Eaubonne





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Icône de paronymie
Cet article possède des paronymes, voir Obón et O-Bon.























































































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Eaubonne
Avenue de l'Europe.

Blason de Eaubonne
Blason

Administration

Pays

Drapeau de la France France

Région

Île-de-France

Département

Val-d'Oise

Arrondissement

Argenteuil

Canton

Ermont

Intercommunalité

Communauté d'agglomération Val Parisis

Maire
Mandat
Grégoire Dublineau (UMP)
2014-2020

Code postal
95600

Code commune
95203
Démographie

Gentilé
Eaubonnais

Population
municipale
25 161 hab. (2016 en augmentation de 3,54 % par rapport à 2011)
Densité 5 693 hab./km2
Géographie

Coordonnées

49° 00′ 00″ nord, 2° 17′ 00″ est

Altitude
54 m
Min. 41 m
Max. 83 m

Superficie
4,42 km2
Localisation


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Liens

Site web

eaubonne.fr


Eaubonne est une commune du Val-d'Oise, dans la région Île-de-France, en France. Ses habitants sont appelés les Eaubonnais.





Sommaire






  • 1 Géographie


    • 1.1 Localisation


    • 1.2 Hydrographie


    • 1.3 Climat


    • 1.4 Voies de communication et transports


      • 1.4.1 Transports ferroviaires


      • 1.4.2 Réseau routier






  • 2 Urbanisme


    • 2.1 Morphologie urbaine


    • 2.2 Logement




  • 3 Toponymie


  • 4 Histoire


  • 5 Politique et administration


    • 5.1 Instances administratives


    • 5.2 Tendances politiques


    • 5.3 Liste des maires


    • 5.4 Budget et fiscalité de la commune


      • 5.4.1 Évolution de la fiscalité


      • 5.4.2 Évolution de l'endettement




    • 5.5 Jumelages




  • 6 Population et société


    • 6.1 Démographie


    • 6.2 Enseignement


    • 6.3 Sports




  • 7 Culture locale et patrimoine


    • 7.1 Lieux et monuments


      • 7.1.1 Monuments historiques


      • 7.1.2 Autres éléments du patrimoine




    • 7.2 Parcs et espaces verts


    • 7.3 Équipements culturels


    • 7.4 Eaubonne et le cinéma


    • 7.5 Personnalités liées à la commune


    • 7.6 Héraldique




  • 8 Voir aussi


    • 8.1 Bibliographie


    • 8.2 Articles connexes


    • 8.3 Liens externes




  • 9 Notes et références


    • 9.1 Notes


    • 9.2 Références







Géographie |



Localisation |


La commune est située au cœur de la vallée de Montmorency, à environ 12 km au nord-ouest de Paris. Elle jouxte les communes d'Ermont, Saint-Prix, Montlignon, Margency, Andilly, Soisy-sous-Montmorency et Saint-Gratien.






















Communes limitrophes de Eaubonne[1]

Saint-Prix

Montlignon, Margency

Andilly

Ermont
Eaubonne[1]
Soisy-sous-Montmorency


Saint-Gratien




Hydrographie |


Le territoire communal est traversé sur toute sa longueur du nord au sud-est par un petit cours d'eau : le ru d'Enghien, qui constitue également en partie au nord sa limite orientale avec Margency.

D'une longueur de 14,2 kilomètres, il prend sa source en forêt de Montmorency au nord de la commune et se jette dans la Seine après avoir traversé, canalisé pour l'essentiel, les territoires de Montlignon, Margency, Enghien-les-Bains et Épinay-sur-Seine et alimenté l'étang de la Chasse, en amont en forêt, puis les étangs du parc de Maugarny (en limite de Montlignon et Margency), ceux du parc de Bury à Margency et le bassin de retenue des Moulinets à Eaubonne. Il se dirige ensuite vers le lac d'Enghien en aval[2].


La commune est alimentée en eau par la station de traitement de Méry-sur-Oise, gérée par la société Veolia Environnement. L'eau potable à Eaubonne est de très bonne qualité bactériologique, contenant peu de nitrates, étant peu fluorée et devenue relativement peu calcaire depuis la mise en place de la nanofiltration en 1999 à l'usine de distribution[3]. L'eau distribuée est d'origine superficielle, provenant de la filtration des eaux de l'Oise[4],[5].



Climat |


Eaubonne comme toute l'Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. Il se différencie du climat de Paris intra-muros par un écart de température de quelques degrés, particulièrement notable au lever du jour, et qui a tendance à s'accentuer au fil des années. Cet écart, de °C en moyenne mais qui peut atteindre °C par une nuit claire et un vent faible, s'explique par la densité urbaine qui augmente la température au cœur de l'agglomération. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec 19 °C (moyenne journalière)[6].





































































Mois Janv Fév Mars Avr Mai Juin Juil Août Sept Oct Nov Déc Année
Températures maximales moyennes (°C)
6
7
11
14
18
21
24
24
21
15
9
7
14,8
Températures minimales moyennes (°C)
1
1
3
6
9
12
14
14
11
8
4
2
7,1
Températures moyennes (°C)
4
4
7
10
14
17
19
19
16
12
7
5
11,2

Source : Climatologie mensuelle - Aéroport de Roissy, France[7]


Voies de communication et transports |



Transports ferroviaires |




L'omnibus Eaubonne - Margency - Montlignon permettait aux habitants de prendre le train vers 1900.


Eaubonne possède deux gares : la gare d'Ermont - Eaubonne et celle du Champ de courses d'Enghien.


La gare d'Ermont - Eaubonne est exceptionnellement bien desservie. Trois lignes ferroviaires y convergent : le Transilien Paris-Nord, le Transilien Paris Saint-Lazare et la ligne C du RER.


La gare est desservie à raison :



  • d'un train omnibus au quart d'heure en heures creuses et par 12 trains à l'heure en heures de pointe en provenance ou en direction de la gare du Nord. Il faut de 12 à 19 min de trajet vers Paris ;

  • d'un train omnibus au quart d'heure en heures creuses et par 8 trains à l'heure en heures de pointe sur la ligne C du RER ;

  • d'un train omnibus au quart d'heure en heures creuses et par 6 trains à l'heure en moyenne en heures de pointe en provenance ou en direction de la gare Saint-Lazare.


Elle possède également une importante gare routière, qui en fait un point de convergence dans la vallée de Montmorency. Elle est desservie par le (BUS)RATP 138 de la RATP
ainsi que par les TVO (Transports du Val-d'Oise) « Valmy », lignes 10, 12, 14 et les cars Rose, ligne 38-01.01, 38.01.02, 38.01.14 et 38.04 (Eaubonne bus).


La gare du Champ de courses d'Enghien, située au sud-est de la commune en limite de Soisy-sous-Montmorency, est desservie à raison d'un train omnibus au quart d'heure toute la journée (1 par demi-heure en fin de soirée) desservant également en direction de Paris les gares d'Enghien-les-Bains, La Barre - Ormesson, Épinay - Villetaneuse et Saint-Denis. Les trains sont directs entre Paris et la gare de La Barre - Ormesson aux heures de pointe.



Réseau routier |


La commune est facilement accessible à partir de l'autoroute A 15, située à trois kilomètres et accessible directement grâce à l'avenue du Parisis, et se situe à environ quinze minutes des portes de Paris par la route.



Urbanisme |



Morphologie urbaine |


La ville est officiellement divisée en cinq quartiers : Flammarion au nord-ouest, J.-J.. Rousseau au nord-est, Mont-d'Eaubonne au centre-est, Paul-Bert au sud (quartier de la gare) et Cerisaie - Jean-Macé à l'ouest (limitrophe d'Ermont).



Logement |


Les logements à Eaubonne sont en moyenne plus récents et plus vastes par rapport à la moyenne régionale.
La ville comptait 9 723 logements dont 9 135 résidences principales en 1999. En 1999, 94,0 % des résidences eaubonnaises étaient des résidences principales et seulement 0,5 % des résidences secondaires. L’âge moyen du parc immobilier est plus faible que la tendance régionale, une forte majorité des logements datant des années 1950 et après : 55,0 % des résidences principales dataient de 1949 à 1974, contre 37,8 % en Île-de-France. Les constructions récentes (de 1990 à 1999) sont très légèrement moins présentes que la moyenne de la région, et ce malgré le lancement de quelques programmes immobiliers : le territoire communal est en effet presque entièrement urbanisé et les constructions récentes ne peuvent être réalisées qu'après des démolitions. En 1999, 8,6 % des résidences principales dataient de 1990 ou après contre 9,1 % en Île-de-France. A contrario, les constructions antérieures à 1949 ne représentaient que 22,5 % du parc contre 33,7 % pour la moyenne régionale francilienne. La mise en œuvre de la ZAC de la gare d'Ermont - Eaubonne avec un vaste programme de constructions neuves devrait néanmoins abaisser encore l'âge moyen du parc immobilier de la ville.


Eaubonne est une ville constituée majoritairement de logements collectifs, mais comptant néanmoins un parc pavillonnaire non négligeable, et surtout constituée de propriétaires. Les résidences principales étaient réparties à 41,8 % en maisons individuelles et à 58,2 % en appartements (respectivement 26,9 % et 73,1 % dans la région). 64,9 % des habitants sont propriétaires de leur logement, contre 31,6 % qui ne sont que locataires (respectivement 44,3 % et 51,1 % dans la région)[8],[9].


La commune est soumise à l'obligation législative de construction de 20 % de logements sociaux en vertu de la loi no 2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains. Avec 1 508 logements HLM soit 16,5 % du parc en 1999 (23,4 % également dans la région), la ville ne respecte pas les dispositions de la loi. On peut noter en outre que le nombre de logements vacants était très faible en 1999 avec 4,9 % du parc contre 8,1 % en moyenne régionale.


Les habitations se caractérisent par leur surface importante : une forte majorité compte quatre pièces et plus (56,4 %). Suivent les logements de trois pièces (29,7 %), puis 2 pièces (9,2 %). Les petits logements restent très minoritaires (studios : 4,7 %).

La ville possède ainsi des logements assez conformes aux tendances franciliennes avec un parc globalement plus jeune mais néanmoins une nette sous-représentation des petites surfaces[10],[11].



Toponymie |


Aqua bona, Yauebonne en 1293, Aubone[12].


Eaubonne, autrefois dénommée en bas latin Aqua Puta, eau purifiée[13] puis Aqua Bona eau bonne, en raison de la qualité de son eau qui était appréciée des légions romaines.



Histoire |




Eaubonne vers 1780 (carte de Cassini).




La Poste vers 1900.




La rue des Callais et la gare, vers 1909.


Occupé dès la période celtique, le lieu entre dans l'histoire avec la conquête romaine du pays en 54 av. J.-C. À cette période, plusieurs routes militaires sont construites, dont celle qu'on surnommera plus tard la chaussée Jules César qui relie Lutèce (Paris) à Juliobona (Lillebonne - près du Havre) et qui traverse le territoire de la commune. Le nom actuel de la ville apparaît pour la première fois dans l'histoire dans une charte du roi Dagobert en 635[13].


Propriété de l'abbaye de Saint-Denis, le fief devient une seigneurie des Montmorency à partir du XIe siècle puis des Condé au XVIIe siècle. Le village reste essentiellement rural et compte à peine 200 habitants au milieu du XVIIIe siècle. C'est alors que Joseph-Florent Le Normand de Mézières 1719-1793), commissaire aux guerres et promoteur, en devient le seigneur en 1762 et change en profondeur la physionomie du village. Il fait édifier un véritable ensemble urbain comprenant des châteaux, des pavillons des gardes, des rues, des maisons vigneronnes, le tout caractérisé par la régularité et la symétrie. Eaubonne devient alors un lieu de villégiature recherché[13]. Comme on le voit par ses Confessions, Jean-Jacques Rousseau venait souvent à Eaubonne pour y visiter Madame d'Houdetot, dont il était amoureux sans pouvoir le lui dire.


Le village compte au XIXe siècle pas moins de quinze châteaux. La population ne cesse de croître à partir de cette époque, mais c'est surtout l'arrivée du chemin de fer en 1846 qui provoquera une urbanisation rapide. En 1900, la plupart des champs et marécages au sud de la commune (entre le centre et la gare) sont déjà lotis. C'est alors que les différents domaines d'Eaubonne seront à leur tour touchés par la pression urbaine. Un premier lotissement, bâti sur le parc de la Grille Dorée apparaît dès 1903. Puis c'est le tour du parc Goguel (ou de la Cour Charles) au centre du village. De nombreuses voies sont tracées, dont l'actuel boulevard de la République marque l'axe principal[13].


Puis un autre parc est loti, celui du Petit-Château en 1926, puis c'est progressivement tous les parcs d'Eaubonne qui seront lotis. Les derniers espaces libres à la fin des années 1950 et durant les années 1960, vers les Bussys et le Mont d'Eaubonne (à la limite de Soisy-sous-Montmorency), sont à leur tour occupés par des ensembles d'immeubles à l'architecture caractéristique de l'époque. L'arrivée de la ligne C du RER en septembre 1988 provoque également une vague d'urbanisation remplaçant de nombreux pavillons par des immeubles. L'arrivée de la liaison ferroviaire directe de Paris-Saint-Lazare à Ermont-Eaubonne est effective depuis fin août 2006. Elle fait d'Eaubonne une des rares villes d'Île-de-France accessible à partir de trois réseaux ferrés différents.




Politique et administration |



Instances administratives |




La gare d'Ermont-Eaubonne, un important nœud ferroviaire d'Île-de-France.


Eaubonne est le chef-lieu d'un canton ne concernant que la seule commune.


La ville compte deux bureaux de poste (dont un nouveau avenue de Paris depuis décembre 2006), un commissariat (fermé en 2014), une police municipale. Elle fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[14],[15].


Les cinq quartiers de la ville possèdent des conseils de quartier particulièrement actifs.


En 2003, la commune a reçu le label « Ville Internet @@ »[16].



Tendances politiques |


Article détaillé : Élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise.

La ville a connu une mandature socialiste entre 2001 et 2014, François Balageas ayant été élu en 2001 avec 39,69 % des voix au cours d'une triangulaire, face au candidat divers droite Hervé Lejeune (38,81 %) et à la liste dissidente de l'ancien maire André Petit (21,5 %)[17]. François Balageas a été élu conseiller général du Val-d'Oise lors des élections cantonales de 2004 dans le cadre d'un affrontement droite-gauche. En 2008 lors de l'élection municipale, François Balageas, à la tête de la liste de la majorité sortante de gauche, bat au second tour avec 52 % la liste de Claude Bodin (UMP), député de la 4e circonscription du Val-d'Oise. Cette élection est marquée par une abstention de près de 40 %. Lors des cantonales de 2011, avec un taux d'abstention de près de 56 %, François Balageas est réélu avec 66 % des voix à l'issue d'un duel PS-FN, la droite s'étant présentée désunie au premier tour.


Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du 29 mai 2005, les Eaubonnais ont approuvé la Constitution européenne, avec 54,05 % de Oui contre 45,95 % de Non avec un taux d’abstention de 29,03 % (France entière : Non à 54,67 % ; Oui à 45,33 %). Ces chiffres sont contraires à la tendance départementale du Val-d'Oise (Non à 53,47 % ; Oui à 46,53 %) mais presque conformes aux résultats franciliens (Oui 53,99 % ; Non 46,01 %)[18].


À l’élection présidentielle de 2007, le premier tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 35,27 %, suivi par Ségolène Royal avec 24,07 %, François Bayrou avec 22,12 %, Jean-Marie Le Pen avec 8,32 %, enfin Olivier Besancenot avec 3,00 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 2 %. Le second tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 56,55 % (résultat national : 53,06 %) contre 43,45 % pour Ségolène Royal (national : 46,94 %)[19].


Lors des législatives qui suivent en 2007, Claude Bodin (UMP) arrive en tête avec 42,15 % au premier tour, suivi par Gérard Sebaoun (PS)avec 25,26 %, et le MoDem à 9,19 %[20].
Claude Bodin remporte facilement le Second tour avec 56,02 % des voix.


À l'élection présidentielle suivante de 2012, François Hollande arrive en tête au premier tour avec 29,97 % des suffrages exprimés, contre 29,91 % pour Nicolas Sarkozy, 13,55 % pour Marine Le Pen, 10,80 % pour François Bayrou, 9,86 % pour Jean-Luc Mélenchon, 2,43 % pour Eva Joly, et 1,80 % pour Nicolas Dupont-Aignan, les trois autres candidats ne franchissant pas la barre des 1 %. Au second tour, c'est le Président sortant Nicolas Sarkozy qui passe en tête avec 50,10 % des voix, contre 49,90 % pour son rival socialiste[21].


Lors des législatives de 2012, c'est Gérard Sebaoun (PS) qui devance Claude Bodin au premier tour avec 36,43 % contre 36,10 % pour ce dernier, le FN arrivant en troisième position avec 12,5 %[22]. Le second tour est remporté par le socialiste avec 50,51 % des voix.


Aux municipales de 2014, la ville rebascule à droite : Grégoire Dublineau (UMP-UDI-MoDem-DLR) remporte les élections avec 58,30 % des voix contre 41,70 % pour le maire sortant François Balageas (PS-EELV-MRC). Comme en 2008, le scrutin est marqué par une abstention de 42 %.


Au premier tour cinq listes s'étaient affrontées. Grégoire Dublineau (UMP-Modem-DLR) était arrivé en tête avec 40,38 %, François Balageas (PS-EELV-MRC) second avec 35,27 %, Jean-Noël Sanchez (UDI) ensuite avec 11,74 %, Josée-Paule Dodeman (DVD) 7,78 % et Marc Schweitzer (FDG) 4,81 %.


Aux Européennes de 2014, l'UMP arrive en tête avec 22,50 % des voix contre 19,11 % pour le FN, 14,48 % pour le PS, 12,60 % pour l'UDI-MoDem, 8,47 % pour Europe Écologie Les Verts, 4,94 % pour le FDG et 4,54 % pour DLR. L'abstention s'établit à 55,58 %.



Liste des maires |
























































































































































































































































































Liste des maires successifs[23],[24]
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1790
1791
Sébastien Fournier
 

Vigneron
1791
1792
Edmé Salmon
 
Aubergiste et épicier
1792
1796
Michel Nicolas Ogé
 
Menuisier
1796
1800
Louis Morisset
 
Maçon
1800
1801
Louis-Robert Charpentier
 

Garde-chasse et régisseur des biens nationaux
1801
1812
Georges Coquatrix-Dupont
 

Chirurgien
1812
1816
Louis-Joseph Auguste Coutan
 
Négociant de draperie et collectionneur d’œuvres d'art
1816
1816
Pierre-Louis Ollivier des Closeaux
 

Avocat
1816
1821
Armand-Louis de Lavenant
 

Baron d'Empire
1821
1824
Claude-François Achard-Jourmard-Tison
 

Comte d'Argence
1824
1842
Antoine-Laurent Arnous
 
Attaché de direction au ministère de la Guerre
1842
1848
Joseph-Raymond Plassan
 
Imprimeur-libraire
1848
1850
Charles-François Pouthier
 
 
1850
1851
Charles-Joseph Tréon
 
 
1851
1852
Pierre-Marie Rolin
 
 
1852
1860
Joseph-Raymond Plassan
 
 
1860
1865

Auguste-Joseph Magne
 

Architecte
1865
1871

Edmond-Joseph-Louis Tarbé des Sablons
 

Journaliste
1871
1881
Louis Hennocque
 
 
1881
1884
Henry-Eugène Cocqueteaux
 
 
1884
1886
Gaston Carle
 
Journaliste, préfet du Cher (1889-1892) et de Vaucluse (1892-1896)
1886
1896
Charles Goguel
 
Régent de la Banque de France
1896
1898
Armand-Louis de Visme
 
Avocat et historien
1896
1904
Jules Huyot
 

Dessinateur et graveur
1904
1905
Jean Blanc
 
 
1905
1908

Jules Huyot
 
Dessinateur et graveur
1908
1925
Charles Marret
 

Agent de change
1925
1935
Paul Nief

SFIO
Architecte
1935
1941
Albert Pelletier

SFIO
 
1941
1943
Louis-Joseph Le Duc
 
 
1943
1944
Edmond Martin-Neuville
 
 
1944
1945
Léon Beaslay
 
Responsable du comité local de libération
1945
1947
Georges Danthin
 
 
1947
1956
Alphonse Ricard

RPF
 
1956
1965
André Mignot

RPF

Conseiller d’État
mars 1965
mars 2001

André Petit

CD puis UDF-CDS

Député du Val-d'Oise (1978 → 1981)
Conseiller général d'Eaubonne (1967 → 1979)
mars 2001[25]
avril 2014[26]
François Balageas[27]

PS
Artisan peintre-décorateur puis professeur de lycée technique retraité
Conseiller général d'Eaubonne (2004 → 2015)
avril 2014[28],[29],[30]
En cours
(au 27 septembre 2015)
Grégoire Dublineau

UMP-LR
Directeur général d'une organisation professionnelle agricole[31]

Les données manquantes sont à compléter.



Budget et fiscalité de la commune |


Avec le changement de majorité en 2001, la pression fiscale s'est fortement accrue à Eaubonne. En effet, avec une augmentation des dépenses de fonctionnement de 5,5 millions d'euros soit plus de 30 % entre 2000 et 2012, la mairie socialiste a choisi d'augmenter les taxes de 24 %.
Plus précisément, les charges de personnel ont augmenté de 45 % et les dépenses en Achats et charges externes ont dérapé de 56 %.



Évolution de la fiscalité |














































Finances d'Eaubonne [32]
Année 2000 2001 2002 2003 2005 2006 2010
Taxe d’habitation 12,26 % 12,46 % 12,77 % 13,41 % 13,75 % 14,10 % 15,23 %
Taxe sur le foncier bâti 16,76 % 17,03 % 17,46 % 18,33 % 18,79 % 19,26 % 20,80 %
Taxe sur le foncier non bâti 31,04 % 31,54 % 32,33 % 33,95 % 34,81% 35,69 % 38,55 %


Évolution de l'endettement |






































La dette de la commune d'Eaubonne
Année 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
Dette par habitant (en euro) 868 958 951 919 830 758 712 799 971 848 755 657 610

Entre 2000 et 2011, la municipalité d'Eaubonne s'est désendettée à hauteur de 4,2 millions d'euros soit 21,16 %.



Jumelages |


La ville est jumelée à :
Drapeau de l'Angleterre Matlock (Royaume-Uni) (Angleterre)
Drapeau de l'Allemagne Budenheim (Allemagne).



Population et société |



Démographie |


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population
effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les
populations légales
des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur
une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous
les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par
sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un
recensement réel tous les cinq ans[33],[Note 1].



En 2016, la commune comptait 25 161 habitants[Note 2], en augmentation de 3,54 % par rapport à 2011 (Val-d'Oise : +3,52 %, France hors Mayotte : +2,44 %).





























Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
228 266 214 221 263 258 263 201 309



























1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
337 402 546 530 736 839 1 130 1 086 1 394



























1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 889 2 506 3 263 4 191 6 151 7 839 8 797 9 627 11 312



























1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
14 607 22 278 23 668 22 227 22 153 22 882 23 640 24 300 25 161

De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)



Histogramme de l'évolution démographique





Enseignement |


Quatorze établissements scolaires publics dispensent l'enseignement à Eaubonne : cinq écoles maternelles, cinq écoles primaires, deux collèges et un lycée. La commune accueille également une école privée catholique et un centre de formation des apprentis de la Chambre de métiers[36].


Eaubonne relève de l'académie de Versailles. Les écoles de la commune sont gérées par l’inspection générale de l'inspection départementale de l’Éducation nationale d'Eaubonne (4, rue de Soisy). La circonscription fait partie du bassin d'éducation et de formation d'Enghien-les-Bains[37].



Sports |


Eaubonne est dotée de plusieurs installations sportives, parmi lesquelles :



  • le CDFAS, lieu de formation (stages, pôles d'espoirs régionaux), mais aussi de réception de grands événements : championnats du monde Bonzini de baby-foot, meetings Femina, tournois de handball junior Pierre-Tiby… ;

  • la piscine intercommunale des Bussys ;

  • les stades Paul-Nicolas et Émile-Wildermuth ;

  • le complexe sportif Suzanne-Lenglen (où s'est déroulé le Mondial Ping Tour 2013 de tennis de table) ;

  • les gymnases du Bois-Jacques, du Luat (où se tient chaque année un tournoi de badminton du circuit Élite André-Guillier) et Georges-Hebert.


Le tennisman Adrian Mannarino fut licencié plusieurs années durant au CSM Eaubonne.



Culture locale et patrimoine |



Lieux et monuments |



Monuments historiques |




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Eaubonne compte quatre monuments historiques sur son territoire.


  • L'hôtel de Mézières ou château Goguel, ancienne mairie, square de Mézières / avenue de l'Europe (inscrit puis classé monument historique par arrêté du 2 juin 1976[38]) : Il fut édifié vers 1762. Quand le parc qui l'entourait fut loti à partir de 1913, il devint mairie du village par une délibération municipale du 31 janvier 1913, puis bibliothèque municipale et enfin lieu d'exposition[39].



  • Le château de la Cour de Charles : Deux pavillons de garde, rue du Docteur-Peyrot et rue Jules-Ferry (inscrits monument historique par arrêté du 11 juillet 1942[40]) : Ils proviennent du château dit « de la cour de Charles », par allusion à Charles de Montmorency, et se situent en lisière du parc du château de Mézières. Attribués à l'architecte Claude Nicolas Ledoux, ils ont été réalisés au XVIIIe siècle[39].



  • Le Petit-Château, rue Georges-V et 14 boulevard du Petit-Château (inscrit puis classé monument historique par arrêté du 27 juin 1967[41]) : c'est le seul à Eaubonne que l'on peut attribuer avec certitude à l'architecte Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806). Édifié de 1772 à 1776, seule sa façade subsiste de nos jours. Il abrite les locaux de la maison des associations[39].



  • Le château de la Chesnaie, 1 rue Voltaire (classé monument historique par arrêté du 21 mars 1979[42]) : Édifié en 1766 est un beau château de style Louis XV. C'est dans une maison du parc de ce domaine, dit parc de la Grille Dorée, que résida Madame d'Houdetot en 1757 et où elle recevait Jean-Jacques Rousseau qui l'évoque dans Les Confessions. Ce pavillon fut détruit à la fin du XIXe siècle et le parc fut loti en 1903[39].

D'autres châteaux sont à voir à Eaubonne :


  • Le château du Clos-de-l'Olive, rue Cristino-Gracia : Il tient son nom d'Henry de l'Olive, propriétaire de la terre au XVe siècle. Il fut édifié de 1767 à 1776. Son parc loti, le château resta longtemps à l'abandon avant d'être restauré en 1975. Il est devenu la Maison des arts de la commune[39].



  • Le château des Cèdres, avenue de Paris : De style troubadour, il fut bâti sous la Restauration. Son parc fut également loti en 1911 sous forme de tombola. Il abrite de nos jours les services sociaux de la ville[39].



  • Le château Philipson, 10 avenue de Soisy : Il reprend le plan du Petit-Château et a été édifié en 1846 pour un négociant parisien, alors que son nom renvoie à son dernier propriétaire, le préfet Gilbert Philipson (1908-1983), qui en fit don à la commune[39].


Autres éléments du patrimoine |




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  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, rue Gabriel-Péri / rue Mermoz : C'est un édifice du XIIe siècle très remanié durant les siècles suivants. Elle inspira le peintre Maurice Utrillo[43],[39].

  • La maison de Paul Éluard, 4 rue Hennocque : Vaste demeure du XIXe siècle de style classique qui a accueilli l'écrivain surréaliste ainsi que Max Ernst qui fut son hôte en 1923[39].




  • HBM Jules-Ferry, rue Jules-Ferry / avenue de Budenheim : Construit en 1928 pour le compte de l'office HBM de la mairie. L'architecte Jean Mourre fait appel au béton armé et à la brique pour ce vaste immeuble d'angle de quatre étages, dont les façades sont scandés de légers décrochements et garnies de balcons au niveau du 4e étage. C'est un immeuble collectif caractéristique de l'entre-deux-guerres, agrandi par ailleurs pendant les années 1950 sur l'actuelle avenue de Budenheim[39].



  • L'église du Sacré-Cœur, rue d'Estienne-d'Orves : Elle a été édifiée en 1933 pour faire face à l'augmentation du nombre de paroissiens. Derrière une façade moderne en béton, sa disposition intérieure référence à l'architecture sacrale traditionnelle, avec une nef voûté en berceau communiquant avec les bas-côtés par des arcades plein cintre, et un chœur en hémicycle[39].



  • Le groupe scolaire Paul-Bert, rue Jean-Moulin / boulevard de la République / rue Édouard-Vaillant : Construit entre 1935 et 1938, il porte également la signature de l'architecte Jean Mourre et répond surtout à une exigence de fonctionnalité[39].




  • La ville possédait un petit lavoir qui a été reconstitué dans les années 1990.


  • Église Sainte-Marie, restaurée en 1991[44].



Parcs et espaces verts |




Parc du Val-Joli.




Bibliothèque Maurice-Genevoix.



  • Le potager de la Chesnaie, boulevard de la Mairie, est entretenu par les jardiniers de la ville qui y cultivent divers légumes : citrouilles, coloquintes, poireaux, rhubarbes… (accès libre du 1er mars au 31 octobre de 8 h à 19 h et du 1er novembre au 28 février de 9 h à 17 h).

  • Le parc du Val-Joli, route de Saint-Leu, a été acquis par la commune et est depuis ouvert au public. En limite de Margency, le bassin de retenue des Moulinets (rue des Moulinets) a été aménagé en petit parc, la pièce d'eau étant dotée de jets d'eau.


Eaubonne détient le label « ville fleurie » avec trois fleurs, attribué par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris, en récompense des efforts de fleurissement de la commune[45].



Équipements culturels |


La médiathèque Maurice-Genevoix est une des plus riches du Val-d'Oise. Elle possède en particulier un important fonds patrimonial qui fait sa spécificité (archives de la région, cartes anciennes, fonds généalogique).


Depuis le samedi 4 octobre 2008 Eaubonne dispose également d'un centre culturel nommé « l'Orange-Bleue* », d'après un poème de Paul Éluard. L'astérisque attachée au mot « bleue » est présente dans toute la communication écrite.



Eaubonne et le cinéma |


Quelques films ou feuilletons ont été tournés à Eaubonne, dont l'un a rencontré un succès mondial. On peut citer[46] :




  • Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain (2001) de Jean-Pierre Jeunet avec Audrey Tautou et Mathieu Kassovitz ;


  • Marie Humbert, le combat d'une mère (2006) de Marc Angelo avec Florence Pernel.



Personnalités liées à la commune |




  • Claude-Martin Goupy (v. 1720-1793), architecte parisien, acquéreur en 1769 du fief de Meaux et du château de la Chesnaie.


  • Madame d'Houdetot y vécut dans une maison (disparue) du parc de la grille dorée et y reçut le poète Saint-Lambert et Jean-Jacques Rousseau qui s'éprit d'elle.


  • Louis-Jérôme Gohier (1746-1830), ancien président du Directoire, il fit l'acquisition du Petit-Château ainsi que quelques autres maisons à Eaubonne, où il décède.


  • Jean-François de Saint-Lambert, militaire, philosophe, poète et académicien (1761-1803)[47].


  • Antoine François Eugène Merlin (1778-1854), général des armées de la République et de l'Empire, décédé à Eaubonne.


  • Jules Huyot (1841-1921), graveur - il fut maire d'Eaubonne - et son fils Albert Huyot (1872-1968), artiste peintre, vécurent aux no 48 (la villa Huyot) et 48bis (le "Chalet de l'artiste", que Jules Huyot fit construire pour son fils) de l'avenue George-V.


  • Paul Éluard (1895-1952) y séjourna, d'abord avec son épouse Gala, dans une vaste demeure, au no 4 de la Rue Hennoque, à partir de 1923. La même année, le peintre Max Ernst, qui arrive en France, y reçoit asile, et réalise des décorations murales dans les trois étages de la villa. La résidence, où sont organisées des rencontres du groupe surréaliste, est à cette époque le théâtre de séances de sommeil hypnotique et d'écriture automatique[48].


  • Alain Grée, illustrateur, est né à Eaubonne en 1932.


  • Michel Zévaco (1869-1918), écrivain.


  • Paul Kenny.


  • Roger Mas, dessinateur de Pif le chien, résidait à Eaubonne.


  • Camille Maurane (1911-2010), chanteur classique, a fini ses jours à Eaubonne.


  • Roland Schmitt (1912-1954), international de football français.


  • Albert Uderzo, (1927-), dessinateur d'Astérix, a résidé à Eaubonne, chaussée Jules-César[49].


  • Michel Mourre (1928-1977), historien, est né à Eaubonne.


  • Adrien Mattenet (15 octobre 1987-), pongiste.


  • Loris Gréaud (1979-), artiste plasticien.

  • Francis Florent Julliand (1926-1944), résistant FFI, tué à Eaubonne[50].



Héraldique |







Armes d'Eaubonne


Les armes d'Eaubonne se blasonnent ainsi :


D'or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d'azur ordonnés 2 et 2, au lambel d'argent brochant sur le tout





.




Voir aussi |



Bibliographie |



  • Renée Thomas, Au village d'Eaubonne : 1590-1815, Éd. Tardy Quercy, 1988, 303 p.

  • Hervé Collet, Eaubonne au XVIIIe siècle, Publications du Cercle historique et archéologique d'Eaubonne et de la vallée de Montmorency, 1972, 124 p.

  • Hubert Lamant-Duhart, Eaubonne en 1900, Publications du Cercle historique et archéologique d'Eaubonne et de la vallée de Montmorency, 1981, 149 p.

  • Jean Veillon, Souvenirs d'Eaubonne au XXe siècle, Publication du Cercle historique et archéologique d'Eaubonne et de la vallée de Montmorency, 2007, 110 p.



Articles connexes |



  • Vallée de Montmorency

  • Liste des communes du Val-d'Oise



Liens externes |


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Sur les autres projets Wikimedia :





  • Site de la mairie


  • Eaubonne sur le site de l'Insee



Notes et références |



Notes |




  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau
    des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999,
    que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les
    communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc.
    pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée
    par l’Insee pour l'ensemble des communes.



  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.



Références |




  1. Géoportail, « Communes limitrophes d'Eaubonne » .


  2. SANDRE - Cours d'eau : ru d'Enghien


  3. Site de la DDASS95


  4. Voir l'Atlas de l'eau en Val-d'Oise


  5. SEDIF - Méry-sur-Oise


  6. Météo France - Climatologie


  7. L'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle distant de 15 kilomètres à l'est en plaine constitue la station de référence pour le département du Val-d'Oise.


  8. INSEE - Logements à Eaubonne : les occupants


  9. INSEE - Logements en Île-de-France : les occupants


  10. INSEE - Logements à Eaubonne : le parc


  11. INSEE - Logements en Île-de-France : le parc


  12. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.


  13. a b c et dSite municipal d'Eaubonne - Rappel historique


  14. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise


  15. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise


  16. Palmarès des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 01/10/2009.


  17. http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__Resultats-des-elections-municipales-2001/%28path%29/Resultats-des-elections-municipales-2001/index.html


  18. Scrutin du 29 mai 2005 sur la constitution Européenne - Eaubonne


  19. Scrutin présidentiel de 2007 - Eaubonne


  20. Législatives de 2007 - Eaubonne


  21. http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Presidentielles/elecresult__PR2012/%28path%29/PR2012/011/095/095203.html


  22. Législatives de 2012 - Eaubonne


  23. « Maires d'Eaubonne depuis la Révolution », L'action-municipale, sur http://www.eaubonne.fr (consulté le 27 septembre 2015).


  24. « Les maires de Eaubonne », sur http://www.francegenweb.org (consulté le 27 septembre 2015).


  25. Ma.P., « Municipales 2014 : François Balageas n’en a pas fini avec Eaubonne : Élu surprise en 2001 à la tête d’Eaubonne, le socialiste François Balageas se présente pour un troisième mandat en mars. Le dernier, assure-t-il », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ 19 novembre 2013(lire en ligne).


  26. « Balageas (PS) à Eaubonne et Noyer (UMP) à Deuil démissionnent aussi », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ 7 avril 2014(lire en ligne).


  27. « Eaubonne : l’ancien maire honoré pour ses 28 années de mandats », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ 31 août 2015(lire en ligne).


  28. « Dublineau réinstalle la droite à Eaubonne », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ 4 avril 2014(lire en ligne).


  29. « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, 29 avril 2014(consulté le 13 septembre 2015).


  30. « Le nouveau maire UMP met un frein au bétonnage du Val-Joli », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ 27 janvier 2015(lire en ligne).


  31. « Grégoire Dublineau (UMP) », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ 21 février 2014(lire en ligne).


  32. http://alize2.finances.gouv.fr/communes/eneuro/detail.php?icom=203&dep=095&type=BPS&param=3&exercice=2005


  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.


  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.


  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.


  36. Site municipal - Les établissements scolaires


  37. Inspection académique du Val-d'Oise


  38. « Hôtel de Mézières », notice no PA00080043, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  39. a b c d e f g h i j k et lMme Wiessler et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Eaubonne », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ octobre 1999, p. 193-201 (ISBN 2-84234-056-6).


  40. « Pavillons de garde », notice no PA00080044, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  41. « Petit-Château », notice no PA00080041, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  42. « Château de la Chesnaie », notice no PA00080042, base Mérimée, ministère français de la Culture.


  43. Mathieu Lours, « Eaubonne - Notre-Dame de l'Assomption », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ 2008, p. 91 (ISBN 9782953155402).


  44. Église Sainte-Marie (Eaubonne)


  45. Palmarès 2012 du concours régional des villes et villages fleuris


  46. Lieux de tournage à Eaubonne


  47. Pendant la Révolution française, il se retira à Eaubonne auprès de Sophie d'Houdetot. On l'appela dès lors « le sage d'Eaubonne ».


  48. La villa de Paul Éluard, Cercle historique d'Eaubonne


  49. « Astérix, un petit gaulois », Le Parisien, 22 octobre 2009


  50. (en) Eric Blanchais, « MémorialGenWeb Fiche individuelle », sur www.memorialgenweb.org (consulté le 12 mars 2017)

































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