Saint-Jeannet (Alpes-Maritimes)
Pour les articles homonymes, voir Saint-Jeannet.
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Saint-Jeannet : le vieux village perché. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Grasse | ||||
Canton | Canton de Vence | ||||
Intercommunalité | Métropole Nice Côte d'Azur | ||||
Maire Mandat | Jean-Michel Sempéré 2014-2020 | ||||
Code postal | 06640 | ||||
Code commune | 06122 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Jeannois | ||||
Population municipale | 4 099 hab. (2016 ) | ||||
Densité | 281 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 44′ 50″ nord, 7° 08′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 100 m Max. 407 m | ||||
Superficie | 14,58 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
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Saint-Jeannet est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Saint-Jeannois.
Sommaire
1 Géographie
1.1 Localisation
1.2 Géologie et relief
1.3 Sismicité
1.4 Climat
1.5 Hydrographie et les eaux souterraines
2 Histoire
2.1 Époque ligure : VIe et le XIe siècle av. J.-C.
2.2 Époque romaine : 200 av. JC
2.3 Moyen-âge : 416 à 1492
2.4 La féodalité : XIe – XVe siècles
3 Héraldique
4 Économie
4.1 Entreprises et commerces
4.1.1 Agriculture-cultures
4.1.2 Tourisme
4.1.3 Commerces et services
5 Politique et administration
5.1 Tendances politiques et résultats
5.2 Liste des maires
5.3 Budget et fiscalité 2017
6 Population et société
6.1 Démographie
6.1.1 Évolution démographique
6.2 Enseignement
6.3 Santé
6.4 Cultes
7 Distinctions culturelles
8 Lieux et monuments
8.1 Galerie
8.2 Patrimoine architectural
8.3 Édifices religieux
8.4 Environnement naturel
9 Personnalités liées à la commune
10 Divers
10.1 Films tournés à Saint-Jeannet
11 Jumelages
12 Voir aussi
12.1 Bibliographie
12.2 Articles connexes
12.3 Liens externes
13 Notes et références
13.1 Notes
13.2 Références
Géographie |
Localisation |
Le village est situé à une vingtaine de kilomètres de Nice, entre Gattières, la Gaude et Vence
Géologie et relief |
Village perché au pied du Baou de Saint-Jeannet (800 m), (« rocher » en provençal), une falaise qui attire de nombreux randonneurs et grimpeurs, et domine la vallée de la Cagne où se
dressent les ruines d’une ancienne bergerie fortifiée, le Castellet. Au sommet du Baou, une table
d’orientation, construite au début des années 1950, renseigne les promeneurs, qui peuvent
apercevoir en contrebas le village et au large un panorama qui s’étend des sommets
alpins du Mercantour aux collines niçoises, jusqu’à Antibes, aux îles de Lérins et au massif de
l’Estérel.
Sismicité |
Commune située dans une zone de sismicité moyenne[1].
Climat |
Le village jouit d’un microclimat de type méditerranéen nuancé par le baou qui attire la brise marine l’été et arrête le mistral l’hiver. On parle de brise pendulaire. Du fait de sa proximité avec la mer, située à 10 km à peine, le village profite d'un adoucissement des températures. Grâce à l'altitude, on ne ressent pas, l'été, cette moiteur souvent difficile à endurer. L'ensoleillement est important (3 000 h/an contre 1 900 à Paris). Le mistral, vent sec et froid, s'invite parfois pour quelques jours, dégageant le ciel et procurant des vues sur les lointains.
Les pluies se distinguent surtout par leur intensité, mais ne sont pas nombreuses, dépassant rarement les 90 jours/an. La neige fait quelques rares apparitions, mais se contente le plus souvent de couronner les baous. Elle fond en quelques heures ou quelques jours. Saint-Jeannet se situe à l'altitude des stations climatiques de Grasse, Vence, ou Levens. L'air y est sain.
Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[2].
Hydrographie et les eaux souterraines |
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :
- Le territoire, au pied du massif rocheux, limité par le fleuve Var à l’est, la rivière La Cagne à l’ouest, est limitrophe des communes de La Gaude au sud, Vence au sud-ouest, Gattières au nord-est, Bézaudun-les-Alpes au nord, Nice à l’est sur la rive opposée du Var,
- fleuve le var,
- vallon de barrancher, du ruth, du castelet.
Saint-Jeannet dispose de la station d'épuration intercommunale de Saint-Laurent-du-Var d'une capacité de 80 000 équivalent-habitants[4].
Histoire |
L'histoire de Saint-Jeannet est celle d'un village frontière entre la Provence et le comté de Nice.
Époque ligure : VIe et le XIe siècle av. J.-C. |
Les Ligures sont les premiers habitants connus, que les Phocéens (Grecs) et les Romains trouvèrent établis sur les côtes de la mer Méditerranée.
Les hautes terres surplombant les baous constituent un vaste plateau calcaire de 800 mètres d’altitude qui conserve les vestiges intéressants d’une occupation humaine remontant au début de l’histoire.
Depuis ces refuges, ils pouvaient observer les ennemis potentiels.
Époque romaine : 200 av. JC |
Les Ligures furent soumis par les Romains, entre l'an 200 et l'an 163 av. J.-C.
Avec la paix romaine, un grand nombre d’enceintes sont abandonnées pour des habitats plus confortables, moins escarpés et plus proches des cultures, les Ligures devenant progressivement moins pasteurs et davantage agriculteurs.
Il est à peu près sûr, que le quartier des Gaudes a servi de camp romain au Ier siècle de notre ère pour protéger la via Aurelia.
Moyen-âge : 416 à 1492 |
Au IXe siècle, les Sarrazins envahissent la Provence par la mer et se hissent jusqu’aux Alpes. Dans les environs, ils se retranchent dans les bourgs du Broc, Carros, Gattières et des Gaudes. Durant ces périodes de terreur, expulsés de leurs foyers, les habitants cherchent d’autres terres.
Guillaume de Provence les chasse en 975 et prend la tête des seigneurs de pays. De Arles à Nice, la région côtière est soumise à l'autorité du Comte Guillaume qui distribue aux grands hommes de son entourage les terres abandonnées. Un rapide essor démographique et économique va rendre à la Provence sa prospérité d'antan. S’annonce alors l’ère de la féodalité.
La féodalité : XIe – XVe siècles |
De nouveaux sites sont construits, c’est le fief de la Famille de Villeneuve.
Dès le XIe siècle : Alagauda, le Castrum de la Gaude où seront construits la Chapelle San Peïre (XIe siècle) et le château (XIIe siècle).
Au XIIIe siècle : Castrum de Sancti Johannis, l’actuel Saint-Jeannet.
Héraldique |
Blason | D’azur à saint Jean-Baptiste de carnation, barbé et chevelé d'argent, vêtu d’une peau de chameau d’or, nimbé du même, assis sur un tertre terrassé de sinople, tenant de sa main senestre une longue croix d’argent avec sa banderole du même, caressant de sa dextre un agneau contourné d’argent[5]. | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Économie |
Entreprises et commerces |
Agriculture-cultures |
- Le blé et le pastoralisme : héritage ligure datant de 1500 av. JC, ce peuple d’agriculteurs- éleveurs-pasteurs qui cultivait déjà dans les Baous.
- Dans les Baous, Le Castellet, ferme et bergerie du XIIIe siècle, atteste encore d’un grand domaine exploité. On y trouve encore traces d’aires de battages et de jas (fermes) du XVIIIe siècle ou des cabanes.
- Le moulin à farine Giraudy a été construit en 1898 et se situait au bord de la Cagne. Il est resté en activité jusqu’en 1988
- L’olivier : héritage Gréco-Romain. Le bas de la commune était planté d’oliviers.
- Aux XVe – XVIe siècles, on retrouve la trace du moulin à eau, propriété des Seigneurs de Villeneuve, destiné à produire l’huile d’olive.
- En 1920, la famille Giraudy devenue propriétaire, en reprend l’exploitation. Elle achète les olives aux oléiculteurs des environs pour en faire commerce. Mais les propriétaires viennent aussi faire leur huile pour une consommation familiale.
- Le raisin : "Saint-Jeannet tardif" est un gros raisin blanc de table, très tardif que l'on appelait aussi raisin Michel, du nom de celui qui le découvrit, par hasard, dans son jardin, M. Barthélemy MICHEL (1863)
- L’exposition sud lui était idéalement favorable pour mûrir tard et la sécheresse exceptionnelle de l'atmosphère permettait de conserver les grappes très longtemps sur souche, sans altération. Cette tardiveté lui vaudra alors son succès.
- Dès 1866, on le porta sur le marché de Nice, qui poursuivait son essor de ville touristique pour gens fortunés, été comme hiver.
- Les tables parisiennes et enfin étrangères se disputèrent ce raisin qu’elles pouvaient proposer sur leur table tout l’hiver.
- Le vin : la vigne va petit à petit supplanter les oliviers.
- Au début du XXe siècle, les anciens conservaient d’abord le vin dans les greniers, puis l’exposaient déjà embouteillé sur les tuiles. D’où son nom de « vin tuilé » (rouge et rosé).
- Déjà les Romains avaient établi au Collet des Mourre un magnifique domaine, sur lequel on cultive encore aujourd’hui la vigne et l’olivier. Les vestiges archéologiques attestent de leur présence : deux fabuleux pressoirs romains, les seuls de la région.
- En 1950, le vignoble recouvrait encore un tiers de la superficie agricole de Saint-Jeannet, et chaque année, à l'automne la fête des vendanges regroupait tous les habitants[6].
- Les fleurs à parfums
La fleur d’oranger : arrivés en France au XIVe siècle, au début du XXe siècle ces orangers s’étendent jusqu’au pied des Baous pour la culture de ses fleurs.
La lavande : les grecs et les romains connaissaient déjà les vertus médicinales de la lavande spica (notamment comme antiseptique). Les provençaux en avaient une utilisation domestique en confectionnant des bouquets séchés qu’ils plaçaient dans les armoires à linge. Les parfumeurs de Grasse s’y intéresseront tardivement et uniquement pour son parfum peu onéreux grâce à une pousse locale. Les saint-Jeannois cueillaient alors la lavande sauvage dans les baous.
La rose de mai (Centifolia) : elle est cultivée à Grasse dès le XVIe siècle. À Saint-Jeannet, elle semble être plantée seulement au début du XXe siècle.
La violette : elle a d’abord été utilisée comme plante médicinale, puis pour la confiserie (pétales cristallisés dans le sucre), puis pour les bouquets, qu’on envoyait jusqu’à Paris. Comme pour la lavande, la parfumerie ne s’y intéresse qu’à la fin du XIXe siècle.
Les fleurs pour bouquets : comme le raisin de table et les fleurs ne rapportaient plus assez, les paysans se sont mis à planter des fleurs pour bouquets. L’arrivée de l’eau courante a contribué à ces plantations. Les œillets, les anémones, les roses Tango, les violettes Parme et autres narcisses, dans les années 1950-1960 sont cultivées en plein air, puis, petit à petit sous serres jusque dans les années 1990.
- De nos jours :
Les Baous : site de loisirs très prisé, ils représentent la principale attractivité du village aujourd’hui. Escalade, randonnées pédestres, et aujourd’hui slacklines, attirent les visiteurs locaux comme internationaux.
Le vin : aujourd’hui, seule une famille exploite encore les vignobles du domaine familial au Collet de Mourre, quartier des Sausses. Le vin est toujours produit avec des méthodes traditionnelles.
Les fromages: les éleveurs des Baous proposent des fromages de leurs chèvres et brebis nourries et élevées au grand air dans les Baous.
Huile d’olive de la Clémandine, un des rares domaines cultivés selon les principes de l’Agriculture Biologique, a le label AOP.
Le maraîcher dont les légumes sont labellisés « bio ».
Tourisme |
- Restaurants.
- Pizzerias.
- Bars.
Commerces et services |
- Commerces et services de proximité[7].
- Artisanat d’art.
Politique et administration |
Tendances politiques et résultats |
Liste des maires |
Budget et fiscalité 2017 |
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[10] :
- total des produits de fonctionnement : 3 796 000 €, soit 919 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 3 327 000 €, soit 805 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 1 457 000 €, soit 353 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 1 393 000 €, soit 337 € par habitant ;
- endettement : 3 475 000 €, soit 841 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 15,86 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 15,88 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 39,82 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 25 417 €[11].
Population et société |
Démographie |
Évolution démographique |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[13].
En 2016, la commune comptait 4 099 habitants[Note 1], en augmentation de 8,35 % par rapport à 2011 (Alpes-Maritimes : +0,23 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Enseignement |
Établissements d'enseignements[16] :
- Écoles maternelles et primaires,
- Collège,
- Lycées à Vence, Nice.
Santé |
Professionnels et établissements de santé[17] :
- Médecins,
- Pharmacies,
- Hôpitaux à Saint-Jeannet, Vence, Cagnes-sur-Mer.
Cultes |
- Culte catholique, Paroisse Saint-Vincent et Saint-Lambert[18], Diocèse de Nice.
Distinctions culturelles |
Saint-Jeannet fait partie des communes ayant reçu l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.
Lieux et monuments |
Galerie |
Saint-Jeannet et son baou.
Les baous des Noirs, de Saint-Jeannet et de La Gaude.
Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.
Monument du souvenir, à l'intérieur de l'église.
Baou de Saint-Jeannet[19] : falaise dominant tout le littoral azuréen par temps dégagé.
Baou de La Gaude[20] : à l’Est du Baou de Saint-Jeannet, se dresse un autre promontoire rocheux, moins escarpé, mais culminant à 791 mètres.- Château de La Gaude ou « des Templiers » : les ruines de ce château ont été remontées dans les années 1940 par l'actrice de cinéma française Viviane Romance. Il appartient aujourd’hui à un particulier[21].
Patrimoine architectural |
- Comme nombre des villages perchés de Provence et du comté de Nice, Saint-Jeannet a été construit à l’adret, c’est-à-dire, face au sud, et abrité des vents du nord par une falaise montagneuse. Ce faisant, il recueille largement le soleil mais n’échappe pas à l’action des vents pluvieux soufflant de l’est. Une telle position élevée répondait jadis à un souci de protection.
- Les plus anciennes demeures sont presque toutes des habitations en hauteur qui superposent jusqu’à trois ou quatre étages. Leur matériau principal vient de toutes les roches qui constituent le sol de Saint-Jeannet. Le mortier, formé jadis d’un mélange de sable et de chaux, n’était pas très solide. C’est pourquoi les murs des anciennes maisons étaient doublés.
- Maison forte du Castellet[22].
- La gare de Saint-Jeannet, établie sur la Ligne Central-Var à voie métrique Nice - Colomars - Grasse - Draguignan - Meyrargues, a disparu en 1944 après la destruction du viaduc du Loup, de celui de Tanneron et du Pont de la Manda sur le Var.
Édifices religieux |
- Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste : construite en 1666, elle est attenante à la chapelle des Pénitents blancs (aujourd’hui chapelle Saint-Bernardin). Le clocher, avec sa tour carrée, fut ajouté en 1670. Les décors (tableaux, statues de saints, balustrades) furent ajoutés sous l’influence du baroque niçois et génois.
- Chapelle Saint-Jean-Baptiste des Pénitents noirs, XVIIIe siècle
- Chapelle Saint-Bernardin des Pénitents blancs, XVIIe siècle
- Chapelle Sant Pèire(Saint-Pierre) : construite au XIe siècle, près du château de la Gaude, elle fut la première paroisse de la vieille Gaude.
- Chapelle Sainte-Pétronille, XIe siècle[23].
- Chapelle Notre-Dame-des-Champs ou Notre-Dame-du-Baou, XVe siècle
- Monuments commémoratifs :
- Monument du souvenir, à l'intérieur de l'église,
- Monument aux morts[24] : Obélisque[25].
Environnement naturel |
Saint-Jeannet est surtout connu pour ses nombreuses voies d'escalade (on en compte près de 470, réparties sur 17 secteurs), mais aussi pour ses trois chemins de randonnée (« Baou de Saint-Jeannet », « Baou de la Gaude et son grand chêne », « circuit du Castellet »). Il est possible, en outre, de pratiquer de la spéléologie ou de la Via Corda.
Personnalités liées à la commune |
Jean Antoine Barrière (1752-1836), né à Saint-Jeannet, député au Conseil des Cinq-Cents
Frédéric Euzière (1842-1920), né à Saint-Jeannet, député des Hautes-Alpes de 1889 à 1910
Georges Ribemont-Dessaignes (1884-1974), écrivain français, a vécu et est mort à Saint-Jeannet.
Michel Dureuil (1929-2011), artiste peintre, a vécu depuis les années 1990 et est décédé à Saint-Jeannet en 2011.- Viviane Romance
Divers |
Films tournés à Saint-Jeannet |
La Main au collet d'Alfred Hitchcock, avec Grace Kelly et Cary Grant, a été tourné en partie à Saint-Jeannet.- La nouvelle Villa des bijoux, écrite par l'auteur australien Matthew Asprey, a pour cadre et sujet de son action la villa Les Bolovens, où fut tourné La Main au collet, ainsi que le village de Saint-Jeannet[26].
- Le film L'École buissonnière, avec Bernard Blier, a été tourné en partie à Saint-Jeannet.
- Une scène du film Les Égouts du paradis, avec Francis Huster, a été tournée dans le Baou de Saint-Jeannet.
- En 1942-1943 a été tourné le film Adémaï bandit d'honneur, de Gilles Grangier, avec Noël-Noël.
Jumelages |
Salvan, commune du Valais ( Suisse).
Voir aussi |
Bibliographie |
- Saint-Jeannet, le patrimoine culturel des communes des Alpes-Maritimes
Collectif, Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », janvier 2000, 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Nice : pp. 951 à 955 : Saint-Jeannet
- Charles Bilas, Le château de La Gaude, Alandis Éditions, 2002.
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)Saint-Jeannet, pp. 1046-1047
- J.-E. Malaussène, L'évolution d'un village frontière de Provence. Saint Jeannet (A.-M.), rééd. Alandis Éditions, 2000.
- Le patrimoine religieux de Saint-Jeannet
- Françoise et Caroline Chambon, Saint-Jeannet-Village. De mémoire d'hommes, préface de René Rasse, 2001 (1re édition), réédité en 2009, 352 p.
- Jean Laffitte, Les constructions en pierre sèche du Baou de Saint-Jeannet (Alpes-Maritimes), L'auteur, Nice, 53 p. (étude des vestiges en pierre sèche de l'exploitation agricole de ce qu'on appelait « la Montagne » au XIXe siècle)
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles et ouvrages civils
Articles connexes |
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- Liste des communes des Alpes-Maritimes
- Anciennes communes des Alpes-Maritimes
- Chemins de fer de Provence
Liens externes |
- Site de la mairie
- Saint-Jeannet sur le site de l'Institut géographique national
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
(fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
Notes et références |
Notes |
Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références |
Didacticiel de la règlementation parasismique
Table climatique
L'eau dans la commune
Description de la station Saint-Laurent-du-Var
Nice Côte d'Azur 3 : Saint-Jeannet, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
« Quand Prévert racontait Saint-Jeannet... : Jacques Prévert, Ode aux vignerons », sur leschenesverts06.pagesperso-orange.fr (consulté le 18 septembre 2018).
Commerces et services de proximité
Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
« "Sarkothon" : vos élus aident-ils à renflouer l'UMP ? », sur http://www.nicematin.com/, Nice-Matin, 28 juillet 2013(consulté le 28 septembre 2013)
Les comptes de la commune
Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
L'organisation du recensement, sur insee.fr.
Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
Établissements d'enseignements
Professionnels et établissements de santé
Paroisse Saint-Vincent et Saint-Lambert
Baou de Saint-Jeanne
Baou de la Gaude
Deux château pour deux femmes de caractère
Maison forte du Castellet
Chapelle Sainte-Pétronille, sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux
Conflits commémorés 1914-1918
Monument aux morts
Asprey, Villa des bijoux, La Main au collet.
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