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Phalange espagnole Falange Española de las JONS
Logotype officiel.
Présentation
Chef national
José Antonio Primo de Rivera
Fondation
29 octobre 1933 15 février 1934 : fusion avec les JONS de Ramiro Ledesma Ramos et Onésimo Redondo
Disparition
Avril 1937 : devient la FET y de las JONS en fusionnant avec les carlistes de Communion traditionaliste
Partis créateurs
Phalange espagnol Juntas de Ofensiva Nacional-Sindicalista
La Phalange espagnole (Falange Española), est une organisation politique espagnole nationaliste d'obédience fascisante fondée le 29 octobre 1933 par José Antonio Primo de Rivera, fils de Miguel Primo de Rivera, ancien dictateur d'Espagne de 1923 à 1930.
L'organisation tire son nom des formations militaires de la Grèce antique et s'inspire du fascisme italien[1]. Ce parti nationaliste joue un rôle important dans la guerre civile entre 1936 et 1939 face aux républicains.
Sommaire
1Fondation
2Guerre civile
3Période franquiste (1939-1975)
4Depuis 1975
5Hymne
6Notes et références
7Voir aussi
7.1Bibliographie
7.2Article connexe
Fondation |
En 1934, soit un an après sa fondation par Primo de Rivera, la Phalange fusionne avec les Juntas de Ofensiva Nacional-Sindicalista (JONS) de Ramiro Ledesma Ramos pour devenir la Falange Española de las Juntas de Ofensiva Nacional-Sindicalista (FE de las JONS).
À l'époque de la Seconde République espagnole, les militants de la Phalange s'illustrent dans les combats de rue contre les militants révolutionnaires de gauche et d'extrême gauche.
Lors des élections de février 1936, le parti, qui a refusé de rejoindre le Front national dirigé par la CEDA, recueille moins de 1 % des voix, des suffrages qui participent à la défaite d'extrême justesse de la CEDA face au Front populaire.
Le 6 juillet 1936, José Antonio Primo de Rivera est arrêté et emprisonné alors que la Phalange est sous le coup d'une interdiction.
Contraint plus qu'enthousiaste, Primo de Rivera rejoint au dernier moment la conspiration militaire et la rébellion nationaliste qui tente un coup de force le 17 juillet 1936, marquant le début de la guerre civile espagnole.
Guerre civile |
Le soulèvement national est pour la Phalange une véritable « divine surprise ». En effet, alors qu'elle recueille moins de 1 % des voix aux élections de 1936, ses effectifs ne cessent alors de gonfler dans des proportions considérables.
Après la condamnation à mort par un tribunal populaire et l'exécution de José Antonio Primo de Rivera, la Phalange se confond avec les structures militaires nationalistes. À la suite d'un incident entre phalangistes de courants opposés ayant entraîné la mort de deux d'entre eux à Salamanque le 16 avril 1937, Franco, qui ne peut permettre des divisions dans son camp en pleine guerre, précipite son projet d’unification de la Phalange et des Traditionalistes carlistes. Le décret d’unification, promulgué dès le 19 avril 1937, entraîne de facto la disparition de la Phalange espagnole telle que la concevait Primo de Rivera.
Période franquiste (1939-1975) |
Après la Guerre civile, elle est intégrée au régime franquiste selon une obédience au national-catholicisme, de bon teint avec une historiographie révisée par les vainqueurs, associant la cause du camp nationaliste avec la Reconquista présentée comme fondatrice de l'État espagnol. Désormais appelée Falange Española Tradicionalista y de las Juntas de Ofensiva Nacional Sindicalista (FET y de las JONS), la Phalange constitue la branche politique de l'appareil d'État franquiste, désigné dans son ensemble sous le nom de Movimiento Nacional.
La manœuvre permet en outre d'écarter les fondateurs politiques de la Phalange d'origine, aux idées radicales, de l'appareil d'État alors en formation au sortir de la victoire nationaliste.
Ce mythe reliant l'apôtre combattant Jacques le Majeur (Santiago el Mayor) avec la cruzada de la phalange persiste dans la propagande de l'appareil de la junte jusqu'à la mort du dictateur. L'emploi du terme croisade permet de donner un alibi à la population face à l'abomination des crimes fratricides perpétrés par chacun des camps pendant le conflit.
Depuis 1975 |
Après la fin du franquisme, plusieurs groupes d'extrême droite revendiquent le nom de Phalange. Les différents mouvements se réclamant de la Phalange existent encore aujourd'hui, bien que n'ayant pas de poids électoral notable (Falange Auténtica, Falange Española de las JONS, FE - La Falange).
Hymne |
L'hymne de la phalange est dans un style de marche militaire, Cara al sol (Face au soleil, en français) composé par José Antonio Primo de Rivera.
Notes et références |
↑ (en) Entrée « Falange » de l'Encyclopædia Britannica, version en ligne disponible au 04/02/2011.
Voir aussi |
Bibliographie |
Arnaud Imatz, José Antonio et la Phalange espagnole, Éditions Albatros, 1981.
Arnaud Imatz, José Antonio, la Phalange espagnole et le national-syndicalisme, Éditions Godefroy de Bouillon, 2000.
Stanley G. Payne, Phalange. Histoire du fascisme espagnol, traduit de l'anglais par Monique et André Joly, Éditions Ruedo Iberico, Paris, 1965
Jean-Claude Valla, Ledesma Ramos et la Phalange espagnole : 1931-1936, Éd. de la Librairie nationale, 2002.
La Phalange espagnole: une voie solaire - Revue Totalité, No 13 - Automne 1981.
Article connexe |
Sindicato Español Universitario
v · m
Fascisme
Types et formes dérivées
.mw-parser-output .sep-liste{font-weight:bold} Allemagne (Nazisme)·Autriche (Vaterländische Front)·Belgique (Rexisme)·Brésil (Ação Integralista Brasileira)·Canada (Parti national social chrétien)·Croatie (Oustachis)·Espagne (Phalange)· États-Unis (Bund)·France·Royaume-Uni (British Union of Fascists)·Hongrie (Hungarizmus)·Roumanie (Garde de fer)
Dans l'Histoire
Histoire de l'Italie fasciste·Fascio·Marche sur Rome·République sociale italienne·Historiographie du fascisme
All-Russian Fascist Organization·Chemises bleues·Jeunesse Italienne du Licteur·Groupe Universitaire fasciste·Légion d'argent de l'Amérique·Le Faisceau·Loups de Fer·Opera Nazionale Balilla·Parti national fasciste·Parti fasciste russe·Parti fasciste républicain·Union britannique des fascistes
Sujets connexes
Adolf Hitler·Corporatisme·Benito Mussolini·National-syndicalisme·National-anarchisme·Néofascisme·Néonazisme·Crypto-fascisme
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Antimaçonnisme et antimaçonnerie
Théorie du complot
Théories du complot maçonnique·Judéo-maçonnerie·Théories du complot maçonnique dans la Révolution française
Antimaçonnisme catholique
Liste de documents pontificaux condamnant la franc-maçonnerie·1738 : In eminenti apostolatus specula·1751 : Providas romanorum·1884 : Humanum genus·1896 : Congrès antimaçonnique de Trente·1927 : Ligue franc-catholique·1937 : Divini Redemptoris·1967 : Ligue de la contre-réforme catholique·1970 : Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X·1971 : Sédévacantisme
Antimaçonnisme politique
1828 : Parti anti-maçonnique·1899 : Action française, Grand Occident de France et Ligue antisémitique de France·1904 : Association antimaçonnique de France·1906 : Ligue française antimaçonnique·1910 : Ligue antimaçonnique·1934 : Affaire Stavisky·1936 : Phalange espagnole·1937 : Initiative populaire « Interdiction des sociétés franc-maçonniques »·1940 : Régime de Vichy et Tribunal spécial pour la répression de la maçonnerie et du communisme·1941 : Exposition antimaçonnique·2003 : Appel au peuple
Franc-maçonnerie vue comme contre-Église
Albert Pike·Léo Taxil·Charles Hacks·1885 : Affaire Léo Taxil
Théoriciens de l'antimaçonnisme
XVIIIe siècle : Augustin Barruel, John Robison·XIXe siècle : Léo Taxil·XXe siècle : Nesta Webster, Walton Hannah, Stephen Knight
Publications antimaçonniques
Essais et pamphlets
1797 : Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme·1901 : Les Protocoles des Sages de Sion·1907 : Répliques du bon sens aux attaques et objections modernes contre la Religion·1976 : Jack the Ripper : The Final Solution·2001 : Les Frères invisibles·2011 : Comprendre l'Empire
Presse écrite
1850 : La Civiltà Cattolica·1893 : La Libre Parole illustrée·1896 : L'Anti-maçon·1900 : À bas les tyrans·1902 : La Bastille (journal)·1910 : France d'hier et France de demain·1911 : La France antimaçonnique·1912 : Revue internationale des sociétés secrètes·1930 : La Nouvelle France (revue)·1934 : Le Porc-épic·1936 : La Bataille antimaçonnique et Le Pays libre·1937 : Le Siècle nouveau·1941 : Bulletin d'information anti-maçonnique et Documents maçonniques·1957 : Lectures françaises·1996 : Faits et Documents
Vidéographie
1943 : Paul Riche, Forces occultes·1979 : Bob Clark, Meurtre par décret
Auteurs sur l'antimaçonnisme
Jacques Lemaire·Jérôme Rousse-Lacordaire·Michel Jarrige·Jiri Pragman
v · m
Guerre d’Espagne
Protagonistes
Républicains·Armée populaire de la République espagnole·Confédération nationale du travail·Fédération anarchiste ibérique·Union générale des travailleurs·Parti communiste d'Espagne·Parti ouvrier d'unification marxiste·Parti socialiste unifié de Catalogne·Eusko Gudarostea·Gauche républicaine de Catalogne·Milices confédérales·Conseil régional de défense d'Aragon·Amis de Durruti
Nationalistes·Junta de Defensa Nacional·Movimiento Nacional·Armée d'Afrique·CEDA·Phalangistes·Requetés carlistes·Syndicat espagnol universitaire
Interventions étrangères·Brigades internationales·Légion Condor·Corpo Truppe Volontarie·Viriatos·Légion Saint-Patrick·Bandera Jeanne d'Arc
Repères historiques
Élections générales de 1936·Soulèvement nationaliste des 17 et 18 juillet 1936·Révolution sociale de 1936·Retirada·Último parte·Espagne franquiste
Conflit militaire
1936 : Caserne de la Montaña·Gijón·Oviedo·Caserne de Loyola·Alcázar de Tolède·Estrémadure·Convoy de la victoria·Almendralejo·Sigüenza·Mérida·Badajoz·Majorque·Tage·Cordoue·Guipuscoa·Monte Pelado·Talavera de la Reina·Irun·Cerro Muriano·Cap Spartel·Seseña·Madrid·Siège de Madrid·Cité universitaire·Villareal·Aceituna·Lopera·Route de La Corogne
1937 : Málaga·Jarama·cap Machichaco·Guadalajara·Pozoblanco·Campagne du Nord·Biscaye·Durango·Jaén·Guernica·Journées de mai·Almería·Ségovie·Huesca·Bilbao·Albarracín·Brunete·Santander·Saragosse·Belchite (1)·Asturies·El Mazuco·cap Cherchell·Teruel
1938 : Alfambra·Cap de Palos·Aragon·Belchite (2)·Barcelone·Caspe·Lérida·Gandesa·Sègre·Levant·Balaguer·Los Blázquez·Alicante·Granollers·Bielsa·Poche de Mérida·Èbre·Cabra
1939 : Catalogne·Valsequillo·La Garriga·Minorque·Carthagène·Offensive finale
Articles connexes
Terreur blanche·Terreur rouge·Réfugiés et exilés·Non-intervention·Bibliographie et filmographie sur la Guerre d'Espagne·Sacas de presos·Checas
Loups sur une enluminure du Bestiaire d'Aberdeen Le loup est l'animal le plus emblématique de l'histoire de l'Eurasie, il était à l'honneur durant l'Antiquité chez la totalité des anciens peuples européens [ 1 ] . Sommaire 1 Le loup dans la mythologie 2 Les loups dans le folklore 2.1 L'évolution des mentalités 2.2 Le loup dans la psychanalyse 3 Le loup dans les œuvres culturelles 3.1 Le loup dans la littérature 3.1.1 Fables 3.1.2 Poésie 3.1.3 Romans 3.1.4 Littérature jeunesse 3.1.4.1 Quelques titres d'albums contemporains 3.1.5 Bande dessinée 3.2 Le loup à l'écran 3.2.1 Le cinéma et la télévision 3.2.2 Documentaires 3.2.3 Dessins animés 3.2.4 Jeux vidéo 3.3 Le loup en peinture et en sculpture 3.4 Le loup dans les œuvres musicales 4 Le loup et les noms propres 5 Bibliographie 6 Notes et références 7 Voir aussi 7.1 Articles connexes ...
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I want to set date and time automatically but this error appears when I try to .. I'm using openSUSE, I tried different servers but it didn't work either, help please! It doesn't seem to be a network problem: $ ping pool.ntp.org 64 bytes from 41.78.128.17: icmp_seq=1 ttl=41 time=260 ms To the question of whether ntpd is installed and running: $ ps -C ntpd PID TTY TIME CMD i.e. there's no ntpd process running. $ rpm -qa | grep ntp yast2-ntp-client-3.1.12-1.7.noarch ntp-4.2.6p5-25.2.1.i586 Further information from the comments: $ sudo ntpdate pool.ntp.org 25 Sep 19:41:51 ntpdate[3162]: no server suitable for synchronization found
networking kde opensuse ntp ntpd
sh...
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I have an ASUS Zenbook UX433,on which ASUS decided to innovate by embedding a Numpad inside the touchpad (see picture 1). Toggling between classic touchpad mode and numpad (also turns the touchpad LEDs on) can be done through the golden button in the top-right corner of the touchpad. However, on my Manjaro arch Linux config, this behavior does not work by default and I can only use the touchpad, no numpad. Has anyone been able to configure the numpad to work on Linux, or have any idea how this could be achieved? EDIT1: I have had a look at the official Windows drivers for the UX433FA TouchPad, but was not able to make anything of it. I tried installing them on Linux using tools like NDISWrapper, but they do not detect the TouchPad/Numpad hardware, and my understanding of drivers is too limited. ...