Mylène Demongeot
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Nom de naissance | Marie-Hélène Demongeot |
---|---|
Naissance | 29 septembre 1935 Nice, Alpes-Maritimes, France |
Nationalité | Française |
Profession | Actrice Productrice de cinéma |
Films notables | Les Sorcières de Salem Bonjour tristesse La Bataille de Marathon Les Trois Mousquetaires Trilogie Fantômas 36 Quai des Orfèvres Camping (série de films) |
Séries notables | Marion |
Site internet | http://www.mylene-demongeot.fr |
Mylène Demongeot, nom de scène de Marie-Hélène Demongeot, née le 29 septembre 1935[1] à Nice, est une actrice et productrice française.
Sommaire
1 Biographie
1.1 Famille
1.2 Carrière
2 Filmographie
3 Télévision
4 Théâtre
5 Distinctions
5.1 Honneurs
5.2 Récompenses
5.3 Nominations
6 Politique
7 Vie privée
8 Publications
8.1 Autobiographies
8.2 Préfacière
8.3 Récits
8.3.1 BD
8.4 Album photos
8.5 Essai
9 Notes et références
10 Liens externes
Biographie |
Famille |
Mylène Demongeot est la fille d'Alfred Jean Demongeot, né le 30 janvier 1897 à Nice et de Claudia Troubnikova, citoyenne russe née le 17 mai 1904 à Kharkiv (Ukraine). Tous deux mariés le 22 décembre 1928.
Le père de Mylène Demongeot, Alfred Jean Demongeot (1897-1961), est le fils de Marie Joseph Marcel Demongeot[2], chevalier de la Légion d'honneur en date du 11 juillet 1914[3],[4], militaire de carrière, commandant d'infanterie, chef de bataillon au 76e RI à partir du 8 février 1914, né le 13 juillet 1869 à Langres, Haute-Marne, et décédé le 6 mai 1917 (soit tombé au combat comme en témoigne une stèle à la ferme Mennejean à Nanteuil-la-Fosse, (mais le site Mémoire des hommes du ministère des Armées ne le recense pas comme mort pour la France), ou soit mort à Saint-Jean-de-Luz, à l’âge de 47 ans), a écrit un livre, « Citoyen et soldat »[5], marié le 2 février 1895, à Nice, Alpes-Maritimes, avec Clotilde Caroline Innocente Marie Faussone di Clavessana dont le père était le comte Alfred Faussone di Clavessana et la mère Marie Laurenti-Roubaud.
Elle a un demi-frère, Léonide Ivantoff, né à Kharbin (Chine) le 17 décembre 1923 (officiellement le 17 décembre 1925, mais il a été « rajeuni » de deux ans par sa mère et son « beau-père », pour compenser le retard qu'il avait pris à l'école suite à leurs nombreux déménagements dans différents pays; sa date de naissance a été « changée » en modifiant ses papiers russes, son pays d'origine — l'Ukraine aujourd'hui[réf. nécessaire]), issu d'un premier mariage de sa mère.
Carrière |
Mylène Demongeot passe son enfance à Nice (Alpes-Maritimes), les quatre premières années dans une maison sise 1 rue Frédéric-Passy chez sa grand-mère paternelle, ses parents vivant à Paris. Fin 1939, après la déclaration de guerre, ses parents la rejoignent à Nice.
Mylène Demongeot a 13 ans lorsque sa famille s'installe à Paris. Elle apprend le piano avec Marguerite Long et Yves Nat et s'inscrit par ailleurs au cours Simon qu’elle quitte pour suivre celui de Marie Ventura. Parallèlement à ses premiers petits rôles au cinéma à partir de 1953, elle pose pour des photos publicitaires et tombe amoureuse du photographe Henry Coste (1926-2011) qu’elle rencontre en 1956. C’est d’ailleurs grâce à l’un de ces clichés qu’elle devra d’être remarquée par Raymond Rouleau à la recherche de « son Abigail » pour son prochain film Les Sorcières de Salem, rôle qui apporte la consécration à Mylène en 1957 à 21 ans. Après avoir divorcé, Henry Coste l'épouse en 1958. Ils divorcent en 1968.
À ses débuts, sa blondeur et sa grâce mutine la font rivaliser avec une autre jeune actrice en vogue, Brigitte Bardot. Mais elle va se démarquer de ces comparaisons avec BB, avec laquelle elle partage d'ailleurs une amitié et un même amour des animaux, en diversifiant ses emplois. Elle tourne très tôt dans des productions étrangères, notamment dans Bonjour tristesse de Preminger en 1958 et surtout en Italie. Dans ce pays, elle se hisse au rang de star très populaire dès 1959 avec le péplum La Bataille de Marathon et avec sa participation très remarquée auprès de Laurent Terzieff (dans une mémorable séquence du film Les Garçons) de Bolognini.
Facilement étiquetée, à l'époque, de « blonde sensuelle », ses louables prestations dramatiques dans les films L'Inassouvie de Risi (1960) ou Le Cavalier noir (1961) de Baker seront souvent ignorées. Même quand elle change radicalement de registre avec ses rôles espiègles et attendrissants dans les élégants marivaudages de Deville (À cause, à cause d'une femme, L'Appartement des filles), il semble que producteurs et public la préfèrent dans des séries populaires comme Les Trois Mousquetaires ou celle des Fantômas.
Mylène Demongeot a eu comme partenaires quelques-uns parmi les acteurs réputés du cinéma : Jean Marais (à plusieurs reprises, dont la trilogie Fantômas), Yves Montand, Henri Vidal (dans Une manche et la belle et Sois belle et tais-toi), Curd Jürgens, David Niven, Steve Reeves, Roger Moore, Dirk Bogarde (dans Le Cavalier noir et Docteur en détresse), Jeffrey Hunter (dans L'Or des Césars et La Marine en folie), Sami Frey, Jean-Paul Belmondo, Michel Piccoli, Gérard Depardieu et des affinités avec de grandes figures comiques de l'écran et de la scène : Louis de Funès, Francis Blanche, Henri Salvador et Pierre Richard.
À la fin des années 1960, lors du tournage pour la télévision d'un des épisodes des Dossiers de l'agence O, Mylène Demongeot rencontre Marc Simenon, réalisateur et fils de l'écrivain Georges Simenon et c'est le grand amour. Pour lui, elle met sa carrière professionnelle au second plan pour le seconder dans ses productions. Ils se marient le 16 septembre 1968.
Marc Simenon décède accidentellement le 24 octobre 1999. Depuis, Mylène Demongeot partage son temps entre l'écriture, son action en faveur de la cause animale, la lutte contre la pollution, la lutte contre les mines antipersonnel (Mylène est Marraine Fondatrice de l'ONG HAMAP)[6] tandis qu'au cinéma, on retrouve sa dualité d'actrice populaire et avant-gardiste. Elle est capable de tourner aussi bien avec Michel Gérard qu'avec des auteurs comme Bertrand Blier ou Cédric Kahn ou encore de s'impliquer dans des productions courageuses et féministes comme La Piste du télégraphe de Liliane de Kermadec ou Victoire de Stéphanie Murat. Les années 2000 et 2010 continuent à lui offrir une diversité de rôles comme elle les affectionne : elle alterne films à succès, comme 36 Quai des Orfèvres d'Olivier Marchal, le triptyque Camping / Camping 2 / Camping 3 de Fabien Onteniente, avec les films d'un auteur avec lequel elle est en parfaite adéquation, le réalisateur Kurde Hiner Saleem qui l’emploie successivement dans Les Toits de Paris (2007) et Si tu meurs, je te tue (2011).
Mylène Demongeot est membre du comité d'honneur de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD)[7].
Entre septembre 2013 et juin 2014, Mylène Demongeot est membre panéliste de l'émission radiophonique Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard sur RTL.
Filmographie |
1953 : Les Enfants de l'amour de Léonide Moguy : Nicole
1955 : Frou-Frou d'Augusto Genina : une convive au restaurant
1955 : Futures Vedettes de Marc Allégret : la fille qui vocalise
1956 : Papa, maman, ma femme et moi de Jean-Paul Le Chanois : la jeune femme qui ouvre la porte
1956 : Quand vient l'amour de Maurice Cloche : Micheline
1956 : It's A Wonderful World de Val Guest : Georgie
1957 : Les Sorcières de Salem de Raymond Rouleau : Abigail
1957 : Une manche et la belle d'Henri Verneuil : Éva Dollan
1958 : Bonjour tristesse d'Otto Preminger : Elsa
1958 : Sois belle et tais-toi de Marc Allégret : Virginie
1958 : Cette nuit-là (Un silence de mort) de Maurice Cazeneuve : Sylvie Mallet
1959 : Le vent se lève (Il vento si alza) d'Yves Ciampi : Catherine Mougins
1959 : Faibles femmes de Michel Boisrond : Sabine
1959 : Entrée de service (Upstairs and Downstairs) de Ralph Thomas : Ingrid
1959 : La Bataille de Marathon (La battaglia di Maratona) de Jacques Tourneur : Andromède
1959 : Les Garçons (La notte brava) de Mauro Bolognini : Laura
1960 : Sous dix drapeaux (Sotto dieci bandiere) de Duilio Coletti : Zizi
1960 : L'Inassouvie (Un amore a Roma) de Dino Risi : Anna Padoan
1961 : Le Cavalier noir (The Singer Not the Song) de Roy Ward Baker : Locha
1961 : L'Enlèvement des Sabines (Il ratto delle Sabine) de Richard Pottier : Réa
1961 : Les Trois Mousquetaires, en deux époques, Les Ferrets de la reine et La Revanche de Milady de Bernard Borderie : Milady de Winter
1962 : Copacabana Palace de Steno : Zina von Raunacher
1962 : Les Don Juan de la Côte d'Azur (I Don Giovanni della Costa Azzurra) de Vittorio Sala
1963 : À cause, à cause d'une femme de Michel Deville : Lisette
1963 : Docteur en détresse (Doctor in Distress) de Ralph Thomas : Sonia et Helga
1963 : L'Appartement des filles de Michel Deville : Mélanie
1963 : L'Or des Césars (Oro per i Cesari) d'André De Toth : Pénélope
1964 : Cherchez l'idole de Michel Boisrond : elle-même
1964 : Fantômas d'André Hunebelle : Hélène
1965 : La Case de l'oncle Tom (Onkel Toms Hütte) de Géza von Radványi : Harriet Beecher Stowe
1965 : Fantômas se déchaîne d'André Hunebelle : Hélène
1965 : Furia à Bahia pour OSS 117, d'André Hunebelle : Anna-Maria Sulza
1966 : Go, go, play-boy (Bel Ami 2000 oder Wie verführt man einen Playboy?) de Michael Pfleghar
1966 : Tendre Voyou de Jean Becker : Muriel
1967 : Fantômas contre Scotland Yard d'André Hunebelle : Hélène
1968 : Une cigarette pour un ingénu de Gilles Grangier (film inachevé)
1968 : La Marine en folie (The Private Navy of Sgt. O'Farrell) de Frank Tashlin : Gaby
1969 : 12 + 1 (Una su 13) de Nicolas Gessner et Luciano Lucignani : Judy
1970 : Le Champignon (L'assassin frappe à l'aube) de Marc Simenon : Anne
1971 : L'Explosion de Marc Simenon : Katia
1972 : Montréal blues de Pascal Gélinas
1972 : Quelques arpents de neige de Denis Héroux : Laura
1973 : Quand c'est parti, c'est parti (J'ai mon voyage !) de Denis Héroux : Madame De Chatiez
1974 : Les Noces de porcelaine de Roger Coggio : Julia
1974 : Par le sang des autres de Marc Simenon : la prostituée
1975 : Il faut vivre dangereusement de Claude Makovski : Laurence
1977 : La Moto qui tue (L'Échappatoire) de Claude Patin : Élisabeth
1979 : Un jour un tueur (inédit en salles)[8] de Serge Korber : Cécile Pallas
1981 : Signé Furax de Marc Simenon : Malvina
1983 : Surprise Party de Roger Vadim : Geneviève Lambert
1983 : Le Bâtard de Bertrand Van Effenterre : Brigitte
1983 : Flics de choc de Jean-Pierre Desagnat : « la maîtresse »
1984 : Retenez-moi... ou je fais un malheur ! de Michel Gérard : la femme sur le banc
1986 : Paulette, la pauvre petite milliardaire de Claude Confortès : Madame Gulderbilt
1986 : Tenue de soirée de Bertrand Blier : la femme du couple au lit
1988 : Béruchet dit la Boulie de Béruchet : non créditée
1994 : La Piste du télégraphe de Liliane de Kermadec : Muriel
1997 : L'Homme idéal de Xavier Gélin : Guillemette
1998 : Nous sommes tous des gagnants, court métrage de Claude Dray
2004 : Feux rouges de Cédric Kahn : voix au téléphone (directrice de la colonie de vacances)
2004 : Victoire de Stéphanie Murat : la mère
2004 : 36 quai des Orfèvres d'Olivier Marchal : Manou Berliner
2005 : Tokyo Tower de Takashi Minamoto :
2006 : Camping de Fabien Onteniente : Laurette Pic
2006 : La Californie de Jacques Fieschi : Katia
2007 : Les Toits de Paris d'Hiner Saleem : Thérèse
2009 : Tricheuse (Une famille clef en mains) de Jean-François Davy : Madame Vallardin
2009 : Oscar et la Dame rose d'Éric-Emmanuel Schmitt : Lilly
2010 : Camping 2 de Fabien Onteniente : Laurette Pic
2010 : Maman !, court métrage d'Hélène de Fougerolles : la mère
2011 : Si tu meurs, je te tue d'Hiner Saleem : Geneviève
2013 : Elle s'en va d'Emmanuelle Bercot : Fanfan
2016 : Camping 3 de Fabien Onteniente : Laurette Pic
2017 : Sage Femme de Martin Provost[9],[10] : Rolande
Télévision |
1968 : Les Dossiers de l'agence O de Marc Simenon, épisode La Cage d'Émile : Myle Holga
1977 : Recherche dans l'intérêt des familles, série télévisée de Philippe Arnal, épisode Fausse manœuvre : Alcine Briant
1978 : Douze heures pour mourir, téléfilm d'Abder Isker : Germaine
1980 : Kick, Raoul, la moto, les jeunes et les autres, mini-série de Marc Simenon : Martine
1982 : Marion, mini-série (6 épisodes) de Jean Pignol : Marion Tréguier
1984 : Série noire : J'ai bien l'honneur de Jacques Rouffio
1988 : La Diva et le Professeur, téléfilm de Steno : Fernande
1992 : Vacances au purgatoire, téléfilm de Marc Simenon : Mathilde
1995 : Chien et Chat, série télévisée de Philippe Galland et Marc Simenon, épisode La Faute : Annabelle Montbrial, la directrice d'agence de rencontres
2005 : La Tête haute, téléfilm de Gérard Jourd'hui : La Tine
2005 : Le Fantôme du lac, téléfilm de Philippe Niang : Louise Perreau
2013 : La Balade de Lucie, téléfilm de Sandrine Ray : la mère de Lucie
2013 : Les Mauvaises Têtes, téléfilm de Pierre Isoard : Virginie
2014 : Des roses en hiver, téléfilm de Lorenzo Gabriele : Madeleine
2015 : No Limit, saison 3 de la série de Frédéric Berthe : la mère de Vincent
2017 : Caïn, série, épisode Paradis perdu (saison 5)[9] : Jacqueline Benedetti
2016 : Trois mariages et un coup de foudre[11],[12], téléfilm de Gilles de Maistre : Mamita
2019 : Infidèle de Didier Le Pêcheur : Giulia
Théâtre |
1958 : Virage dangereux de John Boynton Priestley, mise en scène Raymond Rouleau, théâtre Édouard VII
1968 : Gugusse de Marcel Achard, mise en scène Michel Roux, théâtre de la Michodière (création)
1988 : Caviar ou lentilles, adaptation de Caviale e lenticchie de Giulio Scarnicci et Renzo Tarabusi, mise en scène Jacques Rosny, Spectacle 2000
1988 : Salomé d'Oscar Wilde, mise en scène Francis Sourbié, théâtre Mouffetard
1992 : Piège pour un homme seul de Robert Thomas, mise en scène Robert Thomas
1992 : Le Canard à l'orange de William Douglas-Home, mise en scène Pierre Mondy
1992 : Électre, mise en scène Raymond Gérôme
1992 : Un homme pressé de Bernard Chartreux, mise en scène de Jean-Pierre Vincent
2000 : Becket ou l'Honneur de Dieu de Jean Anouilh, mise en scène Didier Long
2017 : Love Letters de A. R. Gurney (en), mise en scène Stéphanie Fagadau, Comédie des Champs-Elysées
Distinctions |
Honneurs |
2007 : Commandeur de l'Ordre des Arts et des Lettres.
2017 : Chevalier de la Légion d'honneur.
Récompenses |
Festival international du film de Karlovy Vary 1957 : prix de la meilleure interprète pour Les Sorcières de Salem.
Prix Reconnaissance des cinéphiles 1994 décerné pour l'ensemble de sa carrière par l'association « Souvenance de cinéphiles » de Puget-Théniers (Alpes-Maritimes).
Nominations |
BAFTA 1958 : nommée pour le prix de la révélation féminine la plus prometteuse dans Les Sorcières de Salem.
Césars 2005 : nommée pour le César de la meilleure actrice dans un second rôle dans 36 Quai des Orfèvres.
Césars 2007 : nommée pour le César de la meilleure actrice dans un second rôle dans La Californie.
Politique |
Mylène Demongeot s'est présentée comme candidate aux élections régionales de 1992 en Provence-Alpes-Côte d'Azur sur la liste Énergie Sud de Bernard Tapie dans les Bouches-du-Rhône.
Vie privée |
L'actrice a été victime pendant des années d'une escroquerie financière montée par son gestionnaire de comptes. Elle déclare avoir été flouée d'une somme de 2 000 000 euros, argent qui servait à faire des prêts à d'autres personnalités du cinéma comme Isabelle Adjani, Alexandre Arcady ou Samy Naceri. La justice s'est saisie du dossier en juin 2012[13],[14].
Publications |
Vieillir sans oublier d'être heureux : La vie, c'est génial, Paris, Éditions de l'Archipel, coll. « Arts et spectacle », avril 2018, 240 p. (ISBN 978-2809824131).
Autobiographies |
Tiroirs secrets, Paris, Éditions Le Pré aux clercs, septembre 2001, 324 p. (ISBN 978-2-84228-131-1).
Mylène Demongeot : Mémoires de cinéma — Une vie et des films (préf. Jacques Fieschi), Paris, Éditions Hors Collection, 1er juin 2011, 256 p. (ISBN 978-2-258-09002-6, présentation en ligne)Suite de son autobiographie Tiroirs secrets (de ses débuts jusqu'à 1968) — Sa vie et ses films depuis son union avec Marc Simenon jusqu'à nos jours.
La vie, c'est génial!, Paris, Éditions L'Archipel, avril 2018, 236 p. (ISBN 978-2-84228-131-1 et 978-2-8098-2413-1).
Préfacière |
Gérard Desserre et Nicolas Schmidt (préf. Mylène Demongeot), Le Cinéma du sam'di soir, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, 2000, 264 p., 170 x 240 (ISBN 978-2-85480-993-0, présentation en ligne)no 95 de la Collection Cinémaction.
Marc Lemonier (préf. Mylène Demongeot), Sur la piste de Fantômas, Paris, Presses de la Cité, septembre 2005, 127 p. (ISBN 978-2-258-06852-0).
Récits |
Mylène Demongeot, Les Lilas de Kharkov, Paris, Éditions Hachette, 1990, 286 p. (ISBN 978-2-01-016628-0, présentation en ligne)Réédition par les Éditions Blanc, septembre 1998 (ISBN 9782843970320). Réédition par les Éditions Pygmalion/Flammarion, novembre 2009 (ISBN 9782756403014).
Mylène Demongeot, Animale(ment Vôtre), Paris, Éditions Le Pré aux clercs, mai 2005, 320 p. (ISBN 978-2-84228-219-6).
Mylène Demongeot (préf. Boris Cyrulnik, ill. Catel Muller dite « Catel »), Les Animaux de ma vie, Paris, Éditions Flammarion, 12 novembre 2009, 266 p., relié, 17,8 x 21,9 x 2,4 cm (ISBN 978-2-08-122925-9, présentation en ligne).
Mylène Demongeot (préf. Dominique Besnehard), Mylène Demongeot : Mes monstres sacrés, Paris, Éditions Flammarion, coll. « Documents et Essais », 13 mai 2015, 256 p. (ISBN 9782081344747, présentation en ligne).
BD |
Mylène Demongeot (scénario), Catel (dessin) et Bouilhac (dessin) (pour lecteurs à partir de 16 ans), Adieu Kharkov, t. 1 (BD), Charleroi, Dupuis, coll. « Aire Libre », 28 août 2015, 232 p., relié, couverture cartonnée (ISBN 9782800162874, présentation en ligne)Adaptation BD du récit Les Lilas de Kharkov.
Album photos |
Mylène Demongeot : dans l'œil d'Henry Coste (préf. Henry-Jean Servat, 200 photos prises par Henry Coste de 1959 à 1968), Pionnat, Éditions Abbate-Piolé, coll. « Livres d'art », 28 août 2015, 160 p., broché, 24 x 32 cm (ISBN 9782917500163, présentation en ligne).
Essai |
Mylène Demongeot et Isabelle Sokolow, Le Piège, l'alcool n'est pas innocent, Paris, Éditions Flammarion, coll. « Documents et Essais », octobre 2008, 223 p., broché, 13,5 x 22 x 1,6 cm (ISBN 978-2-08-121404-0, présentation en ligne).
Notes et références |
Extrait de naissance 2317/1935 (source : Les Gens du Cinéma) — Dans ses mémoires Tiroirs secrets, Mylène Demongeot précise elle-même son jour de naissance dans sa fiche d'état-civil, soit le 29 septembre.
« Généalogie de Marie Joseph Marcel DEMONGEOT », sur Geneanet (consulté le 29 mai 2018)
« Bases de données documentaires : statistiques mensuelles », sur www2.culture.gouv.fr (consulté le 29 mai 2018)
« http://www2.culture.gouv.fr/public/mistral/leonore_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=NOM&VALUE_1=DEMONGEOT », sur www2.culture.gouv.fr (consulté le 29 mai 2018)
« Mémoires 52 », sur memoires52.blogspot.com (consulté le 29 mai 2018)
Créée le 8 mai 1999 au lendemain de la Convention d'Ottawa, cette ONG française assure une présence dans plus de 40 pays afin de réaliser des actions de déminage humanitaire et de reconstruction d'infrastructures, de mettre en œuvre des unités médicales fixes et mobiles, et de former des démineurs locaux aux techniques de déminage – Site officiel de HAMAP Halte Aux Mines AntiPersonnel.
Page « Comité d'honneur », sur le site de l'ADMD.
http://www.unifrance.org/film/36245/un-jour-un-tueur.
Artmédia
La Sage-femme chez le producteur belge Versus Production
Projection en avant-première à Jérusalem le mardi 23 décembre 2014. Source de la société de production Outside Films (diffusion prévue sur France 2).
IMDb
Un banquier soupçonné d'avoir escroqué des stars sur le site www.lerepublicain-lorrain.fr consulté le 27 décembre 2012.
Deux banques condamnées, article Paris Match du 8 juin 2014.
Liens externes |
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(en) Mylène Demongeot sur l’Internet Movie Database
Vidéo : Mylène Demongeot s'exprime sur sa carrière en 1971, une archive de la Télévision suisse romande
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