Cet article est une ébauche concernant une commune des Bouches-du-Rhône.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade « Bon début » quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune.
Le Rove.mw-parser-output .entete.map{background-image:url("//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7a/Picto_infobox_map.png")}
Le Rove (lo Rove en provençal selon la norme classique et lou Rouve selon la norme mistralienne) est une commune française du département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Rovenains.
Sommaire
1Géographie
1.1Situation
1.2Communes limitrophes
1.3Voies de communication et transports
1.4Climat
2Histoire
2.1Étymologie
2.2Faits historiques
2.2.1Époque moderne
2.3Héraldique
3Politique et administration
4Population et société
4.1Démographie
4.2Manifestations culturelles et festivités
4.3Personnalités liées à la commune
5Économie
6Culture et patrimoine
6.1Monuments et lieux touristiques
6.1.1Monuments civils
6.1.2Monuments religieux
6.1.2.1La chapelle Saint-Michel
6.2Patrimoine culturel
6.3Patrimoine naturel
6.4Gastronomie
7Galerie
8Notes et références
9Voir aussi
9.1Articles connexes
9.2Liens externes
Géographie |
Situation |
La commune se situe dans le massif de la Nerthe, entre L'Estaque (Marseille) et Ensuès-la-Redonne.
Le chef-lieu occupe une dépression orientée approximativement d'ouest en est, entre 170 et 110 mètres d'altitude, entourée de collines calcaires à la maigre végétation, et reliée au littoral méditerranéen par des vallons étroits et sinueux, dont l'un (vallon du Gipier) permet de joindre Marseille, et l'autre (vallon du Régadzi) débouche sur deux calanques habitées : la Vesse et Niolon. Côté nord, la commune couvre le flanc du massif, et s'arrête à la limite de la plaine.
Sa superficie est de 2 297 hectares soit 22,97 km2.
Son altitude la plus basse se situe au niveau de la mer, le point culminant se trouve à 263 m, la moyenne étant de 132 m[1].
Communes limitrophes |
Communes limitrophes du Rove
Gignac-la-Nerthe
Gignac-la-Nerthe
Les Pennes-Mirabeau
Ensuès-la-Redonne
Marseille
Ensuès-la-Redonne
Mer Méditerranée
Mer Méditerranée
Voies de communication et transports |
Le Rove est traversé par la route départementale 568, qui relie Martigues à Marseille en passant par le tunnel du Resquiadou, et longé au nord par l'autoroute A55 (France), dont l'échangeur n°7 donne accès au Rove depuis Martigues. Le village est situé à 6,5 kilomètres de l'Estaque et 18 du Vieux Port (Marseille), à 18 de Martigues. La route départementale 5, à l'ouest, rejoint Ensuès-la-Redonne et la côte bleue (Carry-le-Rouet, Sausset-les-Pins).
L'aéroport de Marseille Provence est à 12 kilomètres du Rove.
La gare de Niolon, située sur la ligne de la Côte Bleue, est desservie par les TER de la liaison Miramas - Marseille, à raison de 12 trains par jour dans chaque sens en semaine, ce qui met Marseille-Saint-Charles à 25 minutes de Niolon. L'ancienne gare du Rove, située près de la D 568, a été fermée, squattée à la fin des années 1980, puis détruite par un incendie en 1990.
Climat |
Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations relevées à la station Météo-France de Marignane pour la période 1971-2000 :
Mois
J
F
M
A
M
J
J
A
S
O
N
D
année
Températures maximales (°C)
11,2
12,6
15,3
17,7
22,2
26,1
29,5
29,2
25,3
20,3
14,7
12,0
19,7
Températures moyennes (°C)
7,1
8,3
10,7
13,1
17,4
21,1
24,1
24,0
20,4
16,0
10,8
8,1
15.1
Températures minimales (°C)
3,0
3,9
6,0
8,5
12,6
16,0
18,7
18,7
15,5
11,6
6,8
4,1
10,5
Précipitations (hauteur en mm)
54
44
40
58
41
25
13
31
61
85
51
52
554,5
Source: Météo France[2] / Station de Marignane
Histoire |
Étymologie |
Rove, prononcé « rouve », est le nom provençal du chêne méditerranéen (rouvre)[3], qui figure dans le blason de la commune.
Vesso, prononcé « vesse », est la forme provençale de la vesce[3], et désigne par extension un lieu de fourrage[4].
Faits historiques |
Le village est devenu une commune indépendante en 1835. En fait, son habitat remonte à la plus haute Antiquité. Des grottes, des endroits secs sous des rochers en surplomb servaient ici d'abris aux hominiens à l'époque du Paléolithique, puis du Néolithique (de 12.000 à 5.000 avant J. C. )
Sans remonter si loin, il faut se rappeler que le plus vieux rempart connu à ce jour en Provence se trouve sur ses collines. Il date du début de l'Age du Bronze. C'est le seul habitat fortifié, dans le Midi de la France, où des structures de pierre sont présentes au Bronze ancien. Le Camp de Laure, protégé au titre des Monuments Historiques, prouve que les premiers Rovenains vivaient ici, il y a 3 500 ans.
Époque moderne |
Le Rove faisait partie de la seigneurie de Marignane au même titre que Saint-Victoret et Gignac. À son apogée, cette seigneurie allait jusqu’aux calanques méditerranéennes[5].
Héraldique |
Article connexe : Armorial des communes des Bouches-du-Rhône.
Les armes peuvent se blasonner ainsi :
D'or à quatre pals de gueules; à dextre une branche de chêne englandée de sable; à senestre un bouc naissant d'argent; chargé des mots VILLE DU ROVE de sable.
Politique et administration |
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1902
1906
Gouiran Audiffren
1906
1908
Lieutaud Adrien
1908
1919
Gouiran François-Hilaire
1919
1923
Gouiran Victor
1923
1945
Gouiran Maurice
1945
1947
Debard Gabriel
1947
1965
Gouiran Clément dit Blaise
PCF
mars 1965
1981
Etienne Mathieu
PCF
1981
En cours
Georges Rosso
PCF
Retraité Chevalier de la Légion d'Honneur
Population et société |
Démographie |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1836. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est
réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par
interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[7].
En 2016, la commune comptait 5 121 habitants[Note 1], en augmentation de 14,92 % par rapport à 2011 (Bouches-du-Rhône : +2,22 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Évolution de la population [ modifier ]
1836
1841
1846
1851
1856
1861
1866
1872
1876
844
880
1 074
849
816
875
820
790
755
Évolution de la population [ modifier ], suite (1)
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
1921
1926
729
661
726
742
704
747
722
678
688
Évolution de la population [ modifier ], suite (2)
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1982
1990
869
485
516
705
1 186
1 709
2 233
2 707
3 429
Évolution de la population [ modifier ], suite (3)
1999
2004
2009
2014
2016
-
-
-
-
4 005
4 070
4 223
4 607
5 121
-
-
-
-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[9].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités |
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Personnalités liées à la commune |
Maurice Gouiran
Économie |
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Culture et patrimoine |
Monuments et lieux touristiques |
Monuments civils |
Le bâtiment de la gare de Niolon, qui domine la calanque du haut de ses 35 mètres d'altitude, est construit dans le style très particulier des gares de la ligne de la Côte Bleue : étroit, tout en hauteur, avec des parements en céramique, un toit en tuiles romanes. De la gare, la vue sur la calanque est remarquable.
Le tunnel du Rove, tunnel-canal reliant Marseille à l'Étang de Berre, a été creusé dans sa plus grande partie sous le territoire du Rove, d'où son nom, mais il n'est visible depuis aucun point de la commune.
Le fort de Niolon et le fort de Figuerolles, anciennes batteries militaires établies sur les hauteurs dominant la mer, partiellement détruites.
Le camp de Laure, vestiges d'un habitat fortifié préhistorique (classé monument historique).
Monuments religieux |
La chapelle de Saint-Michel de Gignac, vue du nord-ouest.
La chapelle Saint-Michel |
La chapelle Saint-Michel de Gignac est une chapelle romane du XIIIe siècle. Le château dont elle dépendait, et dont il ne reste que quelques ruines, fut une place forte templière servant de relais avant Fréjus, où embarquaient les croisés.
La chapelle, classée avec les ruines du château au titre de monument historique en 1977[10], a été restaurée en 1997.
Malgré son nom, et bien que la chapelle figure sur l'emblème du village voisin de Gignac-la-Nerthe, elle fait partie de la commune du Rove.
Patrimoine culturel |
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Patrimoine naturel |
Baignade dans la calanque de Niolon
Les calanques de Niolon et la Vesse, situées face à la rade de Marseille à quelque 5 kilomètres du chef-lieu, abritent chacune un petit village de pêcheurs et un port, et reçoivent le dimanche la visite de Marseillais désireux de se détendre.
Le sentier littoral (non balisé, localement délicat), qui a son origine à l'Establon, au bord de l'ancienne route à la hauteur du tunnel du Resquilladou, contourne la pointe de Figuerolles, passe dans les calanques de la Vesse puis de Niolon et, quittant le territoire de la commune à la calanque de l'Érevine, poursuit vers la Redonne d'Ensuès.
Gastronomie |
La brousse du Rove est la spécialité de ce lieu. La véritable brousse du Rove est produite à partir du lait de chèvres de la race du Rove sur le territoire de la commune du Rove.
Les chèvres du Rove sont connues pour leur esthétique, leur robustesse et leur rusticité. Elles donnent moins de lait que les Alpines ou les Saanens, mais leur lait est plus riche et plus parfumé puisque ces troupeaux supportent mal la stabulation et sont élevés en pleine colline.
La plus illustre famille d'éleveurs de chèvres du Rove est la famille Gouiran.
La brousse du Rove est un mets connu que l'on peut trouver à la carte des restaurants huppés de la région et qui est l'objet de nombreuses contrefaçons (les brousses dites « du Rove » fabriquées avec du lait de vache inondent les marchés).
Avant les années 1960, les marchands de brousse du Rove proposaient les brousses à Marseille au cri de « Leï brousso dou Rouvé ! ». Une expression en est restée : « À l'heure des brousses » en référence à l'heure très tardive à laquelle on commençait à faire des brousses après avoir effectué une longue traite du troupeau.
Entrée de la ferme caprine Gouiran au Rove.
Fromages du Rove.
Chèvres du Rove dans la garrigue au-dessus du village du Rove.
Chèvres du Rove en pacage, village du Rove.
Statue de chèvre devant la mairie du Rove.
Galerie |
Port de Niolon avec sa gare sur les hauteurs.
Chemin de fer de la Vesse.
Niolon, vers le sentier de la Côte Bleue.
Notes et références |
↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
↑ « Superficie et altitude du Rove » (consulté le 30 mai 2011)
Loups sur une enluminure du Bestiaire d'Aberdeen Le loup est l'animal le plus emblématique de l'histoire de l'Eurasie, il était à l'honneur durant l'Antiquité chez la totalité des anciens peuples européens [ 1 ] . Sommaire 1 Le loup dans la mythologie 2 Les loups dans le folklore 2.1 L'évolution des mentalités 2.2 Le loup dans la psychanalyse 3 Le loup dans les œuvres culturelles 3.1 Le loup dans la littérature 3.1.1 Fables 3.1.2 Poésie 3.1.3 Romans 3.1.4 Littérature jeunesse 3.1.4.1 Quelques titres d'albums contemporains 3.1.5 Bande dessinée 3.2 Le loup à l'écran 3.2.1 Le cinéma et la télévision 3.2.2 Documentaires 3.2.3 Dessins animés 3.2.4 Jeux vidéo 3.3 Le loup en peinture et en sculpture 3.4 Le loup dans les œuvres musicales 4 Le loup et les noms propres 5 Bibliographie 6 Notes et références 7 Voir aussi 7.1 Articles connexes
1
0
I want to set date and time automatically but this error appears when I try to .. I'm using openSUSE, I tried different servers but it didn't work either, help please! It doesn't seem to be a network problem: $ ping pool.ntp.org 64 bytes from 41.78.128.17: icmp_seq=1 ttl=41 time=260 ms To the question of whether ntpd is installed and running: $ ps -C ntpd PID TTY TIME CMD i.e. there's no ntpd process running. $ rpm -qa | grep ntp yast2-ntp-client-3.1.12-1.7.noarch ntp-4.2.6p5-25.2.1.i586 Further information from the comments: $ sudo ntpdate pool.ntp.org 25 Sep 19:41:51 ntpdate[3162]: no server suitable for synchronization found
networking kde opensuse ntp ntpd
sh
0
1
I have an ASUS Zenbook UX433,on which ASUS decided to innovate by embedding a Numpad inside the touchpad (see picture 1). Toggling between classic touchpad mode and numpad (also turns the touchpad LEDs on) can be done through the golden button in the top-right corner of the touchpad. However, on my Manjaro arch Linux config, this behavior does not work by default and I can only use the touchpad, no numpad. Has anyone been able to configure the numpad to work on Linux, or have any idea how this could be achieved? EDIT1: I have had a look at the official Windows drivers for the UX433FA TouchPad, but was not able to make anything of it. I tried installing them on Linux using tools like NDISWrapper, but they do not detect the TouchPad/Numpad hardware, and my understanding of drivers is too limited.