapha El Atrassi, Virginie de Clausade, Roger Zabel et Mamane.


Le 16 septembre 2006, Laurent Ruquier reprend le créneau du samedi soir en seconde partie de soirée, en remplacement de l'émission Tout le monde en parle de Thierry Ardisson, avec un talk-show intitulé On n'est pas couché, toujours produit par Catherine Barma et réalisé par Serge Khalfon. Jonathan Lambert et Jean-Luc Lemoine s'occupent de la partie humour avec le médiateur et le copain d'enfance. Éric Zemmour et dans un premier temps Michel Polac puis le critique Éric Naulleau s'occupent de la partie politique et littéraire. En mai 2011, il annonce un remaniement de son équipe et décide de remplacer les deux polémistes Éric Zemmour et Éric Naulleau par deux femmes, Natacha Polony et Audrey Pulvar[25]. En plus de ce changement, Jonathan Lambert décide d'arrêter sa collaboration avec l'émission[26]. Le 28 juillet 2011, Arnaud Tsamere et Jérémy Ferrari (deux humoristes de l'émission On n'demande qu'à en rire) annoncent sur leur compte Facebook qu'ils participeront à une chronique humoristique en duo dans l'émission[27],[28]. Deux émissions plus tard, le duo comique préfère se retirer afin de se concentrer sur des carrières solo[29]. Les deux humoristes sont remplacés par Florian Gazan qui prend le rôle de mentaliste[30].


Préférant rester sur France Télévisions qui impose une clause d'exclusivité, Laurent Ruquier quitte en 2006 la présentation du magazine qu'il animait sur Paris Première, Ça balance à Paris, laissant sa place à Pierre Lescure.


Samedi 21 octobre 2006, Christine Bravo récupère « sa » case du samedi en access prime-time, pour une version de On a tout essayé sans Laurent Ruquier trop occupé par l'ensemble de ses activités : On a tout essayé... même sans le patron !. Durant la semaine du 18 au 22 décembre 2006, Philippe Geluck remplace Laurent Ruquier, celui-ci étant absent pour raisons personnelles.


De septembre 2007 à juillet 2008, il présente une émission quotidienne sur France 2, On n'a pas tout dit, qui remplace On a tout essayé. Il arrête alors son émission quotidienne, tout en poursuivant On n'est pas couché.


A partir de février 2010, Laurent Ruquier présente mensuellement une adaptation télévisuelle de son émission sur Europe 1, On va s'gêner, diffusée sur France 4.
En novembre 2010, France 4 décide d'arrêter cette émission en raison de la volonté de France Télévisions d'empêcher les animateurs de travailler sur plusieurs chaînes du groupe[31]. La dernière émission sera diffusée le 1er décembre 2010.


À partir du 6 septembre 2010, il présente On n'demande qu'à en rire, du lundi au vendredi de 17 h 55 à 18 h 50 sur France 2, l'émission est enregistrée chaque lundi et mardi au Moulin Rouge à Paris. Elle a été comparée au Petit Théâtre de Bouvard, car elle permet également à des artistes inconnus de se faire très rapidement un « nom ». La 100e de l'émission a été diffusée le 16 février 2011. Durant tout l'été 2011, l'émission est diffusée hebdomadairement tous les samedis de 19 h à 20 h[32]. En avril 2012, il annonce sa volonté de ne plus animer cette émission la saison suivante : elle est animée par Jérémy Michalak à partir de septembre 2012.


À partir de janvier 2014, il anime L'Émission pour tous du lundi au vendredi, de 18 h 30 à 20 h sur France 2[33]. Le 15 mars 2014, à la suite de basses audiences et de critiques relativement mauvaises, France 2 annonce l'arrêt de l'émission, en accord avec Laurent Ruquier[34].


Depuis septembre 2017, il a repris l'émission culte Les Enfants de la télé tous les dimanches à 14 h 20 sur France 2. L'émission fait ainsi son retour sur le service public après deux décennies de succès sur TF1. Arthur adoube son successeur considérant qu'il a su conserver l'esprit de l'émission tout en la modifiant à la marge. Deux prime spéciaux années 80 et 90 ont lieu durant la saison, à la réception mitigée. Le 26 août 2018, l'émission est de retour le dimanche, mais désormais en access prime time. Forte d'audiences satisfaisantes en première saison, elle remplace ainsi 19h le dimanche de Laurent Delahousse[35]. Désormais elle est découpée en deux parties : la première diffusée entre 18 h 10 et 19 h et Les Enfants de la télé la suite entre 19 h 15 et 19 h 45.



Autres émissions |


Pour France 3, il commente en direct le Concours Eurovision de la chanson avec Isabelle Mergault en 2003, puis avec Elsa Fayer en 2004. En 2005, il anime la présélection française pour l'Eurovision avec Elsa Fayer mais le duo ne commente pas le concours final.


Le 6 juin 2006, Laurent Ruquier présente une soirée de variétés, 36 en chansons, en première partie de soirée sur France 3[36]. Cette émission fut suivie par 1967, La révolution sexuelle en chansons présenté par Michèle Bernier, le 13 février 2007[37] et Les présidentielles en chansons présenté par Christophe Hondelatte, le 26 mars 2007[38].


Le 27 décembre 2008, il présente en première partie de soirée sur France 2 Stars et comédie, une émission dans laquelle huit personnalités montent sur la scène du Palace pour leur premier spectacle[39]. Dès 2008, il présente aussi Tous au théâtre.


Le 26 septembre 2009, il présente Vos chanteurs préférés en première partie de soirée sur France 2 avec Michaël Gregorio qui imite les chanteurs préférés de personnalités, parfois en duos avec eux.


Le 29 décembre 2009, il présente 2009, On a tout révisé en première partie de soirée sur France 2 avec toute « la bande » qui l'accompagne dans ces différentes émissions depuis de longues années. Dans cette soirée, les anciens chroniqueurs revisitent l'actualité de l'année 2009 à travers des jeux. Quatre équipes de quatre chroniqueurs s'affrontent. Une deuxième émission est programmée le 13 juillet 2010, et une troisième fin septembre.




En juin 2013, au Casino de Paris, pour l'enregistrement de On n'demande qu'à en rire.


Son émission de radio On va s'gêner fête ses dix ans d'existence le 21 octobre 2009 lors d'une soirée spéciale et gratuite de trois heures à l'Olympia et diffusée les mercredis 25 novembre et 2 décembre sur France 4. Sont présents l'ensemble des chroniqueurs ayant participé au programme depuis sa création.


Le 31 mai 2011, un quatrième numéro est diffusé, 2011, On a tout révisé. Et lors de cette émission, en plus des chroniqueurs habituels, Laurent Ruquier décide d'intégrer des humoristes de sa nouvelle quotidienne On n'demande qu'à en rire, qui réalisent des « chansons gags » ou bien qui participent à l'épreuve « commis d'office ».


En juin 2011, un sondage PureMédias, avec plus de 120 000 votants, le classe comme étant le deuxième « animateur de l'année », derrière Nagui largement premier. Ses émissions On n'est pas couché et On n'demande qu'à en rire prennent également les deuxième et troisième places dans la catégorie « divertissement de l'année ».


Le 8 février 2013, il présente les Victoires de la musique 2013 en direct avec Virginie Guilhaume[40].


En avril 2013, il participe à Toute la télé chante pour sidaction sur France 2, où il fait un duo avec la chanteuse Cœur de pirate[41].


Le mois de juin 2015 marque l'arrivée des Grosses têtes en prime sur France 2. Trois numéros ont lieu avant que le directeur des programmes de la chaîne, Vincent Meslet, n'annonce son arrêt en 2016 pour cause de scores d'audiences décevants. Ces prime reviennent finalement à l'antenne dès mars 2017, à raison de quelques numéros par an.


Il présente On a tous en nous quelque chose de... à partir de novembre 2015. Produite par Thierry Ardisson, cette émission revisite la carrière d'artistes ayant marqué leur époque. Le premier numéro consacré à Jacques Martin est un succès. Le 6 février 2016, l'émission célèbre les 30 ans de carrière de Laurent Ruquier, par Michel Drucker[42]. Le 4 mars 2017, l'émission est consacrée à Jean Yanne, il s'agit du dernier numéro de la collection[43].


Dès septembre 2016, il ressuscite la célèbre émission Mardi Cinéma de Pierre Tchernia. Diffusée pour sa première le mardi 26 septembre à 20 h 50, l'émission réalise de très basses audiences[44]. Alors qu'elle était programmée pour une diffusion mensuelle, elle devient alors événementielle et occupe la case de deuxième partie de soirée, suivant la diffusion du film du dimanche soir. Dès lors les parts de marchés grimpent timidement. L'émission n'est pas reconduite à la rentrée 2018.



One-man-shows et théâtre |


De 1997 à 2000, il monte sur les planches avec deux spectacles réalisés par l'inconnu Pascal Légitimus et produits par Juste pour rire : Enfin gentil et Encore gentil.


Laurent Ruquier est l'auteur de différentes pièces :




  • 2003 : La presse est unanime mise en scène Agnès Boury, avec Isabelle Mergault (puis Marie Laforêt), Gérard Miller (puis Jean-François Dérec), Steevy Boulay, Raphaël Mezrahi (puis Julien Cafaro), Claude Sarraute (puis Annie Lemoine) et Isabelle Alonso.


  • 2004 :


    • Grosse chaleur de septembre 2004 à juin 2005, mise en scène Patrice Leconte, avec Pierre Bénichou (puis Gérard Hernandez), Jean Benguigui, Brigitte Fossey (puis Danièle Évenou), Catherine Arditi, Annick Alane et Benoît Petitjean.

    • Adaptation française de la comédie musicale Chicago avec, entre autres, Stéphane Rousseau (puis Anthony Kavanagh) dans le rôle de l'avocat Billy Flynn.




  • 2005-2006 :


    • Si c'était à refaire de septembre 2005 à fin avril 2006, Théâtre des Variétés, mise en scène Jean-Luc Moreau, avec Isabelle Mergault, Pierre Palmade, Claire Nadeau et Laurence Badie.


    • Landru, de décembre 2005 à avril 2006 au Théâtre Marigny, mise en scène Jean-Luc Tardieu, avec Régis Laspalès (disponible en DVD à partir de septembre 2006, réal. Roberto Maria Grassi)




  • 2006 : reprise de la pièce Si c'était à refaire à partir de septembre, Théâtre de la Renaissance, avec Virginie Lemoine, Francis Perrin et Bernadette Lafont.


  • 2008 :


    • Open Bed, de David Serrano, mise en scène Charlotte de Turckheim, adaptation de Laurent Ruquier, avec Titoff, Élisa Tovati, Théâtre des Bouffes-Parisiens, en février 2008.


    • Je m'voyais déjà, du 2 octobre 2008 au 4 janvier 2009 au théâtre du Gymnase à Paris, mise en scène Alain Sachs, avec Diane Tell et une troupe de jeunes comédiens parmi lesquels Jonatan Cerrada, Arno Diem et Pablo Villafranca. Jukebox musical basé sur les chansons de Charles Aznavour. En 2010 et 2011, Judith Bérard et Frédérick De Grandpré sont les têtes d'affiche de la version québécoise[45],[46],[47].




  • 2011 : Parce que je la vole bien !, mise en scène Jean-Luc Moreau, avec Ariel Wizman remplacé ensuite par Arnaud Gidoin, mais aussi Armelle et Catherine Arditi, à partir de février, au Théâtre Saint-Georges.


  • 2013 : Un couple magique, mise en scène Patrice Leconte, en juin, au Théâtre Tête d'or avec Danièle Évenou, Julien Boisselier et Virginie Hocq.


  • 2014 : Je préfère qu'on reste amis, mise en scène Marie-Pascale Osterrieth, avec Michèle Bernier et Frédéric Diefenthal, au Théâtre Antoine-Simone-Berriau.


  • 2016 : À droite à gauche, mise en scène Steve Suissa, avec Régis Laspalès et Francis Huster (puis Jean-François Balmer), au théâtre des Variétés.


  • 2018 : Pourvu qu'il soit heureux, mise en scène Steve Suissa, avec Francis Huster et Fanny Cottencon et Louis Le Barazer , au théâtre Antoine.



Documentaires |



  • On n'demande qu'à le connaître, réalisé par Gérard Miller (diffusion 27 décembre 2012).


Direction de théâtre |


Le 28 juillet 2011, Laurent Ruquier acquiert 50 % des parts de la société de gestion du Théâtre Antoine-Simone-Berriau situé dans le 10e arrondissement de Paris. Il en devient le directeur général aux côtés de Jean-Marc Dumontet, président directeur général et coactionnaire à 50 %[48],[49].


Pour son premier choix, l'animateur fait appel à Line Renaud. Elle accepte de jouer l'un des rôles-titres de la pièce Harold et Maude à partir de février 2012[50].


D'après Fabrice Luchini, alors en promotion pour son film Dans la maison en octobre 2012, Laurent Ruquier aurait investi 5 millions d'euros pour l'acquisition de son théâtre.


En août 2018, il lâche la direction de ce théâtre, par manque de temps[51].



Production de spectacles |


En 2005, Laurent Ruquier s'est lancé dans la production de spectacles. Il a réussi à faire rechanter Marie Laforêt, après plus de 30 ans d'absence sur scène. « La Fille aux yeux d'Or »[52] s'est d'abord produite à Montréal, puis à Paris (à guichets fermés) en attendant une tournée en province.


Laurent Ruquier a également produit les retours sur scène de Véronique Rivière et Pauline Ester en 2006.


Depuis 2006, il produit le chanteur - imitateur Michaël Gregorio[53].


Depuis 2010, il produit l'humoriste Gaspard Proust.


Depuis 2014, il produit l'humoriste Vincent Dedienne[54].



Positionnement politique |


Il a déjà déclaré plusieurs fois être de « gauche » et « socialiste », notamment par « tradition familiale »[55]. Il a ainsi soutenu Ségolène Royal lors de la primaire socialiste pour l'élection présidentielle française de 2007[56]. En 2012, il vote pour Jean-Luc Mélenchon au premier tour[57] et pour François Hollande au second tour de l'élection présidentielle, tout en se disant déçu par ses deux premières années au pouvoir[58],[59].


Sur le plateau de l'émission On n'est pas couché diffusée le 1er avril 2017, Laurent Ruquier réitère son opposition au Front National à l'occasion d'un vif échange avec Florian Philippot[60]. Lors de l'élection présidentielle de 2017, il annonce qu'il a voté pour Jean-Luc Mélenchon au premier tour, et pour Emmanuel Macron au second[61].



Publications |





  • Rien à cirer, Calmann-Lévy, 1994


  • Le Tout Bon de Laurent Ruquier, Michel Lafon, 1995


  • Rien à cirer : les cinq ans, Michel Lafon, 1996
    Coécrit avec Jean-François Remonté.



  • Le Mois par moi : le débloque-notes, Michel Lafon, 1997


  • Ravi de vous recevoir, Michel Lafon, 1998


  • Gueules d'€uros, L'Archipel, 1998


  • Il faut savoir changer de certitudes, Plon, 1999


  • Je ne vais pas me gêner, Plon, 2000


  • Vu à la radio, Plon, 2001


  • Mon Best of, Plon, 2002


  • C'est chronique, Plon, 2002


  • Chroniques insolentes, Hors Collection, 2003


  • Ne nuit pas à la santé, Plon, 2004


  • On va s'gêner : les meilleurs moments, Plon, 2005


  • Avant que t'oublies tout !, Plon, 2009
    Coécrit avec Claude Sarraute.



  • On préfère encore en rire, Le Cherche midi, 2013


  • On va s'gêner ! : le plus drôle des 15 ans, Le Cherche Midi, 2013

  • Laurent Ruquier, Radiographie, Le Cherche midi, 19 juin 2014, 200 p. (ISBN 978-2749120607)




Autres activités |





  • 2014 : Fastlife de Thomas N'Gijol : lui-même (caméo)


  • 2014 : Participation au single inédit Kiss and Love au profit du Sidaction[62],[63].


  • 2015 ː il devient actionnaire de la start up Tipeee en investissant 80 000 € conjointement avec Xavier Niel[64].


Le 19 décembre 2018, plus de 70 célébrités se mobilisent à l'appel de l'association Urgence Homophobie. Ruquier est l'une d'elles et apparaît dans le clip de la chanson De l'amour[65],[66],[67].



Vie privée |


Ouvertement homosexuel, Laurent Ruquier a fait son coming out en 1997, au cours d'un sketch de son one-man-show Enfin gentil. Il déclare par la suite que ce coming-out sur scène, s'il a été pour lui un vrai défi à l'époque, a contribué à le « libérer » vis-à-vis de lui-même comme de sa famille : « C'était gonflé de le faire sur scène. Mais je l'aurais fait de toute façon. Ça m'a libéré, transformé. Il faut être le plus possible en accord avec ce que l'on ressent (...) Cela ne m'a valu aucun grief. Les gens qui vous aiment continuent de vous aimer ; c'est la même chose avec ceux qui vous détestent. Le plus important, c'est de se sentir bien avec soi-même » [68],[69].


Il s'est pacsé le 28 janvier 2012 avec le comédien et cavalier Benoît Petitjean, dont il partage la vie depuis 2002[70].


Avant cette relation, Laurent Ruquier a partagé la complicité et la vie de Jacques Sanchez pendant dix ans[71].


Il est le parrain de la dernière fille de Gérard Miller[72].



Notes et références |


Bibliographie




  1. Radiographie, p. 45



Web




  1. a b et cDavid Dufresne, Portrait 1994-2009 : Laurent Ruquier : du Havre à TF1, la fuite en avant, éditions de la Table Ronde, coll. « Libération », 31 août 1995, 26-27 p. (ISBN 978-2710365525)


  2. C. Ba., « Nous sommes toujours sur le fil », sur Le Parisien, 16 novembre 2015


  3. a b c et dSandrine Blanchard, « Laurent Ruquier : "J'ai toujours eu le complexe du provincial" », sur Le Monde, 4 juin 2017


  4. a et bStéphane Lepoittevin, « Laurent Ruquier chef de bande », sur Le Parisien, 19 novembre 2000


  5. a et bHélène Bry, « Laurent Ruquier : "J'ai même été pointeau aux chantiers navals !" », sur Le Parisien, 3 août 2014


  6. Benoît Daragon, « Le président de la COCOE donnait des cours de fraude électorale à Laurent Ruquier ! », sur PureMédias, 21 novembre 2012


  7. a b c et dHélène Bry, « Laurent Ruquier : « J'ai même été pointeau aux chantiers navals ! », sur Leparisien.fr, juillet 2014


  8. a b c d et e« Ruquier : « RTL m'a sauvé d'Auchan », sur Nouvelobs.com, 1er août 2013


  9. « Laurent Ruquier : un nouveau Bouvard ? », sur Lefigaro.fr, 29 juin 2014(consulté le 3 juin 2015).


  10. « Laurent Ruquier séquence « Comme un cheveu sur la z'oupe » », de Jacques Brialy, 25 avril 1987 [présentation en ligne]


  11. Brigitte Hemmerlin, Jacques Martin, l'empereur des dimanches, Archipel, 2008, p. 157.


  12. Daphné Bürki, émission Le Tube sur Canal+, 6 septembre 2014, deuxième partie, 11 min 10 s.


  13. L'émission du 21 février en intégralité (3/4) sur wat.tv.


  14. Danielle Sommer, Nos années télé, Filipacchi, 1999, p. 61.


  15. « En 1991, on en a "Rien à cirer" ! », sur franceinter.fr, 10 novembre 2013.


  16. « France Inter - Laurent Ruquier agressé », sur radioactu.com, 15 décembre 1998.


  17. « Laurent Ruquier va quitter Europe 1 », sur JeanMarcMorandini.com, 4 mai 2007


  18. « Ruquier renonce à RTL et reste sur Europe 1 »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur JeanMarcMorandini.com, 11 juin 2007.


  19. « La semaine dernière tout semblait calé pour l'arrivée de Laurent Ruquier à RTL », sur telesatellite.com, 12 juin 2007(consulté le 17 juin 2015).


  20. Laurent Ruquier : il rejoint la matinale d'Europe 1, Telepremière.fr, le 29 juin 2011.


  21. Muriel Frat, « Europe 1 : Ruquier quitte la matinale » sur Le Figaro, 5 décembre 2011.


  22. Laurent Ruquier rempile sur Europe 1, Le Figaro, 25 avril 2012.


  23. Audiences : RTL mesure l'effet Ruquier, Télérama - 14.01.2015.


  24. Prisma Média, « Laurent Ruquier - La biographie de Laurent Ruquier avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le 7 novembre 2017)


  25. (fr) http://www.jeanmarcmorandini.com/article-55409-fr2-voici-le-duo-feminin-qui-remplacera-naulleau-et-zemmour sur jeanmarcmorandini.com, le 19 juin 2010.


  26. (fr) http://www.jeanmarcmorandini.com/article-55674-laurent-ruquier-jonathan-lambert-a-decide-de-partir


  27. (fr) http://www.remicastillo.com/article-3134-on-n-est-pas-couche-jonathan-lambert-est-remplace-par.html.


  28. (fr)http://www.jeanmarcmorandini.com/article-190690-arnaud-tsamere-et-jeremy-ferrari-rejoignent-ruquier-dans-on-n-est-pas-couche.html


  29. (fr) http://www.lexpress.fr/culture/tele/on-n-est-pas-couche-au-revoir-arnaud-tsamere-et-jeremy-ferrari-remplaces-par-florian-gazan_1031599.html.


  30. (fr) http://www.francesoir.fr/people-tv/television-media/n-est-pas-couches-ca-demenage-chez-ruquier-138942.html.


  31. « Laurent Ruquier contrarié par la décision de Rémy Pflimlin », sur Toutelatele (consulté le 27 décembre 2015).


  32. (fr) http://www.labandearuquier.com/On-n-demande-qu-a-en-rire-tous-les.


  33. Kevin Boucher, « "L'Émission pour tous" de Laurent Ruquier arrive le 20 janvier sur France 2 » sur PureMédias, 12 décembre 2013.


  34. « France 2 arrête « L'Emission pour tous », de Laurent Ruquier », sur lemonde.fr, 15 mars 2014.


  35. « Laurent Delahousse remplacé par Laurent Ruquier ? », sur toutelatele.com


  36. (fr) « 36 en chansons : qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ? » sur labandearuquier.com, 3 juin 2006.


  37. (fr) « 1967, La révolution sexuelle en chansons » sur toutelatele.com.


  38. (fr) « Christophe Hondelatte : les Présidentielles en chansons sur France 3. » sur leblogtvnews.com, 26 mars 2007.


  39. (fr) « Stars et comédie, un nouveau prime sur France 2 pour Laurent Ruquier » sur lezappingdupaf.com, 27 décembre 2008.


  40. Claire Varin, « Laurent Ruquier (Les Victoires de la musique) : « Je ne pense pas que l'on va renouveler le genre » » sur toutelatele.com, 8 février 2013.


  41. On les aime aussi en chanteurs sur Le Parisien, 6 avril 2013.


  42. « "On a tous quelque chose en nous de Laurent Ruquier" côté coulisses », sur rtl.fr


  43. « The Voice leader en hausse Jean Yanne déçoit sur France 2 », sur leparisien.fr


  44. « Audiences TV : mardi cinéma fait un flop sur France 2 », sur leparisien.fr


  45. Josée Guimond, « Je m'voyais déjà: Aznavour, un plaisir indémodable », sur La Presse, 4 mai 2011(consulté le 27 février 2014)


  46. Josée Guimond, « Je m'voyais déjà: grandes chansons, petite histoire », sur La Presse, 6 mai 2011(consulté le 27 février 2014)


  47. André Lapointe, « Canada – Je m'voyais déjà », sur regardencoulisse.com, 29 avril 2011(consulté le 27 février 2014)


  48. Armelle Heliot, « Ruquier, heureux propriétaire du théâtre Antoine » sur Le Figaro, 1er août 2011.


  49. « Société Le Théâtre Antoine Simone Berriau », sur Societe.com (consulté le 4 janvier 2013)


  50. Laurent Ruquier s'offre Line Renaud pour "Harold et Maude" sur Le Parisien, 26 décembre 2011.


  51. « Théâtre Antoine : Laurent Ruquier et Jean-Marc-Dumontet se séparent », sur lefigaro.fr


  52. surnom qui lui vient de son rôle dans le film du même nom.


  53. « Avec Michaël Gregorio, les petits secrets des grands imitateur », sur Le Figaro, 18 avril 2014.


  54. « Vincent Dedienne, Profession : amuseur », sur Le Petit Bulletin, 14 février 2014(consulté le 24 mars 2014).


  55. [vidéo] « Doc Gynéco s'embrouille avec Laurent Ruquier » lors de l'émission On n'est pas couché en février 2007 sur Dailymotion [précision nécessaire].


  56. « Laurent Ruquier affirme son soutien à Royal chez Ardisson » sur paslesroyal.com, 26 février 2007.


  57. Claude Askolovitch, « Le côté obscur de la farce », Vanity Fair n°39, septembre 2016, pages 98-105 et 174-176.


  58. Kevin Boucher, « Laurent Ruquier : « Je regrette d'avoir voté pour François Hollande » » sur PureMédias, 24 août 2014.


  59. « Laurent Ruquier : « Je regrette d'avoir voté pour François Hollande » » (consulté le 7 septembre 2016).


  60. « VIDEO. Florian Philippot accuse Laurent Ruquier d'être un « militant anti-FN », l'animateur le « prend comme un compliment » », Franceinfo,‎ 2 avril 2017(lire en ligne, consulté le 5 avril 2017).


  61. Présidentielle : l'appel de Laurent Ruquier sur Le Point, 30 avril 2017.


  62. « Kiss & Love : 120 artistes chantent pour sidaction », sur RFM, 1er septembre 2014(consulté le 3 septembre 2014).


  63. Jonathan Hamard, « Clip de « Kiss & Love » : 120 artistes s'engagent en faveur du Sidaction », sur Charts in France, 1er septembre 2014(consulté le 3 septembre 2014).


  64. Caroline Sallé, « Xavier Niel et Laurent Ruquier investissent dans Tipeee », sur lefigaro.fr, 16 novembre 2015(consulté le 4 octobre 2016).


  65. « 70 personnalités françaises s'unissent dans un clip contre l'homophobie », RTBF, 19 décembre 2018(consulté le 17 janvier 2019)


  66. Auriane Guerithault, « Muriel Robin, Elise Lucet, Vincent Dedienne… 70 personnalités se mobilisent pour lutter contre les violences homophobes », France Info, 19 décembre 2018(consulté le 17 janvier 2019)


  67. « Pierre Lapointe chante contre l'homophobie dans un vidéoclip français », Société Radio-Canada, 20 décembre 2018(consulté le 17 janvier 2019)


  68. Réussir son coming-out médiatique en 10 leçons, LEÇON 5 : PROFITEZ D'UN PUBLIC ACQUIS, Vanity fair, 11 juillet 2013.


  69. «Mon coming out ne m'a valu aucun grief», 20 minutes, 14 décembre 2012.


  70. Laurent Ruquier : il a dit oui à Benoît !, Yahoo !, 3 février 2012


  71. Tony Cotte, « Panique dans l'oreillette > Laurent Ruquier », sur www.toutelatele.com, 4 octobre 2008(consulté le 31 août 2014).


  72. Patrice Gascoin, « Laurent Ruquier : « Il était temps de me dévoiler » », figaro.fr,‎ 16 décembre 2012(lire en ligne, consulté le 1er mai 2015).




Annexes |


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Article connexe |


  • Bande à Ruquier


Liens externes |



  • Site officielVoir et modifier les données sur Wikidata


  • [vidéo] Laurent Ruquier sur Ina.fr

  • Site consacré à Laurent Ruquier, ses émissions et sa bande


  • (en) Laurent Ruquier sur l’Internet Movie Database


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