Coupe Davis
« Coupe du monde de tennis » et « Coupe du monde de tennis masculin » redirige ici. Pour la coupe du monde de tennis féminin, voir Fed Cup.
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Sport | Tennis |
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Création | 1900 |
Disparition | 2019 (Rachat par Kosmos) |
Organisateur(s) | ITF |
Catégorie | Par équipes nationales |
Périodicité | Annuelle |
Participants | 16 équipes (groupe mondial) |
Statut des participants | Professionnel |
Site web officiel | www.daviscup.com |
Tenant du titre | Croatie (2018) |
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Plus titré(s) | États-Unis (32) |
Pour la compétition à venir voir :
Édition 2019
Pour les articles homonymes, voir Davis.
La Coupe Davis est la plus prestigieuse des compétitions internationales annuelles de tennis masculin par équipes. Créée en 1900 par Dwight Davis, elle est gérée par la Fédération internationale de tennis. Initialement appelée International Lawn Tennis Challenge (littéralement : « défi international de tennis sur gazon »), elle n'oppose d'abord que la Grande-Bretagne et les États-Unis et ne s'ouvre à d'autres nations qu'à partir de 1904. Elle ne prend son nom actuel qu'en 1945 après la mort de son créateur. Depuis 2017, elle est également nommée Coupe du monde de tennis, tout comme la Fed Cup[1],[2], qui est considérée comme son équivalent féminin. Le caractère collectif de la Coupe Davis tranche avec les autres grands tournois de tennis, sport individuel par excellence malgré l'existence du double.
Le plus grand nombre de titres est détenu par les États-Unis avec 32 victoires sur 61 finales disputées. En deuxième position vient l'Australie, avec 28 victoires sur 47 finales disputées, dont quatre titres gagnés aux côtés de la Nouvelle-Zélande sous le nom d'Australasie. La dernière édition disputée sur ce format plus que centenaire est remportée en 2018 par la Croatie qui bat la France par 3 victoires à 1.
Le 16 août 2018, à Orlando, les membres de la Fédération internationale de tennis adoptent à la majorité des deux-tiers (71,4 % des voix) une réforme radicale de la compétition vieille de 118 ans.
À partir de 2019, elle ne se dispute plus que sur une semaine, en fin de saison, avec dix-huit équipes nationales, des matchs au meilleur des trois sets (deux simples et un double), sur terrain neutre et est plus richement dotée[3]. Le but est d'attirer de nouveau les meilleurs joueurs de l'ATP qui, une fois que la coupe Davis a été gagnée, n'y participaient plus, rendant les résultats peu crédibles aux yeux de certains spectateurs et entraînant une fuite du public et des sponsors[4],[5]. Cependant, de nombreux joueurs (actuels et anciens) expriment leur hostilité vis-à-vis de cette réforme[6]. De plus, de nombreux cadors du circuits, tels Alexander Zverev[7], Novak Djokovic et Roger Federer[8], critiquent le format de cette nouvelle compétition et surtout sa place dans le calendrier.
Sommaire
1 Histoire
2 Format de la compétition
3 Format des matchs
4 Records et statistiques
4.1 Nations
4.2 Joueurs
4.3 Rencontres
5 Palmarès
5.1 Palmarès par année
5.2 Palmarès par pays depuis 1900
5.3 Palmarès par pays depuis la fin du Challenge Round en 1972
5.4 Palmarès par pays depuis la création du groupe mondial en 1981
5.5 Pays, ville et court par nombre de finales de Coupe Davis reçues
6 Classement des nations
6.1 Méthode de calcul
6.2 Classement actuel
7 Statistiques
7.1 Nombre de nations engagées
7.2 Bilan par nation dans le groupe mondial
7.3 Victoires consécutives
7.4 Inscriptions sur la coupe
8 Bibliographie
9 Voir aussi
9.1 Articles connexes
9.2 Lien externe
10 Notes et références
10.1 Notes
10.2 Références
Histoire |
En 1899, Dwight Davis (1879-1945), un étudiant américain de l'Université Harvard, l'un des meilleurs joueurs de tennis du moment, a l'idée de créer une compétition annuelle internationale mettant aux prises les États-Unis et la Grande-Bretagne. La première coupe Davis se déroule à Boston, Massachusetts, sur les courts en gazon du Longwood Cricket Club, du 7 au 10 août 1900. L'année suivante, la rencontre n'est pas reconduite, mais en 1902 le tournoi a repris avec une nouvelle coupe, un immense saladier en argent acheté par Dwight Davis environ 1 000 $[9]. Le nom de l'équipe gagnante est gravé chaque année sur le socle qui soutient le Saladier et le vainqueur le garde jusqu'à la prochaine finale.
Entre 1900 et 1910, seulement six équipes prennent part à l'épreuve : les États-Unis, le Royaume-Uni (sous le nom d'Îles britanniques), la Belgique, la France, l'Autriche-Hongrie[10] et l'Australasie (équipe d'Australie et Nouvelle-Zélande). Très vite, pourtant, la compétition s'ouvre « à toutes les nations civilisées d'Orient en Occident », selon un slogan de la Coupe Davis au début des années 1920. 34 nations sont ainsi en compétition en 1927. La Coupe Davis est alors la seule compétition à vocation véritablement mondiale du calendrier sportif. Aujourd'hui, 133 nations[11] se disputent le Saladier d'argent.
La formule du Groupe Mondial à partir des années 80 a totalement régénéré la compétition. La Coupe Davis est redevenue un événement sportif de premier plan. Avec le développement mondial du tennis, la domination des États-Unis et de l'Australie a été battue en brèche. Les nations européennes sont devenues des puissances majeures. Il y eut la période faste de la Suède (années 1980 et 1990), de l'Allemagne, de la France, de la Russie et de l'Espagne. Au fil du temps, les matchs ont été de plus en plus mis en scène avec supporteurs bariolés, drapeaux, etc.
Mais à partir des années 2010, la Coupe Davis a connu une nouvelle période de doute. Les grands joueurs la voient de plus en plus comme un fardeau qui vient perturber leur calendrier ATP, considéré comme très chargé, des têtes de séries ne prennent pas part à la compétition, surtout dans les premiers tours. Une mesure demandée aurait été l'application d'un bye pour le gagnant. Les pays estiment aussi que l'organisation d'un match est de plus en plus difficile à assumer financièrement. Des voix demandent de nouvelles réformes. L'ITF proposa en 2017 un lifting, parfois décrié : finale sur terrain neutre, matchs en deux sets gagnants, garantie pour le finaliste de jouer à domicile[12],[13]. En 2018, l'ITF propose une nouvelle formule avec des matchs rassemblés sur une semaine, un peu comme une Coupe du Monde de foot. Une phase finale à 18 équipes réparties en six poules de trois. Cette perspective provoque une levée de boucliers.
D'autres compétitions ou exhibitions par équipes ont été créées par la suite : la World Team Cup (1989-2012), compétition masculine par pays sur une semaine, la Hopman Cup (1989-) qui rassemble 8 équipes formées par un joueur et une joueuse d'un même pays, la Laver Cup (2017-) où s'affrontent deux équipes masculines, l'une européenne et l'autre du reste du monde, le World Team Challenge (2009-) qui réunit d'anciens champions et des joueurs en activité ou encore l'International Premier Tennis League (2014-2016) qui se déroule en plusieurs tournois avec des équipes mixtes d'anciens champions et de joueurs en activité.
Format de la compétition |
Depuis sa création, la formule des rencontres est inchangée. Comme instauré par Dwight Davis, elles se déroulent sur trois jours, au cours desquels quatre simples sont entrecoupés d'un double. En revanche, la formule générale de la compétition a beaucoup évolué.
À l'origine, la nation détentrice du célèbre Saladier d'argent n'avait, l'année suivante, qu'à défendre son titre contre la nation qui avait battu toutes les autres, au cours d'une ultime rencontre appelée « Challenge Round ». D'abord regroupés en un seul championnat, les prétendants ont ensuite été répartis par zones géographiques :
- 1923 : création des zones Amérique et Europe ;
- 1952 : création de la zone Est ;
- 1959 : scission de la zone Amérique : Nord & Centre et Sud ;
- 1964 : scission de la zone Est scindée en deux : A et B ;
- 1966 : scission de la zone Europe scindée en deux : A et B.
Les vainqueurs de chaque zone se rencontraient ensuite dans une finale « inter-zone » permettant de déterminer le concurrent au titre.
La formule change une première fois en 1972, le vainqueur de l'année précédente devant désormais passer les tours comme les autres équipes. Puis le règlement est revu en profondeur en 1981, avec l'apparition d'un tableau final sur quatre tours, où s'affronte une élite des seize meilleures nations de la planète dénommée « Groupe Mondial ». Les autres équipes sont alors regroupées en trois nouvelles zones géographiques (Amérique, Asie et Océanie, Europe et Afrique), chacune subdivisées en quatre divisions (Groupe I, II, III et IV, du mieux au moins bien classé). Un système de promotions et de rétrogradations est mis en place chaque année, associé pour les groupes supérieurs à un tournoi de barrage, où les meilleures nations d'un groupe rencontrent les plus faibles du groupe supérieur.
Lorsque deux équipes sont appelées à se rencontrer, les matchs sont disputés chez celle qui s'est déplacée lors de leur dernière opposition. La surface sur laquelle se joueront les matchs est choisie par le pays hôte.
Néanmoins, deux mesures vont contrevenir face à ce dogme. À partir de 2018, les équipes finalistes sont assurées de jouer à domicile lors du 1er tour de l'édition suivante. L'autre mesure réclamée est le lieu de la finale, cette dernière se jouera sur terrain neutre, en 2019 et 2020, normalement prévu au Palexpo de Genève en surface dure, couplée à la finale de la Fed Cup.
En août 2018, l'ITF adopte un changement radical de la formule de la coupe Davis : le tournoi se déroulera sur une seule semaine, en novembre, sur terrain neutre, au meilleur de trois matchs (deux simples et un double), en trois sets[14]. Cette réforme très controversée dans le monde du tennis sera appliquée dès 2019 à Lille ou Madrid[15]. 18 équipes s'affronteront en 6 poules de 3 dont les vainqueurs et les 2 meilleurs deuxièmes se qualifieront pour les quarts de finale[16].
Format des matchs |
Quatre compositions possibles pour les équipes à choisir jusqu'à 10 jours avant le début de la rencontre sans précisions sur quel joueur jouera les simples ou le double :
- 2 joueurs + 1 capitaine joueur = 3
- 3 joueurs + 1 capitaine joueur = 4
- 3 joueurs + 1 capitaine non joueur = 3
- 4 joueurs + 1 capitaine non joueur = 4
- 5 joueurs + 1 capitaine non joueur = 5 (à partir de l'édition 2018)
Le capitaine choisit ses deux joueurs pour le simple et pour le double. Le capitaine choisit l'ordre de ses joueurs de manière arbitraire. Deux joueurs de la sélection peuvent être changés jusqu'à 1 heure avant le tirage au sort (il détermine quel n° 1 jouera le premier, il a lieu le jour précédant la rencontre à au moins 24 h du premier match).
- Vendredi premier match : n° 1 équipe X contre n° 2 équipe Y,
- Vendredi deuxième match : n° 2 équipe X contre n° 1 équipe Y
- Samedi troisième match : doubles n'importe quels joueurs de la sélection
- Dimanche quatrième match : n° 1 équipe X contre n° 1 équipe Y
- Dimanche cinquième match : n° 2 équipe X contre n° 2 équipe Y
Le remplacement d'un joueur blessé ou malade est autorisé avec l'aval du juge arbitre, en choisissant un joueur de la sélection. Pour les changements ou les remplacements du dimanche, le capitaine devra choisir un joueur n'ayant pas joué un des deux premiers matchs, c'est-à-dire que le joueur du quatrième match (le no 1) ne saurait être remplacé par le no 2 de son équipe et le joueur du cinquième match (le no 2) par le joueur no 1. Les changements doivent être faits, pour le quatrième match, jusqu'à une heure avant son début et, pour le cinquième match, jusqu'à 10 minutes après la fin du précédent.
La Coupe Davis attribue des points comptant pour le classement ATP de 2009 à 2015, en vue de motiver davantage les meilleurs joueurs à y participer[17]. Cette réforme décrite comme injuste par certains joueurs, conscients que la course aux points est défavorisée selon la nationalité, est supprimée en 2016[18].
En 1989, la Coupe Davis accepte le principe du jeu décisif (tiebreak en anglais) sauf pour la cinquième manche. En 2016, le jeu décisif est étendu pour toutes les manches. Ces deux réformes limitent le risque des matchs interminables qui faisaient le sel de la compétition. Une réforme controversée, qui ne fut pas acceptée en 2017, aurait été d'appliquer un format de deux sets gagnants aux matchs en simple[19].
Records et statistiques |
De nombreux records ont été enregistrés durant l'histoire de la Coupe Davis[20].
Nations |
Les États-Unis détiennent le record du plus grand nombre de titres : sur 61 finales disputées, ils en ont remportées 32, dont sept consécutives de 1920 à 1926. Ils sont les seuls avec la France à avoir remporté la Coupe Davis sur toutes les surfaces (gazon, terre battue, synthétique et dur). L'Australie a gagné 28 fois le trophée sur 47 finales jouées.
La Roumanie, la Belgique et l'Inde ont échoué dans les trois finales qu'elles ont atteintes. L'Argentine a quant à elle dû attendre sa cinquième finale pour enfin remporter le Saladier. L'Italie n'a remporté qu'une finale sur sept disputées.
De 1927 à 1932, l'équipe française, composée de René Lacoste, Henri Cochet, Jean Borotra et Jacques Brugnon (les « Quatre Mousquetaires »), domine la compétition avec six victoires consécutives. De 1983 à 1989, la Suède accède en finale sept fois d'affilée, mais n'en remporte que trois.
Les finales les plus fréquentes sont États-Unis - Australie (29 fois), États-Unis - Grande-Bretagne (10), et États-Unis - France (8).
De 1955 à 1957, l'équipe d'Australie remporte 28 matches de suite entre joueurs. Les États-Unis ont gagné 17 matchs consécutifs entre nations de 1968 à 1973.
Trois nations ont obtenu le Saladier d'Argent en remportant toutes les rencontres à l'extérieur : les États-Unis en 1972, la France en 2001 et l'Argentine en 2016.
Depuis 1939, aucune équipe n'a gagné la finale de la Coupe Davis en étant menée deux victoires à zéro. Cette année-là, les Australiens avaient réussi cet exploit sur le sol américain. Leur équipe n'était alors composée que de deux joueurs : Adrian Quist et John Bromwich.
De 1937 à 1973, seuls les États-Unis et l'Australie ont remporté la Coupe Davis.
Joueurs |
En individuel, Roy Emerson l'emporte huit fois avec l'équipe d'Australie, de 1959 à 1962 puis de 1964 à 1967. De même l'Américain Stan Smith participe à huit campagnes victorieuses de 1968 à 1972, puis en 1978, 1979 et 1981 mais cette dernière année, il ne joue pas la finale et ne vient jouer que le double lors du quart contre la Tchécoslovaquie[21]. Le record de finales disputées est détenu par l'Américain Bill Tilden, avec onze participations pour sept victoires.
Presque tous les très grands joueurs ont gagné au moins une fois la Coupe Davis dans leur carrière : Bill Tilden (sept fois), Fred Perry, Rod Laver et John McEnroe (cinq fois), Stefan Edberg et Rafael Nadal (quatre fois[N 1]), Mats Wilander et Ken Rosewall (trois fois), Pete Sampras, Andre Agassi, Donald Budge, Boris Becker et Lleyton Hewitt (deux fois), Roger Federer, Björn Borg, Jimmy Connors, Ivan Lendl et Novak Djokovic (une fois). Parmi ceux qui ne l'ont jamais remportée, on peut citer Ilie Năstase et David Nalbandian (trois finales perdues), Guillermo Vilas (une) et Gustavo Kuerten (aucune disputée).
Moins connu du grand public, le Suédois Jonas Björkman a gagné trois fois le trophée (1994, 1997 et 1998). De même son compatriote Anders Järryd participe aux sept campagnes successives entre 1983 et 1989 durant lesquelles son équipe arrive chaque fois en finale (pour en remporter trois : 1984, 1985 et 1987[N 2]). Les Espagnols David Ferrer et Feliciano López ont également gagné trois Coupe Davis, en 2008, 2009 et 2011.
Le joueur italien Nicola Pietrangeli détient le record du nombre de matchs disputés (164 entre 1954 et 1968). Il n'a cependant jamais remporté l'épreuve. Il détient aussi les records de victoires en simple (78), et du double le plus souvent victorieux (34) avec Orlando Sirola. Le record de victoires en double est détenu par l'Indien Leander Paes[22]. Parmi les grands champions les plus assidus, Ilie Năstase a joué 146 matchs (simples et doubles), Guillermo Vilas 81, Stefan Edberg et Roger Federer 70, John McEnroe 69, Boris Becker 65 et Mats Wilander 61.
Le Chypriote Márcos Baghdatís détient le record de la plus longue série de victoires en simple (36 entre 2003 et 2016)[23], mais son pays n'a jamais dépassé le stade du Groupe continental II. Si l'on s'en tient aux match d'"élite", le Suédois Björn Borg a enchaîné 33 victoires consécutives en simple entre 1973 et 1980, tout en remportant la coupe en 1975. La paire indienne formée par Leander Paes et Mahesh Bhupathi a réussi quant à elle la plus longue série de victoires en double (24 entre 1997 et 2010).
L'Américain Tut Bartzen a gagné les seize matchs de Coupe Davis qu'il a disputés entre 1952 et 1961 (quinze simples et un double).
En 1982, McEnroe a gagné douze matchs sur douze, huit simples et quatre doubles. Seul cas dans l'Histoire.
Trois joueurs ont gagné les huit simples possibles dans une campagne : John McEnroe (en 1982), Mats Wilander (en 1983) et Andy Murray (en 2015)[24].
En s'imposant dans le cinquième match lors des finales de 2013 puis 2014, Radek Štěpánek devient de son côté le plus vieux joueur à gagner le simple décisif, et le premier à le remporter deux années de suite[25],[26].
Rencontres |
Le match le plus long de l'histoire de la Coupe Davis est le double opposant la paire suisse Stanislas Wawrinka - Marco Chiudinelli aux Tchèques Tomáš Berdych et Lukáš Rosol lors du premier tour de l'édition 2013, le 2 février dans la halle 7 du Palexpo à Genève. Le duo tchèque s'impose après 7 h 2 min de match, sur le score de 4-6, 7-5, 4-6, 7-6, 22-24. 91 jeux seront inscrits durant la partie, ce qui constitue un autre record[27].
Le simple le plus long est celui entre l'Argentin Leonardo Mayer et le Brésilien João Souza au premier tour de l'édition 2015, le 8 mars au Tecnópolis de Buenos Aires. Le premier nommé, à domicile, l'emporte en 6 h 43 min, sur un score de 7-6, 7-6, 5-7, 5-7, 15-13. Parmi les autres matches marathons, on peut citer la victoire de l'Américain John McEnroe contre le Suédois Mats Wilander en 1982, lors des quarts de finale au Checkerdome de Saint-Louis, dans le Missouri (9-7, 6-2, 15-17, 3-6, 8-6 en 6 h 22 min)[28], puis sa défaite contre l'Allemand Boris Becker durant les barrages de 1987 au Civic Center d'Hartford, dans le Connecticut (4-6, 15-13, 8-10, 6-2, 6-2 en 6 h 21 min)[29].
La finale de 1996 est la première dans l'histoire de la compétition où la Coupe se joue dans le cinquième set du cinquième match. Le Français Arnaud Boetsch s'y impose 10-8, en sauvant trois balles de match sur son service à 7-8, 0-40 face au Suédois Nicklas Kulti.
Le 21 novembre 2014, le Stade Pierre-Mauroy, situé à Villeneuve-d'Ascq (Lille) et configuré en arena, accueille 27 432 spectateurs pour le premier duel de la finale France-Suisse, qui oppose Jo-Wilfried Tsonga à Stanislas Wawrinka. C'est le record d'affluence pour un match de Coupe Davis. Le précédent datait de 2004, lors du choc entre Carlos Moyà et Andy Roddick en finale d'Espagne-États-Unis, où 27 200 spectateurs s'étaient rendus au Stade olympique de Séville, et avant cela 1954, pour la finale Australie-États-Unis à Sydney, à laquelle 25 578 spectateurs assistaient.
En 2002, la Russie gagne la Coupe Davis en France lors du cinquième match, grâce à une victoire en cinq manches de Mikhail Youzhny sur Paul-Henri Mathieu après avoir été mené deux manches à zéro. C'est la seule fois où un pays s'est imposé sur un tel renversement dans la dernière rencontre.
L'affrontement le plus serré de l'histoire a lieu lors des barrages de 2003, quand la Roumanie s'impose en Équateur par trois victoires à deux, toutes en cinq sets. Avec 21 h 37 min de durée cumulée (et 281 jeux inscrits), c'est aussi la plus longue rencontre de la compétition. Seule la finale de la Zone Est en 1974 entre l'Inde et l'Australie compte un plus grand nombre de jeux marqués (327).
Palmarès |
Représentation du Saladier d'Argent.
Palmarès par année |
Édition | Vainqueur | Score | Vaincu | Date | Lieu | Ville | Pays | Surface | ||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1900 | États-Unis | 3-0 | Îles Britanniques | 8 - 10 août | Longwood Cricket Club | Boston | États-Unis | Gazon | ||||
1901 | Non disputée | |||||||||||
1902 | États-Unis | 3-2 | Îles Britanniques | 6 - 8 août | Crescent Athletic Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1903 | Îles Britanniques | 4-1 | États-Unis | 4 - 8 août | Longwood Cricket Club | Boston | États-Unis | Gazon | ||||
1904 | Îles Britanniques | 5-0 | Belgique | 2 - 5 juillet | Wimbledon, Worple Road | Londres | Royaume-Uni | Gazon | ||||
1905 | Îles Britanniques | 5-0 | États-Unis | 21 - 24 juillet | Wimbledon, Worple Road | Londres | Royaume-Uni | Gazon | ||||
1906 | Îles Britanniques | 5-0 | États-Unis | 21 - 24 juin | Wimbledon, Worple Road | Londres | Royaume-Uni | Gazon | ||||
1907 | Australasie | 3-2 | Îles Britanniques | 20 - 23 juillet | Wimbledon, Worple Road | Londres | Royaume-Uni | Gazon | ||||
1908 | Australasie | 3-2 | États-Unis | 27 - 30 novembre | Albert Ground | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
1909 | Australasie | 5-0 | États-Unis | 27 - 30 novembre | Double Bay Grounds | Sydney | Australie | Gazon | ||||
1910 | Non disputée | |||||||||||
1911 | Australasie | 5-0 | États-Unis | 1er - 3 janvier 1912 | Hagley Park | Christchurch | Nouvelle-Zélande | Gazon | ||||
1912 | Îles Britanniques | 3-2 | Australasie | 28 - 30 novembre | Australasia Albert Ground | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
1913 | États-Unis | 3-2 | Royaume-Uni | 25 - 28 juillet | Wimbledon, Worple Road | Londres | Royaume-Uni | Gazon | ||||
1914 | Australie | 3-2 | États-Unis | 13 - 15 août | West Side Tennis Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1915 | Non disputées : Première Guerre mondiale | |||||||||||
1916 | ||||||||||||
1917 | ||||||||||||
1918 | ||||||||||||
1919 | Australie | 4-1 | Royaume-Uni | 16 - 21 janvier 1920 | Double Bay Grounds | Sydney | Australie | Gazon | ||||
1920 | États-Unis | 5-0 | Australie | 30 déc. - 2 jan. 1921 | Domain Cricket Club | Auckland | Nouvelle-Zélande | Gazon | ||||
1921 | États-Unis | 5-0 | Japon | 2 - 5 septembre | West Side Tennis Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1922 | États-Unis | 4-1 | Australie | 1er - 5 septembre | West Side Tennis Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1923 | États-Unis | 4-1 | Australie | 31 août - 1er sept. | West Side Tennis Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1924 | États-Unis | 5-0 | Australie | 11 - 13 septembre | Germantown Cricket | Philadelphie | États-Unis | Gazon | ||||
1925 | États-Unis | 5-0 | France | 11 - 13 septembre | Germantown Cricket | Philadelphie | États-Unis | Gazon | ||||
1926 | États-Unis | 4-1 | France | 9 - 11 septembre | Germantown Cricket | Philadelphie | États-Unis | Gazon | ||||
1927 | France | 3-2 | États-Unis | 8 - 10 septembre | Germantown Cricket | Philadelphie | États-Unis | Gazon | ||||
1928 | France | 4-1 | États-Unis | 27 - 29 juillet | Stade Roland-Garros | Paris | France | Terre battue | ||||
1929 | France | 3-2 | États-Unis | 26 - 28 juillet | Stade Roland-Garros | Paris | France | Terre battue | ||||
1930 | France | 4-1 | États-Unis | 25 - 27 juillet | Stade Roland-Garros | Paris | France | Terre battue | ||||
1931 | France | 3-2 | Royaume-Uni | 24 - 26 juillet | Stade Roland-Garros | Paris | France | Terre battue | ||||
1932 | France | 3-2 | États-Unis | 29 - 31 juillet | Stade Roland-Garros | Paris | France | Terre battue | ||||
1933 | Royaume-Uni | 3-2 | France | 28 - 30 juillet | Stade Roland-Garros | Paris | France | Terre battue | ||||
1934 | Royaume-Uni | 4-1 | États-Unis | 28 - 31 juillet | Wimbledon, court central | Londres | Royaume-Uni | Gazon | ||||
1935 | Royaume-Uni | 5-0 | États-Unis | 27 - 30 juillet | Wimbledon, court central | Londres | Royaume-Uni | Gazon | ||||
1936 | Royaume-Uni | 3-2 | Australie | 25 - 28 juillet | Wimbledon, court central | Londres | Royaume-Uni | Gazon | ||||
1937 | États-Unis | 4-1 | Royaume-Uni | 24 - 27 juillet | Wimbledon, court central | Londres | Royaume-Uni | Gazon | ||||
1938 | États-Unis | 3-2 | Australie | 3 - 5 septembre | Germantown Cricket | Philadelphie | États-Unis | Gazon | ||||
1939 | Australie | 3-2 | États-Unis | 2 - 5 septembre | Merion Cricket Club | Haverford | États-Unis | Gazon | ||||
1940 | Non disputée : Seconde Guerre mondiale | |||||||||||
1941 | ||||||||||||
1942 | ||||||||||||
1943 | ||||||||||||
1944 | ||||||||||||
1945 | ||||||||||||
1946 | États-Unis | 5-0 | Australie | 26 - 30 décembre | Kooyong | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
1947 | États-Unis | 4-1 | Australie | 30 août - 1er sept. | West Side Tennis Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1948 | États-Unis | 5-0 | Australie | 4 - 6 septembre | West Side Tennis Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1949 | États-Unis | 4-1 | Australie | 26 - 28 août | West Side Tennis Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1950 | Australie | 4-1 | États-Unis | 26 - 27 août | West Side Tennis Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1951 | Australie | 3-2 | États-Unis | 26 - 28 décembre | Estadio de White City | Sydney | Australie | Gazon | ||||
1952 | Australie | 4-1 | États-Unis | 29 - 31 décembre | Memorial Drive | Adélaïde | Australie | Gazon | ||||
1953 | Australie | 3-2 | États-Unis | 28 - 31 décembre | Kooyong | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
1954 | États-Unis | 3-2 | Australie | 27 - 29 décembre | Stade de White City | Sydney | Australie | Gazon | ||||
1955 | Australie | 5-0 | États-Unis | 26 - 28 août | West Side Tennis Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1956 | Australie | 5-0 | États-Unis | 26 - 28 décembre | Memorial Drive | Adélaïde | Australie | Gazon | ||||
1957 | Australie | 3-2 | États-Unis | 26 - 28 décembre | Kooyong | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
1958 | États-Unis | 3-2 | Australie | 29 - 31 décembre | Milton Courts | Brisbane | Australie | Gazon | ||||
1959 | Australie | 3-2 | États-Unis | 28 - 31 août | West Side Tennis Club | New York | États-Unis | Gazon | ||||
1960 | Australie | 4-1 | Italie | 26 - 28 décembre | Estadio de White City | Sydney | Australie | Gazon | ||||
1961 | Australie | 5-0 | Italie | 26 - 28 décembre | Kooyong | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
1962 | Australie | 5-0 | Mexique | 26 - 28 décembre | Milton Courts | Brisbane | Australie | Gazon | ||||
1963 | États-Unis | 3-2 | Australie | 26 - 28 décembre | Memorial Drive | Adélaïde | Australie | Gazon | ||||
1964 | Australie | 3-2 | États-Unis | 25 - 28 septembre | Harold Clark Courts | Cleveland | États-Unis | Terre battue | ||||
1965 | Australie | 4-1 | Espagne | 27 - 29 décembre | Stade de White City | Sydney | Australie | Gazon | ||||
1966 | Australie | 4-1 | Inde | 26 - 28 décembre | Kooyong | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
1967 | Australie | 4-1 | Espagne | 26 - 28 décembre | Milton Courts | Brisbane | Australie | Gazon | ||||
1968 | États-Unis | 4-1 | Australie | 26 - 28 décembre | Memorial Drive | Adélaïde | Australie | Gazon | ||||
1969 | États-Unis | 5-0 | Roumanie | 19 - 21 septembre | Harold Clark Courts | Cleveland | États-Unis | Dur | ||||
1970 | États-Unis | 5-0 | Allemagne de l'Ouest | 29 - 31 août | Harold Clark Courts | Cleveland | États-Unis | Dur | ||||
1971 | États-Unis | 3-2 | Roumanie | 8 - 11 octobre | Olde Providence Raquette Club | Charlotte | États-Unis | Terre battue (verte) | ||||
1972 | États-Unis | 3-2 | Roumanie | 13 - 15 octobre | Club Sportiv Progresul | Bucarest | Roumanie | Terre battue | ||||
1973 | Australie | 5-0 | États-Unis | 30 nov. - 2 déc. | Auditorium Public | Cleveland | États-Unis | Synthétique (int.) | ||||
1974 | Afrique du Sud | - | Inde | L'Inde perd par forfait en ne se rendant pas en Afrique du Sud pour protester contre l'apartheid. | ||||||||
1975 | Suède | 3-2 | Tchécoslovaquie | 19 - 21 décembre | Kungliga Tennishalle | Stockholm | Suède | Synthétique (int.) | ||||
1976 | Italie | 4-1 | Chili | 17 - 19 décembre | Stade National | Santiago | Chili | Terre battue | ||||
1977 | Australie | 3-1 | Italie | 2 - 4 décembre | Stade de White City | Sydney | Australie | Gazon | ||||
1978 | États-Unis | 4-1 | Royaume-Uni | 8 - 10 décembre | Mission Hills | Rancho Mirage | États-Unis | Dur | ||||
1979 | États-Unis | 5-0 | Italie | 14 - 16 décembre | Civic Auditorium | San Francisco | États-Unis | Synthétique (int.) | ||||
1980 | Tchécoslovaquie | 4-1 | Italie | 5 - 7 décembre | Sportovni hala | Prague | Tchécoslovaquie | Synthétique (int.) | ||||
1981 | États-Unis | 3-1 | Argentine | 11 - 13 décembre | Riverfront Coliseum | Cincinnati | États-Unis | Synthétique (int.) | ||||
1982 | États-Unis | 4-1 | France | 26 - 28 novembre | Palais des sports de Grenoble | Grenoble | France | Terre battue (int.) | ||||
1983 | Australie | 3-2 | Suède | 26 - 28 décembre | Kooyang | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
1984 | Suède | 4-1 | États-Unis | 16 - 18 décembre | Scandinavium | Göteborg | Suède | Terre battue (int.) | ||||
1985 | Suède | 3-2 | Allemagne de l'Ouest | 20 - 22 décembre | Olympiahalle | Munich | Allemagne de l'Ouest | Synthétique (int.) | ||||
1986 | Australie | 3-2 | Suède | 26 - 28 décembre | Kooyang | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
1987 | Suède | 5-0 | Inde | 18 - 20 décembre | Scandinavium | Göteborg | Suède | Terre battue (int.) | ||||
1988 | Allemagne de l'Ouest | 4-1 | Suède | 16 - 18 décembre | Scandinavium | Göteborg | Suède | Terre battue (int.) | ||||
1989 | Allemagne de l'Ouest | 3-2 | Suède | 15 - 17 décembre | Hanns-Martin-Schleyer-Halle | Stuttgart | Allemagne de l'Ouest | Synthétique (int.) | ||||
1990 | États-Unis | 3-2 | Australie | 30 nov. - 2 déc. | SunCoast Dome | St. Petersburg | États-Unis | Terre battue (int.) | ||||
1991 | France | 3-1 | États-Unis | 29 nov. - 1er déc. | Palais des sports de Lyon | Lyon | France | Synthétique (int.) | ||||
1992 | États-Unis | 3-1 | Suisse | 4 - 6 décembre | Tarrant Country Centre | Fort Worth | États-Unis | Dur (int.) | ||||
1993 | Allemagne | 4-1 | Australie | 3 - 5 décembre | Palais des Expositions | Düsseldorf | Allemagne | Terre battue (int.) | ||||
1994 | Suède | 4-1 | Russie | 2 - 4 décembre | Stade Olympique | Moscou | Russie | Synthétique (int.) | ||||
1995 | États-Unis | 3-2 | Russie | 1er - 3 décembre | Stade Olympique | Moscou | Russie | Terre battue (int.) | ||||
1996 | France | 3-2 | Suède | 29 nov. - 1er déc. | Centre Massan | Malmö | Suède | Dur (int.) | ||||
1997 | Suède | 5-0 | États-Unis | 28 - 30 novembre | Scandinavium | Göteborg | Suède | Synthétique (int.) | ||||
1998 | Suède | 4-1 | Italie | 4 - 6 décembre | Forum | Milan | Italie | Terre battue (int.) | ||||
1999 | Australie | 3-2 | France | 2 - 5 décembre | Acropolis Expositions | Nice | France | Terre battue (int.) | ||||
2000 | Espagne | 3-1 | Australie | 8 - 10 décembre | Palau Sant Jordi | Barcelone | Espagne | Terre battue (int.) | ||||
2001 | France | 3-2 | Australie | 30 nov. - 2 déc. | Rod Laver Arena | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
2002 | Russie | 3-2 | France | 29 nov. - 1er déc. | Palais omnisports de Paris-Bercy | Paris | France | Terre battue (int.) | ||||
2003 | Australie | 3-1 | Espagne | 28 - 30 novembre | Rod Laver Arena | Melbourne | Australie | Gazon | ||||
2004 | Espagne | 3-2 | États-Unis | 2 - 5 décembre | Stade olympique | Séville | Espagne | Terre battue (int.) | ||||
2005 | Croatie | 3-2 | Slovaquie | 2 - 4 décembre | Sibamac Arena | Bratislava | Slovaquie | Dur (int.) | ||||
2006 | Russie | 3-2 | Argentine | 1er - 3 décembre | Stade Olympique | Moscou | Russie | Dur (int.) | ||||
2007 | États-Unis | 4-1 | Russie | 29 nov. - 2 déc. | Memorial Coliseum | Portland | États-Unis | Dur (int.) | ||||
2008 | Espagne | 3-1 | Argentine | 21 - 23 novembre | Estadio Polideportivo Islas Malvinas | Mar del Plata | Argentine | Dur (int.) | ||||
2009 | Espagne | 5-0 | République tchèque | 4 - 6 décembre | Palau Sant Jordi | Barcelone | Espagne | Terre battue (int.) | ||||
2010 | Serbie | 3-2 | France | 3 - 5 décembre | Belgrade Arena | Belgrade | Serbie | Dur (int.) | ||||
2011 | Espagne | 3-1 | Argentine | 2 - 4 décembre | Stade olympique | Séville | Espagne | Terre battue (int.) | ||||
2012 | République tchèque | 3-2 | Espagne | 16 - 18 novembre | O2 Arena | Prague | République tchèque | Dur (int.) | ||||
2013 | République tchèque | 3-2 | Serbie | 15 - 17 novembre | Belgrade Arena | Belgrade | Serbie | Dur (int.) | ||||
2014 | Suisse | 3-1 | France | 21 - 23 novembre | Stade Pierre-Mauroy | Villeneuve-d'Ascq | France | Terre battue (int.) | ||||
2015 | Grande-Bretagne | 3-1 | Belgique | 27 - 29 novembre | Flanders Expo | Gand | Belgique | Terre battue (int.) | ||||
2016 | Argentine | 3-2 | Croatie | 25 - 27 novembre | Arena Zagreb | Zagreb | Croatie | Dur (int.) | ||||
2017 | France | 3-2 | Belgique | 24 - 26 novembre | Stade Pierre-Mauroy | Villeneuve-d'Ascq | France | Dur (int.) | ||||
2018 | Croatie | 3-1 | France | 23 - 25 novembre | Stade Pierre-Mauroy | Villeneuve-d'Ascq | France | Terre battue (int.) |
Palmarès par pays depuis 1900 |
Pays | Rang | Titres | Années de victoire | Finales | Années de défaite en finale |
---|---|---|---|---|---|
États-Unis | 1 | 32 | 1900, 1902, 1913, 1920, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1926, 1937, 1938, 1946, 1947, 1948, 1949, 1954, 1958, 1963, 1968, 1969, 1970, 1971, 1972, 1978, 1979, 1981, 1982, 1990, 1992, 1995, 2007 | 29 | 1903, 1905, 1906, 1908, 1909, 1911, 1914, 1927, 1928, 1929, 1930, 1932, 1934, 1935, 1939, 1950, 1951, 1952, 1953, 1955, 1956, 1957, 1959, 1964, 1973, 1984, 1991, 1997, 2004 |
Australie Australasie | 2 | 28 | 1907, 1908, 1909, 1911, 1914, 1919, 1939, 1950, 1951, 1952, 1953, 1955, 1956, 1957, 1959, 1960, 1961, 1962, 1964, 1965, 1966, 1967, 1973, 1977, 1983, 1986, 1999, 2003 | 19 | 1912, 1920, 1922, 1923, 1924, 1936, 1938, 1946, 1947, 1948, 1949, 1954, 1958, 1963, 1968, 1990, 1993, 2000, 2001 |
France | 3 | 10 | 1927, 1928, 1929, 1930, 1931, 1932, 1991, 1996, 2001, 2017 | 9 | 1925, 1926, 1933, 1982, 1999, 2002, 2010, 2014, 2018 |
Royaume-Uni Îles Britanniques | 4 | 10 | 1903, 1904, 1905, 1906, 1912, 1933, 1934, 1935, 1936, 2015 | 8 | 1900, 1902, 1907, 1913, 1919, 1931, 1937, 1978 |
Suède | 5 | 7 | 1975, 1984, 1985, 1987, 1994, 1997, 1998 | 5 | 1983, 1986, 1988, 1989, 1996 |
Espagne | 6 | 5 | 2000, 2004, 2008, 2009, 2011 | 4 | 1965, 1967, 2003, 2012 |
République tchèque Tchécoslovaquie | 7 | 3 | 1980, 2012, 2013 | 2 | 1975, 2009 |
Allemagne Allemagne de l'Ouest | 8 | 3 | 1988, 1989, 1993 | 2 | 1970, 1985 |
Russie | 9 | 2 | 2002, 2006 | 3 | 1994, 1995, 2007 |
Croatie | 10 | 2 | 2005, 2018 | 1 | 2016 |
Italie | 11 | 1 | 1976 | 6 | 1960, 1961, 1977, 1979, 1980, 1998 |
Argentine | 12 | 1 | 2016 | 4 | 1981, 2006, 2008, 2011 |
Serbie | 13 | 1 | 2010 | 1 | 2013 |
Suisse | 14 | 1 | 2014 | 1 | 1992 |
Afrique du Sud | 15 | 1 | 1974 | 0 | |
Inde | 16 | 0 | 3 | 1966, 1974, 1987 | |
Roumanie | 17 | 0 | 3 | 1969, 1971, 1972 | |
Belgique | 18 | 0 | 3 | 1904, 2015, 2017 | |
Japon | 19 | 0 | 1 | 1921 | |
Mexique | 20 | 0 | 1 | 1962 | |
Chili | 21 | 0 | 1 | 1976 | |
Slovaquie | 22 | 0 | 1 | 2005 |
- Le palmarès de l'Australasie (union de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande) est intégré à celui de l'Australie[30].
- Le palmarès de l'Allemagne de l'Ouest (scission de l'Allemagne, en deux avec l'Allemagne de l'Est) est intégré à celui de l'Allemagne[31].
- Le palmarès des Îles Britanniques (nom utilisé par l'équipe du Royaume-Uni à ses débuts) est intégré à celui du Royaume-Uni[32].
- Le palmarès de la Tchécoslovaquie (union de la République tchèque et de la Slovaquie) est intégré à celui de la République tchèque[33]. Les joueurs de la victoire 1980 et de la finale de 1975 étaient tous d'origine tchèque et non slovaque.
Palmarès par pays depuis la fin du Challenge Round en 1972 |
Pays | Titres | Années de victoire | Finales perdues | Années de défaite en finale |
---|---|---|---|---|
États-Unis | 9 | 1972, 1978, 1979, 1981, 1982, 1990, 1992, 1995, 2007 | 5 | 1973, 1984, 1991, 1997, 2004 |
Suède | 7 | 1975, 1984, 1985, 1987, 1994, 1997, 1998 | 5 | 1983, 1986, 1988, 1989, 1996 |
Australie | 6 | 1973, 1977, 1983, 1986, 1999, 2003 | 4 | 1990, 1993, 2000, 2001 |
Espagne | 5 | 2000, 2004, 2008, 2009, 2011 | 2 | 2003, 2012 |
France | 4 | 1991, 1996, 2001, 2017 | 6 | 1982, 1999, 2002, 2010, 2014, 2018 |
République tchèque | 3 | 1980, 2012, 2013 | 2 | 1975, 2009 |
Allemagne | 3 | 1988, 1989, 1993 | 1 | 1985 |
Russie | 2 | 2002, 2006 | 3 | 1994, 1995, 2007 |
Croatie | 2 | 2005, 2018 | 1 | 2016 |
Italie | 1 | 1976 | 4 | 1977, 1979, 1980, 1998 |
Argentine | 1 | 2016 | 4 | 1981, 2006, 2008, 2011 |
Serbie | 1 | 2010 | 1 | 2013 |
Suisse | 1 | 2014 | 1 | 1992 |
Royaume-Uni | 1 | 2015 | 1 | 1978 |
Afrique du Sud | 1 | 1974 | 0 | |
Inde | 0 | 2 | 1974, 1987 | |
Belgique | 0 | 2 | 2015, 2017 | |
Roumanie | 0 | 1 | 1972 | |
Chili | 0 | 1 | 1976 | |
Slovaquie | 0 | 1 | 2005 |
La compétition devient open à partir de 1973. Pour le palmarès "Ère open" il faut donc déduire une victoire des États-Unis et une finale de la Roumanie.
Palmarès par pays depuis la création du groupe mondial en 1981 |
Pays | Titres | Années de victoire | Finales perdues | Années de défaite en finale |
---|---|---|---|---|
Suède | 6 | 1984, 1985, 1987, 1994, 1997, 1998 | 5 | 1983, 1986, 1988, 1989, 1996 |
États-Unis | 6 | 1981, 1982, 1990, 1992, 1995, 2007 | 4 | 1984, 1991, 1997, 2004 |
Espagne | 5 | 2000, 2004, 2008, 2009, 2011 | 2 | 2003, 2012 |
France | 4 | 1991, 1996, 2001, 2017 | 6 | 1982, 1999, 2002, 2010, 2014, 2018 |
Australie | 4 | 1983, 1986, 1999, 2003 | 4 | 1990, 1993, 2000, 2001 |
Allemagne | 3 | 1988, 1989, 1993 | 1 | 1985 |
Russie | 2 | 2002, 2006 | 3 | 1994, 1995, 2007 |
République tchèque | 2 | 2012, 2013 | 1 | 2009 |
Argentine | 1 | 2016 | 4 | 1981, 2006, 2008, 2011 |
Croatie | 2 | 2005, 2018 | 1 | 2016 |
Serbie | 1 | 2010 | 1 | 2013 |
Suisse | 1 | 2014 | 1 | 1992 |
Royaume-Uni | 1 | 2015 | 0 | |
Belgique | 0 | 2 | 2015, 2017 | |
Italie | 0 | 1 | 1998 | |
Slovaquie | 0 | 1 | 2005 |
Pays, ville et court par nombre de finales de Coupe Davis reçues |
Première colonne : pays ayant reçu la finale de la Coupe Davis,
deuxième colonne : ville ayant reçu au moins deux fois la Coupe Davis,
troisième colonne : court ayant reçu au moins deux fois la Coupe Davis,
entre parenthèses le nombre de finales de Coupe Davis accueillies. Mis à jour avec la finale 2018.
Pays | Ville | Court | |||
---|---|---|---|---|---|
1 | États-Unis (30) | 1 | New York (11) | 1 | West Side Tennis Club, New York (10) |
2 | Australie (25) | 1 | Melbourne (11) | 2 | Kooyong Stadium, Melbourne (7) |
3 | France (13) | 3 | Londres (9) | 3 | Stade de Roland Garros, Paris (6) |
4 | Royaume-Uni (9) | 4 | Paris (7) | 4 | Germantown Cricket Club, Philadelphie (5) |
5 | Suède (6) | 6 | Sydney (6) | 4 | White City Stadium, Sydney (5) |
6 | Espagne (4) | 6 | Philadelphie (5) | 4 | Worple Road, Londres (5) |
7 | Allemagne (3) | 7 | Adélaïde (4) | 7 | Wimbledon, Londres (4) |
7 | Russie (3) | 7 | Cleveland (4) | 7 | Memorial Drive Tennis Centre, Adélaïde (4) |
9 | Nouvelle-Zélande (2) | 7 | Göteborg (4) | 7 | Scandinavium, Göteborg (4) |
9 | République tchèque (2) | 10 | Brisbane (3) | 10 | Milton Courts, Brisbane (3) |
9 | Serbie (2) | 10 | Moscou (3) | 10 | Harold Clark Courts, Cleveland (3) |
12 | Roumanie (1) | 12 | Villeneuve-d'Ascq (3) | 10 | Olympic Stadium, Moscou (3) |
12 | Chili (1) | 12 | Barcelone (2) | 13 | Stade Pierre-Mauroy, Villeneuve-d'Ascq (3) |
12 | Italie (1) | 12 | Séville (2) | 13 | Palau Sant Jordi, Barcelone (2) |
12 | Slovaquie (1) | 12 | Prague (2) | 13 | Estadio de La Cartuja, Séville (2) |
12 | Argentine (1) | 12 | Belgrade (2) | 13 | Belgrade Arena, Belgrade (2) |
12 | Belgique (1) | 12 | Boston (2) | 13 | Longwood Cricket Club, Boston (2) |
12 | Croatie (1) |
Villes ayant accueilli une seule fois la finale :
- États-Unis (8) : Haverford, Charlotte, Rancho Mirage, Cincinnati, San Francisco, St. Petersburg, Fort Worth, Portland
- France (3) : Grenoble, Lyon, Nice
- Allemagne (3) : Munich, Stuttgart, Düsseldorf
- Nouvelle-Zélande (2) : Christchurch, Auckland
- Suède (2) : Stockholm, Malmö
- Roumanie : Bucarest
- Chili : Santiago
- Italie : Milan
- Slovaquie : Bratislava
- Argentine : Mar del Plata
- Belgique : Gand
- Croatie : Zagreb
Le stade de Roland Garros à Paris en France a accueilli le record de 6 finales de suite. La France y a gagné le record de cinq victoires en finales de suite dans la même ville.
Wimbledon est une ville indépendante de Londres avant les années 1960, tout comme Villeneuve d'Ascq l'est actuellement de Lille.
Classement des nations |
En 2001, la Fédération internationale de tennis a créé un classement des nations basé sur les résultats obtenus en Coupe Davis lors des quatre dernières années.
Ce classement sert notamment à déterminer les nations têtes de série à tous les niveaux de la compétition.
Méthode de calcul |
Le classement tient compte des résultats des quatre dernières années, il est mis à jour après chaque rencontre.
Les points sont attribués de la manière suivante :
- Points gagnés en fonction du tour atteint en groupe mondial :
Tour | Année A en cours | Année A-1 | Année A-2 | Année A-3 |
---|---|---|---|---|
Victoire | 8000 | 6000 | 4000 | 2000 |
Finale | 6000 | 4500 | 3000 | 1500 |
Demi-finale | 4000 | 3000 | 2000 | 1000 |
Quart de finale | 2000 | 1500 | 1000 | 500 |
Match de barrage gagné | 1000 | 750 | 500 | 250 |
Voir aussi les points gagnés pour les groupes I à IV
- Un bonus s'ajoute si l'adversaire battu a un meilleur classement :
Classement | Points |
---|---|
1-2 | 100 |
3-4 | 90 |
5-8 | 75 |
9-16 | 50 |
17-32 | 40 |
33-64 | 25 |
- Un bonus supplémentaire de 25 % est accordé pour les victoires à l'extérieur.
Classement actuel |
Classement du 9 avril 2018[34]
Classement | Nation | Points | Joués (2014-2018) |
---|---|---|---|
1. | France | 31 662,5 | 13 |
2. | Argentine | 19 403,75 | 11 |
3. | Belgique | 18 526,25 | 13 |
4. | Croatie | 16 592,5 | 11 |
5. | Grande-Bretagne | 14 916,25 | 10 |
6. | États-Unis | 10 411,88 | 9 |
7. | Espagne | 9 561,88 | 9 |
8. | Australie | 7 212,5 | 10 |
9. | Suisse | 6 487,5 | 9 |
10. | Serbie | 6 312,5 | 9 |
Statistiques |
Nombre de nations engagées |
Alors qu'initialement la Coupe Davis ne constitue qu'un challenge entre les États-Unis et la Grande-Bretagne lors de ses trois premières éditions, six nations sont ajoutées jusqu'en 1913.
Le nombre de pays participants augmente régulièrement malgré les deux guerres, et la progression s'intensifie dans les années 1980 pour atteindre le cap de cent participants en 1993.
Depuis 2000, environ 125 pays prennent part à la compétition chaque année.
Bilan par nation dans le groupe mondial |
Pays | Victoires | Défaites |
---|---|---|
Afrique du Sud | 3 | 4 |
Allemagne | 32 | 31 |
Argentine | 39 | 24 |
Australie | 50 | 26 |
Autriche | 5 | 17 |
Belgique | 10 | 18 |
Biélorussie | 3 | 4 |
Brésil | 6 | 13 |
Canada | 3 | 9 |
Chili | 3 | 9 |
Corée du Sud | 0 | 3 |
Croatie | 15 | 14 |
Cuba | 0 | 1 |
Danemark | 1 | 9 |
Équateur | 1 | 5 |
Espagne | 38 | 26 |
États-Unis | 62 | 30 |
France | 53 | 32 |
Grande-Bretagne | 11 | 15 |
Hongrie | 0 | 2 |
Inde | 7 | 13 |
Indonésie | 0 | 2 |
Irlande | 0 | 1 |
Israël | 3 | 10 |
Italie | 21 | 26 |
Japon | 1 | 7 |
Kazakhstan | 4 | 6 |
Maroc | 0 | 3 |
Mexique | 2 | 10 |
Nouvelle-Zélande | 5 | 8 |
Paraguay | 4 | 7 |
Pays-Bas | 8 | 18 |
Pérou | 0 | 1 |
Pologne | 0 | 1 |
Roumanie | 3 | 14 |
République tchèque | 37 | 34 |
Russie | 28 | 24 |
Serbie | 21 | 18 |
Slovaquie | 5 | 7 |
Suède | 56 | 25 |
Suisse | 13 | 25 |
Zimbabwe | 1 | 3 |
- Statistiques des rencontres depuis l'instauration du groupe mondial et la fin de l'ère open, de 1981 à 2017
- Les statistiques de la Russie comprennent celles de l'Union soviétique et les statistiques de la République tchèque celles de la Tchécoslovaquie. La Serbie est l'héritière statistique de la Yougoslavie pour tous les sports, tennis inclus.
Victoires consécutives |
Pays | Victoires consécutives |
---|---|
États-Unis | 7 (1920-1926) |
France | 6 (1927-1932) |
États-Unis | 5 (1968-1972) |
Depuis l'abandon du système du Challenge round (1972) :
Pays | Victoires consécutives |
---|---|
États-Unis | 2 (1978-1979 et 1981-1982) |
Suède | 2 (1984-1985 et 1997-1998) |
Allemagne | 2 (1988-1989) |
Espagne | 2 (2008-2009) |
République tchèque | 2 (2012-2013) |
Finales consécutives : 7, 1983 à 1989 Suède
Inscriptions sur la coupe |
Sur la coupe sont inscrits année par année le nom des joueurs vainqueurs sélectionnés pour la finale, qu'ils aient joué ou non. Depuis 1956 figure également le nom du capitaine et en 1978 et 1979 tous les joueurs de l'équipe vainqueur ont été gravés sur la coupe, qu'ils soient sélectionnés ou non en finale. Les joueurs non sélectionnés en finale ne sont pas mentionnés sur la coupe bien qu'ils aient pu jouer dans les premiers tours. Ce qui fait que l'on peut trouver des joueurs vainqueurs sur la coupe alors qu'ils n'ont joué que des matchs sans enjeu ou bien pas joué du tout.
Depuis l'abolition du Challenge Round (1972) :
Joueurs sur la coupe marqués comme vainqueurs mais qui n'ont joué aucun match :
Goran Ivanišević 2005
Olivier Delaitre 1991
Ross Case 1977
Joueurs sur la coupe marqués comme vainqueurs mais qui n'ont joué que des matches sans enjeu :
Jiří Veselý matches sans enjeu en 1/8 et en demi-finale 2013
Ivo Minář match sans enjeu en demi-finale 2012
Ivo Karlović match sans enjeu en demi-finale 2005
Andrei Stoliarov match sans enjeu en quart de finale 2002
Bibliographie |
- Tom Topping (préf. Henri Cochet), La Coupe Davis, 1900-1932 : histoire technique et anecdotique du trophée emblématique de la suprématie mondiale du tennis, 1933(notice BnF no FRBNF31954803)
Voir aussi |
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Articles connexes |
- Liste des coupes
- Fed Cup
- Hopman Cup
- Laver Cup
Davis Cup Tennis et Coupe Davis, deux jeux vidéo
Lien externe |
(en) Site officiel de la Coupe Davis
Notes et références |
Notes |
Nadal ne joue toutefois pas la finale durant la campagne victorieuse de 2008 en raison d'une blessure.
Järryd ne jouera pas celle de 1985, sur décision de son capitaine.
Références |
« Tennis: Les finales de Coupe Davis et de Fed Cup auront lieu à Genève », sur RMC Sport / BFM, 28 juin 2017.
Logo de la Coupe Davis depuis juin 2017
Eurosport, « La Coupe Davis fera bien sa révolution », sur Eurosport, 16 août 2018(consulté le 16 août 2018).
« Coupe Davis: la version new-look démodée avant d'exister ? », Capital.fr, 22 novembre 2018(lire en ligne, consulté le 24 novembre 2018).
Clément Martel, « Coupe Davis : les supporteurs français entre spleen et colère », Le Monde.fr, 23 novembre 2018(lire en ligne, consulté le 24 novembre 2018).
« "La Coupe Davis est morte" : la réforme provoque un tollé... », sur eurosport.fr, 16 août 2018.
« Alexandre Zverev renonce à la Coupe Davis 2019 », sur eurosport.fr, 10 octobre 2018.
« Tennis - Mauvais calendrier, format inadapté : Federer et Djokovic fusillent la nouvelle Coupe Davis », sur eurosport.fr, 11 octobre 2018.
Historical Dictionary of Tennis, John Grasso, 2011 (ISBN 9780810874909).
L'Autriche-Hongrie a participé en 1905 : bilan autrichien
(en) « Number of nations participing per year », sur Davis Cup (consulté le 17 décembre 2010).
« Vilain lifting pour la Coupe Davis », sur Europe 1 Sport, 7 juin 2017.
« Coupe Davis: Les top joueurs ne veulent plus venir, la compétition est-elle en train de mourir ? », sur 20 Minutes, 5 avril 2017.
« L'ITF vote en faveur de la réforme de la Coupe Davis », sur L'Équipe, 16 août 2018.
« Coupe Davis : les premières phases finales à Lille ou Madrid en 2019 », sur L'Équipe, 16 août 2018.
« Coupe Davis L'ITF dévoile les détails de sa réforme », sur we love tennis, 16 août 2018.
(fr) « Coupe Davis: points ATP distribués », sur le site de la TSR, 9 avril 2008.
« Davis Cup points rule big issue for ATP », sur Fox Sports, 16 février 2012.
« Coupe Davis: des réformes qui ont du plomb dans l'aile », sur RTS Sports, 4 août 2017.
(en) « General records », sur Site officiel.
(en) « USA's Stan Smith receives Award of Excellence », sur Davis Cup, 1er décembre 2007(consulté le 17 décembre 2010).
« Paes sets record for most doubles wins », sur daviscup.com, 7 avril 2018.
« Marcos Baghdatis s'arrête à 36 victoires de suite, un record », sur Eurosport, 7 avril 2017.
« Murray offre la Coupe Davis à la Grande-Bretagne », sur Le Monde, 29 novembre 2015.
« Berdych-Stepanek, l'esprit Coupe Davis », sur France Télévision, 10 septembre 2014.
« Radek Stepanek, l'homme providentiel », sur Tennis Leader, 19 novembre 2013.
« Coupe Davis : le double entre Suisses et Tchèques dure 7h02 ! », sur Le Soir, 2 février 2013(consulté le 3 février 2013).
(en) « 30 years later, McEnroe reflects on his 6-hour win over Wilander », sur ESPN, juillet 2012.
(en) « Draw and results », sur Site officiel.
Bilan de l'Australie, www.daviscup.com
Bilan de l'Allemagne, www.daviscup.com
Bilan de la Grande-Bretagne, www.daviscup.com
Bilan de la République tchèque, www.daviscup.com
(en) « Davis Cup - Rankings », sur Davis Cup (consulté le 9 avril 2018).
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